BULLETIN de SANTE du VEGETAL FRANCHE

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BULLETIN de SANTE du VEGETAL
FRANCHE COMTE
Bulletin N°7 – Semaine 20 – 3 pages
Stades
Avec 1 à 2 nouvelles feuilles qui sont apparues au cours des 7
derniers jours, le stade moyen se situe maintenant à 7-8 feuilles
étalées.
Dans les situations les plus précoces, on note jusqu’à 9-10 feuilles
étalées et 5-6 feuilles dans les secteurs tardifs.
L’année 2014 présente presque 1 mois d’avance par rapport à
2013 et une grosse semaine par rapport à une année moyenne.
Pluies du 05 au 11 mai :
Sur la plupart des postes jurassiens, on relève entre 18 mm (Maynal) et 26
mm (Pupillin) entre le 6 et 11 mai.
Les cumuls sur Champlitte sont de 11mm et de 25mm pour Charcenne.
Prévisions du 14 au 19 mai :
Une amélioration est prévue à partir de mercredi et devrait se maintenir
jusqu’en fin de semaine. Par contre la fraîcheur est au programme avec
des mini/maxi de 6°C/16°C. Source Météo France
Les inflorescences se
développent mais les
boutons sont encore
agglomérés
Des phénomènes de
filage sont, cette année
encore, constatés sur
Savagnin
Mildiou
Etat des contaminations
Pluies du 07 au 27 avril :
Une seule tâche a été découverte à ce jour. Cela confirme que les contaminations du 07 au 27 avril
n’ont eu qu’un caractère très ponctuel.
Pluies du 02 mai :
Compte tenu des températures plus fraîches que prévues, la sortie de taches initialement
programmée à partir du 12-13 mai est différée de 3-4 jours. Rappelons que cette sortie devrait être
d’une intensité limitée.
Pluies du 06 au 11 mai :
Le modèle MILVIT identifie 3 à 4 nouvelles contaminations entre le 6 et 11 mai selon les postes de
suivi. Les symptômes correspondants n’apparaîtront qu’à partir du 20 mai.
Contrairement aux 2 dernières années, le risque mildiou de début de campagne demeure
faible.
Même si quelques contaminations primaires ont pu se produire localement, la maladie n’est pas
encore entrée en phase épidémique.
De plus, l’ébourgeonnage déjà bien avancé contribue à retarder le début de cette phase.
Bulletin de Santé du Végétal N° 7 - 13 mai 2014
1
Oïdium
Après les premières taches d’oïdium découvertes la semaine dernière, de nouveaux
symptômes ont été détectés dans différentes situations de Chardonnay sensibles.
Le stade 7-8 feuilles est maintenant atteint dans un grand nombre de situations du
vignoble franc-comtois.
Le modèle SOV relève toujours une faible activité du champignon.
Rappelons qu’en toutes circonstances, la lutte contre l’oïdium doit être prise en
considération au plus tôt à partir du stade 7-8 feuilles étalées.
Black-Rot
Taches étoilées sur la
baguette, témoignant de
l’attaque de l’année
précédente
Les quelques pluies des 7 derniers jours ont pu provoquer des contaminations. Cependant, compte-tenu des
températures fraîches, l’incubation sera longue et la sortie de taches ne s’effectuera pas avant fin mai.
Le risque black-rot demeure faible et limité.
Rappelons que la période où les grappes sont les plus réceptives aux contaminations débute à partir du stade
floraison- nouaison.
Vers de Grappe
ère
Les vols de 1 génération sont en nette diminution (hormis sur les sites de Voiteur : Cochylis et Poligny et Arbois :
Eudémis). Les premiers glomérules ne devraient pas être facilement observables avant une quinzaine de jours.
Cicadelle de la Flavescence Dorée
Les toutes premières larves ont été observées la semaine dernière.
Rappel des stratégies à appliquer en pépinières et en vignes-mères
- En pépinières : la lutte doit débuter dès maintenant et la couverture insecticide sera maintenue jusqu’à la
disparition complète des adultes.
- En parcelles de vigne-mères de greffons et de porte-greffes, une stratégie à 3 traitements doit être mise en
œuvre. La date du premier traitement sera définie ultérieurement.
Pyrale
La pyrale, reste pour les vignobles francs-comtois un ravageur très secondaire. Les
remontées sont terminées, mais les chenilles présentes vont continuer à s’alimenter et les
symptômes correspondants vont devenir facilement repérables.
Rares sont les parcelles où on peut constater des symptômes avec présence de la chenille.
Dans tous les cas on est toujours très loin de populations préoccupantes.
Seuil : 80% de ceps occupés par au moins une pyrale.
Chenille de pyrale dans
son nid
Grêle
Un épisode de grêle s’est abattu sur le vignoble dimanche 11 mai en
après-midi, sur un axe allant du village de Buvilly à celui de Pupillin.
Les dégâts vont de quelques impacts par cep jusqu’à, dans les cas les
plus sévères : bois fortement marqués, feuillage haché, haut de rameau
cassé et inflorescences arrachées.
Un second épisode a eu lieu hier, 12 mai, en début de soirée sur le
secteur de Poligny. Nous ne connaissons pas encore son impact sur les
vignes.
Dégâts les plus sévères constatés à ce jour
Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l’appui financier de l’Office national de l'eau et des milieux aquatiques, par les
crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto 2018.
Bulletin édité sous la responsabilité de la Chambre Régionale d’Agriculture de Franche-Comté et rédigé par la Société de Viticulture du
Jura en collaboration avec la Chambre d’agriculture de Côte d’Or et le SRAL Bourgogne, à partir des observations réalisées
par : Société de Viticulture du Jura – Coopérative Terre Comtoise – Interval - Vignoble Guillaume –Vignoble Champlitte
Bulletin de Santé du Végétal N° 7 - 13 mai 2014
Avec la participation financière
2
Note nationale BSV
Rédaction DGAL-ANSES
Xylella fastidiosa est une bactérie nuisible sur de nombreux végétaux. Ce pathogène est connu comme
agent de la maladie de Pierce qui a fortement touché les vignobles californiens dans les années 1990. Il
est également responsable de la chlorose variégée des citrus au Brésil à la fin des années 1980.
Les dépérissements provoqués par la maladie peuvent avoir des répercussions économiques de grande
ampleur. Par ailleurs, il s'agit d'une maladie fortement épidémique, transmises potentiellement par de
nombreux vecteurs.
Statut réglementaire
Xylella fastidiosa est un organisme nuisible réglementé de quarantaine en Europe. Cette bactérie est listée
dans l’arrêté du 24 mai 2006 modifié comme organisme nuisible dont l’introduction et la dissémination sont
interdites. Suite au foyer identifié en Italie, une décision de la Commission (2014/87/UE) a été adoptée afin
de renforcer la surveillance du pathogène en Europe. Au titre de l’arrêté du 31 juillet 2000 modifié, il s’agit
également d’un organisme de lutte obligatoire de façon permanente sur tout le territoire français.
Situation en Europe
En octobre 2013, 2 foyers ont été détectés dans la région de Lecce (Pouilles) et déclarés par les autorités
italiennes. La bactérie a provoqué des dessèchements sur feuilles et des symptômes de déclin rapide sur
oliviers, lauriers roses, amandiers et chênes.
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Les autorités italiennes ont immédiatement pris des mesures d'éradication et de confinement sur une zone
de 23 000 ha :
- arrachage et destruction des végétaux atteints ;
- traitements insecticides contre les insectes vecteurs ;
- traitements herbicides ;
- surveillance intensive ;
- aucune circulation de végétaux ou de partie des végétaux y compris les fruits à l'extérieur de la
zone.
Etat des connaissances concernant la situation en Italie.
Le séquençage de la bactérie a été réalisé. Il s'agirait d'une souche éloignée des sous-espèces fastidiosa
et multiplex (voir ci-dessous). La vigne et les agrumes ne seraient pas des hôtes potentiels de cette
souche. La bactérie a pu être isolée en culture, ce qui devrait permettre la réalisation de tests de
pathogénicité.
Le vecteur identifié comme responsable de la transmission de la bactérie en Italie est le cercope Phileanus
spumarius (cercope des prés ou cicadelle écumeuse).
La France est-elle menacée ?
La découverte de la bactérie en Italie montre que son introduction a été possible en Europe.
Une potentielle circulation de végétaux infectés vers la France est possible.
L'Anses considère que X. fastidiosa (avis sur saisine n° 2012-SA-0121 du 22 juillet 2012) "constitue une
menace réelle pour de nombreuses filières de production".
Dans ces conditions, il est nécessaire de savoir reconnaître les symptômes provoqués par
la bactérie sur les différentes espèces cibles, et de signaler aux Services régionaux en
charge de la protection des végétaux ou à l'OVS régional tout symptôme suspect.
Cette vigilance est particulièrement recommandée aux détenteurs de végétaux originaires
des Pouilles, région italienne où ont été découverts les deux foyers de Xylella fastidiosa.
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Connaître la bactérie, reconnaître les symptômes
La bactérie
X. fastidiosa est une bactérie du xylème de la famille des Xanthomonadaceae. C’est la seule espèce du
genre Xylella. 4 sous-espèces sont généralement reconnues par la communauté scientifique :
X. f. subsp. fastidiosa : pathogène pour la vigne, l’amandier et le caféier
X. f. subsp. multiplex : pathogène pour l’amandier et autres Prunus spp. ainsi que sur plusieurs espèces de
feuillus et autres essences ornementales
X. f. subsp. pauca : pathogène sur les agrumes dont principalement l’oranger. Pathogène également sur
caféier
X. f. subsp. sandyi : pathogène sur laurier rose
Cependant, les travaux récents suggèrent que la spécificité d’hôte des sous-espèces ne serait pas si
tranchée. Par exemple, le caféier et l’amandier hébergent ainsi plusieurs sous-espèces pathogènes de
X.f..
Les différentes pathologies
Les pathologies induites par X. fastidiosa portent différentes dénominations selon les plantes affectées :
maladie de Pierce sur vigne (Pierce’s disease), Almond Leaf Schorch (ALS) sur amandier, Chlorose
Panachée des Citrus (CVC Citrus Variegated Chlorosis) sur orangers, Phony Peach Disease (PDD) sur
pêcher, Oleander Leaf Schorch (OLS) sur laurier rose, etcA
Plantes hôtes
La bactérie compte parmi ses hôtes plus de 200 espèces végétales (50 familles botaniques différentes),
dont de nombreuses plantes hôtes ne développant pas de symptômes, mais pouvant jouer potentiellement
le rôle de porteur sain. Voir la liste des plantes hôtes en annexe ci-jointe.
Répartition mondiale
X. fastidiosa est présente dans les Amériques, de l’Argentine à l’Ontario au Canada. En Asie, la bactérie
est présente sur l’île de Taïwan uniquement. En Europe, un foyer d’environ 8 000 ha sur olivier, laurier rose
et amandier a été déclaré en octobre 2013 dans le sud de l’Italie.
Répartition de la bactérie dans les organes
La bactérie est présente à la fois dans les organes aériens (feuilles, rameaux, fruits) et dans les racines.
Elle a également été décrite dans les semences d’oranger. Les plus fortes concentrations bactériennes
sont trouvées dans les pétioles et la nervure centrale des feuilles.
La concentration bactérienne dans les tissus évolue également en fonction des saisons et des conditions
climatiques. Les plus fortes concentrations sont observées en juin-juillet sur vigne en Californie.
Transmission et dispersion – Insectes vecteurs
La contamination des plantes et la dispersion de la maladie se fait principalement via des insectes vecteurs
piqueurs-suceurs se nourrissant de la sève brute du xylème. Il s’agit principalement des cicadelles
(Cicadellidae) et des cercopes (Cercopidae) et dans une moindre mesure des cigales (Cicadidae). En fait,
tout insecte piqueur-suceur se nourrissant de sève brute (xylème) est à considérer comme potentiellement
vecteur de cette bactérie.
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Le cercope des prés (Phileanus
spumarius) est présent en
Amérique du Nord et est
également largement répandu en
Europe. Aux USA, ce cercope est
l’un des vecteurs de la bactérie X.
fastidiosa.
Cercope des prés (Phileanus spumarius)
(Photo : Fred CHEVAILLOT – Source : INPN MNHN)
Genêt colonisé par des larves de Philaenus spumarius entourées de leur mousse.
(Photo: Berger Harald- source : Wikipédia)
Les outils de tailles, ou autres outils provoquant des blessures sont également à l’origine de la dispersion
de la maladie de plante à plante, bien que ce mode de transmission n’ait pas été décrit comme très
efficace.
Les blessures du système racinaire peuvent être à l’origine de phénomène d’autogreffes et engendrer la
transmission de la bactérie de plante à plante.
La multiplication, l’exportation et la plantation de plants contaminés représentent un risque important de
dissémination.
Moyens de lutte
Il n’existe pas de moyen de lutte curative contre cette bactérie phytopathogène, si ce n’est l’arrachage et la
destruction des plantes contaminées et le contrôle des insectes vecteurs.
Les différents types de symptômes
les brûlures foliaires (laurier rose) et dans les stades plus avancés, le desséchement des rameaux
(répartition aléatoire dans le houppier), suivi de la mort du sujet dans les cas les plus graves (olivier,
amandier, chêne, orme, platane sycomore, ...)
les chloroses foliaires (sur caféier, oranger) : sur oranger, l’infection entraine également la
production de fruits de petite taille
les défauts de lignification (aoûtement) et la persistance des pétioles après la chute des feuilles
pour la vigne
le nanisme sur luzerne accompagné d’une coloration bleue-verte des feuilles
le port tombant et la réduction des entrenœuds chez le pêcher
chez la vigne sont également observés des jaunissements et des rougissements des feuilles.
Confusions possibles
Les brûlures foliaires peuvent aisément être confondues avec des symptômes dus aux stress hydriques ou
à la sénescence naturelle des feuilles.
Les chloroses du limbe peuvent être difficiles à distinguer de symptômes similaires provoqués par
certaines carences nutritionnelles en oligo-éléments.
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Sur vignes, des desséchements sectoriels ou marginaux du limbe sont proches des symptômes causés par
la bactérie Xylophilus ampelinus agent causal de la nécrose bactérienne présente dans certains vignobles
français.
Principaux symptômes
Sur olivier
Brûlures foliaires sur olivier (Olea europaea), région des Pouilles, Italie
(Photo : Donato Boscia, Istituto di Virologia Vegetale del CNR, UOS, Bari (IT) - Franco Nigro, Dipartimento
di Scienze del Suolo, della Pianta e degli Alimenti, Università degli Studi di Bari (IT) - Antonio Guario, Plant
Protection Service, Regione Puglia (IT) Source : www.eppo.org)
Brûlures foliaires sur olivier (Olea europaea), région des Pouilles, Italie
(Photo : Donato Boscia, Istituto di Virologia Vegetale del CNR, UOS, Bari (IT) - Franco Nigro, Dipartimento
di Scienze del Suolo, della Pianta e degli Alimenti, Università degli Studi di Bari (IT) - Antonio Guario, Plant
Protection Service, Regione Puglia (IT) Source : www.eppo.org)
Brûlures foliaires sur olivier (Olea europaea), région des Pouilles, Italie
(Photo : Donato Boscia, Istituto di Virologia Vegetale del CNR, UOS, Bari (IT) - Franco Nigro, Dipartimento
di Scienze del Suolo, della Pianta e degli Alimenti, Università degli Studi di Bari (IT) - Antonio Guario, Plant
Protection Service, Regione Puglia (IT) Source : www.eppo.org)
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Sur vigne
Défaut d’aoûtement sur vigne (Vitis vinifera)
(Photo : Pr Sforza USDA/EBCL – Phytoma)
Maladie de Pierce sur vigne (Vitis vinifera) – Pétioles persisitants et défaut d’aoûtement
(Photo : J. Clark & A.H. Purcell, University of California, Berkeley USA - Source : www.eppo.org)
Maladie de Pierce sur vigne (Vitis vinifera) - Symptômes sur cépage. Chardonnay (sous stress hydrique)
(Photo : A.H. Purcell University of California, Berkeley USA - Source : www.eppo.org)
Maladie de Pierce sur vigne (Vitis vinifera) - Symptômes sur cépage. Chardonnay
(Photo: J. Clark - University of California, Berkeley USA – Source : www.eppo.org)
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Desséchement sectoriel du limbe sur vigne (Vitis vinifera)
(Photo : Pr Sforza USDA/EBCL –Source :Phytoma)
Sur amandier
Brûlure foliaires sur amandier (Prunus dulcis)
(Photo : University de Berkeley – source : www.cnr.berkeley.edu)
Brûlure foliaires sur amandier (Prunus dulcis)
(Photo : Université de Californie, RiverSide USA – Souce: biocontrol.ucr.edu)
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Sur pêcher
Pêcher (Prunus persica) : le rameau de gauche est sain. Le rameau de droite présente des symptômes de
Phony Peach Disease. Noter les internoeuds très courts.
(Photo : University de Berkeley – source : www.cnr.berkeley.edu)
Phony Peach Disease : le pêcher de gauche est contaminé, celui de droite est sain.
(Source : www.aces.edu)
Sur chêne
Brûlures foliaires sur chêne américain (Quercus sp.)
(Photo : Nancy Gregory, University of Delaware, Bugwood.org)
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Chêne rouge (Quercus rubra) présentant des brûlures foliaires ainsi que des rameaux entièrement
desséchés avec répartition aléatoire.
(Photo : John Hartman Université du Kentucky USA – Source : http://www.forestryimages.org)
Sur aulne
Brûlure foliaires sur aulne (Ulnus sp.)
(Photo : University de Berkeley – source : www.cnr.berkeley.edu)
Sur Platane sycamore
Brûlures foliaires sur platane sycamore (Platanus occidentalis)
(Photo : John Hartman Université du Kentucky USA – Source : http://www.forestryimages.org)
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Brûlures foliaires sur Platane sycomore (Platanus occidentalis)
(Photo: Edward L. Barnard – Source: http://www.forestryimages.org)
Sur Ginkgo biloba
Brûlures foliaires sur ginkgo (Ginkgo biloba)
(Photo: Elizabeth Bush - Source : www.forestryimages.org)
Sur laurier rose
Brûlures foliaires sur laurier rose (Nerium oleander)
(Photo : Michael J. Plagens – Source : Wikipédia)
Sur caféier
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Chlorose et tâches nécrotiques sur caféier (Coffea sp.)
(Photo : Bruno Legendre LSV Anges)
Chlorose et desséchement marginal des feuilles sur caféier (Coffea sp.)
(Photo : Bruno Legendre LSV Angers)
Sur oranger et autres rutacées
Chlorose panachée des agrumes (CVC) sur oranger (Citrus sinensis)
(Photo : M. Scortichini, Istituto Sperimentale per la Frutticoltura, Rome Italie - Source : www.eppo.org)
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(Citrus sp.) : les fruits et feuilles de gauche sont contaminés. Les fruits sont de petite taille et les feuilles
présentent des chloroses.
(Photo : Alexendrer Purcell – Source : http://www.invasive.org)
Chloroses foliaires sur oranger (Citrus sinensis)
(Photo : Joao Roberto Spotti Lopes)
Nanisme de la luzerne
Plant sain à gauche – plant contaminé à droite (Medicago sativa)
(Photo : Joao Roberto Spotti Lopes)
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Sur prunier
Brûlures foliaires sur prunier (Prunus domestica)
(Photo : Joao Roberto Spotti Lopes)
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