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- économie de guerre – consiste au financement des conflits armés
(régional bien sur, mais aussi national et local). Cette économie
comprends l’argent politique pour les partisans ; le salaires ou
équivalent des salaire pour le combattants ; le prix des armes et des
munitions ; les compensations des dégâts physiques et des pertes
humaines ; les soins médicaux des blessés ; le commerce et la
contrebandes des armes ; le biseness du trafic des personnes et leur
passage de part et d’autres des frontières et a l’intérieur du
pays…etc. C’est toute une économie de financement et d’extraction
forcées des ressources d’ordre de dizaines de millions de dollars
(sinon plus), une économie parallèle qui fleurit pendant le conflit et
qui crée des mécanismes et des bénéficiaires qui forment des
groupes de pression qui contribuent à la prolongation du conflit et
résistent a tout effort de retourner a l’économie productive de paix.
3. Sur le plan social
Déjà une société polarisée et à la limite de la fragmentation, le
conflit syrien pousse plus loin ces phénomène et risque même
d’atteindre un niveau de fragmentation sociétal à base politico-
communautaire, qui affecte la mobilité des personnes, et les
échanges et investissent, dans une économie-société intégrée. Cette
situation a encouragé les tentatives d’institutionnalisation de la
fragmentation communautaire et politique à travers les
propositions de loi, tel que la loi électorale qui pourrait avoir des
répercussions graves et structurelles sur l’intégrité du pays et tout
l’environnement macro économique et social qui affectera
l’économie aussi.
Le conflit syrien a contribué à l’affaiblissement institutionnel et
symbolique d’un état déjà faible. Ce fait encourage d’avantage la
génération de conflits localisés, et même un comportement de hors-
loi individuel et généralisé. C’est une source additionnelle
d’impunité, et de refus de la primauté de la loi, et du respect