Quand l`APPÉTIT nE vA PAS… - Centre de santé et de consultation

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Apprendre à gérer ses émotions
• Lorsque vous ne vous sentez pas bien, prenez d’abord le temps
d’identifier les émotions qui sont présentes (ex. : tristesse, anxiété,
honte, culpabilité, solitude).
• Explorez ensuite les pensées ou images liées à ces émotions
(ex. : « je suis bonne à rien, personne ne m’aime »). Identifier vos
pensées vous permettra ensuite de les remettre en perspective
(ex. : est-ce vrai que personne ne m’aime ?) ou d’enclencher
un processus de résolution de problèmes.
Gérer l’urgence de manger
• Lorsque vous sentez que vous ne pouvez vous empêcher de manger,
le meilleur moyen d’empêcher une crise est de décider de manger !
Se donner le droit de prendre une collation satisfaisante éliminera
souvent votre urgence de manger.
• Tentez de remplacer la crise par un comportement plaisant ou plus
adapté : sortez de la maison, appelez vos amis, faite une activité
plaisante, détendez-vous.
Se créer une vie en dehors du trouble
alimentaire
• Lorsqu’on a un trouble alimentaire, il arrive que celui-ci a pris toute
la place : on s’est isolé, on a mis de côté nos activités, on a perdu
nos champs d’intérêts. Il est donc essentiel de reprendre,
graduellement, contact avec votre réseau et vos activités. Vous
construire une vie que vous aimez facilitera votre rétablissement
et le deuil de « votre » trouble.
STRATÉGIES pour s’AIDER SOI-MÊME
ou AIDER un PROCHE (suite)
Briser le cycle de la boulimie et s’exposer
• Les régimes font partie des grands coupables dans le développement
des troubles alimentaires. En effet, la restriction à elle seule est
directement liée au développement et à la récurrence des crises
de boulimie. Mettre fin à la restriction vous permettra de diminuer,
et souvent, d’éliminer vos crises.
• Commencez graduellement à intégrer des aliments et à augmenter
votre apport calorique. Mangez régulièrement en prenant des repas
complets, mais aussi des collations entre ceux-ci.
• Mettez fin à vos comportements compensatoires : ceux-ci vous gardent
dans un mode de restriction alimentaire et renforcent vos peurs.
• Reprendre une alimentation normale implique que vous prendrez
un peu de poids. Dans la boulimie, le poids repris est généralement
reperdu en adoptant une alimentation équilibrée et une fois que
le corps s’est adapté / rétabli.
• Pour les personnes anorexiques, reprendre une alimentation normale
implique la reprise d’un poids santé. Cela est épeurant, mais
nécessaire. Une fois cette étape difficile traversée, un sentiment
de liberté et le plaisir de reprendre ses activités viendront remplacer
la peur et l’anxiété.
Révisez vos croyances !
• Lorsqu’on a un trouble alimentaire, on se construit des règles erronées
sur l’alimentation et le poids. Identifier et réviser l’ensemble de ses croyances
est nécessaire. Donnez-vous la chance de les remettre en perspective !
Apprendre à gérer ses émotions
• Lorsque vous ne vous sentez pas bien, prenez d’abord le temps
d’identifier les émotions qui sont présentes (ex. : tristesse, anxiété,
honte, culpabilité, solitude).
• Explorez ensuite les pensées ou images liées à ces émotions
(ex. : « je suis bonne à rien, personne ne m’aime »). Identifier vos
pensées vous permettra ensuite de les remettre en perspective
(ex. : est-ce vrai que personne ne m’aime ?) ou d’enclencher
un processus de résolution de problèmes.
Gérer l’urgence de manger
• Lorsque vous sentez que vous ne pouvez vous empêcher de manger,
le meilleur moyen d’empêcher une crise est de décider de manger !
Se donner le droit de prendre une collation satisfaisante éliminera
souvent votre urgence de manger.
• Tentez de remplacer la crise par un comportement plaisant ou plus
adapté : sortez de la maison, appelez vos amis, faite une activité
plaisante, détendez-vous.
Se créer une vie en dehors du trouble
alimentaire
• Lorsqu’on a un trouble alimentaire, il arrive que celui-ci a pris toute
la place : on s’est isolé, on a mis de côté nos activités, on a perdu
nos champs d’intérêts. Il est donc essentiel de reprendre,
graduellement, contact avec votre réseau et vos activités. Vous
construire une vie que vous aimez facilitera votre rétablissement
et le deuil de « votre » trouble.
• Informez-vous sur les troubles alimentaires et sur les ressources
disponibles.
• Osez en parler aidera votre proche à sortir de son isolement et
permettra d’envisager ensemble des solutions à ses difficultés.
• Évitez de juger ou de commenter l’apparence physique ou
vestimentaire.
• Ne devenez pas un thérapeute ! Restez un parent ou un ami
en vous montrant à l’écoute et disponible.
AIDE PSYCHOlOGIQuE et
nuTRITIOnnEllE
Centre de santé et de consultation psychologique
Consultations psychologiques, nutritionnelles et médicales.
Pav. 2101, boul. Édouard-Montpetit
2e étage, porte 220
Tél. : 514 343-6452
www.cscp.umontreal.ca
Pour trouver un psychologue en cabinet privé
www.ordrepsy.qc.ca
Pour trouver une diététiste-nutritionniste
en cabinet privé
www.opdq.org
RESSOURCES HORS CAMPUS
ANEB-Anorexie et Boulimie Québec
Groupes de soutien, clavardage et ligne d’écoute
et de référence.
Ligne d’écoute et de référence :
514 630-0907 ou 1 800 630-0907 (sans frais)
www.anebquebec.com
Quand l’APPÉTIT
nE vA PAS…
© Centre de santé et de consultation psychologique, Université de Montréal, 2011.
• Lorsqu’on a un trouble alimentaire, on se construit des règles erronées
sur l’alimentation et le poids. Identifier et réviser l’ensemble de ses croyances
est nécessaire. Donnez-vous la chance de les remettre en perspective !
Et pour les PROCHES...
Services aux étudiants
Centre de santé et de consultation psychologique
COnSulTER un SPÉCIAlISTE
• Comme les troubles alimentaires peuvent avoir des conséquences
sérieuses sur la santé physique, il est important de consulter
un médecin afin qu’il procède à un bilan de santé. Il pourra aussi
intervenir si des complications sont observées.
• Les troubles alimentaires ne se résorbent que rarement par eux-mêmes.
L’aide d’un psychologue sera essentielle pour vous aider avec
vos difficultés alimentaires et pour les autres problèmes qui
les accompagnent souvent (ex. : dépression, anxiété, impulsivité,
perfectionnisme, difficultés relationnelles, faible estime de soi, etc.).
• Rencontrer une nutritionniste est également souhaitable. Elle vous
aidera à développer des habitudes alimentaires plus saines et réviser
vos croyances liées à l’alimentation.
Et pour les PROCHES...
• Informez-vous sur les troubles alimentaires et sur les ressources
disponibles.
• Osez en parler aidera votre proche à sortir de son isolement et
permettra d’envisager ensemble des solutions à ses difficultés.
• Évitez de juger ou de commenter l’apparence physique ou
vestimentaire.
• Ne devenez pas un thérapeute ! Restez un parent ou un ami
en vous montrant à l’écoute et disponible.
AIDE PSYCHOlOGIQuE et
nuTRITIOnnEllE
Centre de santé et de consultation psychologique
Consultations psychologiques, nutritionnelles et médicales.
Pav. 2101, boul. Édouard-Montpetit
2e étage, porte 220
Tél. : 514 343-6452
www.cscp.umontreal.ca
Pour trouver un psychologue en cabinet privé
www.ordrepsy.qc.ca
Pour trouver une diététiste-nutritionniste
en cabinet privé
www.opdq.org
RESSOURCES HORS CAMPUS
ANEB-Anorexie et Boulimie Québec
Groupes de soutien, clavardage et ligne d’écoute
et de référence.
Ligne d’écoute et de référence :
514 630-0907 ou 1 800 630-0907 (sans frais)
www.anebquebec.com
Le petit guide de prévention des
difficultés alimentaires : Informations
et stratégies pour s’aider soi-même
ou aider un proche.
5.00049 SAE, Communications (mars 2011)
Révisez vos croyances !
• Comme les troubles alimentaires peuvent avoir des conséquences
sérieuses sur la santé physique, il est important de consulter
un médecin afin qu’il procède à un bilan de santé. Il pourra aussi
intervenir si des complications sont observées.
• Les troubles alimentaires ne se résorbent que rarement par eux-mêmes.
L’aide d’un psychologue sera essentielle pour vous aider avec
vos difficultés alimentaires et pour les autres problèmes qui
les accompagnent souvent (ex. : dépression, anxiété, impulsivité,
perfectionnisme, difficultés relationnelles, faible estime de soi, etc.).
• Rencontrer une nutritionniste est également souhaitable. Elle vous
aidera à développer des habitudes alimentaires plus saines et réviser
vos croyances liées à l’alimentation.
Services aux étudiants
Centre de santé et de consultation psychologique
Quand l’APPÉTIT
nE vA PAS…
© Centre de santé et de consultation psychologique, Université de Montréal, 2011.
Briser le cycle de la boulimie et s’exposer
• Les régimes font partie des grands coupables dans le développement
des troubles alimentaires. En effet, la restriction à elle seule est
directement liée au développement et à la récurrence des crises
de boulimie. Mettre fin à la restriction vous permettra de diminuer,
et souvent, d’éliminer vos crises.
• Commencez graduellement à intégrer des aliments et à augmenter
votre apport calorique. Mangez régulièrement en prenant des repas
complets, mais aussi des collations entre ceux-ci.
• Mettez fin à vos comportements compensatoires : ceux-ci vous gardent
dans un mode de restriction alimentaire et renforcent vos peurs.
• Reprendre une alimentation normale implique que vous prendrez
un peu de poids. Dans la boulimie, le poids repris est généralement
reperdu en adoptant une alimentation équilibrée et une fois que
le corps s’est adapté / rétabli.
• Pour les personnes anorexiques, reprendre une alimentation normale
implique la reprise d’un poids santé. Cela est épeurant, mais
nécessaire. Une fois cette étape difficile traversée, un sentiment
de liberté et le plaisir de reprendre ses activités viendront remplacer
la peur et l’anxiété.
COnSulTER un SPÉCIAlISTE
5.00049 SAE, Communications (mars 2011)
STRATÉGIES pour s’AIDER SOI-MÊME
ou AIDER un PROCHE (suite)
Le petit guide de prévention des
difficultés alimentaires : Informations
et stratégies pour s’aider soi-même
ou aider un proche.
les TROuBlES
AlIMEnTAIRES
Les troubles alimentaires sont bien plus qu’un régime ou
une diète dont on aurait perdu le contrôle. Ils sont caractérisés
par des perturbations importantes du comportement
alimentaire (ex. : refus de s'alimenter, vomissements provoqués)
et par la présence de préoccupations excessives pour
l’alimentation, le poids et l’image corporelle. Ces difficultés
peuvent avoir des conséquences graves tant au niveau social,
psychologique que physique et doivent être prises au sérieux.
Au Québec, environ 3 % des femmes âgées de 13 à 30 ans,
soit environ 30 000 personnes, souffriront d’un trouble
alimentaire. On triple toutefois ce chiffre en incluant
les femmes présentant des troubles alimentaires partiels.
Bien que davantage présents chez les femmes, des hommes
souffrent également de troubles alimentaires.
On distingue deux grands types de troubles alimentaires,
bien qu’une personne puisse montrer des signes de plus
d’un trouble.
L’ANOREXIE
L’anorexie se caractérise essentiellement par le refus
de maintenir un poids corporel minimum normal, par une peur
intense de prendre du poids ou de devenir gros et par
la présence d’aménorrhée (absence d’au moins trois cycles
menstruels consécutifs). Elle peut être « restrictive » ou « avec
crises de boulimie ». Les personnes anorexiques présentent
également une perception altérée de leur poids ou de la forme
de leur corps (elles se voient plus grosses qu’elles ne le sont
en réalité) et cette perception a une influence excessive
sur l’estime de soi. Il y a souvent un déni de la maigreur.
LA BOULIMIE
La boulimie est caractérisée par la survenue récurrente
d’épisodes de boulimie (au moins deux par semaine)
suivis de comportements compensatoires purgatifs
(ex. : vomissements, laxatifs, diurétiques, lavements) ou
non-purgatifs (ex. : exercices, jeûnes). Les femmes boulimiques
ont habituellement un poids normal ou légèrement supérieur
à la normale. Tout comme pour les personnes anorexiques,
la perception du poids ou de la silhouette a une influence
excessive sur l’estime de soi.
les TROuBlES
AlIMEnTAIRES
Les troubles alimentaires sont bien plus qu’un régime ou
une diète dont on aurait perdu le contrôle. Ils sont caractérisés
par des perturbations importantes du comportement
alimentaire (ex. : refus de s'alimenter, vomissements provoqués)
et par la présence de préoccupations excessives pour
l’alimentation, le poids et l’image corporelle. Ces difficultés
peuvent avoir des conséquences graves tant au niveau social,
psychologique que physique et doivent être prises au sérieux.
Au Québec, environ 3 % des femmes âgées de 13 à 30 ans,
soit environ 30 000 personnes, souffriront d’un trouble
alimentaire. On triple toutefois ce chiffre en incluant
les femmes présentant des troubles alimentaires partiels.
Bien que davantage présents chez les femmes, des hommes
souffrent également de troubles alimentaires.
On distingue deux grands types de troubles alimentaires,
bien qu’une personne puisse montrer des signes de plus
d’un trouble.
L’ANOREXIE
L’anorexie se caractérise essentiellement par le refus
de maintenir un poids corporel minimum normal, par une peur
intense de prendre du poids ou de devenir gros et par
la présence d’aménorrhée (absence d’au moins trois cycles
menstruels consécutifs). Elle peut être « restrictive » ou « avec
crises de boulimie ». Les personnes anorexiques présentent
également une perception altérée de leur poids ou de la forme
de leur corps (elles se voient plus grosses qu’elles ne le sont
en réalité) et cette perception a une influence excessive
sur l’estime de soi. Il y a souvent un déni de la maigreur.
LA BOULIMIE
La boulimie est caractérisée par la survenue récurrente
d’épisodes de boulimie (au moins deux par semaine)
suivis de comportements compensatoires purgatifs
(ex. : vomissements, laxatifs, diurétiques, lavements) ou
non-purgatifs (ex. : exercices, jeûnes). Les femmes boulimiques
ont habituellement un poids normal ou légèrement supérieur
à la normale. Tout comme pour les personnes anorexiques,
la perception du poids ou de la silhouette a une influence
excessive sur l’estime de soi.
UNE CRISE DE BOULIMIE
Une crise de boulimie se caractérise par l’absorption, en
une période de temps limitée (en moins de deux heures),
d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que
la plupart des gens absorberaient dans des circonstances
similaires et doit être accompagnée d’un sentiment de perte
de contrôle (état de frénésie, de dissociation ou baisse
de la capacité de contrôle).
LES NOUVEAUX TROUBLES ALIMENTAIRES…
L’hyperphagie. Les personnes hyperphagiques présentent
les mêmes symptômes que celles boulimiques, mais elles ne
recourent pas aux comportements compensatoires à la suite
de crises de boulimie. On note que les crises de boulimie sont
accompagnées de plusieurs de ces manifestations : manger plus
rapidement que normal, manger jusqu’à se sentir inconfortable,
manger une grande quantité de nourriture sans avoir faim
(physiquement), manger seul par embarras de la quantité
de nourriture ingérée, se sentir dégoûté de soi, déprimé
ou très coupable après avoir trop mangé. Une détresse
importante accompagne les crises. C’est le trouble affectant
le plus les hommes (deux hommes pour trois femmes).
L’orthorexie. Une nouvelle obsession nutritionnelle s’est
développée parallèlement à la conscientisation face à
l’alimentation. On appelle l’orthorexie la fixation sur l’ingestion
d’une nourriture saine. On ne parle pas ici d’une préoccupation
saine face au fait de manger de bons aliments, mais bien
de préoccupations excessives face la qualité nutritionnelle des
aliments. L’orthorexique passe beaucoup de temps à penser à
son alimentation : elle planifie ses repas plusieurs jours à l’avance,
accorde plus d’importance à la valeur nutritionnelle d’un repas
qu’au plaisir de le manger, diminue sa qualité de vie alors que
la qualité de sa nourriture est améliorée, renonce à des aliments
qu’elle aimait au profit d’aliments « sains », réduit ses sorties
et s’éloigne de son réseau pour des raisons liées à son
alimentation, éprouve une forte culpabilité lorsqu’elle ne suit
pas ses règles alimentaires.
UNE CRISE DE BOULIMIE
Une crise de boulimie se caractérise par l’absorption, en
une période de temps limitée (en moins de deux heures),
d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que
la plupart des gens absorberaient dans des circonstances
similaires et doit être accompagnée d’un sentiment de perte
de contrôle (état de frénésie, de dissociation ou baisse
de la capacité de contrôle).
LES NOUVEAUX TROUBLES ALIMENTAIRES…
L’hyperphagie. Les personnes hyperphagiques présentent
les mêmes symptômes que celles boulimiques, mais elles ne
recourent pas aux comportements compensatoires à la suite
de crises de boulimie. On note que les crises de boulimie sont
accompagnées de plusieurs de ces manifestations : manger plus
rapidement que normal, manger jusqu’à se sentir inconfortable,
manger une grande quantité de nourriture sans avoir faim
(physiquement), manger seul par embarras de la quantité
de nourriture ingérée, se sentir dégoûté de soi, déprimé
ou très coupable après avoir trop mangé. Une détresse
importante accompagne les crises. C’est le trouble affectant
le plus les hommes (deux hommes pour trois femmes).
L’orthorexie. Une nouvelle obsession nutritionnelle s’est
développée parallèlement à la conscientisation face à
l’alimentation. On appelle l’orthorexie la fixation sur l’ingestion
d’une nourriture saine. On ne parle pas ici d’une préoccupation
saine face au fait de manger de bons aliments, mais bien
de préoccupations excessives face la qualité nutritionnelle des
aliments. L’orthorexique passe beaucoup de temps à penser à
son alimentation : elle planifie ses repas plusieurs jours à l’avance,
accorde plus d’importance à la valeur nutritionnelle d’un repas
qu’au plaisir de le manger, diminue sa qualité de vie alors que
la qualité de sa nourriture est améliorée, renonce à des aliments
qu’elle aimait au profit d’aliments « sains », réduit ses sorties
et s’éloigne de son réseau pour des raisons liées à son
alimentation, éprouve une forte culpabilité lorsqu’elle ne suit
pas ses règles alimentaires.
STRATÉGIES pour s’AIDER
SOI-MÊME ou AIDER un PROCHE
D’abord être attentif aux signes suivants.
La personne :
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Saute des repas et utilise des excuses pour ne pas manger.
Prend de très petites portions.
Évite de manger avec les autres ou mange en secret.
A des règles très strictes face à son alimentation.
Aime acheter de la nourriture ou cuisiner, mais ne mange pas
ce qu’elle prépare.
Choisit des aliments faibles en gras, en sucre, en calories.
Lit toujours les étiquettes nutritionnelles.
Catégorise les aliments en « bons versus mauvais ».
A des pensées irrationnelles au sujet de l’alimentation et du poids
(ex. : « si je mange après 22 h, je prendrai le double du poids »).
Désire manger moins et être plus mince que les autres (compétitivité).
Achète de grande quantité de certains aliments, souvent
de nourriture sucrée ou grasse.
A des crises de boulimie.
A une perte de poids importante.
Est préoccupée par des pensées liées à la nourriture et au poids
au point où il est difficile de se concentrer sur autre chose.
Nie sa faim, même lorsqu’elle n’a pas mangé depuis longtemps.
Va à la toilette après avoir mangé et des signes de vomissement
sont observables (toilette souillée, odeur, utilisation du séchoir ou
de l’eau pour couvrir les bruits, utilisation excessive du rince-bouche).
Achète des laxatifs, des pilules diètes, des diurétiques ou des produits
« naturels » pour perdre / contrôler le poids.
Montre des signes physiques de vomissement tels que des blessures
sur le dos des mains, le gonflement des joues et de la mâchoire et
la décoloration des dents.
A une peur extrême de prendre du poids ou de devenir obèse.
Continue à s’entraîner malgré une mauvaise température,
une blessure, la fatigue ou une maladie.
STRATÉGIES pour s’AIDER
SOI-MÊME ou AIDER un PROCHE
D’abord être attentif aux signes suivants.
La personne :
•
•
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•
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•
Saute des repas et utilise des excuses pour ne pas manger.
Prend de très petites portions.
Évite de manger avec les autres ou mange en secret.
A des règles très strictes face à son alimentation.
Aime acheter de la nourriture ou cuisiner, mais ne mange pas
ce qu’elle prépare.
Choisit des aliments faibles en gras, en sucre, en calories.
Lit toujours les étiquettes nutritionnelles.
Catégorise les aliments en « bons versus mauvais ».
A des pensées irrationnelles au sujet de l’alimentation et du poids
(ex. : « si je mange après 22 h, je prendrai le double du poids »).
Désire manger moins et être plus mince que les autres (compétitivité).
Achète de grande quantité de certains aliments, souvent
de nourriture sucrée ou grasse.
A des crises de boulimie.
A une perte de poids importante.
Est préoccupée par des pensées liées à la nourriture et au poids
au point où il est difficile de se concentrer sur autre chose.
Nie sa faim, même lorsqu’elle n’a pas mangé depuis longtemps.
Va à la toilette après avoir mangé et des signes de vomissement
sont observables (toilette souillée, odeur, utilisation du séchoir ou
de l’eau pour couvrir les bruits, utilisation excessive du rince-bouche).
Achète des laxatifs, des pilules diètes, des diurétiques ou des produits
« naturels » pour perdre / contrôler le poids.
Montre des signes physiques de vomissement tels que des blessures
sur le dos des mains, le gonflement des joues et de la mâchoire et
la décoloration des dents.
A une peur extrême de prendre du poids ou de devenir obèse.
Continue à s’entraîner malgré une mauvaise température,
une blessure, la fatigue ou une maladie.
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