Formateur François PAYEMENT Architecture des ordinateurs CATIC - 2010 Formateur CATIC 1 Objectifs du cours Comprendre la structure matérielle d’un ordinateur Savoir choisir un ordinateur en fonction d’un besoin 2 Plan Historique Représentation de l'information Conversions Codage d'une image Architecture de l'ordinateur La carte mère Le socket Le processeur Le chipset L'horloge et la pile du CMOS Les connecteurs de mémoire vive La mémoire vive Les connecteurs d'extension Les connecteurs des périphériques de stockage Les connecteurs d'entrée / sortie Ne pas oublier! Surprise... 3 Introduction Il aura fallu plusieurs millénaires avant de trouver un moyen pour transférer une grande variété d'informations du monde réel, en des zéros et des uns formant le code binaire, si naturellement compatible avec les composants électroniques. Aucune autre machine au cours de l'histoire n'a si rapidement et si complètement transformé le monde. De Galilée à l'ère informatique, la route fut longue et tortueuse. C'est pratiquement en fin de parcours que les scientifiques perçoivent à l'horizon un monde fabuleux. L'ordinateur est maintenant utilisé dans à peu près tous les domaines... Nous verrons dans une première partie quelques grandes dates de son histoire suivi par l'immersion dans le monde de l'information (représentation, codage et traitement). Dans la seconde partie, nous entrerons dans le vif du sujet avec l'architecture de l'ordinateur centré sur la carte mère et de ses composants. Attachez vos ceintures... c'est parti... 4 Historique 1ière génération 1642 1854 Algèbre de Boole 1904 1938 1943 Thèse de Shannon BInary digiT {BIT} 2ième génération 1946 1947 Traiter les additions et soustractions Tube à vide 1960 1971 1976 1981 Invention du Transistor John Fleming invente Pascaline 1958 3ième génération ASCC Mark I Création de l'ENIAC En 1970, Intel créee la 1ere Circuit puce mémoire IBM PC Intégré *** Par Intel 4004 Apple I par Texas Instruments Steve Wozniak IBM 7000 5 Représentation de l'information – Base 10 – Décimal • 10 symboles [ 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 ] – Base 2 – Binaire • 2 symboles [ 0 1 ] – Base 16 – Hexadécimal • 16 symboles [ 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 A B C D E F ] 6 Conversion : Binaire → Décimal On additionne les poids associés à chaque symbole. Un octet est composé de 8 BITS et un BIT peut prendre la valeur 0 ou 1 Exemple : 16 8 4 2 1 2^4 2^3 2^2 2^1 2^0 2 2 2 2 2 4 3 2 1 0 ( 0 1 1 0 1 )2 = 1+ 4 + 8 = (13)10 Lorsque nous avons fait le calcul des exposants, il ne nous reste plus qu'à additionner les chiffres correspondants à la valeur 1 pour obtenir le décimal. Exercice : réaliser la conversion du binaire (11100)2 en décimal Résultat : 16 8 4 2 1 2 2 2 2 2 4 3 2 1 0 (1 1 1 0 0 )2 2^4 2^3 2^2 2^1 2^0 = 4+8+16 = (28)10 7 Conversion Décimal → Binaire On effectue des divisions successives par 2 Exemple : (55)10 55 2 1 27 2 (55)10 = (110111)2 1 13 2 1 6 2 0 3 2 1 1 8 Codage des caractères Pour permettre l'échange d'informations notamment entre une personne et un ordinateur on utilise une convention appelée ascii (on dit aski) (american standard code for information interchange). Caractères spéciaux Chiffres Lettres 9 Mot binaire et Notations Une quantité déterminée de bits manipulés à la fois par l'ordinateur est appelée un mot binaire. À l'instar de la langue française, dans l'ordinateur on retrouve des mots de différentes tailles notamment 8, 16, 24, 32, 48, 64 et 128 bits. Un groupe de 8 bits est appelé octet (byte). Généralement l'octet est la base pour représenter un caractère à l'intérieur de la machine. •1 octet (+- byte) = 8 bits •1 kilo = 210 = 1024 octets •1 Méga = 220 = 1 048 476 octets = 1024 ko 10 Exemple : Codage d’une image Image matricielle = matrice de points élémentaires = PIcture ELement = pixel → Chaque pixel est codé en binaire sur un certain nombre de bits 11 Image → noir et blanc Chaque pixel est codé sur 1 bit : •0 = blanc •1 = noir 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 1 1 1 0 1 1 1 1 1 1 0 1 0 0 1 0 36 bits 303 pixels 0 303 pixels 303 x 303 x 1 bit = 91809 bits → Chaque pixel est codé en binaire sur un certain nombre de bits 12 Image → niveaux de gris •Chaque pixel est codé sur plusieurs bits. • •Si on encode sur 8 bits = 1 pixel = 1 octet. 303 x 303 x 1 octet = 91809 octets = 734 472 bits 303 pixels 303 pixels 13 Image → couleur 24-bit •Code RVB : Rouge – Vert – Bleu. • •Chaque couleur est codée sur 8 bits. • •La couleur du pixel est l'association des trois primaires. • •Chaque pixel est codé sur 24-bit (true color – 24 bits par couleur). 303 x 303 x 3 octets = 275 424 octets = 2 203 392 bits 303 pixels 303 pixels 14 Traitement de l'information • •Le traitement se réalise sur une base : • • Arithmétique qui se présente sous forme : +Addition -Soustraction *Multiplication %Division Logique : Combinatoire Séquentielle • 15 Architecture de l'ordinateur L'ordinateur correspond à un assemblage de composants (circuits électroniques) permettant de manipuler des données sous forme binaire (bits). Le mot « ordinateur » provient de la société IBM France. On parle de « hardware » pour désigner l'ensemble des éléments matériels de l'ordinateur et de « software » pour désigner la partie logicielle. Les performances de la machine sont liées à l'ensemble des composants, de leur compatibilité et de leur niveau d'aptitude à fonctionner correctement ensemble. C'est pourquoi il est préférable d'avoir un ensemble ayant une bonne compatibilité à tous les niveaux plutôt qu'une machine avec le dernier processeur et le reste de ses composants de mauvaise qualité! Les composants matériels de l'ordinateur sont architecturés autour d'une carte principale comportant quelques circuits intégrés et beaucoup de composants électroniques tels que condensateurs, résistances, etc. Tous ces composants sont soudés sur la carte et sont reliés par les connexions du circuit imprimé et par un grand nombre de connecteurs : Cette carte est appelée CARTE MERE 16 La carte mère La carte mère (en anglais « mainboard » ou « motherboard ») est le composant de l'ordinateur qui dirige et organise le fonctionnement de tous les autres composants. Elle est en quelque sorte la « colonne vertébrale » de votre PC. La carte mère gère l'ensemble du matériel connecté à l'ordinateur afin que le processus d'analyse et de réponse puisse fonctionner correctement et soit organisé. De forme rectangulaire, la carte mère est un ensemble de circuits imprimés, de connecteurs, de piles, de jumpers, etc ... implanté sur une carte en plastique ou en fibre de verre. Il existe différents formats, mais le plus courant est le format ATX, c'est celui que l'on trouve dans la plupart des ordinateurs actuels. ATX est un format physique de carte mère, mesurant au maximum 30 cm sur 25 cm. Ce format dépendra de celui du boîtier dans lequel sera installée la carte mère, ainsi que de l'alimentation électrique. 17 La carte mère de PC - 1983 Cette carte de PC comporte un processeur Intel 8086. A part quelques rares composants 18 spécifiques elle utilise des circuits intégrés classiques (portes logiques (série 74LSxx)). La fréquence de base du bus est de 4,77Mhz La carte mère de PC - 1998 Cette carte mère pour Pentium II utilise un bus de données allant jusqu'à 100Mhz.19Son format et l'emplacement des connecteurs sont normalisé (format ATX). La carte mère de PC - 2008 20 21 Socket ou slot du processeur La carte mère possède un emplacement (parfois plusieurs dans le cas de cartes mères multiprocesseurs) pour accueillir le processeur, appelé support de processeur. On distingue deux catégories de supports : • Slot (en français fente) : il s'agit d'un connecteur rectangulaire dans lequel on enfiche le processeur verticalement. • Socket (en français embase) : il s'agit d'un connecteur carré possédant un grand nombre de petits connecteurs sur lequel le processeur vient directement s'enficher. 22 Le processeur Le processeur (aussi appelé microprocesseur, CPU, pour Central Processing Unit) est le cerveau de l'ordinateur. Il exécute les programmes grâce à un jeu d'instructions. Le processeur est caractérisé par sa fréquence, c'est-à-dire la cadence à laquelle il exécute celles-ci. Ainsi, un processeur cadencé à 800 MHz effectuera grossièrement 800 millions d'opérations par seconde. Une carte mère peut accueillir plusieurs processeurs selon l'utilisation que l'on veut en faire. Pour une utilisation personnelle, le nombre de processeur est généralement d'un seul, mais pour un usage professionnel, certaines cartes mères de serveur peuvent contenir plusieurs processeurs ; plus le nombre de processeurs est important, plus le nombre d'informations et la rapidité de traitement de ces informations seront importants. Attention à ne pas confondre le nombre de processeurs avec la technologie Double Coeur (processeur équipé de deux coeurs qui travaillent en parallèle). La différence majeure entre les processeurs à double cœur et les ordinateurs utilisant plusieurs processeurs est qu'un processeur double cœur n'est en fait qu'un seul processeur, qui lui, finalement, contient deux cœurs avec un système de mise en commun, alors qu'un ordinateur biprocesseurs a deux processeurs distincts. 23 Le processeur (suite) La fréquence : elle se mesure en Mégahertz (MHz) et en Gigahertz (GHz). Cette fréquence correspond au nombre de calculs que peut effectuer votre processeur en une seconde (ainsi, un processeur à 3Ghz fera 3 milliards de calculs en une seconde). Cependant, les architectures des processeurs étant différentes, la performance ne dépend donc pas toujours de cette fréquence. La mémoire cache (également appelée antémémoire ou mémoire tampon) est une mémoire rapide permettant de réduire les délais d'attente des informations stockées en mémoire vive. Les ordinateurs récents possèdent plusieurs niveaux de mémoire cache (L1 / L2 / L3). Dans la mesure où le processeur rayonne thermiquement, il est nécessaire d'en dissiper la chaleur pour éviter que ses circuits ne fondent. C'est la raison pour laquelle il est généralement surmonté d'un dissipateur thermique (appelé parfois refroidisseur ou radiateur). Le terme « ventirad » est ainsi parfois utilisé pour désigner l'ensemble Ventilateur + Radiateur. Pour éviter les bruits liés au ventilateur et améliorer la dissipation de chaleur, il est également possible d’utiliser un système de refroidissement à eau (dit watercooling). 24 Le chipset C'est un composant intégré à la carte mère, son rôle est de coordonner les échanges de données entre les divers composants ressources du PC (interface de bus du processeur, mémoire cache et mémoire vive, slots d'extension,...). Dans la mesure où le chipset est intégré à la carte mère, il est important de choisir une carte mère intégrant un chipset récent afin de maximiser les possibilités d'évolutivité de l'ordinateur. Certains chipsets intègrent une puce graphique ou une puce audio, ce qui signifie qu'il n'est pas nécessaire de les installer. Il est parfois conseillé de les désactiver (lorsque cela est possible) dans le setup du BIOS et d'installer des cartes d'extension de qualité dans les emplacements prévus à cet effet. 25 L'horloge et la pile du CMOS Lorsque l'ordinateur est mis hors tension, l'alimentation cesse de fournir du courant à la carte mère. Or, lorsque l'ordinateur est rebranché, le système est toujours à l'heure. Un circuit électronique, appelé CMOS (Complementary Metal-Oxyde Semiconductor, parfois appelé BIOS CMOS), conserve en effet certaines informations sur le système, tels que l'heure, la date système et quelques paramètres essentiels de celui-ci. Le CMOS est continuellement alimenté par une pile (au format pile bouton) ou une batterie située sur la carte mère. Ainsi, les informations sur le matériel installé dans l'ordinateur (exemple le nombre de pistes, de secteurs de chaque disque dur) sont conservées dans le CMOS. Note sur le BIOS : Le BIOS (Basic Input/Output System) est le programme basique servant d'interface entre le système d'exploitation et la carte mère. Le BIOS est stocké dans une ROM (mémoire morte, c'est-à-dire une mémoire en lecture seule), ainsi il utilise les données contenues dans le CMOS pour connaître la configuration matérielle du système. 26 Les connecteurs (slots) de mémoire vive Ils accueillent les barrettes de mémoire vive ou RAM (Random Access Mémory). En général, il y a au minimum deux slots mémoires et quatre au maximum sur une carte mère standard. 27 La mémoire vive La mémoire vive ou RAM (Random Acces Memory) est essentielle au bon fonctionnement de l'ordinateur car elle permet de stocker des informations pendant tout le temps de fonctionnement de la machine. Son contenu est par contre détruit dès lors que l'ordinateur est éteint ou redémarré, contrairement à une mémoire de masse tel que le disque dur, capable de garder les informations même lorsqu'il est hors tension. C'est une Mémoire qui peut être lue et écrite. Elle doit rester sous tension pour conserver les informations à la différences des mémoires de type ROM (Read Only Memory - mémoire n'autorisant que la lecture). Attention, les barrettes de RAM ne sont pas la seule source de mémoire vive dans un ordinateur ; certains éléments matériels peuvent aussi en contenir pour ne pas utiliser celle qui se trouve sur les barrettes. La barrette se caractérise par son format, le nombre de broches, sa fréquence, son débit et sa capacité de stockage. 28 La mémoire vive Suite et fin Choisir de l'ECC ou de la NON-ECC ? Les barrettes de mémoire ECC (Error Correction Coding) sont des mémoires qui possèdent plusieurs bits dédiés à la correction d'erreur (on les appelle ainsi bits de contrôle). Ces barrettes, utilisées principalement dans les serveurs, permettent de détecter les erreurs et de les corriger. Single, Dual ou Triple Channel ? Certains contrôleurs mémoire proposent un double canal (en anglais Dual Channel) pour la mémoire. Il s'agit d'exploiter les modules de mémoire par paire afin de cumuler la bande passante et ainsi exploiter au maximum les capacités du système. Il est essentiel, lors de l'utilisation du Dual Channel, d'utiliser des barrettes identiques par paire (fréquence, capacité et préférentiellement de même marque). 29 Les formats des barrettes mémoire Le DIMM (pour Dual Inline Memory Module) est un format de barrette mémoire vive qui fut utilisé sur les ordinateurs à la suite du format SIMM. Ce format est exploité par les mémoires SDRAM et DDR SDRAM. La spécificité d'un format DIMM (Dual Double) réside dans la disposition des contacts électriques de la carte électronique que constitue la barrette mémoire. Il existe une version SO-DIMM (SO pour Smal Outline) destinée aux portables. Dans les modules SIMM (Single Simple), les contacts sont électriquement les mêmes sur les 2 faces de la carte de la barrette, alors que dans un module DIMM ceux-ci sont électriquement séparés sur chacune des 2 faces. Le format DIMM par rapport au format SIMM permet donc de multiplier par 2 le nombre de contacts, pour un même connecteur. RIMM pour Rambus Inline Memory Module, aussi appelé RD-RAM ou DRD-RAM, développé par la société Rambus, elle possède 184 broches. Il existe une version SORIMM (SO pour Smal Outline) destinée aux portables. 30 Les types des barrettes mémoire (partie 1) DRAM (Dynamic RAM) : c'est un type de mémoire dynamique, différent de la RAM statique. Elle est mobile, c'est-à-dire qu'on peut la remplacer. C'est un modèle mémoire qui est très répandu depuis les années 1980. Il s'agit d'une mémoire dont les transistors sont rangés dans une matrice selon des lignes et des colonnes. Un transistor, couplé à un condensateur donne l'état du bit correspondant (0 ou 1). * Fast Page Mode (DRAM FPM - 1987) Elle avait un temps d'accès compris entre 60 et 90ns (relativement lent), elle fut le standard jusqu'à l'apparition des cartes mères Pentium qui exigent des performances accrues et un système 32 bits. * DRAM EDO (DRAM Extended Data Out) C'est une variante de la mémoire DRAM. Elle est apparue en 1995. On adresse la colonne suivante pendant la lecture des données, ce qui permet de gagner du temps sur un cycle. Le temps d'accès à la mémoire EDO est donc de 50 à 60 ns pour une fréquence de fonctionnement allant de 33 à 66 MHz. 31 Les types des barrettes mémoire (partie 2) * SDRAM (Synchronous Dynamic Random Access Memory) : c'est une variante de DRAM et elle est apparue en 1997. Elle permet une lecture des données synchronisée avec le bus de la carte mère, contrairement aux mémoires EDO et FPM qui pouvaient être asynchrones (ne travaillant pas à la même vitesse). La SDRAM permet donc de supprimer les temps d'attente dûs à la synchronisation avec la carte mère, et permet d'avoir des temps d'accès de 10 ns. Elle existe en différentes versions : PC66 (prévue pour fonctionner à 66 MHz maximum), PC100 (fonctionne à 100 MHz) et PC133 (fonctionne à 133 MHz). Elle possède 168 broches et un second détrompeur (à la différence de la SDRAM-DDR), pour une dimension de 133x25 mm. 32 Les types des barrettes mémoire (partie 3) *DR-SDRAM (Direct Rambus SDRAM ou RDRAM) : c'est une mémoire 64 bits développée par la société américaine Rambus en 1999 et première mémoire de type DDR. Elle permet de transférer les données à 1.6 Go par seconde par l'intermédiaire d'un bus de 16 bits de largeur avec une fréquence de 800 MHz. Elles équipaient pendant un moment les Pentium 4 de première génération et 500 millions de barrettes sont encore en fonctionnement en 2008. Elles sont ni au format SIMM ni au format DIMM, mais au format RIMM (Rambus Inline Memory Module). Elles possèdent 184 broches, ces barrettes ont deux encoches de repérage (détrompeurs). Compte tenu de leur vitesse de transfert élevée, les barrettes RIMM possèdent un film thermique, chargé d'améliorer la dissipation de la chaleur ou un radiateur aluminium. 33 Les types des barrettes mémoire (partie 4) * SDRAM-DDR (SDRAM Double Data Rate) C'est une variante de SDRAM. Elle prend en compte les flux montants et descendants du bus système, cela permet de doubler le taux de transfert. Elle permet de doubler la vitesse de la mémoire sans pour autant augmenter la fréquence de l'horloge. Sa fréquence varie entre 200 et 600 MHz, pour un débit allant de 1,5 à 4,5 Go/s. * SDRAM-DDR2 (SDRAM Double Data Rate 2) C'est une variante de SDRAM. La mémoire DDR2 permet d'atteindre des débits deux fois plus élevés que la DDR à fréquence externe égale. On parle de QDR (Quadruple Data Rate) pour désigner la méthode de lecture et d'écriture utilisée. La mémoire DDR2 utilise deux canaux séparés pour la lecture et pour l'écriture, elle est donc capable d'envoyer/recevoir deux fois plus de données que la DDR. Sa fréquence varie entre 400 et 1200 MHz, pour un débit allant de 3,2 à 9,6 Go/s. 34 Les types des barrettes mémoire (partie 5) * SDRAM-DDR3 (SDRAM Double Data Rate 3) : Troisième génération de mémoire DDR, elle est apparue en 2007 et mise sur le marché par Intel. Sur la mémoire DDR3, la fréquence du bus est quadruplée ce qui a comme conséquence, qu'une mémoire avec une fréquence d'horloge de 200 MHz pourra transférer 1600 millions de bits par seconde. Cette génération de mémoire rajoute aussi un voltage moins élevé tout en augmentant la bande passante à fréquence mémoire égale. Sa fréquence varie entre 400 et 1800 MHz, pour un débit allant de 6,4 à +15 Go/s. La SDRAM-DDR4 qui a été présentée en 2008 et qui ne faut pas confondre avec le GDDR4 devrait arriver sur le marché d'ici 2010 ! Et que dit la XDR-DRAM (eXtreme Data Rate-Dynamic Ramdom Acces Memory)? 35 Les connecteurs d'extension (partie 1) Les connecteurs d'extension (en anglais slots) sont des réceptacles dans lesquels il est possible d'insérer des cartes d'extension, c'est-à-dire des cartes offrant de nouvelles fonctionnalités ou de meilleures performances à l'ordinateur. Ces éléments peuvent communiquer entre eux grâce au maître d'œuvre qui se nomme : « Bus de contrôle ». Celui-ci transmet un certain nombre de signaux de synchronisation qui assurent au micro-processeur et aux différents périphériques en ligne un fonctionnement harmonieux. Il existe plusieurs sortes de connecteurs : Connecteur ISA (Industry Standard Architecture) : Au cours des années 80, le port ISA a été le connecteur standard de l'industrie informatique. Fin 1999, seuls quelques modems, des cartes de port parallèle ou série, … utilisent encore ce type de connecteur. Il est remplacé par le bus PCI plus rapide. Connecteur EISA (Extended Industry Standard Architecture) est présenté comme une suite au bus ISA. Connecteur VLB (Vesa Local Bus) : est une évolution de l'ISA. 36 Les connecteurs d'extension (partie 2) Connecteur PCI (Peripheral Component InterConnect) : permet de connecter des cartes PCI, beaucoup plus rapides que les cartes ISA et fonctionnant en 32-bit. Connecteur AGP (Accelerated Graphic Port) : Le bus PCI est vite devenu trop lent pour les cartes écrans ce qui a conduit Intel à développer un bus spécifique, l'AGP. 4 modes de fonctionnement (1X 2X 4X et 8X) permettent d'atteindre en 8X une fréquence à 266 Mhz. Seule réelle avancée, le transfert atteint en théorie jusqu'à 2,13 GB/s. Par comparaison, le bus ISA ne fait que 16 MB/s et le bus PCI 132 MB/s. 37 Les connecteurs d'extension (partie 3) Connecteur PCI Express (Peripheral Component InterConnect Exress) Architecture de bus plus rapide que les bus AGP et PCI. Son avantage est d’être dérivé de la norme PCI, ce qui permet aux différents constructeurs d’adapter très simplement leurs cartes d’extension existantes, puisque seule la couche matérielle est à modifier. D’autre part, il est suffisamment rapide pour pouvoir remplacer non seulement le PCI classique mais aussi l’AGP, un port rapide pour cartes graphiques. On parle de ports PCIe x1, x2, x4, x8, x16 et x32 pour différencier les ports en fonction du nombre de connecteurs de ligne dont ils disposent (respectivement 1, 2, 4, 8, 16 ou 32 lignes maximum). C'est en 2007 que le PCI express 2.0 apparait en permettant le doublement du débit de données bi-directionnel soit 500Mo/s. Port PCI Express (de haut en bas : ×4, ×16, ×1 et ×16), comparé au traditionnel Port PCI 32-bit (en bas) 38 Les connecteurs d'extension (partie 4) Les Connecteurs AMR, CNR ET ACR 1. Le connecteur AMR (Audio Modem Riser) : ce type de connecteur Intel permet de brancher des mini-cartes modem ou son sur les PC. 2. Le connecteur ACR (Advanced Communications Riser) : Ce connecteur fût crée au début l'année 2000 en tant que nouveau standard de communication. 3. Le connecteur CNR (Communication and Network Riser) : Évolution du connecteur AMR pour petites cartes modem, son et réseau. le PCMCIA (Personal Computer Memory Card International Assosciation) est utilisé dans les ordinateurs portables. Remarquez que quelques cartes pour PC bureautiques permettent d'insérer de telles cartes dans le PC. Ceci est utilisé notamment pour des "cartes de crédit" de reconnaissance personnelles anti-piratage. 39 Les connecteurs des périphériques de stockage (partie 1) * L'interface ATA Le standard ATA (Advanced Technology Attachment) est une interface standard permettant la connexion de périphériques de stockage sur les ordinateurs de type PC. Le standard ATA a été mis au point le 12 mai 1994 par l'ANSI (document X3.221-1994). Malgré l'appellation officielle "ATA", ce standard est plus connu sous le terme commercial IDE (Integrated Drive Electronics) ou Enhanced IDE (EIDE ou E-IDE). Le standard ATA est normallement prévu pour connecter des disques durs, toutefois une extension nommée ATAPI (ATA Packet Interface) a été développée afin de pouvoir interfacer d'autres périphériques de stockage (lecteurs de CD-ROM, lecteurs de DVDROM, etc) sur une ATA. l'Ultra DMA (parfois noté UDMA) a été pensé dans le but d'optimiser au maximum l'interface ATA. Les derniers disques durs utilisent la version ATA7 (ultra DMA 6, ultra DMA 133 (133 Mo/s). Il est plus petit que ceux de gauche! Mais que peut-il accueillir ? 40 Les connecteurs des périphériques de stockage (partie 2) * L'interface SATA Le standard Serial ATA (S-ATA ou SATA) est un bus standard permettant la connexion de périphériques de stockage haut débit sur les ordinateurs de type PC. Il est apparu en février 2003 afin de pallier aux limitations de la norme ATA (plus connue sous le nom "IDE" et rétro-activement appelée Parallel ATA). Les câbles et périphériques à la norme S-ATA peuvent notamment être reconnus par la présence du logo SATA. D'autre part, la norme Serial ATA permet le raccordement à chaud des périphériques (Hot Plug). L'organisme Serial ATA International Organization (SATA IO) a donné les spécifications techniques du dernier né SATA : le SATA 6Gb/s en mai 2009. Chaque révision de la norme SATA a fait doubler le débit maximal théorique : * SATA-1 = 1,5Gb/s (env. 150Mo/s) * SATA-2 = 3 Gb/s (env. 300Mo/s) * SATA 6Gb/s (terme choisi à la place de SATA-3) = 6Gb/s (env. 600Mo/s) 41 Les connecteurs des périphériques de stockage (partie 2) * La norme eSATA Elle est similaire à la norme SATA, à la différence près qu’elle est destinée à la connexion de disques externes (vous trouverez sur les cartes mères récentes un port eSATA à l’arrière de celles-ci). Il est donc possible de trouver des boîtiers externes eSATA offrant des débits similaires à ceux des disques durs internes (beaucoup plus performants donc que les boîtiers USB classiques). 42 Les connecteurs d'entrée / sortie Un ordinateur a besoin d'échanger des informations avec ses périphériques. Le connecteur d'entrée pour bancher le clavier ou le connecteur de sortie pour l'affichage vidéo est indispensable. L'ordinateur communique avec le monde extérieur obligatoirement à travers ses ports d'entrées-sorties. Les ports d'entrée-sortie sont donc des éléments matériels de l'ordinateur, permettant au système de communiquer avec des éléments extérieurs, c'est-à-dire d'échanger des données, d'où l'appellation d'interface d'entrée-sortie (notée parfois interface d'E/S). 43 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 1) * Le port Série Il est généralement utilisé avec une souris ou un modem. Ce port a l'avantage d'être compact et de ne posséder que quelques signaux utiles. Plus difficile à mettre en œuvre que le port parallèle, la prise série se révèle cependant plus puissante et plus universelle. Un port de communication de type série à la norme RS-232 (appelé aussi EIA RS232C) est utilisé pour communiquer avec des périphériques comme la souris, le Modem, etc. Sur les systèmes d'exploitation MS-DOS et Windows, les ports RS-232 sont désignés par les noms COM1, COM2, etc. Ce sont les " ports COM". Il existe deux types de prises séries, la DB9 et la DB25. Ces deux prises sont à pins et sont de forme trapézoïdale. La DB9 possède 9 pins, elle est généralement utilisée pour la connexion d’une souris ou d’un modem. La DB25 possède 25 pins pour l'imprimante. Un PC est généralement vendu avec 2 prises sérielles, le COM1, généralement une DB9 et le COM2 de type DB9 ou DB25. En fait, le PC supporte jusqu’à 4 COM. 44 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 2) * Le port parallèle Le Port parallèle associé à l'interface parallèle Centronics (ou LPT pour Line Printing Terminal) est un connecteur situé à l'arrière des ordinateurs compatibles PC reposant sur la communication parallèle. Ce type de communication est nettement plus rapide que celui d’un port série. Le principal défaut de celui-ci est que de longs câbles ne peuvent être utilisés sans l’adjonction d’un amplificateur de signal en ligne. En effet, la longueur officielle est limitée à trois mètres sans perte de données. La prise standard d’un port parallèle est la DB25 ou la prise trapézoïdale à 25 broches (DB-25) 25 broches Centronics 36 broches 45 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 3) * Le port USB L'Universal Serial Bus U.S.B est un bus informatique plug-and-play à transmission série servant à brancher des périphériques informatiques à l'ordinateur. Co-développé par sept compagnies (Compaq, Digital, IBM, Intel, Microsoft, NEC et Northern Telecom), il est devenu le port universel des ordinateurs. L'USB a été conçu au milieu des années 1990 (1994) afin de remplacer les nombreux ports externes d'ordinateur lents et incompatibles. Les différentes normes existantes sont : - USB 1.0 en fin 1994 - USB 1.1 en 1998 (12 Mbits/s soit 1,5 Mio/s, vitesse maximum théorique, 1 Mo/s réel.) - USB 2.0 en 2000 (480 Mbits/s soit 60 Mio/s, théorique.) 46 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 3 – Suite USB) * Le port USB (suite) - USB 3.0 en 2008 (4,8 Gbits/s soit 615 Mio/s, théorique). - Wireless USB : Le WUSB étend la portée maximale des échanges à 10 mètres contre 5 mètres en USB. (480 Mbit/s (60 Mio/s) à 3 mètres puis 110 Mbit/s (13,75 Mio/s) à 10 mètres. Hot plug : l'usb peut être branché à chaud. Il y a plusieurs types de prises : l'USB type A : le plus courant. L'USB type B : plus petit et souvent présent sur les imprimantes, scanners, etc. Le mini USB (type A) : souvent sur baladeurs et appareils photos. 47 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 4) * Le FIREWIRE (IEEE 1394) Le bus IEEE 1394 (nom de la norme à laquelle il fait référence) a été mis au point à la fin de l’année 1995 afin de fournir un système d’interconnexion permettant de faire circuler des données à haute vitesse en temps réel. La société Apple lui a donné le nom commercial « Firewire », qui est devenu le plus usité. Sony lui a également donné le nom commercial de i.Link, tandis que Texas Instrument lui a préféré le nom de Lynx. Hot plug : le firewire peut être branché à chaud. Deux types de connecteurs : Normal : Mini : 48 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 5) * Le port RJ 45 Le port Ethernet ou Lan (Local Area Network) qui permet le raccordement des ordinateurs à un réseau est reconnaissable par la présence d'un connecteur RJ-45. On utilise le connecteur RJ-45 dans le câblage Ethernet, mais aussi comme connecteurs de téléphones de bureaux et pour les applications de réseaux informatiques comme l'ISDN (RNIS « Réseau Numérique à Intégration de Services ») et les T1 (lignes louées). Un câblage Ethernet 10/100 Mbit/s, utilise quatre broches (soit les 2 paires 1 et 2) d'un connecteur RJ-45. Les broches 1-2 et 3-6 sont seulement utilisées pour transmettre les informations. 49 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 5 - suite RJ45) * Le port RJ 45 (suite) Un câblage Ethernet en 1 Gbit/s (1 000 Mbit/s), utilise les 8 broches du connecteur RJ-45. Suivant les cas on utilise des câbles droits ou des câbles croisés. Note : Vous pouvez encore trouver des ports RJ 11 servant au branchement classique d'un modem téléphonique, fax, xDSL. 50 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 6) * Le port PS/2 Le port PS/2 (personal System/2) ou port Mini-din est un port de connexion de dimensions réduites pour souris ou clavier, apparu avec les ordinateurs IBM PS/2 vers 1987. Un code de couleur permet de différencier les prises : violet pour le clavier et vert pour la souris. Il est fortement déconseillé de brancher ou débrancher à chaud du matériel sur un port PS/2 car cela peut amener à la détérioration de la carte mère. * Le port IRDA Le port Infrarouge irDA (Infrared Data Association) permet à un ordinateur de communiquer avec d'autres dispositifs qui utilisent la technologie infrarouge. Pratiquement tous les portables ont ce type de port qui peut être fort utile pour échanger des données avec un téléphone portable ou PAD etc... Si votre ordinateur ne possède pas de port infrarouge, il est possible d'ajouter sur la carte mère ou sur un port série un port IRDA. 51 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 7) * Les prises audio : (entrée Line-In, sortie Line-Out et microphone), permettant de connecter des enceintes acoustiques ou une chaîne hi fi, ainsi qu'un microphone. Prise d'entrée audio, permet de brancher une source audio sur l'ordinateur. Prise microphone, permet de brancher un micro sur l'ordinateur (fiche de 3,5 mm). Prise de sortie audio, permet de brancher des haut-parleurs, un casque, etc, sur l'ordinateur. Prise de sortie audio S/PDIF, permet de bénéficier du son Dolby Digital 5.1. * Le port jeu ou Joystick Présent sur les cartes sons, ce connecteur pour joystick et manettes de jeu est aujourd'hui abandonné au profit de l'USB. Il pouvait également servir pour certains branchements d'instruments midi (via un adaptateur), d'où sa présence sur la carte son. 52 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 8) * Les principaux connecteurs vidéo - La sortie VGA (Analogique) Les cartes graphiques sont la plupart du temps équipées de connecteurs D-sub de haute densité à 15 broches (connecteur VGA), ou de connecteurs miniatures Mini-VGA . (Mini Sub-D, composé de 3 séries de 5 broches), permettant notamment la connexion d'un écran. Nous pouvons aussi citer en flux analogique : la sortie vidéo composite et S-vidéo (téléviseur et magnétoscope). 53 Les connecteurs d'entrée / sortie (Partie 8 – suite vidéo) * Les principaux connecteurs vidéo (suite) - La sortie DVI (Numérique) Le DVI-D (D pour digital) transmet uniquement un signal numérique (digital est le nom anglais). Il peut être single link ou dual link, selon la quantité de données transmises. Les dual link envoient d'autres signaux RVB en même temps, pour des résolutions plus hautes. En comparaison, le port DVI-A (analogique) parait bien édenté. Il ne transmet qu'un signal analogique, et n'est qu'un port VGA déguisé en DVI, avec le brochage adéquat. - La sortie HDMI (Numérique) Cette interface numérique transmet des signaux audio et vidéo. Elle remplacera les interfaces péritel et s-video et peut servir pour de la haute définition et du son multi canal. 54 Les connecteurs d'entrée / sortie Fin et plus... L'ordinateur est une machine à traiter l'information. Mais, pour que cette machine soit utile, il faut qu'elle soit équipée de dispositifs permettant d'introduire l'information et de la récupérer après traitement. Ces dispositifs s'appellent : périphérique d'entrée et périphérique de sortie. L'information devenant de plus en plus multimédia, et les applications de l'informatique de plus en plus nombreuses, les périphériques d'entrée et de sortie sont de plus en plus variés. L'information en cours de traitement est stockée sur le disque dur de l'ordinateur. Comme ce disque n'est pas à l'abri des pannes, il est fortement conseillé de dupliquer l'information sur un périphérique de sauvegarde. Lorsque le traitement est terminé, il peut être intéressant de garder une trace du résultat sous forme numérique : on utilise pour cela un périphérique d'archivage. La sauvegarde et l'archivage sont effectués sur un périphérique de stockage. 55 Les connecteurs d'entrée / sortie Fin et plus suite... Certaines interfaces sont d'usage courant. Ainsi, tout micro-ordinateur possède au minimum de quoi raccorder un clavier, une souris et une imprimante. Une interface peut aussi être spécifique d'un périphérique particulier : on dit qu'elle est propriétaire ou dédiée. Elle est alors livrée avec le périphérique, sous forme d'une carte à enficher sur un connecteur qui est situé sur la carte-mère de la machine, et qui est directement relié au bus de cette dernière. L'interface SCSI (Small Computer System Interface) a été conçue pour éviter la prolifération des interfaces propriétaires. C'est une interface normalisée, permettant de relier, simultanément et en série, plusieurs périphériques à un même micro-ordinateur. Sur la plate-forme PC, l'interface SCSI n'est pas livrée avec la machine. Pour en bénéficier, il faut installer une carte d'interface. Sur Apple, il est intégrée à la carte mère. 56 Ne pas oublier! * Les prises usb interne * La prise alimentation ATX * Les prises pour ventilateurs Les différents types de périphériques : * Affichage (moniteur) * Stockage (HDD, cd-rom, dvd-rom, lecteur de disquette, clé usb,...) * Acquisition vidéo ou numérisée (scanner) * Entrée (clavier, souris) 57 Vous savez maintenant quel connecteur ou port de la carte mère accueille tel ou tel périphérique. Travail Pratique * Votre travail consiste dans la réalisation d'un diaporama sur l'un des périphériques ou composants de la liste ci-dessous : L' écran (cathodique et LCD), L'imprimante et le scanner, Les périphériques de saisies (le clavier, la souris,...), Le disque dur (HDD) (interne, externe et multimédia), Le disque Hybride et le SSD (Solid State Drive), Le graveur (interne/externe : CD/DVD/DVDRAM/blue-ray), La clé USB et le lecteur de cartes, Le HUB et le SWITCH (solution réseau et USB), Le CPL et le POE (solutions réseaux), La webcam, L'onduleur et la prise parafoudre (sécurité matériel), Les Enceintes et casque (solutions matériel audio). Ce travail permettra de mieux comprendre les termes techniques liés à chaque périphérique et ainsi pouvoir répondre à la question suivante : Quel matériel correspondra le mieux en fonction du besoin spécifié ? (c'est à dire connaître du périphérique : petit historique, ses spécificités, les termes techniques, sa tranche de prix, les recommandations pour grand public et professionnel, ...) Votre diaporama sera présenté au groupe par vidéo projection argumenté par chaque membre du groupe (chaque personne doit prendre la parole!). La durée de préparation de ce travail est de 1 jour 1/2. La durée maximale de la présentation est de 20 minutes. 58