Transplantation : les immunosuppresseurs en toute confiance

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valeur médicale ajoutée
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Transplantation
Les immunosuppresseurs
en toute confiance
Depuis septembre 2013,
les nouvelles techniques
de dosage des
immunosuppresseurs
Elecsys® Tacrolimus et
Ciclosporine permettent
la surveillance des patients
transplantés sous traitement.
« Après une greffe de cœur, de foie ou de
rein, des immunosuppresseurs doivent être
pris à vie pour éviter le rejet du greffon.
L’adaptation fine de leur posologie est indispensable. En effet à trop faible dose ils n’ont
pas les effets souhaités et à trop forte dose
ils peuvent entraîner de sévères effets indésirables. La dose efficace est différente pour
chaque patient et c’est un vrai challenge de
se trouver dans la bonne fenêtre thérapeutique », explique Laura Lallé, chef de produit
chez Roche Diagnostics France.
« Il est extrêmement important que la juste
dose soit donnée au plus vite et donc que
les dosages soient efficaces du premier
coup. La technique ECL allie sensibilité,
efficacité et corrèle parfaitement avec la
spectrométrie de masse, technique de référence utilisée en laboratoire. Les tests Elecsys® Tacrolimus et Ciclosporine sont réalisés
sur sang total et sont compatibles avec tous
les automates d’immunologie de Roche Diagnostics. »
Ces tests font déjà partie intégrante des plateaux techniques automatisés de 17 laboratoires et de plusieurs CHU en France. Fin
2015, l’offre s’étoffera avec l’arrivée des
dosages de deux autres immunosuppresseurs, Sirolimus et Evérolimus.
•
TÉMOIGNAGE
Dr Françoise Guerber
biologiste spécialisée chez Oriade (38)
« Au sein du plateau technique
automatisé des laboratoires Oriade,
les dosages sont réalisés en routine
sur l’automate cobas® 8000 de
Roche Diagnostics France depuis
octobre 2013.
Ces techniques présentent
une très bonne corrélation avec
la spectrométrie de masse utilisée au
CHU de Grenoble et une très bonne
reproductibilité des résultats.
C’est primordial, car un patient qui
sort de l’hôpital sera ensuite suivi
régulièrement chez nous à long terme.
La très grande sensibilité de la
technique, notamment dans les
valeurs basses, permet au médecin
de prescrire la dose minimale de
médicament au patient afin d’éviter
les effets toxiques. Et, plus on s’éloigne
de la date de la greffe, plus les
médecins vont essayer de diminuer
la posologie tout en conservant les
effets immunosuppresseurs du
médicament.
La surveillance thérapeutique des
traitements immunosuppresseurs assure
le bien-être à long-terme des patients
transplantés. Les performances et
la fiabilité de cette technique nous
permettent une validation des résultats
avec une grande confiance. »
•
LE magazine d’information biomédicale de Roche Diagnostics FRANCE
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