b. Le sens de la lecture de l’ARN messager :
Fermer toutes les fenêtres et ouvrir à nouveau les séquences d’ADN, d’ARNm et
peptidique de la chaîne de l’hémoglobine :
Choisir « expression de l’information génétique » puis « globine bêta » « gène et
ARNm codant»
Refaire l’opération et sélectionner « séquence peptidique ».
Dirigez-vous, pour la séquence d’ARNm, à l’aide de l’onglet déroulant, au niveau des
nucléotides 441 à 444.
Que constatez-vous au niveau de la protéine ?
Dupliquer comme précédemment la molécule d’ARNm et inverser la séquence.
Faire ensuite une traduction simple
Quel est l’effet du triplet constitué par les nucléotides n°25, 26 et 27 de l’ARNm inversé ?
Fermer la fenêtre
c. Un début et une fin de traduction
aller dans « fichier », « banque de séquences », choisir « le système ABO des groupes
sanguins » puis « séq cod.adn » et « OK »
aller dans « traiter », « convertir des séquences », sélectionner « ARNm et peptidique »
puis choisir « traduction des phases ouvertes de lecture », puis « résultats dans la fenêtre
affichage/édition »
La conversion se fait ici en commençant par la 1ère base (C1), la 2ème (C2) ou la 3ème (C3).
On réalise alors un décalage du « cadre de lecture » de l’ARNm.
Les parties traduites sont appelées « phases ouvertes de lecture ».
Quel est le point commun à toutes les séquences traduites au niveau de la protéine ? au niveau
de l’ARNm ?
En vous aidant de ce que vous avez précédemment, déterminer comment se terminent les
séquences traduites au niveau de l’ARNm ?
Combien il y a-t-il de codons de « fin de traduction » ?- tous les cas existants sont représentés
ici.
Saisir des données
Mise en relation des données
Saisie de données
Raisonner
Raisonner
5
TP 6 Du gène à la protéine (partie 2).