LA RÉPONSE : PROTÉGER NOTRE ENVIRONNEMENT ET NOTRE

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Une démarche
zéro pesticide,
pour quoi faire ?
LA RÉPONSE : PROTÉGER NOTRE ENVIRONNEMENT
ET NOTRE SANTÉ EN ENTRETENANT NOS ESPACES
AUTREMENT QU’AVEC DES PESTICIDES.
EXPLICATION
1 / PESTICIDES : ATTENTION DANGERS !
2 / QUELLES ALTERNATIVES ?
Les pesticides sont des produits chimiques utilisés dans le
but de détruire des organismes indésirables là où ils sont : «
mauvaises herbes », insectes, parasites…
Des techniques alternatives existent pour désherber nos
espaces de vie (débroussailleurs, brosses métalliques,
désherbeurs thermiques, etc.). Une modification des
équipements (revêtement, matériaux, rénovation des joints) peut
limiter l’installation des herbes folles, et faciliter l’utilisation de
techniques alternatives.
Elles s’accompagnent d’une réflexion sur les résultats attendus
de cet entretien, qui peut être plus ou moins poussé selon
l’aspect paysager souhaité.
Lorsque l’on pulvérise des pesticides, une partie du produit
manque sa cible et est dispersée dans l’environnement :
les pertes dans l’air et le sol vont jusqu’à 70% des volumes
pulvérisés. Il en résulte une contamination des écosystèmes et
de la chaine alimentaire.
3 / TOLÉRONS DAVANTAGE
LES HERBES FOLLES
SUPPRIMER
L’UTILISATION DES
PESTICIDES CHEZ
VOUS… C’EST
POSSIBLE !
Choisissez un aménagement
facile à entretenir, réservez des
zones où la végétation peut
se développer. Beaucoup de
techniques sont accessibles
pour les jardiniers amateurs.
Renseignez-vous : de nombreux
outils sont disponibles auprès
d’associations locales et
collectivités territoriales,
ou encore sur internet.
> www.jardiner-autrement.fr
> www.mission-eau-alsace.org
4 / L A GESTION DIFFÉRENCIÉE,
COMMENT ÇA MARCHE ?
La gestion différenciée consiste à adapter le mode d’entretien
aux caractéristiques et fonctions de chaque espace extérieur.
Il s’agit d’appliquer la bonne gestion au bon endroit.
«Entretenir autant que nécessaire et aussi peu que possible»
En gestion différenciée, on choisit des endroits où l’on favorise
la biodiversité, par exemple en ne coupant l’herbe qu’une
ou deux fois par an, en plantant des espèces adaptées
aux conditions locales, plutôt que des espèces horticoles
qui nécessitent plus d’eau et de soins. On essaye aussi
d’aménager les espaces
verts de façon réfléchie,
en vue de faciliter leur
entretien. Des solutions
telles que le paillage ou
l’utilisation de plantes
couvre-sol y contribuent.
Direction de la Communication CG Bas-Rhin / Impression CG67.
Les pesticides sont dangereux pour notre santé. On peut
lire sur les étiquettes de ces produits qu’ils sont toxiques,
corrosifs, irritants.
Celles que l’on appelle les
mauvaises herbes… à tort.
Laissons-les pousser par
endroits. Peut-être ne
répondent-elles pas à nos
critères esthétiques, mais
les herbes folles font partie
de la biodiversité. Accepter
la présence de plantes
sauvages qui ne sont pas
forcément synonymes de
mauvais entretien, mais d’un
entretien plus écologique.
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