Riposte-catholique
La réinformation catholique au quotidien
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maladies cardiaques, le Sida ou la guerre.
Au États-Unis, 57 millions d’enfants ont perdu la vie du fait de l’avortement depuis qu’il a été
imposé en 1973 à mon pays par le gouvernement fédéral.
Ces enfants n’en sont pas les seules victimes. Des centaines de femmes sont mortes au cours
d’avortements, des millions en ont été blessées physiquement, émotionnellement et
psychologiquement.
À cause de l’avortement, des millions d’hommes ont été abandonnés à des vies de remords,
des millions de familles ont été détruites.
Mais il y a un espoir.
Aujourd’hui, en plein dans le pire climat anti familial qu’aie jamais connu les États-Unis, un
nombre sans précédent de personnes se réunit pour combattre ce mal.
Les sondages montrent qu’une grande majorité d’Américains est désormais pro-vie. Les
femmes et les jeunes sont encore plus pro-vie que le restant de la population.
Plutôt que d’attendre passivement que le gouvernement fédéral règle la crise de l’avortement,
des centaines de milliers d’Américains sauvent des vies en s’impliquant dans des efforts pro-
vie comme celui des 40 Jours pour la Vie.
Et quand les gens s’impliquent, le nombre d’avortements diminue aux États-Unis.
Et quand les gens s’impliquent, des avortoirs ferment en plus grand nombre que jamais.
Et quand les gens s’impliquent, un nombre record de lois pro-vie est adopté dans les villes et
dans les États partout aux États-Unis.
Et quand les gens s’impliquent, beaucoup d’employés d’avortoirs ont le cœur touché et
abandonnent l’industrie de l’avortement.
Et quand les gens s’impliquent, des milliers de centres d’aide aux femmes enceintes s’ouvrent
pour aider les femmes qui connaissent une grossesse non désirée.
Et quand les gens s’impliquent, des vies sont sauvées.
Et quand les gens s’impliquent, il y a de l’espoir.
La leçon qu’on peut tirer des États-Unis est évidente : nous ne pouvons pas nous taire quand
le gouvernement tente d’imposer l’avortement à notre peuple.
Nous devons nous impliquer.
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