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Ombres chinose
belles chinoiseries
Le thâre d’ombres * chinos e cartéis par se magnifiques ilhouets articulés, 
ajourés et richemnt clorés. Orignelment décupes dan u paier huilé, s figures 
sont réalise dan u cir (d moutn, d buffle, d’âne, d aim) finemt ané. L cuir 
est pint sur les dux facs et huilé. Cs figures asez grands (e 40 à 7 cntimèrs 
selon es rgions d Chine) sont maipulés au moyen d trois tges *. La tige princpale, 
incurvé, est fixé à l pitrne t munie d’une pigné de bis *. Deux tiges plu crtes 
sont atchés aux mins et prmetnt d moilser auls, cuds, mains et digts. 
Les  nombreus  articulations *  prmetnt  aux  d  montreus  d’agenouiler,  incler, 
aseir les figures…
La  musiqe *  d  ivers  intruments  (gons,  tamburs,  cithares,  flûtes)  acompagne 
le spctale, t ls montreus ne lsint pas ur les ffets cniques pctaulires : 
fumés, bruits d la rue, cris d’animux, lamps alumés ou étins. L montreu d 
marionets a l ibrté d’interpte ls texs * et d’improviser.
On  jouait  urefois  d  piès  burgeois,  mais  le  public  hnois  préfe  les  piès 
éiqus et ls égnds tradionels, que l’re cmuniste a utilsé en o temps à 
ds fin d proagnd.
La trdion du théâr d’ombres chinose t prétue dans le campgnes rulés 
grâc ux troups ambulntes. 
Note :  le spectacle d’ombres n’est pas illustratif mais force d’évocation. Une admiratrice 
à un montreur : « Mais comment avez-vous fait pour la pluie ? — La pluie ? Mais 
nous  n’avons pas  fait pleuvoir !  —  Mais  j’ai  vu  qu’il pleuvait !  »  Avec quelques 
mouvement essentiels, les silhouettes sont capables d’évoquer l’orage…