iv
Remerciements
Bien des personnes ont contribué à la réalisation de la présente thèse qui a commencé un matin
de février 1978; et quoique je ne peux les citer toutes, elles peuvent se convaincre de la profondeur de
ma gratitude:
Ma directrice de thèse, Claire Turenne-Sjolander, qui a sacrifié du temps et d’énergie pour un
encadrement de maître et démontré que les universitaires ne doivent pas être juste des «cerveaux sur
des jambes»: je vous dois infiniment.
Professeurs Dominique Arel et Miguel De Larrinaga pour avoir accepté spontanément de
m’accompagner dans ce processus. Dominique a ravivé le courage de travailler un sujet quasi tabou
en postcolonie et a su me communiquer par une rigueur propre la capacité de faire une analyse à
froid du fait politique.
Mamadou Koulibaly, Gisèle Dutheuil et Audace Institut Afrique pour le soutien lors de mon
séjour de recherche en Côte d’Ivoire, professeures Sloan Elinor pour la documentation sur les capa-
cités militaires des États-Unis, Jacqueline Best pour les entrées à Washington, et Hélène Pellerin.
Les collègues et professeurs qui ont donné des commentaires et conseils tout au long de ma
recherche: Hashimu Maliki, Serge Banyongen, Judith Houédjissin-Cardin, Papa Samba N’Diaye,
Modeste Mba Talla et Martin Kalulambi Pongo.
La Faculté des sciences sociales et la Faculté des études supérieures et postdoctorales pour
leurs bourses de recherche de terrain et de voyage de recherche.
La rédaction n’aurait pas été possible sans l’appui de la Fondation John et Darlène McKewen
et à travers eux, de la Fédération des Familles pour la Paix Mondiale.
Enfin, et avec beaucoup d’amour et de respect, je dédie ce travail à:
Mon oncle, feu Rigobert, qui a décidé de m’envoyer à «l’école des Blancs»,
Mes parents, feu Dossou, et Dogbé et Bolinou Azonhoumon,
Feux mes frères Justin, Benoît et Armand, et ma sœur Ablawa Florence,
Mon fils Enanomohan Shen. J’espère que tu trouveras ici un dépassement possible de soi.