évaluer des heuristiques. Ces approches sont pratiques pour les applications
d’ingénieries tels le calcul parallèle, la synthèse d’un système digital, la compilation
de haute performance qui a un besoin urgent en estimation de ressources de calculs
( Fernandez et Bussel [5], Eichenberger et Meleis[4]).
Pour beaucoup de problèmes difficiles dans une grande variété de domaines, les
métaheuristiques ont reçu un intérêt considérable et sont avérées efficaces pour les
problèmes difficiles de l’optimisation combinatoire apparaissant dans des domaines
variés, industriels, économique, logistique, ingénierie, commerce, domaines
scientifiques etc. Des exemples de métaheuristiques sont les algorithmes
évolutionnistes de type génétique. Schurman et Woeginger [12] ont évoqué ce qu’ils
appellent les questions ouvertes les plus vexantes pour les problèmes
d’ordonnancement déterministes NP-difficiles, au sens où ils restent ouverts depuis un
fort long temps. Nous avons voulu répondre à ceux des machines parallèles de tâches
dépendantes, donnée par un graphe de précédence quelconque, respectivement
PprecCmax et P prec, pj = 1 Cmax. Les problèmes sont respectivement de fournir
un algorithme approximatif en temps polynomial et un algorithme polynomial avec un
facteur de garantie du plus mauvais cas de 2 - δ, δ > 0 ( en fait, même un algorithme
de complexité temporelle exponentielle en "m", le nombre de machines, peut être
intéressant). Nous rappelons qu'un algorithme qui donne des solutions presque
optimales est appelé algorithme d’approximation. S’il le fait en un temps polynomial,
il est appelé algorithme d’approximation en temps polynomial.
Un algorithme d’approximation qui fournit toujours une solution presque optimale
avec un coût au plus à un facteur approché ρ de la solution optimale ( où ρ > 1 est un
nombre fixé) est appelé un ρ-algorithme d’approximation, et la valeur ρ est appelé le
facteur de garantie du plus mauvais cas.
Dans un article récent, Aytug et al. [1] fournissent un état de l’art sur l’utilisation des
algorithmes génétiques pour résoudre les problèmes d’ordonnancement. Les articles
dans cet état de l’art sont référencées par type de problème qu’ils résolvent. Pour le
problème PCmax, Chiu et al.[2] ont été incapables de comparer un algorithme
génétique avec un autre algorithme. Au lieu d'affronter ces problèmes "ouverts"
frontalement, nous avons préféré et nous étions motivé, pour le problème à contraintes
de précédence P/prec/ Cmax, à étudier et comparer six algorithmes de types listes avec
un AG. L’organisation de l’article est la suivante. On définit les six listes de priorités
dans le paragraphe suivant et l’algorithme génétique dans le troisième. Ils ont été
testés sur beaucoup de problèmes générés aléatoirement. Le paragraphe 4 présente les
essaies de calcul où ces heuristiques et méta heuristique sont évaluées.
Une comparaison au paragraphe5, fait que les règles d’ordonnancement de type listes
sont meilleures que l’algorithme génétique. Nous concluons brièvement l’article.
2 Les Algorithmes d’Ordonnancement De Type Liste
Dans le cas des problèmes NP-difficiles, les algorithmes les plus utilisés sont basés sur
les listes. Ils déterminent pour un ordre de tâches, qui peut être donné par une liste, un
ordonnancement correspondant. Ils considèrent les tâches une par une et prennent la
décision d’ordonnancer sur la base d’un ordonnancement partiel de tâches
ordonnancées auparavant. Les décisions pour les premières tâches ordonnancées ne