Tweet du Pape Sur l’agenda paroiSSial… Dieu a une prédilecet donc sur le vôtre : tion pour les humbles. Quand nous vivons Dimanche 20 Septembre : Messe à 10h. L’église avec humilité, sera ouverte de 13h à 18h pour la deuxième il transforme nos « Journée du Patrimoine ». petits efforts et fait Dimanche 27 Septembre : Messe à 10h. Baptême de de grandes choses. Camille MAILLET-GERVY. 14 sept. 2015 QUÊTES de la PAROISSE le WEEK-END Il n’est jamais agréable de parler d’argent… et pourtant je souhaiterais attirer l’attention des paroissiens sur nos quêtes dominicales. Depuis longtemps, nous remarquons que nombre de personnes ne donnent rien à la quête. De plus, beaucoup donnent de petites pièces. Par exemple, dimanche dernier où nous étions nombreux, nous avons collecté 174 pièces, dont 90 de 1 ou 2 euros ; les 84 pièces restantes étaient réparties : 20 pièces de 0,50—26 pièces de 0,20—33 pièces de 0,01 à 0,10 euro. Il est important que chacun donne librement et sans contrainte ; mais il est tout aussi important que chacun s’interroge sur sa participation responsable à la vie de Communauté. Vous savez que la paroisse doit faire face à de nombreuses dépenses courantes. J’invite donc chacun à réfléchir à ce qu’il donne, en prenant conscience par exemple que 2 euros/messe représente 8 euros/mois pour la vie de notre communauté. Est-ce trop ?... A chacun de voir, en fonction de ses revenus. Fraternellement. P. Daniel Dimanche 4 Octobre 2015 Rentrée Paroissiale au Saint Sacrement A l’issue de la messe de 10h00, au cours de laquelle les représentants des divers services de la paroisse seront envoyés et bénis, nous inaugurons pour cette rentrée paroissiale un apéritif et un repas partagé, dans les locaux de notre paroisse arménienne voisine, angle rue André Philip (n°295) et rue de l’Arménie (n°40). Les locaux agréables et adaptés à cet usage, la cour fermée et sécurisée pour les enfants, nous ont fait opter pour cette solution. Seront présentés les services paroissiaux. Pour le repas, les plats que chacun aura préparés et déposés à la cuisine au 40, rue de l’Arménie, le dimanche entre 9h00 et 9h50, seront partagés sous forme de buffet. Les boissons seront offertes par la paroisse. Ce sera une belle occasion d’accueillir les nouveaux paroissiens, mais aussi de prendre le temps avec ceux que nous connaissons peut-être de vue, mais si peu en réalité. Maison Paroissiale : 251, rue A. Philip 69003 LYON – Tél. : 04 78 60 53 26 Web : www.saint-sacrement-lyon.fr et Courriel : [email protected] PAROISSE DU SAINT SACREMENT Dimanche 20 Septembre 2015 25ème Dimanche du Temps Ordinaire Pour aller de l’avant « sur le chemin de la vie chrétienne », il faut savoir s’abaisser, comme Jésus l’a fait sur la Croix. En la fête de l’Exaltation de la Sainte Croix, le Pape a mis les fidèles en garde contre les séductions du diable qui nous conduisent à la ruine. Le protagoniste de l’Evangile du jour est le serpent. La Genèse nous fait découvrir le serpent le plus malin qu’il soit, « un enchanteur, qui sait nous fasciner » mais cette capacité de séduction nous détruit. La Bible nous dit que c’est un menteur, un jaloux. « En raison de l’envie du diable, du serpent, est arrivé le péché du monde. » « Il te promet mille choses, mais quand c’est l’heure de payer, il te paie mal, c’est un mauvais payeur. Saint Paul se fâche ainsi avec les chrétiens du pays Galate : ‘Stupides Galates, qui vous a donc ensorcelés ? Vous qui étiez appelés à la liberté, qui vous a séduits ?’ Ceux-là, répond-il, c’est le serpent qui les a corrompus. Ce n’est pas une chose nouvelle, c’était dans la conscience du peuple d’Israël ». Le Saint-Père s’arrête ensuite sur le fait que le Seigneur ait dit à Moïse d’ériger « un serpent de bronze », expliquant que celui qui le regarderait serait sauvé. Ceci est une métaphore, mais aussi une promesse, explique François. Une promesse qui n’est pas facile à comprendre. Jésus en personne explique à Nicodème que « comme Moïse fait ériger le serpent dans le désert, ainsi doit être porté aux nues le Fils de l’homme, parce que quiconque croit en Lui aura la vie éternelle. Donc ce serpent de bronze est une représentation de Jésus élevé sur la Croix ». Pourquoi le Seigneur a-t-il recours à cette image laide et méchante ? Simplement parce qu’Il est venu pour prendre sur lui tous nos péchés, devenant le plus grand des pécheurs, sans avoir commis aucune faute. Saint Paul nous dit qu’Il s’est fait pécheur pour nous, il s’est fait serpent. « Il a pris nos péchés pour nous sauver, voilà ce que signifie le message de la liturgie de la Parole d’aujourd’hui, le chemin de Jésus ». Dieu s’est fait homme et il a pris sur lui le péché. Saint Paul explique ce mystère aux Philippiens « à qui il voulait tant de bien » : « bien qu’il fût dans la condition de Dieu, il n’a pas retenu avidement son égalité avec Dieu, mais il s’est anéanti lui-même en prenant la condition d’esclave, en se rendant semblable aux hommes ; il s’est abaissé lui-même, se faisant obéissance jusqu’à la mort, et la mort sur la Croix » (Epitre aux Philippiens, chapitre 2). Jésus s’est anéanti pour nous, il s’est fait pécheur pour nous, Lui qui ne connaissait pas le péché. Voilà le mystère. « Il s’est fait serpent, il s’est enlaidi » : « Quand nous regardons Jésus sur la Croix, il existe certes de belles représentations, mais la vérité est autre : il s’était dépouillé de tout, ensanglanté de nos péchés. Tel est le chemin qu’il a décidé de suivre pour vaincre le serpent dans son domaine. Il faut regarder la Croix de Jésus, il faut regarder la réalité de ce qu’était la croix à cette époque-là. Il faut regarder le parcours choisi par Dieu qui s’est anéanti, abaissé pour nous sauver. C’est aussi cela le chemin du chrétien. Si un chrétien veut aller de l’avant sur la route de la vie chrétienne, il doit s’abaisser, comme l’a fait Jésus. C’est la route de l’humilité, mais aussi celle de prendre sur soi les humiliations, comme l’a fait Jésus. » Le Pape a demandé cette grâce à Marie : de pleurer d’amour, de pleurer de gratitude parce que notre Dieu nous a tellement aimés qu’il a envoyé son Fils pour qu’il s’abaisse et s’anéantisse pour nous sauver. Sa Béatitude Louis Raphaël SAKO, patriarche de l’Église chaldéenne, a adressé un courrier de remerciement au Chef de l’État et aux membres du Gouvernement français pour l’organisation de la Conférence internationale le 8 septembre dernier. Infos diocèse Fermeture du sanctuaire Saint-Bonaventure : les vents violents de mercredi Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier ministre, Monsieur le Ministre des affaires étrangères, De retour à Bagdad suite à la conférence internationale sur les victimes de violences religieuses et ethniques au Moyen-Orient, je tenais à vous remercier. En effet, « le Plan d’action de Paris » qui a été adopté par les nombreux participants que vous avez réunis est une grande avancée pour permettre l’émergence d’une citoyenneté réelle et préserver la diversité dans notre région du monde. Permettez-moi de remercier la France qui s’engage sur la durée et de manière concrète pour les droits de l’homme et pour que toutes les composantes de nos pays continuent à vivre chez elles. Le fond d’aide annoncé par la France est pour nous le signe concret de votre détermination à préserver la mosaïque religieuse et ethnique du Moyen-Orient. Le berceau de cette mosaïque en Irak se trouve dans la plaine de Ninive aujourd’hui occupée par Daech. Les centaines de milliers de réfugiés chrétiens, yézidis et autres qui vivaient dans la plaine de Ninive me demandent sans cesse quand sera libérée leur terre. Les peshmergas se trouvent actuellement à moins d’une dizaine de kilomètres des villages où vivaient ces familles. C’est pourquoi je veux demander à la France d’agir diplomatiquement auprès du gouvernement irakien, de la région autonome du Kurdistan et de la coalition internationale pour que la reprise de la plaine de Ninive puisse avoir lieu le plus rapidement possible. Confiant dans votre volonté d’œuvrer pour la paix au Moyen-Orient, je vous prie de croire en l’expression de mes sentiments les plus respectueux. Louis Raphaël Sako, Patriarche de Babylone des chaldéens Suite page 3 ont occasionné des dégâts sur la façade du sanctuaire Saint-Bonaventure. Un périmètre de sécurité a été mis en place, obligeant à la fermeture temporaire de l'église. Contact : 04 78 37 83 55. Concert : Chœur de Garçons de Bratislava, mercredi 23 septembre, 20h, crypte de Fourvière. Ouverture du synode de la famille : messe présidée par le cardinal Philippe BARBARIN, vendredi 25 septembre, à 19h, à la primatiale Saint-Jean, Lyon 5ème. Contact : [email protected] / 04 78 81 48 30. Chagall, témoin engagé dans un siècle tragique : conférence du père Philippe ABADIE, samedi 26 septembre, à 14h15, à l'Université catholique de Lyon, 23 place Carnot. Contact : [email protected] / 04 26 84 18 57. Paroles de catholiques : session de formation à la prise de parole sur les grands sujets d’actualité sur lesquels l’Eglise est souvent questionnée (sexualité, économie, mal, histoire, bioéthique...). Première rencontre lundi 28 septembre, de 20h à 22h, à l'église Saint-Pothin, Lyon 6ème. Quelle solidarité avec les chrétiens d’Orient ? Débat avec le cardinal Philippe BARBARIN, Mgr Pascal GOLLNISCH, directeur de l’Oeuvre d’Orient, et le professeur Michel YOUNÈS, mardi 29 septembre, à 19h, à l'Université catholique de Lyon, campus Carnot. Contact : 04 72 32 50 23. Nous Soussignés, chefs des communautés chrétiennes en Iraq, nous sommes pleinement d’accord avec la lettre de S.B Louis Sako Georges Sliwa, Métropolite des Assyriens Severios Hawa, Métropolite des Syriens Orthodoxes Avvak Assadorian, Métropolite des Arméniens Orthodoxes Jean Sleiman, Archevêque Latin Petros Moshe, Archevêque des Syriens Catholiques Yonan Alfred, Archimandrite des Grecs Orthodoxes Année de la vie consacrée… un Saint par semaine… Sainte Thérèse Couderc, vierge er Née le 1 février 1805 dans une famille de paysans du Vivarais, Marie-Victoire Couderc reçut de l'évêque de Viviers l'habit religieux et prit le nom de Thérèse. Placée à la tête de la maison d'accueil de La Louvesc, elle fonda un Institut qui prit le nom de « Société de Notre-Dame de la retraite au Cénacle ». Malgré les progrès de sa Société, elle subit de fortes oppositions et le 23 octobre 1838, elle fut déposée, étant jugée « incapable » d'exercer sa charge. Elle mourut au couvent de Fourvière à Lyon le 26 septembre 1885. Son corps repose à La Louvesc.