DOSSIER DE PRESSE TEXTE URSULA RANI SARMA TRADUCTION JEAN MARC DALPÉ MISE EN SCÈNE CLAUDE DESROSIERS n ele H o : ot Ph er rn Wa DOSSIER DE PRESSE URSULA RANI SARMA Auteure Née en 1978 d’un père indien et d’une mère irlandaise, Ursula Rani Sarma grandit dans le comté de Clare, sur la côte ouest de l’Irlande. Elle fréquente l’University College Cork ( UCC ), un des campus de l’Université nationale d’Irlande. Étudiante, elle se lance dans l’écriture et la mise en scène en 1999 avec Like sugar on skin, qui remporte plusieurs prix aux Irish Student Drama Awards. Elle fonde alors sa propre compagnie, Djinn Productions, puis crée et monte sa première œuvre dite professionnelle : Touched. Présentée au Festival d’Édimbourg, la pièce attire l’attention du National Theatre de Londres et de la BBC. Son curriculum théâtral comprend aujourd’hui une quinzaine d’œuvres ( Blue, The Spidermen, RIOT ), de la poésie et des scénarios pour la radio, la télévision et le cinéma. Débris ( The Dark Things ) représente à ce jour son plus grand succès. Avec cette pièce, créée au Traverse Theatre, elle a remporté les prix de la meilleure nouvelle pièce et de la meilleure production de l’année aux CATS Awards ( prix de la critique théâtrale de l’Écosse ) en 2010. Ursula Rani Sarma est présentement auteure en résidence au Traverse Theatre d’Édimbourg et à l’American Conservatory Theatre de San Francisco. DOSSIER DE PRESSE ot Ph o : e ell ch Ra n ro rge Be Traducteur JEAN MARC DALPÉ Depuis bientôt 40 ans, Jean Marc Dalpé inspire et nourrit le milieu théâtral au Québec comme en Ontario. Bachelier en art dramatique de l’Université d’Ottawa en 1976, le Franco-Ontarien poursuit sa formation au Conservatoire de Québec, puis retourne dans son coin de pays pour fonder, en 1979, le Théâtre de la Vieille 17 avec quelques camarades. En 1982, il migre vers Sudbury avec sa complice Brigitte Haentjens et investit un nouveau souffle au Théâtre du NouvelOntario ( TNO ). Une de ses pièces se démarque particulièrement : Le chien, récipiendaire du Prix du Gouverneur général en 1988. Cet honneur lui est à nouveau attribué en 1999 pour le recueil Il n’y a que l’amour, qui comprend plusieurs contes urbains, puis en 2000 pour son premier roman, Un vent se lève qui éparpille. Entretemps, Jean Marc Dalpé écrit Eddy ( montée au Festival de Stratford ) et signe sa première pièce à La Licorne, Trick or Treat, transposée ensuite à la télévision. Scénariste, il a imaginé la télésérie Temps dur ( 2004 ) et signé plusieurs épisodes de Fred-dy ( 2001 ). Récipiendaire de l’Ordre des francophones d’Amérique, le dramaturge a adapté de nombreuses œuvres étrangères pour le public québécois comme Blasted de Sarah Kane et la plus récente version de Hamlet, présentée au TNM. Il signe également plusieurs traductions d’oeuvres de Mansel Robinson : Slague – L’histoire d’un mineur ( 2008 ), Trains fantômes ( 2008 ) et II ( Deux ) ( 2013 ). Auteur en résidence à La Manufacture, Jean Marc Dalpé a signé le texte de la pièce Août – un repas à la campagne, créée à La Licorne en 2006 et reprise en tournée canadienne en 2007. La pièce était aussi présentée chez Duceppe à l’automne 2014. CLAUDE DESROSIERS DOSSIER DE PRESSE Ro llin eL ap or te Après avoir fait ses classes sur plusieurs documentaires pour TV Ontario, Claude Desrosiers migre vers la culture et les variétés de Radio-Canada au milieu des années 1990, à la réalisation de rendez-vous appréciés comme La ruée vers l’art, L’enfer c’est nous autres et Faites vos gammes. L’univers théâtral le retrouve en 1998 alors qu’il pilote l’adaptation télévisuelle de la pièce Traces d’étoiles, de Cindy Lou Johnson, montée au Quat’Sous en 1992. En 2001, il réalise l’émission spéciale sur les 50 ans du TNM, présentée dans le cadre des Beaux dimanches, puis deux ans plus tard, il porte à l’écran Le rire de la mer des Éternels Pigistes, un pièce qui a été créée à La Licorne en 2001. to : Artisan de la télévision et du cinéma, Claude Desrosiers signe depuis plus de 20 ans certaines des séries de fiction les plus aimées du petit écran. Lauréat de plusieurs Gémeaux en carrière, son imposant curriculum comprend notamment Vice caché, Les hauts et les bas de Sophie Paquin ( Gémeaux de la meilleure réalisation - catégorie comédie en 2007, 2008 et 2009 ), Aveux ( Gémeaux de la meilleure réalisation – série dramatique en 2009 et prix de la meilleure réalisation au prestigieux Festival de La Rochelle ), Les rescapés et Un sur deux. On lui doit aussi le film Dans une galaxie près de chez vous, qui a attiré plus de 450 000 spectateurs en salle. Ph o Metteur en scène MAXIME DENOMMÉE dans le rôle de Daniel Ph ot o : Ro llin eL ap or te Trick or Treat, Le monument, Cheech – Les hommes de Chrysler sont en ville, Howie le Rookie, Les points tournants, Félicité, Après la fin… Depuis 15 ans, le parcours théâtral de Maxime Denommée est intimement lié au Théâtre de La Manufacture. Reprises plusieurs fois, les pièces qu’il a touchées comptent parmi les plus marquantes de la compagnie. Et l’artiste ne s’est pas contenté d’y jouer, il y a aussi fait ses premières mises en scène : Tête première ( 2005 ), Après la fin ( 2008 ) et Orphelins ( 2012 ). Récipiendaire d’un Masque en 2004 pour le puissant monologue d’Howie le Rookie, Denommée a aussi brillé DOSSIER sur plusieurs autres scènes montréalaises ces dernières DE PRESSE années. En 2006, il campait Britannicus, de Racine, au Théâtre Denise-Pelletier. Chez Duceppe, il joignait en 2013 le quatuor des Muses orphelines de Michel-Marc Bouchard, alors qu’à Espace Go, la même année, on le retrouvait dans Le dernier feu de Dea Loher, une mise en scène de Denis Marleau. Il défendait à l’automne 2014 au TNM, la pièce L’importance d’être constant d’Oscar Wilde, mise en scène par Yves Desgagnés. Depuis Quadra en 1999, le comédien s’est également forgé une place appréciable à l’écran à travers les séries Grande Ourse, Un monde à part, Rumeurs et Aveux, œuvre réalisée par Claude Desrosiers, le metteur en scène de Débris. Maxime Denommée retrouve aussi avec plaisir la verve du traducteur Jean Marc Dalpé, auteur du thriller théâtral qui l’a révélé en 1999, Trick or Treat. DOMINIQUE LANIEL dans le rôle de StePH Sur les bancs de l’École de théâtre du Cégep de SaintHyacinthe, Dominique Laniel se mouille aux univers de Federico Garcia Lorca ( Noces de sang ), Carlo Goldoni ( Les Cuisinières ), Tennessee Williams ( La ménagerie de verre ), William Shakespeare ( Songe d’une nuit d’été ), Eugène Ionesco ( Rhinocéros ) ou encore Michel Garneau ( Émilie ne sera plus jamais cueillie par l’anémone ), où elle défend le rôle-titre. DOSSIER DE PRESSE Une fois diplômée, en 2013, le metteur en scène Jacques Rossi la recrute pour sa version des Fourberies de Scapin de Molière, produite par le Théâtre LV2. La pièce part ensuite en tournée à travers le Québec. Ph ot o : Ma rie -C lau de Ha me l La jeune comédienne campe depuis janvier le personnage de Camille dans la nouvelle comédie pour ados Med, diffusée sur les ondes de VRAK.TV. DOSSIER DE PRESSE ot Ph o : eL llin Ro ap or te dans le rôle de Gerry ROGER LA RUE La feuille de route de Roger La Rue a de quoi épater. Depuis sa sortie de l’École nationale de théâtre en 1983, le comédien a participé à plus de 75 spectacles, issus de tous les horizons : de Goldoni à Marcel Dubé, de Tchekhov à Gratien Gélinas, de Beaumarchais à Michel Marc Bouchard, un auteur à qui il a prêté son talent à plusieurs reprises ( Les grandes chaleurs, Le désir, Pierre et Marie… et le démon, Les aboyeurs, Sous le regard des mouches ). Roger La Rue était aussi de la création de la pièce Félicité d’Olivier Choinière, une production de La Manufacture présentée à La Licorne en 2007. Dominic Champagne ( Cabaret neiges noires ), René Richard Cyr ( L’homme de la Mancha ), Denise Filliatrault ( Les Fridolinades ), font partie de l’imposante galerie de metteurs en scène avec lesquels il a travaillé, mais aucun n’éclipse son allié le plus fidèle : André Brassard. Depuis Les Paravents de Jean Genet en 1987, les deux artistes ont collaboré une quinzaine de fois, entre autres sur Les Feluettes ( 1987 ), Le Temps des lilas ( 1993 ), Une visite inopportune ( 2002 ) et Oh les beaux jours ( 2008 ). En 2014, Roger La Rue reprenait L’esprit de famille chez Duceppe, en plus de faire partie de la tournée québécoise de la comédie Les Voisins, mise en scène par Frédéric Blanchette. Au petit écran, on a pu apprécier son talent dans plusieurs séries dont Temps dur, Les rescapés, Le Gentleman et Mémoires vives. On peut actuellement le suivre dans Unité 9 et 30 vies. Ph ot o : Ro llin eL ap or te DOSSIER DE PRESSE dans le rôle de Karl MATHIEU QUESNEL Diplômé du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 2006, Mathieu Quesnel joue pour la première fois à La Licorne en 2009, sur la scène de La Petite Licorne dans la pièce Les Guerriers Facebook. En 2010, le metteur en scène Michel Monty le recrute pour camper le premier rôle de Au champ de mars, de Pierre-Michel Tremblay, produit par le Théâtre de La Manufacture. Quatre ans plus tard, son soldat victime de stress post-traumatique passe de la scène à l’écran dans Le vrai du faux, une adaptation libre de la pièce signée par le cinéaste Émile Gaudreault. Presqu’en même temps, on le retrouve dans le nouveau film de Denys Arcand : Le règne de la beauté. À l’automne 2014, il était du tournage de Paul à Québec, une adaptation de la bande dessinée de Michel Rabagliati pour le cinéma. En 2012, Mathieu Quesnel joue dans L’obsession de la beauté de Neil LaBute, une production de Lab87 présentée à La Petite Licorne. Cette même année, il participe à la pièce événement Clotaire Rapaille, l’opéra rock de Guillaume Tremblay et Olivier Morin, deux créateurs qu’il retrouve en 2013 dans L’assassinat du président, présenté au Théâtre d’Aujourd’hui. Fidèle collaborateur des Cabarets insupportables de Transthéâtre, la facilité avec laquelle il aborde la comédie est également mise à profit dans l’émission SNL Québec, où il fait partie de la troupe de comédiens maison. ÉVELYNE ROMPRÉ dans le rôle de L.J. Ph ot o : Ro llin eL ap or te Depuis sa sortie du Conservatoire de Québec en 1997, Évelyne Rompré a côtoyé les metteurs en scène les plus en vue de la scène québécoise, à commencer par Robert Lepage, qui lui offre un rôle dans La Tempête de Shakespeare dès 1998. La comédienne remonte sur la scène du Trident l’année suivante dans Ines Pérée et Inat Tendu de Réjean Ducharme, mise en scène par JeanPierre Ronfard. Son interprétation d’Ines lui vaut plusieurs prix dont le Masque de la révélation de l’année. Un second Masque honorera son travail en 2004 pour la pièce Unity 1918, montée par Claude Poissant à l’Espace Go. Elle a travaillé avec Wajdi Mouawad ( Les Troyennes ), Brigitte Haentjens ( Antigone ), Dominic Champagne ( Vacarmes, Cabaret perdu ), Françoise Faucher ( La ménagerie de verre ) et Alice Ronfard ( Tristan et Yseult ), sans oublier Serge Denoncourt ( Le peintre des madones ) et Denis Marleau, avec lequel elle collabore depuis les trois dernières années ( L’histoire du roi Lear, Le dernier feu, La ville, Lumières, Lumières, Lumières ). DOSSIER DE PRESSE Figure régulière du téléroman L’Auberge du chien noir, Évelyne Rompré est apparue dans les films Une jeune fille à la fenêtre de Francis Leclerc, Histoire de famille de Michel Poulette, C’est pas moi, je le jure ! de Philippe Falardeau et 2 fois une femme de François Delisle. Débris marque le retour de cette comédienne à La Licorne, où elle brillait en 2012 dans Orphelins de Dennis Kelly, un drame mis en scène par son actuel partenaire de jeu, Maxime Denommée. DOSSIER DE PRESSE L’équipe de création L’équipe de La Manufacture Texte Ursula Rani Sarma Traduction Jean Marc Dalpé Mise en scène Claude Desrosiers Avec Maxime Denommée, Dominique Laniel, Roger La Rue, Mathieu Quesnel et Évelyne Rompré Directeur artistique et général Denis Bernard Adjoint à la direction artistique Philippe Lambert Directrice de l’administration Danièle Drolet Directeur technique Simon Cloutier Directrice des communications et du développement Claudie Barnes Relations de presse et marketing Ginette Ferland Chargés de production Marie-Hélène Dufort et André Rioux Adjointe administrative Gaëtane Laplante Contrôleur financier Jean-Claude Pitre Réception et secrétariat Sophie Rocheleau Responsable de la billetterie Valérie Michaud Entretien ménager Gabriel Constantin et Alina Dumitrache Équipe d’accueil Laura Babin-Rioux, Émilie Boily, Aurélie Brochu-Deschênes, Marianne Dansereau, Ariane Forest-Babin, Vanessa Gagnon, Élizabeth Gingras, Laurence Pinard, Camille Poirier et Benjamin Prescott La Rue Assistance à la mise en scène Marie-Hélène Dufort Décor Olivier Landreville Costumes Monic Ferland Éclairages Martin Labrecque Musique Ludovic Bonnier Accessoires Gabrielle Bossé-Beal Direction artistique du spectacle Jean-Denis Leduc Photos de promotion Rolline Laporte Conception graphique Ombilicus Mundi Directeur fondateur Jean-Denis Leduc La Manufacture et La Licorne Compagnie de théâtre fondée en 1975, La Manufacture assure la direction artistique du Théâtre La Licorne, son espace théâtral. Par le biais d’une parole vivante et incarnée, à travers des univers concrets et accessibles, La Manufacture favorise la découverte et l’épanouissement d’une dramaturgie actuelle qui questionne notre société et les enjeux, intimes ou collectifs, de sa constante mutation. Au sein de la communauté théâtrale, La Manufacture contribue au développement de la dramaturgie d’ici par l’accueil d’auteurs en résidence, par des ateliers dramaturgiques, par ses créations présentées à La Licorne et en tournée, ainsi que par un important soutien à la diffusion des spectacles des compagnies invitées dans sa programmation.