Auteur: Kazak

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Commission: Développement Durable
Question: Quelle proposition pour lutter contre le réchauffement climatique ?
Auteur: Kazakhstan
Actuellement, nous remarquons que le réchauffement climatique est au centre des débats, aussi bien
écologiques, que politiques ; des débats, tels que celui de la Conférence de Paris, qui aura bientôt lieu. En
effet, la situation est de plus en plus préoccupante. Alarmé par l’importante augmentation de la
température terrestre, le Kazakhstan pense qu’il est temps que l’humanité agisse, et qu’elle agisse pour son
bien et pour la Terre. Nous tournant vers cet objectif, nous pensons et souhaitons nous attaquer à la cause
principale du réchauffement climatique, c’est-à-dire au dioxyde du carbone, le CO2.
Pour cela, il nous faut d’abord comprendre comment et pourquoi le dioxyde de carbone est-il produit.
Nous remarquons assez rapidement que cela est dû, entre autres, à l’utilisation d’énergies fossiles. Les
énergies non renouvelables permettent les transports, l’éducation, l’industrie, ou des besoins plus simples,
comme le chauffage. Cependant, la consommation de ce type d’énergie, en plus de la surexploitation des
terres avec l’élevage, provoque une désertification de notre planète, et une augmentation de la température
terrestre nocive envers les plantes et les animaux, comme par exemple au Sahel.
Le Kazakhstan souhaite donc promouvoir un usage résonné des énergies fossiles. Néanmoins, nous
pouvons observer qu’il est compliqué de gérer les ressources non renouvelables, telles que le pétrole ou le
gaz naturel, tellement leurs sources sont nombreuses et variées. Pour maîtriser ces énergies, le Kazakhstan
souhaite mettre en place un système unique, un réseau unifié, d’oléoducs, de gazoducs, voire d’autres
produits, passant par l’Asie Centrale et le Kazakhstan, l’Europe, l’Afrique, et enfin la péninsule Arabique.
Ce réseau s’étendrait tout le long des terres, telles les racines d’un nouvel arbre, l’arbre du progrès, pour
permettre un transport accéléré, avec moins de moyens, engagé, qui plus est mieux sécurisé.
Pour accompagner cet avantageux système, nous proposons la création d’un Institut tel qu’il n’en existe
pas aujourd’hui. Une des missions de cet organisme sera de contrôler et surveiller le réseau de transport de
ressources énergétiques. Cette organisation ONUaire pourra s’installer dans notre pays.
L’exploitation de ressources comme le pétrole est de plus en plus difficile ; effectivement, nous sommes
obligés de forer de plus en plus en profondeur. De plus, leurs utilisation est en train de déstabiliser la
plupart des grandes bourses mondiales, à cause de la baisse des prix, et de l’augmentation de la demande
et de sa consommation. Nous voulons donc promouvoir l’utilisation d’autres ressources, des ressources
comme le gaz de schiste, voire des ressources renouvelables.
Actuellement, le Kazakhstan est déjà en train de réaliser des actions dans cette optique. En effet, nous
sommes en train de faire d’Astana, notre capitale, une ville verte et propre. Nous souhaitons faire de notre
pays et de l’Asie un centre pour la recherche de l’énergie de demain, et pour le développement durable du
globe terrestre.
Notre rêve de maîtrise de la consommation d’énergie nous invite à penser qu’il est temps de mettre en
place de nouveaux protocoles tel que celui de Kyoto, en 2005. Cependant, nous insistons sur le fait que
ces protocoles devront être plus stricts, être acceptés par davantage de pays que celui de Kyoko (avec
seulement 184 pays l’ayant signé) et être appliqués par les plus gros consommateurs d’énergie et les plus
grands pollueurs. Cette série de protocoles devra également concerner plus de domaines que le protocole
de Kyoto.
La création d’un partenariat mondial pour le développement et l’énergie, ainsi que pour la protection de
l’environnement, tel que l’imagine le Kazakhstan, est un des Objectifs du Millénaire. Nous pouvons
encore agir, notre projet et objectif a de multiples avantages, et il est temps d’entreprendre sérieusement
des actions pour les générations futures.
Pour conclure, nous avons constaté que le réchauffement climatique était dû à la mauvaise utilisation de
l’énergie, nous avons remarqué que le Kazakhstan, comme toute la civilisation humaine, était justement
basé sur cette .énergie, et nous nous désolons que la disparition des ressources met en danger l’équilibre
éducatif, de la recherche, du transport, de l’information, de la sécurité, à l'équilibre géneral des pays et des
gouvernements… si nous ne réagissons pas très vite et trouvons des solutions viables et durables.
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