AKT ERK

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Interactions neurone-glie dans la chorée
de Huntington
Etude génétique chez la drosophile
Jean-Charles Liévens
NICN - Institut Jean Roche
Equipe Catherine Faivre-Sarrailh
Marseille
Chorée de Huntington
1692 : Procès des sorcières de Salem
1872 : George Huntington
maladie familiale
1993 : Huntington’s Disease Collaborative Research Group
> 35 CAG exon 1 du gène huntingtine
> 35 résidus glutamine = polyQ
1996 : Premier modèle transgénique murin – Souris R6 (G.P. Bates)
1998 : Premier modèle drosophile – (G. Jackson)
Chorée de Huntington
patient
- 6 000 patients en France
- SCA 1, 2, 3, 6, 7, 17 / DRPLA / SBMA
- déficits moteurs, troubles cognitifs
normal
- décès : 15-20 années
- début : 40-55 ans mais lié au nombre de répétitions CAG
- dysfonctionnement neuronal précoce
- perte tardive et sélective des neurones
du striatum et cortex cérébral
Chorée de Huntington
Huntingtine humaine ≈ 3144 aa (349 kDa), protéine cytoplasmique et nucléaire
Protéine neuronale et gliale
I- Forme native
caspases
6-35
polyQ aa 500-600
NH2
COOH
II- Forme pathogène
caspases
> 36 polyQ
NH2
> 36 polyQ
NH2
Fragment NH2-terminal
répétition de glutamines
COOH
accumulation et toxicité
Lignée murine R6/2
Transgène
≈160 CAG
(polyQ)
2 kb
Promoteur htt Huntingtine Exon 1
Transgène dans tout le tissu cérébral
sous le contrôle du promoteur de htt
Mortalité
Dégénérescence neuronale
Déficits moteurs et cognitifs
Dysfonctionnement neuronal
Inclusions intranucléaires
4
6
8
10
12
14
16
Semaines
Lignée murine R6/2
striatum R6/2 (S830)
Liévens and Birman, 2003, Med. Sci.
glia
neuron
A : Striatum R6/2
B-D : Cortex R6/2
Shin et al., 2005, J. Cell Biol.
Lignée murine R6/2
RotaRod
350
300
250
Témoin
200
R6/2
150
*
100
50
**
0
4 sem.
8 sem.
12 sem.
Lignée murine R6/2
Activité locomotrice spontanée
Activité verticale
3.0
2.5
2.0
1.5
1.0
0.5
0
*
8 sem.
12 sem.
Témoin
R6/2
Interruption x 1000
Interruption x 1000
Activité horizontale
0.8
0.6
0.4
*
*
0.2
0
8 sem.
12 sem.
Bases cellulaires des déficits comportementaux ?
Dysfonctionnement neuronal : oui
Dysfonctionnement glial ?
Cellules gliales
Système nerveux central
- astrocyte = composition du milieu extracellulaire, support
trophique des neurones, régule la transmission synaptique
-oligodendrocyte = entoure les axones, rôle trophique
- microglie = macrophage
Système nerveux périphérique
- cellule de Schwann = entoure les axones, rôle trophique,
régule la transmission JNM
Fonction gliale : élimination du glutamate extracellulaire
Terminaison
glutamatergique
Astrocyte
Glutamate
EAAT
R
Gl
u
lu
RG
Glutamate
R Glu
neurone postsynaptique
R Glu Récepteur au glutamate
EAAT
Transporteur du glutamate
Mammifère : 5 EAATs
EAAT2 (astroglial)
Drosophile : dEAAT1 (glial)
La fonction des cellules gliales est affectée
dans la lignée R6/2
Témoin 12 sem
R6/2 12 sem
Densité optique
A- ARNm EAAT2
40
Striatum
Cortex cérébral
30
**
20
**
10
0
4
8
Témoin
**
*
*
12
14 sem
R6/2
4
8
12
14 sem
*p<0,05, **p<0,01
B- Protéine EAAT2
Striatum
T R6/2
Cortex
T R6/2
C- Activité de capture du glutamate
Activité de capture du glutamate sur synaptosomes
+ DHK (bloque EAAT2) aucune modification
Liévens et al., 2001, Neurobiol. Dis.
Conclusion 1
- La fonction des astrocytes est altérée dans les modèles murins de
la chorée de Huntington. Cette altération précède la mort neuronale
dans ces modèles et apparaît en absence d’une perte massive des
cellules astrocytaires (Shin et al., 2005, J. Cell Biol.).
- Chez les patients, l’expression du transporteur EAAT2 est
diminuée malgré une prolifération importante des cellules
astrocytaires (Arzberger et al., 1997, J. Neuropathol. Exp. Neurol.).
Le fonctionnement des astrocytes est compromis dans la
chorée de Huntington
R6/2 striatum
glie
neurone
Shin et al., 2005, J. Cell Biol.
Modèles chez la drosophile
Modèles chez la drosophile
Peu encombrant, peu
coûteux, temps de
génération court
Forte conservation des fonctions
physiologiques et des mécanismes
moléculaires avec les vertébrés
Peu ou pas de
redondance génétique
Organisme-modèle simple
Outils génétiques puissants
- lignées mutantes et transgéniques
- expression spatio-temporelle de gènes
Identifier la fonction d’un gène dans un type cellulaire
Tester des hypothèses in vivo dans un système génétiquement connu
Réaliser des cribles génétiques pour identifier des protéines ou des
voies de signalisation modificatrices d’un phénotype
Identifier des cibles thérapeutiques potentielles et les valider par des
approches génétiques et pharmacologiques
Modèles de la chorée de Huntington chez la drosophile
2 lignées transgéniques
20 polyQ
- Httex1p Q20 : Exon 1 Htt + 20 CAG
- Httex1p Q93 : Exon1 Htt + 93 CAG
Système
UAS-GAL4
Promoteur
GMR-GAL4
Cellules de l’oeil
NH2
93 polyQ
NH2
GAL4
ELAV-GAL4
Neurones
UAS
Transgène
REPO-GAL4
cellules gliales
Phénotype ?
mHtt est toxique dans la rétine
5 jours
A
GMR-GAL4
42 jours
GMR-GAL4,
Httex1p Q93
GMR-GAL4
GMR-GAL4,
Httex1p Q93
B
Œil de drosophile
Elav-GAL4
10 jours
Témoin
~ 800 ommatidies
Expression dans rétine
Httex1p Q93
L’expression de mHtt dans les neurones ou la glie diminue la
durée de survie des drosophiles
Mouches vivantes (en %)
100
elav-GAL4 (neurone),
80
Témoi
Httex1p Q93
60
repo-GAL4 (glie),
***
40
témoi
20
Httex1p Q93
0
0
4
8
12
16
20
24
Age après l’éclosion (en jour)
Expression dans les neurones ou la glie
28
Test de géotaxie négative
Drosophiles atteignant le haut ou restant en bas
Score locomoteur = ½(ntotal + nhaut – nbas)/ntotal)
B
Score locomoteur
A
Nombre de drosophiles (%)
L’expression de mHtt dans les neurones ou la glie induit des
déficits locomoteurs
100
**
80
Témoin
60
40
*
20
0
Haut
Bas
Httex1p Q93
***
Haut
Bas
repo-GAL4
elav-GAL4
1
0.8
0.6
0.4
*
**
*
*
*
***
Témoin
Httex1p Q93
0.2
0
4 d 8 d 12 d
elav-GAL4
Expression dans les neurones ou la glie
4 d 8 d 12 d
repo-GAL4
La présence de mHtt dans les neurones induit une
dégénérescence neuronale
Témoin
Elav-GAL4
12 jours
SNC
Httex1p Q93
Immunomarquage Elav
Expression dans les neurones
La présence de mHtt dans les neurones induit une
dégénérescence neuronale
Témoin
Elav-GAL4
12 jours
SNC
Httex1p Q93
Immunomarquage Elav
Corps pédonculés
Témoin
Httex1p Q93
Elav-GAL4
13 jours
γ lobes
α
β
Immunomarquage Fascicline II
Expression dans les neurones
La présence de mHtt dans la glie n’induit pas de
dégénérescence des cellules gliales
dEAAT1-GAL4, UAS-GFP-S65T
Br
OL
cellules par mm2
150
Témoin
100
Httex1p Q20
Httex1p Q93
50
0
21 jours
Expression dans la glie
La présence de mHtt dans la glie n’induit pas de
dégénérescence des cellules gliales
repo-GAL4
Contrôle
Httex1p Q93
Expression dans la glie
dEAAT1-GAL4, UAS-dEAAT1-GFP
A
Httex1p Q20
2 jours
Contrôle
Httex1p Q93
Densité optique (%)
mHtt réduit l’expression du transporteur du glutamate dEAAT1
dans la glie
100
***
75
***
50
25
0
5 jours
2 jours
5 jours
B
14 jours
n
Co
Expression dans la glie
Contrôle
Httex1p Q20
Httex1p Q93
125
le
trô
14 jours
20
93
Q
Q
1p
1p
tex
tt ex
t
H
H
dEAAT1
Western blot
Elav
Conclusion 2
- L’expression neuronale n’induit pas de perte massive des neurones.
La perte neuronale est restreinte à certaines structures du système
nerveux (rétine de l’oeil, corps pédonculés ...)
- L’expression gliale n’induit pas de dégénérescence des cellules
gliales mais un dysfonctionnement, ie une réduction de l’expression
génique de gènes cruciaux pour le fonctionnement du SNC tel que
dEAAT1
Huntingtine mutée dans la glie
dysfonctionnement de la glie
Le fonctionnement des cellules gliales est altéré
par mHtt in vitro
- L’expression de mHtt dans la glie favorise la mort de neurones pourtant
sains
- La présence d’astrocytes sains en co-culture
dégénérescence des neurones exprimant mHtt
retarde
Implication de la glie dans la chorée de Huntington
la
Mécanismes conduisant au dysfonctionnement de la glie ?
L’expression de dEAAT1 est régulée par EGFR et la voie ERK
EGF
récepteur EGF
ERK
AKT
MKP3
dEAAT1
Expression de dEAAT1
Témoin
Egfr
Erk
MKP3
AKT
14 jours
Expression dans la glie
Liévens et al., 2005, Hum. Mol. Genet.
La Huntingtine mutante inhibe la voie EGFR en amont de ERK
EGF
récepteur EGF
ERK
AKT
Huntingtine
mutante
dEAAT1
Httex1p Q93
Httex1p Q93
+ Egfr
15 jours
Expression dans la glie
Httex1p Q93
+ Erk
Fluorescence (%)
Expression de dEAAT1 en présence de la
protéine Huntingtine mutante
300
250
200
150
100
50
0
***
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + Egfr
Httex1p Q93 + Erk
Liévens et al., 2005, Hum. Mol. Genet.
L’expression de polyQ inhibe la voie EGFR dans l’œil de
drosophile
B- 18°C, 5 days
A- 25°C, 5 days
GMR-GAL4
Egfract
not
viable
Q48-myc
Egfract
Q48-myc
+ Egfract
Light microscopy
control
Q48-myc
Q48-myc
+ Egfract
SEM
Light microscopy
Light microscopy
GMR-GAL4
Liévens et al., 2005, Hum. Mol. Genet.
Conclusion 3
GF
récepteur facteur de croissance
Ras
PI3K
ERK
AKT
?
?
?
Huntingtine
mutée
Dysfonctionnement
des cellules gliales
AKT et ERK, deux cibles thérapeutiques dans la chorée de
Huntington ?
Effets de AKT et ERK in vivo ?
AKT et ERK, deux cibles thérapeutiques dans la chorée de
Huntington ?
Crible génétique
Crible génétique sur les modèles drosophiles de la chorée de Huntington
Protéines chaperons
HSP70, HSP40, MRJ…
rétine
Protéines régulant l’apoptose
Apaf1, P53, IAP …
SNC
AKT et ERK, deux cibles thérapeutiques dans la chorée de
Huntington ?
Objectif : Comparer les effets protecteurs induits par
- AKT et ERK = Voies de signalisation anti-apoptotiques
- Protéine chaperon HSP70
La co-expression de AKT réduit la toxicité dans la rétine
GMR-GAL4,
GFP
GMR-GAL4,
ERK
GMR-GAL4,
AKT
42 jours
GMR-GAL4
1
2
GMR-GAL4,
Httex1p Q93 + GFP
GMR-GAL4,
Httex1p Q93 + ERK
4
GMR-GAL4,
Httex1p Q93 + AKT
42 jours
GMR-GAL4,
Httex1p Q93
3
6
Expression dans la rétine
7
8
9
La co-expression de AKT réduit la toxicité dans la rétine
Œil de drosophile
A
Httex1p Q93
Httex1p Q93
+ AKT
Httex1p Q93
+ ERK
Elav-GAL4
10 jours
Contrôle
~ 800
Ommatidies (%)
B
100
80
60
40
20
0
1 jour
100
80
60
40
20
0
0 1 2 3 4 5 6 7
Photorécepteurs par ommatidie
elav-GAL4,
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + AKT
9 jours
0 1 2 3 4 5 6 7
Photorécepteurs par ommatidie
P<0.001 Mann-Whitney U test
Expression dans la rétine
La co-expression de HSP70 réduit la toxicité dans la rétine
A
Httex1p Q93
+ HSP70
GMR-GAL4
Httex1p Q93
elav-GAL4
Httex1p Q93
Httex1p Q93
+ HSP70
Ommatidie (%)
B
100
elav-GAL4,
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + HSP70
80
60
9 jours
40
20
0
0
1
2
3
4
5
6
7
Photorécepteurs par ommatidie
Expression dans le rétine
La co-expression de HSP70 mais pas de AKT réduit la
toxicité dans le SNC
A
elav-GAL4
Témoin
Httex1p Q93
Httex1p Q93
+ ERK
Httex1p Q93
+ AKT
Densité optique (%)
γ lobes
120
100
80
60
40
20
0
elav-GAL4,
Témoi
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + AKT
Httex1p Q93 + ERK
B
elav-GAL4
Témoin
Httex1p Q93
γ lobes
Expression dans les neurones
Httex1p Q93
+ HSP70
Densité optique (%)
10 jours
120
100
80
60
40
20
0
**
10 jours
elav-GAL4,
témoin
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + HSP70
La co-expression de AKT n’allonge pas la survie des
drosophiles
A
Mouches vivantes (en %)
Expression dans les neurones
100
elav-GAL4,
80
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + AKT
Httex1p Q93 + ERK
Témoi
AKT
ERK
60
40
20
0
B
0 4 8 12 16 20 24 28 32
Age après l’éclosion (en jour)
Mouches vivantes (en %)
Expression dans la glie
100
repo-GAL4,
80
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + AKT
Httex1p Q93 + ERK
Témoi
AKT
ERK
60
40
20
0
0 4 8 12 16 20 24 28 32
Age après l’éclosion (en jour)
La co-expression de AKT dans la glie améliore le
comportement locomoteur des drosophiles
A
Nombres de mouches (%)
12 jours
100
80
Httex1p Q93
Haut
Bas
**
60
40
*
20
0
elav-GAL4
Httex1p Q93 + AKT
haut
Bas
repo-GAL4
Score locomoteur
B
1
**
0.8
0.6
Httex1p Q93
0.4
Httex1p Q93 + AKT
0.2
0
elav-GAL4
Expression dans les neurones et la glie
repo-GAL4
La co-expression de HSP70 allonge la survie des
drosophiles
A
Mouches vivantes (%)
Expression dans les neurones
100
elav-GAL4,
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + HSP70
Témoi
HSP70
80
60
***
40
20
0
0 4 8 12 16 20 24 28 32
Age après l’éclosion (en jour)
B
Mouches vivantes (%)
Expression dans la glie
100
repo-GAL4,
80
60
***
40
20
0
0
4 8 12 16 20 24 28 32
Age après l’éclosion (en jour)
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + HSP70
Témoi
HSP70
La co-expression de HSP70 dans les neurones ou la glie
améliore le comportement locomoteur des drosophiles
Score locomoteur
12 jours
1
***
0.8
***
0.6
Httex1p Q93
0.4
Httex1p Q93 + HSP70
0.2
0
elav-GAL4
Expression dans les neurones et la glie
repo-GAL4
Témoin
Httex1p Q93
Httex1p Q93
+ HSP70
CB
OL
B
dEAAT1-GAL4,
dEAAT1-GAL4,
Httex1p Q93 + HSP70 Httex1p Q93
Anti-Httex1p (S830)
Expression dans la glie
Anti-Repo
12 jours
merged
Densité optique (%)
A
dEAAT1-GAL4,
dEAAT-GFP
La co-expression de HSP70 prévient les altérations gliales
10 jours
120
100
80
***
***
60
40
20
0
Cerveau
Lobe optique
dEAAT1-GAL4, dEAAT1-GFP
control
Httex1p Q93
Httex1p Q93 + HSP70
Conclusion 4
- AKT et HSP70 ont des effets bénéfiques similaires dans la rétine
- Protection par AKT ou HSP70 diffère dans le SNC
Sauvetage dans la rétine n’est pas toujours corrélé avec des effets
bénéfiques dans le SNC
Conclusion 4
- AKT et HSP70 ont des effets bénéfiques similaires dans la rétine
- Protection par AKT ou HSP70 diffère dans le SNC
Sauvetage dans la rétine n’est pas toujours corrélé avec des effets
bénéfiques dans le SNC
- mHtt altère le fonctionnement neuronal et glial
- AKT dans la glie améliore le comportement locomoteur
AKT agit de manière « cell type-specific »
Conclusion 4
- AKT et HSP70 ont des effets bénéfiques similaires dans la rétine
- Protection par AKT ou HSP70 diffère dans le SNC
Sauvetage dans la rétine n’est pas toujours corrélé avec des effets
bénéfiques dans le SNC
- mHtt altère le fonctionnement neuronal et glial
- AKT dans la glie améliore le comportement locomoteur
AKT agit de manière « cell type-specific »
- mHtt exprimée dans la glie induit une paralysie suite à un choc
mécanique « bang-sensitivity »
- AKT réduit ce phénotype
La pathologie gliale résulte en partie d’une altération du métabolisme
énergétique
Conclusion 4
- AKT et HSP70 ont des effets bénéfiques similaires dans la rétine
- Protection par AKT ou HSP70 diffère dans le SNC
Sauvetage dans la rétine n’est pas toujours corrélé avec des effets
bénéfiques dans le SNC
- mHtt altère le fonctionnement neuronal et glial
- AKT dans la glie améliore le comportement locomoteur
AKT agit de manière « cell type-specific »
- mHtt exprimée dans la glie induit une paralysie suite à un choc
mécanique « bang-sensitivity »
- AKT réduit ce phénotype
La pathologie gliale résulte en partie d’une altération du métabolisme
énergétique
Neurogenetics, Guy’s hospital, London
Gillian P Bates
Ben Woodman
Anj Mahal
IC2N, Marseille
Lydia Kerkerian-Le Goff
Denise Samuel
Génétique de de la Neurotransmission, IBDML, Marseille
Serge Birman
Marie-Thérèse Besson
INSERM U114, Paris
Magali Iché
Hervé Chneiweiss
Thomas Rival
Hélène Coulom
Microscopie, IBDML, Marseille
Jean-Paul Chauvin
Ce travail a été financé par
Interactions neurone-glie, NICN, Marseille
Catherine Faivre-Sarrailh
Monique Laval
Christophe Bel
Christophe Pitaval
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