QUESTIONNAIRE D’EVALUATION soumis aux participants pendant la formation En vert les réponses correctes Egalement disponible sur jbcneckerpasteur.fr rubrique DPC /« Questionnaire » CONFERENCES DU LUNDI 19 JANVIER 2015 L’hémophilie en 2015 Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont vraies ? Question A1 - L’hémophilie : Est une maladie hémorragique. Est une maladie articulaire. Est une maladie génétique. Ne touche que les garçons. Est une maladie acquise. x x x x x Question A2 - Un inhibiteur : Ne survient que dans l’hémophilie sévère. Peut toucher l’hémophilie A sévère, modérée ou atténuée. Ne survient que dans l’hémophilie A. Peut survenir chez une femme. x x x x Question A3 - Les résultats : Le taux de FVIII mesuré dans le sang est identique quel que soit la méthode de dosage utilisée. Toutes les céphalines ont la même sensibilité aux déficits en facteurs de coagulation de la voie endogène. La méthode chromogénique est la méthode de dosage du FVIII la plus fiable chez un hémophile A traité. x Actualités de la leucémie lymphoïde chronique Question B1 – Concernant les mutations de TP53/délétion 17p au cours de la LLC, quelles sont celles qui sont vraies : Les mutations de TP53 / délétions TP53 sont observées chez environ 10% des patients avant traitement. Les mutations de TP53 / délétions TP53 clonales ou sous clonales ont le même pronostic. Les mutations de TP53 / délétions TP53 sont de mauvais pronostic. Les mutations de TP53 / délétions TP53 sont stables au cours de l’évolution de la maladie. Les mutations de TP53 / délétions TP53 sont responsables d’une résistance à la chimiothérapie. x x x x Question B2 – Concernant les mutations observées au cours de la LLC quelle(s) affirmation(s) est (sont) vraies ? Les mutations sont clonales et sous clonales. La mutation BIRC 3 est de bon pronostic. Les mutations n’ont pas d’impact sur la prise en charge thérapeutique. Elles peuvent être observées dans des cellules souches CD34+CD19 Elles sont spécifiques de la LLC. x x Question B3 – Concernant les nouvelles drogues de la LLC quelle(s) affirmation(s) est (sont) vraies ? Les inhibiteurs du BCR entraînent une hyperlymphocytose. L’ibrutinib inhibe l’agrégation plaquettaire et peut être responsable d’hémorragies. Aucun mécanisme de résistance n’a été décrit pour le moment. Les BH3 mimétiques sont des inhibiteurs du BCR. Les inhibiteurs du BCR ne sont pas efficaces chez les patients avec mutation de TP53. x x Cryoglobulinémie Question C1 - Une cryoglobuline : Est une immunoglobuline qui ne reconnaît les antigènes qu'à +4°C. Précipite réversiblement à une température < 37°C. Peut entraîner l'apparition d'une vascularite cutanée. Peut être associée au virus de l'hépatite C. Peut avoir une activité facteur rhumatoïde. x x x x Question C2 - Parmi les propositions suivantes concernant les cryoglobulines, quelle est celle ou quelles sont celles qui sont vraies : Elles doivent être recherchées dans le sérum provenant d'un échantillon de sang conservé à 37°C dès le prélèvement. Le prélèvement pour recherche de cryoglobuline doit être fait sur des tubes secs sans gel séparateur. La mise en évidence du cryoprécipité se fera sur un tube conservé à 37°C. L'absence de cryoprécipité pourra être affirmée uniquement si le sérum a été conservé à +4°C pendant au moins 5 jours. Le typage est réalisé par une technique d'immunofixation. x x Question C3 - Parmi les propositions suivantes concernant les cryoglobulines, quelle est celle ou quelles sont celles qui sont vraies : Si le typage retrouve une Ig M Kappa monoclonale et des Ig G polyclonales, il s'agit d'une cryoglobuline de type 2. Les cryoglobulines de type 3 sont constituées par l'association d'une cryoglobuline monoclonale et de cryoglobulines G et M polyclonales. Les cryoglobulines de type 1 sont associées à des maladies hématologiques de la lignée B. Une cryoglobuline peut entraîner une augmentation du taux CH50 et de la fraction C4 du complément. Les plasmaphérèses peuvent être proposées comme traitement si la cryoglobulinémie est élevée, et permettent une réduction importante de son taux. x x x Apport diagnostique de la cytologie en pédiatrie Question D1 - Anomalies morphologiques sur frottis sanguins classiquement observés pour les patients atteints de mucopolysaccharidose : Lymphocytes de Gasser. Lymphocytes vacuolés. Lymphocytes rhodocircés. Histiocytes vacuolés. Lymphocytes à grains. Anomalie d’Adler. x x x x Question D2 - Anomalies cytologiques évocatrices de la maladie de Chediak-Higashi : Lymphocytes vacuolés. Lymphocytes avec une ou deux inclusions rouge vif. Polynucléaires avec granulations anormales. x x Question D3 - Parmi les propositions suivantes lesquelles sont les vraies : Au cours des cytopathies mitochondriales avec répercussion hématologique, l’anémie est microcytaire, sidéroblastique, arégénérative. Au cours des cytopathies mitochondriales avec répercussion hématologique, on retrouve une vacuolisation des précurseurs érythroïdes et myéloïdes, une dysérythropoïèse et des sidéroblastes en couronne. Au cours des troubles intrinsèques de la vitamine B12, le myélogramme peut révéler une lignée erythroide effondrée. x x Question D4 - Parmi les propositions suivantes lesquelles sont les vraies : Sur frottis sanguins de patient atteint de la maladie de Niemann Pick, on peut observer des lymphocytes vacuolés avec des vacuoles larges et multiples. L’histiocyte de Gaucher est spécifique de la maladie de Gaucher, parmi les maladies de surcharge lysosomales. Seul un grand nombre d’histiocytes vacuolés sont évocateurs d’une maladie de surcharge. x x DEMONSTRATIONS DU MERCREDI 21 JANVIER 2015 Cas clinique : interprétation des gaz du Sang Question E1 - Cocher les propositions exactes concernant les gaz du sang : La pression partielle en CO2 est calculée à partir de la concentration en bicarbonates. La pression partielle en CO2 est un reflet du niveau de ventilation alvéolaire. L’excès de base (Base excess) est mesuré. L’excès de base fourni un renseignement sur la composante métabolique du trouble acido-basique. La valeur normale de pression partielle en O2 avant 75 ans dépend de l’âge chez l’adulte. x x x Question E2 - Cocher les propositions exactes concernant la pression partielle en oxygène : Elle dépend du niveau de ventilation alvéolaire. Abaissée, elle définit une hypoxémie. Il existe plusieurs mécanismes physiopathologiques pouvant générer une hypoxémie. Elle dépend du niveau de Fraction Inspirée en oxygène. Elle est abaissée lors d’une anémie (chez un patient sans pathologie respiratoire). x x x x Question E3 - Cocher la ou les réponses exactes : La pression partielle en oxygène peut baisser par diffusion au travers des parois de la seringue plastique de prélèvement. La pression partielle en oxygène peut baisser par consommation par des éléments cellulaires sanguins. Le calcul de la différence alvéolo-artérielle en oxygène permet de corriger la pression partielle en oxygène pour le niveau de ventilation alvéolaire. Lors d’une hypoventilation alvéolaire pure, la différence alvéolo-artérielle en oxygène est augmentée. Un shunt résulte d’un territoire alvéolaire ventilé mais non perfusé. x x x Cas clinique : anomalies de l'hémostase Question F1 - Parmi les propositions suivantes concernant l'hémophile acquise, lesquelles sont vraies ? Elle disparait toujours spontanément. Elle n'atteint que les hommes. Le TCA mesuré sur un mélange de plasma du malade à du plasma témoin est toujours corrigé. Elle survient essentiellement chez le sujet âgé. Elle est toujours associée à un anticoagulant circulant de type lupique. Question F2 - Parmi les propositions suivantes concernant le dabigatran, lesquelles sont vraies ? Il interfère sur la mesure du TCA. Le pic d'activité se situe 2 heures après la prise du médicament. Le dosage de l'activité anti-IIa du dabigatran peut se faire par un test dédié dérivé du temps de thrombine diluée ou par un test dédié utilisant l'écarine. Le temps de thrombine permet de savoir si le patient est observant. Il n'interfère pas avec la recherche d'un anticoagulant circulant de type lupique. Question F3 - Parmi les propositions suivantes concernant le rivaroxaban, lesquelles sont vraies ? Il peut interférer sur la mesure du temps de Quick et du TCA. Il peut modifier le temps de thrombine. Son activité anticoagulante peut être mesurée par une adaptation de la mesure de l'activité anti-Xa. Il peut perturber le dosage des facteurs du TP (II, V, VII et X). Il interfère avec la mesure de l'activité anti-Xa des héparines. Jeux autour de l’antibiogramme Question G1 - Parmi les espèces bactériennes suivantes, quelles sont celles qui peuvent acquérir une résistance aux glycopeptides ? Enterococcus faecium Escherichia coli Eterococcus faecalis Pseudomonas aeruginosa Streptococcus pneumoniae Staphylococcus aureus x x x Question G2 – « Escherichia coli » peut devenir résistant au céfotaxime (ou à la ceftriaxone) par : Modification de la membrane cytoplasmique Production d'une beta-lactamase à spectre étendue (BLSE) Production d'une pénicillinase de type TEM Production d'une pénicillinase de type TRI Production d'une carbapénémase Hyperproduction de céphalosporinase chromosomique x x x Question G3 - Pseudomonas aeruginosa peut devenir résistant à la ceftazidime par : Production d'une beta-lactamase à spectre étendue (BLSE) Hyperproduction de céphalosporinase chromosomique Production d'une pénicillinase Modification de l'ADN gyrase Production d'une carbapénémase x x x Merci pour votre participation ! Retrouvez ce questionnaire en ligne sur jbcneckerpasteur.fr rubrique DPC / « Questionnaire » Association pour l’Organisation des Journées de Biologie Clinique Necker ● Institut Pasteur www.jbcneckerpasteur.fr Association Loi 1901 Siret 311 946 610 00012 – APE 9499Z – TVA FR41 311946610 Référence programme OGDPC 60941500001 DA formation 11 75 05677 75 Secrétariat C°/ DoYouMeanBlue 25 rue Balard 75015 Paris +33 (0)1 45 57 34 12 QUESTIONNAIRE D’EVALUATION soumis aux participants pendant la formation Egalement disponible sur jbcneckerpasteur.fr rubrique DPC /« Questionnaire » CONFERENCES DU LUNDI 19 JANVIER 2015 L’hémophilie en 2015 Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont vraies ? Question A1 - L’hémophilie : Est une maladie hémorragique. Est une maladie articulaire. Est une maladie génétique. Ne touche que les garçons. Est une maladie acquise. Question A2 - Un inhibiteur : Ne survient que dans l’hémophilie sévère. Peut toucher l’hémophilie A sévère, modérée ou atténuée. Ne survient que dans l’hémophilie A. Peut survenir chez une femme. Question A3 - Les résultats : Le taux de FVIII mesuré dans le sang est identique quel que soit la méthode de dosage utilisée. Toutes les céphalines ont la même sensibilité aux déficits en facteurs de coagulation de la voie endogène. La méthode chromogénique est la méthode de dosage du FVIII la plus fiable chez un hémophile A traité. Actualités de la leucémie lymphoïde chronique Question B1 – Concernant les mutations de TP53/délétion 17p au cours de la LLC, quelles sont celles qui sont vraies : Les mutations de TP53 / délétions TP53 sont observées chez environ 10% des patients avant traitement. Les mutations de TP53 / délétions TP53 clonales ou sous clonales ont le même pronostic. Les mutations de TP53 / délétions TP53 sont de mauvais pronostic. Les mutations de TP53 / délétions TP53 sont stables au cours de l’évolution de la maladie. Les mutations de TP53 / délétions TP53 sont responsables d’une résistance à la chimiothérapie. Question B2 – Concernant les mutations observées au cours de la LLC quelle(s) affirmation(s) est (sont) vraies ? Les mutations sont clonales et sous clonales. La mutation BIRC 3 est de bon pronostic. Les mutations n’ont pas d’impact sur la prise en charge thérapeutique. Elles peuvent être observées dans des cellules souches CD34+CD19 Elles sont spécifiques de la LLC. Question B3 – Concernant les nouvelles drogues de la LLC quelle(s) affirmation(s) est (sont) vraies ? Les inhibiteurs du BCR entraînent une hyperlymphocytose. L’ibrutinib inhibe l’agrégation plaquettaire et peut être responsable d’hémorragies. Aucun mécanisme de résistance n’a été décrit pour le moment. Les BH3 mimétiques sont des inhibiteurs du BCR. Les inhibiteurs du BCR ne sont pas efficaces chez les patients avec mutation de TP53. Cryoglobulinémie Question C1 - Une cryoglobuline : Est une immunoglobuline qui ne reconnaît les antigènes qu'à +4°C. Précipite réversiblement à une température < 37°C. Peut entraîner l'apparition d'une vascularite cutanée. Peut être associée au virus de l'hépatite C. Peut avoir une activité facteur rhumatoïde. Question C2 - Parmi les propositions suivantes concernant les cryoglobulines, quelle est celle ou quelles sont celles qui sont vraies : Elles doivent être recherchées dans le sérum provenant d'un échantillon de sang conservé à 37°C dès le prélèvement. Le prélèvement pour recherche de cryoglobuline doit être fait sur des tubes secs sans gel séparateur. La mise en évidence du cryoprécipité se fera sur un tube conservé à 37°C. L'absence de cryoprécipité pourra être affirmée uniquement si le sérum a été conservé à +4°C pendant au moins 5 jours. Le typage est réalisé par une technique d'immunofixation. Question C3 - Parmi les propositions suivantes concernant les cryoglobulines, quelle est celle ou quelles sont celles qui sont vraies : Si le typage retrouve une Ig M Kappa monoclonale et des Ig G polyclonales, il s'agit d'une cryoglobuline de type 2. Les cryoglobulines de type 3 sont constituées par l'association d'une cryoglobuline monoclonale et de cryoglobulines G et M polyclonales. Les cryoglobulines de type 1 sont associées à des maladies hématologiques de la lignée B. Une cryoglobuline peut entraîner une augmentation du taux CH50 et de la fraction C4 du complément. Les plasmaphérèses peuvent être proposées comme traitement si la cryoglobulinémie est élevée, et permettent une réduction importante de son taux. Apport diagnostique de la cytologie en pédiatrie Question D1 - Anomalies morphologiques sur frottis sanguins classiquement observés pour les patients atteints de mucopolysaccharidose : Lymphocytes de Gasser. Lymphocytes vacuolés. Lymphocytes rhodocircés. Histiocytes vacuolés. Lymphocytes à grains. Anomalie d’Adler. Question D2 - Anomalies cytologiques évocatrices de la maladie de Chediak-Higashi : Lymphocytes vacuolés. Lymphocytes avec une ou deux inclusions rouge vif. Polynucléaires avec granulations anormales. Question D3 - Parmi les propositions suivantes lesquelles sont les vraies : Au cours des cytopathies mitochondriales avec répercussion hématologique, l’anémie est microcytaire, sidéroblastique, arégénérative. Au cours des cytopathies mitochondriales avec répercussion hématologique, on retrouve une vacuolisation des précurseurs érythroïdes et myéloïdes, une dysérythropoïèse et des sidéroblastes en couronne. Au cours des troubles intrinsèques de la vitamine B12, le myélogramme peut révéler une lignée erythroide effondrée. Question D4 - Parmi les propositions suivantes lesquelles sont les vraies : Sur frottis sanguins de patient atteint de la maladie de Niemann Pick, on peut observer des lymphocytes vacuolés avec des vacuoles larges et multiples. L’histiocyte de Gaucher est spécifique de la maladie de Gaucher, parmi les maladies de surcharge lysosomales. Seul un grand nombre d’histiocytes vacuolés sont évocateurs d’une maladie de surcharge. DEMONSTRATIONS DU MERCREDI 21 JANVIER 2015 Cas clinique : interprétation des gaz du Sang Question E1 - Cocher les propositions exactes concernant les gaz du sang : La pression partielle en CO2 est calculée à partir de la concentration en bicarbonates. La pression partielle en CO2 est un reflet du niveau de ventilation alvéolaire. L’excès de base (Base excess) est mesuré. L’excès de base fourni un renseignement sur la composante métabolique du trouble acido-basique. La valeur normale de pression partielle en O2 avant 75 ans dépend de l’âge chez l’adulte. Question E2 - Cocher les propositions exactes concernant la pression partielle en oxygène : Elle dépend du niveau de ventilation alvéolaire. Abaissée, elle définit une hypoxémie. Il existe plusieurs mécanismes physiopathologiques pouvant générer une hypoxémie. Elle dépend du niveau de Fraction Inspirée en oxygène. Elle est abaissée lors d’une anémie (chez un patient sans pathologie respiratoire). Question E3 - Cocher la ou les réponses exactes : La pression partielle en oxygène peut baisser par diffusion au travers des parois de la seringue plastique de prélèvement. La pression partielle en oxygène peut baisser par consommation par des éléments cellulaires sanguins. Le calcul de la différence alvéolo-artérielle en oxygène permet de corriger la pression partielle en oxygène pour le niveau de ventilation alvéolaire. Lors d’une hypoventilation alvéolaire pure, la différence alvéolo-artérielle en oxygène est augmentée. Un shunt résulte d’un territoire alvéolaire ventilé mais non perfusé. Cas clinique : anomalies de l'hémostase Question F1 - Parmi les propositions suivantes concernant l'hémophile acquise, lesquelles sont vraies ? Elle disparait toujours spontanément. Elle n'atteint que les hommes. Le TCA mesuré sur un mélange de plasma du malade à du plasma témoin est toujours corrigé. Elle survient essentiellement chez le sujet âgé. Elle est toujours associée à un anticoagulant circulant de type lupique. Question F2 - Parmi les propositions suivantes concernant le dabigatran, lesquelles sont vraies ? Il interfère sur la mesure du TCA. Le pic d'activité se situe 2 heures après la prise du médicament. Le dosage de l'activité anti-IIa du dabigatran peut se faire par un test dédié dérivé du temps de thrombine diluée ou par un test dédié utilisant l'écarine. Le temps de thrombine permet de savoir si le patient est observant. Il n'interfère pas avec la recherche d'un anticoagulant circulant de type lupique. Question F3 - Parmi les propositions suivantes concernant le rivaroxaban, lesquelles sont vraies ? Il peut interférer sur la mesure du temps de Quick et du TCA. Il peut modifier le temps de thrombine. Son activité anticoagulante peut être mesurée par une adaptation de la mesure de l'activité anti-Xa. Il peut perturber le dosage des facteurs du TP (II, V, VII et X). Il interfère avec la mesure de l'activité anti-Xa des héparines. Jeux autour de l’antibiogramme Question G1 - Parmi les espèces bactériennes suivantes, quelles sont celles qui peuvent acquérir une résistance aux glycopeptides ? Enterococcus faecium Escherichia coli Eterococcus faecalis Pseudomonas aeruginosa Streptococcus pneumoniae Staphylococcus aureus Question G2 – « Escherichia coli » peut devenir résistant au céfotaxime (ou à la ceftriaxone) par : Modification de la membrane cytoplasmique Production d'une beta-lactamase à spectre étendue (BLSE) Production d'une pénicillinase de type TEM Production d'une pénicillinase de type TRI Production d'une carbapénémase Hyperproduction de céphalosporinase chromosomique Question G3 - Pseudomonas aeruginosa peut devenir résistant à la ceftazidime par : Production d'une beta-lactamase à spectre étendue (BLSE) Hyperproduction de céphalosporinase chromosomique Production d'une pénicillinase Modification de l'ADN gyrase Production d'une carbapénémase Merci pour votre participation ! Retrouvez ce questionnaire en ligne sur jbcneckerpasteur.fr rubrique DPC / « Questionnaire » Association pour l’Organisation des Journées de Biologie Clinique Necker ● Institut Pasteur www.jbcneckerpasteur.fr Association Loi 1901 Siret 311 946 610 00012 – APE 9499Z – TVA FR41 311946610 Référence programme OGDPC 60941500001 DA formation 11 75 05677 75 Secrétariat C°/ DoYouMeanBlue 25 rue Balard 75015 Paris +33 (0)1 45 57 34 12