Bulletin de la Société Astronomique du Valais Romand Page 9
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13.1 – Se mouilla pour franchir l'obstacle.
13.2 – Lignes de front.
13.3 – Rappel de cabots.
14.1 – Certains le plaquent, d'autre le planquent.
14.1 – Procédé initié en 1859 par le physicien allemand Carl
Friedrich Zollner. Il permet une mesure précise de la lumino-
sité apparente d'une étoile par comparaison avec une source
calibrée. Ainsi, en connaissant la distance de l'astre, on peut
en calculer la luminosité absolue ou, connaissant sa lumino-
sité absolue, on peut en évaluer la distance.
Verticalement
1.1 – Scientifique, philosophe, médecin, chimiste, historien
et photographe américain, d'origine anglaise (1811-1882).
Ses recherches en photochimie lui permirent d'améliorer le
"Daguerréotype". En 1840 il réalisa la première astrophoto-
graphie, une image de la Lune. Son fils Henry (1837-1882)
réalisa en 1880, la première photographie d'une nébuleuse.
Un catalogue d'étoiles porte son nom.
1.2 – Flux qui peu influe quand il conflue.
1.3 – Chinoiserie ludique.
2.1 – Répare un accroc.
2.2 – Auteur dramatique et romancier britannique (1814-
1884) surnommé "le Zola anglais".
2.3 – A faire pour la belle.
3.1 – Technique permettant la création d'images par l'action
de la lumière. Le procédé consistant à projeter une image in-
versée de la réalité dans une chambre noire, à travers un petit
trou (sténopé), était connu depuis l'antiquité. Les alchimistes
savaient aussi que la lumière avait la propriété de noircir cer-
taines matières, comme le chlorure d'argent. La première
image, fixée sur une plaque d'étain recouverte de bitume de
Judée fut réalisée vers 1726 par Joseph Nicéphore Niepce.
Son invention est améliorée par Louis Jacques Mandé Da-
guerre. Son daguerréotype permettait de réduire considéra-
blement le temps de pose. Il trouvera un chaud partisan en la
personne de François Arago qui présente, en 1839, l'inven-
tion à l'académie des sciences de Paris en affirmant que celle-
ci va ouvrir un champ d'investigation entièrement nouveau
pour l'astronomie.
4.1 – Théâtre populaire romand.
4.2 – Particule bien connue des scientifiques.
4.3 – Seigneurie partagée mais inversée.
5.1 – Après tu.
5.2 – No 2, masse atomique : 4.
5.3 – Se conservent plus longtemps en milieu fermé.
6.1 – L'outil de base de l'astronome, utilisant des miroirs
pour concentrer la lumière provenant des astres (réflecteur).
Il remplace le réfracteur, descendant de la lunette de Galilée,
pour les usages professionnels moderne, car sa technologie
autorise la construction d'instruments de grand diamètre. On
doit ses premières réalisations à Newton et à Cassegrain.
Foucault et Steinbell lui apportent une amélioration capitale
en l'équipant, en 1857, d'un miroir en verre poli, argenté se-
lon la méthode découverte par Liebig. La voie est ouverte à la
construction d'instruments géants où plaques photographi-
ques et spectrographes remplaceront l'oculaire.
6.2 – Peintre, sculpteur et céramiste catalan (1893-1983).
7.1 – 300 mille russes sur l'Oka.
7.2 – Ne paît plus.
7.3 – Fit le gai.
8.1 – Grande personne.
8.2 – Quartier de Berne.
8.3 – L'ut des classes.
9.1 – Opticien et physicien allemand (1787-1826). En
1814, il inventa un spectroscope avec lequel il réussit à
observer et à cartographier 576 raies sombres (raies d'ab-
sorption) dans le spectre du Soleil. En analysant le spectre
d'autres étoiles, il remarqua la présence, à certains en-
droits, de raies identiques, ainsi que l'absence, à d'autres
endroits, de raies présentes dans le Soleil. Gustav Robert
Kirschoff et Robert Wilhelm Bunsen expliquèrent le phé-
nomène en 1859 par l'analyse spectrale.
9.2 – Un million d'électrons-volts inversés.
10.1 – Double.
10.2 – Morue.
10.3 – Fort rond.
11.1 – Nouvelle forme de communication qui ne privilé-
gie ni le style, ni l'orthographe.
11.2 – Chimiste allemand (1803-1873). Il apporta des
contributions majeures à la chimie organique et à l'agri-
culture. Il inventa les engrais azotés. En 1835, il met au
point un procédé permettant de déposer une fine couche
d'argent sur une surface de verre préalablement polie.
12.1 – Chimiste allemand (1811-1899) qui ne doit pas
seulement sa réputation à son bec. Gustav Kirchhoff et lui
menèrent des expériences sur la base desquelles ils
conclurent que les constituants d'un gaz ne pouvaient
émettre ou absorber de la lumière que pour quelques lon-
gueurs d'onde bien définies, contrairement à un corps
noir. Lorsqu'ils observaient un gaz chaud, le spectre était
constitué de raies d'émission aux longueurs d'onde que
ces constituants étaient capables d'émettre. Lorsqu'ils ob-
servaient un gaz froid placé devant un corps noir, les
constituants du gaz absorbaient la lumière à ces longueurs
d'onde, d'où les raies d'absorption superposées au spectre
continu du corps noir. Ils firent une découverte encore
plus importante lorsqu'ils constatèrent qu'à un gaz donné
correspondait un ensemble bien défini de raies. Par exem-
ple, le gaz de sodium se caractérisait par deux raies dans
la partie jaune du spectre visible. Cette découverte consti-
tuait une avancée majeure en astronomie car, à partie de
l'étude du spectre d'une étoile et de ses raies, il devenait
possible de déterminer sa composition à distance.
12.2 – Arrivé après avoir été attendu.
12.3 – Présentable sous forme de comprimé.
13.1 – Ordre d'expédition.
13.2 – Éminence qui grise.
13.3 – Début d'épitaphe.
14.1 – Procédé d'analyse de la lumière d'un corps céleste
initié par Joseph von Fraunhofer en 1814. Poursuivant les
travaux d'Isaac Newton sur la décomposition de la lu-
mière blanche, celui-ci remarque, grâce à un instrument
de son invention, une multitude de raies sombres dans le
spectre qu'il a obtenu en décomposant la lumière du So-
leil.