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Remerciements
Cette thèse est l'aboutissement d'un travail de recherche que j'ai débuté il y a maintenant plus
de 6 ans, en 1999, alors que je venais de soutenir ma thèse de Médecine. Bien que ce soit mon
nom qui figure en première page, ce travail est une oeuvre collective et je tiens à remercier
tous ceux qui y ont participé. Remerciements, donc:
A tous les membres du Service de Physiologie Clinique et des Explorations Fonctionnelles du
Département de Physiologie de la Faculté de Médecine de Strasbourg, qui ont quasiment tous
participé, à un moment ou à un autre, au projet "SLA/mitochondrie": Joffrey Zoll, Florence
Ribera, Jean Lonsdorfer, Eliane Lampert, Elodie Ponsot, Benoît N'Guessan, Ruddy
Richard et Stéphane Doutreleau.
A mes maîtres et à mes collègues du Département de Neurologie du CHU de Strasbourg, qui
m'ont permis de surmonter les obstacles administratifs, qui m'ont adressé bon nombre des
patients inclus dans ces études ou qui m'ont soutenu lorsque mon enthousiasme était au plus
bas: Jean-Marie Warter (g), Christine Tranchant, Sophie Carré, Marie Fleury et
François Sellal.
Aux membres de l'équipe INSERM U-692, qui m'ont accueilli et qui m'ont permis de
participer au projet "SLA/Nogo": Jean-Philippe Loeffler, Luc Dupuis, Jose-Luis Gonzalez
de Aguilar, Yves Larmet, Frédérique René et Natasa Jokic.
A tous mes collègues doctorants de l'équipe INSERM U-692, pour leur bonne humeur au
quotidien et pour leurs précieux conseils techniques: Anissa Fergani, Irina Pantaleeva,
Bastien Fricker, Benoît Halter, Samir Benosman, Caroline Rouaux et Carole
Honigmann.
Aux membres du jury, qui ont accepté de juger ce travail: le Professeur Catherine Lorentz,
le Professeur Christine Tranchant, le Professeur Vincent Meininger, le Professeur Jean
Pouget et le Professeur Xavier Leverve.
Aux organismes qui m'ont soutenu financièrement: la Faculté de Médecine de Strasbourg
(Bourse Jeune Chercheur), l'Association pour la Recherche contre la Sclérose Latérale
amyotrophique (ARS) et l'Académie Nationale de Médecine (Bourse Collery).
A tous ceux qui ne m’ont pas aidé alors qu’ils auraient pu le faire; au final, ils m'ont fait
avancer encore plus vite.
A mes parents, à Anne, à Marie et à Camille: sans vous, rien n'eût été possible.