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Remerciements
Tout d’abord, j’aimerais adresser mes remerciements à Monsieur Alfred E. Schiller, Président de la
société SCHILLER, Monsieur Jean-Jacques Schmid, Vice-Président et Directeur scientifique de la
société SCHILLER, Monsieur le Professeur Jacques Felblinger, Directeur du laboratoire d’Imagerie
Adaptative Diagnostique et Interventionnelle UHP INSERM (ERI 13) et Monsieur le Professeur Didier
Wolf du Centre de Recherche en Automatique de Nancy CNRS-UMR 7039. Ce sont eux qui ont rendu
cette thèse possible. C’était une grande expérience de pouvoir réaliser cette thèse en relation avec
l’industrie, d’en voir les limites, mais aussi de trouver des résultats directement utiles à l’industrie.
De même, je n’oublierai pas les bonnes expériences faites en aidant à monter un laboratoire. Au cours
du temps, il y a eu beaucoup de changements et d’avancées. J’aimerais donc remercier les
personnes du laboratoire que j’ai rencontré au cours de ma thèse. Entre autres, j’aimerais mentionner
Cédric Pasquier, Freddy Odille, Pierre-André Vuissoz et les stagiaires Martin Jenk, Benjamin Stamm
et Cipriano Serrau. J’adresse également un grand merci au personnel du CHU de Nancy Brabois pour
leur travail pendant les vacations d’IRM.
D’autre part, j’aimerais exprimer mes remerciements à Michel Kraemer, chef du projet Maglife qui m’a
fait profiter de sa profonde expérience ainsi qu’à Roland Fischer, Gilbert Rempp et Court Goehry de
SCHILLER Médical à Wissembourg. Dans l’équipe de SCHILLER à Baar, j’aimerais remercier toutes
les personnes du développement, de la production, du service et du bureau de documentation qui se
sont trouvées en relation avec ma thèse. J’aimerais en particulier remercier Remo Leber et Jean-
Jacques Schmid pour les discussions, parfois infiniment longues, mais très fructueuses qu’ils m’ont
accordé. Tous les membres du jury sont également remerciés pour avoir accepté de juger mon travail.
Leurs remarques ont été très utiles pour améliorer cette thèse.
Et finalement, j’aimerais remercier Stephan Heiss qui a relu cette thèse en dépensant beaucoup de
son temps libre ainsi que Katja Arregger pour son soutien personnel durant toute la thèse.
Ce travail a été partiellement financé par le ministère de l’industrie et de la recherche française dans le
cadre d’un contrat RNTS (Réseau National des Technologies pour la Santé).