Dossier de presse - Théâtre Parenthèse

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Dossier de presse
Groupe Enfin L’Hiver
Laurence Folco
2177 rue masson, suite 311
Montréal, Québec
Agent de communication
(514) 962-6719
[email protected]
Le Groupe
Enfin L’Hiver présente….
Jean et Béatrice
Un texte de Carole Fréchette
Mise en scène d’Alexis Roy
Distribution : Diane Cormier et Hugo Turgeon
Salle Jean-Pierre Bélanger
Théâtre Parenthèse
2177 Masson, suite 311
Montréal
Les jeudi, vendredi et samedi | 20h00
Février 25 | Mars 1 | Mars 2 | Mars 3 | Mars 8 | Mars 9 |
Mars 10 | Mars 16 | Mars 17
Avis aux hommes de cette ville : «Jeune héritière, lucide et intelligente,(...)
cherche un homme qui pourrait l’intéresser, l’émouvoir et la séduire, dans
l’ordre (...).»
Une femme logeant au 33ième étage place cette annonce en promettant
une récompense substantielle. Elle attend l’homme qui voudra bien tenter les épreuves.
Jean se présente à elle avec l’ardent désir de remporter la prime, mais Béatrice hausse les enchères : il s’agit d’inventer l’amour.
Billetterie :
(514) 223-2031
[email protected]
Le mot du metteur en scène
‘’Que je sois clown acteur ou conteur, ce qui m’intéresse c’est la conversation émotive avec le public. Cette
relation complémente la parole ; elle se joue dans le corps, le rythme, le regard.
L’écoute constitue un élément essentiel de cette dynamique et alimente la présence vivante sur scène.
Je travaille à développer des outils qui favorisent cette dimension relationnelle du jeu.
Ce rendez-vous du public et de l’acteur est impossible sans la dramaturgie. Le choix d’un texte fort, sa
représentation et son interprétation par des artistes engagés émotivement, permet l’aboutissement d’un long
travail de création.
Jean et Béatrice c'est raconter des histoires et se raconter des histoires, y croire, se croire, laisser gouverner
l’espoir, donner un sens à son imaginaire, croire que
c’est réel, s’illusionner, fusionner dans ses rêves, chercher l’autre
en soi, soi en l’autre, rêver d’amour, aimer ses rêves.
C'est aussi donner espoir au petit rien de sa vie, créer une brèche,
chercher en l’autre le soi en soi. Tout ça, c'est en fait se battre pour
se sentir vivant, se débattre dans l’océan de notre solitude, une goutte
d’eau et c’est la dérive. Plus rien et tout, je te cherche mon grand
amour, je ne te trouve plus et pourtant tu étais si vrai dans mes rêves.
Jean et Béatrice, un bateau, un océan, une lune, un soleil, deux êtres qui cherchent la blessure à comprendre,
le tourment dans l’autre. Jean et Béatrice, un naufrage, le nôtre, le vôtre une étincelle, un grain de sable, une
particule de l’infini qui nous habite.
Je souhaite que Jean et Béatrice vous touche, vous bouleverse et vous engage dans une réflexion personnelle et
humaine. Je vous propose donc une belle aventure avec deux acteurs formidables et sensibles, Diane
Cormier et Hugo Turgeon.’’
Bon voyage
Alexis Roy
Le mot des comédiens
«Jean et Béatrice me troublent parce qu’ils nous
projettent une pensée magique qui règne en maître
dans notre vie moderne. Notre monde semble
s’accommoder de solutions simples à tout
problème humain, évacuant la complexité et le
temps que cela exige. Parfois je m’ennuie des
paroles des plus vieux qui se répétaient à travers
la cuisine, qui se ruminaient au salon et qui
donnaient un sens finalement à nos drames humains.
Pour jouer ce texte, j’avais besoin d’être entourée
’artistes enracinés et amoureux de leur histoire afin de pouvoir plonger dans cette folie. Merci de tout cœur aux artistes
et artisans qui n’ont pas peur de s’indigner…»
Diane Cormier
«Au début, j’ai aimé la situation de base. Puis, je suis tombé
amoureux de Béatrice, de sa folie, de son intensité, et de
Jean, un personnage complexe, le défi que j'attendais. En ce
moment, ce qui me fascine, c'est le choc de la rencontre de
leurs deux imaginaires... C'est un texte qui se dévoile peu à
peu, où la première idée n'est pas toujours la meilleure. Diane
et Alexis, merci de votre talent et de votre bienveillance…»
Hugo Turgeon
Les biographies
Alexis Roy
Metteur en scène
Patrick Berthiaume
Scénographe
Au théâtre, Alexis a travaillé avec les Créations Diving Horse, le Groupe de
la Veillée, le Théâtre Koy Koy en Beauce et dans l’Outaouais, avec la Vieille
17 et le Théâtre de l’île. Formé à l’impulsion créatrice (méthode de travail
d’acteur) par le maître Russe Oleg Kissiliev, il développe une gestuelle particulière et intègre le mouvement dans sa pratique d’acteur et de
conteur. Avec son répertoire de contes à rire d’inspiration traditionnelle, il participe à de nombreux événements et festivals (Festival interculturel
du conte, Les grandes gueules, Les Haut-parleurs, Le Festival de l’Innucadie, Les
dimanches du conte). Accompagné au violon par le regretté Monsieur Pointu,
Alexis a présenté son
spectacle Minuit Tapant plus de cent fois au
Québec, en France et dans la francophonie canadienne. Diplômé de
l’Université de Sherbrooke en psychologie, son expérience d’intervenant et
d’enseignant se lie à sa pratique artistique lorsqu’il devient clown thérapeutique à l’hôpital Sainte-Justine. Alexis fait partie de l’équipe de Dr Clown
depuis la création de l’organisme en 2001. Également responsable de la
formation, il est l’auteur d’une méthode de jeu clownesque inspiré d’un
modèle de communication relationnelle.
Patrick Berthiaume possède de nombreuses années d’expérience dans
le domaine de la construction.
En 2007, il sort finissant de l’École du Théâtre Parenthèse et devient le
coordonnateur ainsi que le scénographe principal des productions du
GEL’H et du Théâtre Parenthèse .Il est vice-président du C.A. du GEL’H.
Alain Simoneau est le concepteur d’éclairage au Théâtre Parenthèse et au
GEL’H. Il s’occupe de la coordination des bénévoles. Il complète ses
études à l’École Supérieure de théâtre en scénographie et a complété deux
années de formation à l’École de Théâtre Parenthèse . Il est secrétaire du
GEL’H depuis 2003
Alain Simoneau
Éclairage
Diane Cormier
dans le rôle de Béatrice
Hugo Turgeon
dans le rôle de Jean
Originaire du Saguenay, Diane Cormier a complété des études comme
éducatrice spécialisée en gériatrie et s’initie au théâtre avec Jean-Marie
Gagnon au Cégep de Chicoutimi. À Montréal, elle poursuit sa formation de
comédienne et d'enseignante. En 1995, elle remporte les auditions du
Quat'Sous, ce qui lui vaut d'être remarquée par les membres du Théâtre
Prospéro, (anciennement La Veillée) pour lequel elle jouera successivement
La folle, dans Théâtre décomposé ou l’homme poubelle de Matéï Visniec et Maria Timophéïevna dans Les démons, de Dostoïevski. En 1994, elle fonde
l'École du Théâtre Parenthèse et y implante graduellement une formation de
quatre années. Si l’enseignement de Diane Cormier se veut un hommage au travail du comédien, son écriture théâtrale se veut un regard admiratif sur les gens de notre quotidien. Le dépassement de la honte individuelle et collective est au cœur de ses trois pièces de théâtre : La Porte ,
Trottoir et Hier. Elle a mis en scène plus d'une vingtaine de pièces étudiantes et professionnelles. En 2009 et 2010, elle retourne sur les planches et incarne le personnage de Mathilde, un oeuvre de Véronique Olmi
au Théâtre Parenthèse, une production du Groupe Enfin l'Hiver.
Depuis sa sortie du Conservatoire en 2000, Hugo Turgeon a cumulé des
rôles dans plus d'une vingtaine de productions théâtrales pour enfants,
adolescents et adultes. Il s'est d'ailleurs mérité une nomination comme
meilleur acteur jeunesse aux Jessies de Vancouver. Depuis 7 ans, il
co
-dirige avec sa complice Julie Daoust le Théâtre des Tournesols, où il a coécrit avec elle 4 des textes qui y ont été produits. Hugo enseigne également, depuis 10 ans, le jeu théâtral, l'écriture dramatique et le clown. Il a
d’ailleurs donné un stage à l’École du Théâtre Parenthèse. Il a aussi signé
plusieurs mises en scène, en plus d'écrire des textes solos. Histoires de
fins, son nouveau texte pour adolescents et adultes sera produit en
mars à Théâtre ACAC de Mascouche, tout de suite après sa participation
dans ce spectacle.
Les articles
Réinventer l’amour : du théâtre sur Masson
Le Groupe Enfin L’Hiver s’attaque à l’amour et au couple. Le drame et la comédie
se côtoient pour mieux se fondre dans l’universel.
La salle peut sembler petite, mais s’étire tout en longueur. L’espace devient intime même si le sujet de la
pièce est douloureux : l’amour. Jean et Béatrice est un huis clos où les mots deviennent des armes de poing,
des boulets de canon lancés au monde, d’un personnage à l’autre. D’une femme à un homme. Encore et
encore.
Béatrice (Diane Cormier, intense) placarde les murs de la ville d’une étrange invitation : « Jeune héritière
lucide et intelligente, cherche un homme qui pourra l’intéresser, l’émouvoir et la séduire dans l’ordre. Récompense substantielle ». Jean (Hugo Turgeon, énigmatique), un intrépide chasseur de primes, ne peut résister
à l’appel et grimpe les 33 étages qui le séparent du défi et de l’intrigante mécène.
Une fois les règles du jeu bien arrêtées, la riche jeune femme entraîne son interlocuteur et le public sur la piste
de trois épreuves dont le but est de (re)créer en tout point le drame humain, Béatrice souhaitant être
« intéressée, émue et
séduite ». Jean est plein de ruses, et ses mots, ses histoires imprègnent la salle, mais
la femme qui lui fait face est de moins en moins insatiable, le charme de Jean fait son effet.
Les défis relevés brillamment par Jean sont autant d’excuses pour recréer la violence de l’amour. Et au
moment de donner la récompense substantielle, Béatrice jette plutôt les clés de son appartement du haut des
33 étages, enfermant Jean, furieux mais victorieux, avec elle.
Tragédie de la vie à deux
Les propos de la pièce sont à la fois ironiques et accablants, et les spectateurs n’ont d’autres choix que de
s’agripper aux moindres faits et gestes des acteurs, vu la proximité qu’ils partagent. La salle étant rectangulaire et le point de vue offert un panorama révélateur sur les gestes de l’amour et du couple, l’intensité dramatique est redoublée, surtout que les acteurs nous murmurent (et nous crient) leur répliques, pour le meilleur et
pour le pire.
Le texte de Carole Fréchette s’interroge sur les motivations humaines à aimer et décortique froidement les
gestes de l’amour. Fonctionnant sur le mode du miroir, il répète le brouillon des sentiments humains et s’il
renvoie une image parfois confuse, parfois limpide, il est toujours juste sur les représentations de l’amour, même si les dialogues sont parfois un peu trop verbeux.
Jean et Béatrice est un bel effort pour présenter un théâtre de qualité dans un espace pas toujours adapté pour
la scène. Parenthèse a ses quartiers dans un bâtiment industriel de la rue Masson, mais le loft et le couloir
du 3e étage sont transformés en théâtre de rue, les soirs de représentation, tout en couleurs, affiches des pièces
déjà présentées, et ambiance festive.
Si le théâtre Parenthèse souhaite ultimement avoir pignon sur rue, de préférence dans Rosemont Petite-Patrie,
ses artisans et bénévoles mettent tout en œuvre pour faire oublier le côté industriel du lieu et mettre le
théâtre de l’avant. Pari réussi!
Par Annabelle Moreau - http://Ruemasson.com/
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« Jean et Béatrice » au Théâtre Parenthèse :
la surprenante trouvaille de la rue Masson…
Qu’on ait l’habitude d’aller au théâtre une fois par trois mois ou trois fois par semaine, il est généralement
très rafraichissant de tomber sur des acteurs que l’on ne connait pas et de découvrir un espace scénique dont
on n’a jamais entendu parler. En montant la pièce « Jean et Béatrice », écrite par Carole Fréchette, le
Théâtre Parenthèse nous offre non seulement son lot de nouveautés, mais également une soirée que l’on n’est
pas sur le point d’oublier.
D’abord, il y a ce lieu, le Théâtre Parenthèse. Samedi soir dernier, 19h30, je marche sur la rue Masson en
me demandant à quel moment le 2177 va apparaître sous mes yeux. Je franchis le viaduc, je me perds à
moitié, je reviens sur mes pas et j’aperçois un immeuble à mi-chemin entre une école et une ancienne usine.
Devant moi, une dizaine de personnes montent les trois étages d’un escalier de béton, sillonnent une série de
couloirs impersonnels et rejoignent le reste des spectateurs devant la salle Jean-Pierre Bélanger. Nous serons
tout au plus une soixantaine à nous entasser sur trois rangées de sièges pour assister à la représentation.
Devant nous, les restes d’un appartement : divans d’une époque révolue, décorations iconoclastes et quantité
de bouteilles d’eau dissimilées un peu partout.
Entrent alors en scène Hugo Turgeon, un acteur ayant cumulé des rôles dans plus d'une vingtaine de
productions pour enfants, adolescents et adultes, et Diane Cormier, qui roule sa bosse en tant qu’actrice et
professeure depuis qu’elle a gagné les auditions du Quat’Sous en 1995. À eux deux, ils ont la responsabilité
de reproduire l’énorme tension dramatique qui doit s’installer entre Jean et Béatrice. Imaginée par Carole
Fréchette (Les sept jours de Simon Labrosse, Les quatre morts de Marie, La petite pièce en haut de
l’escalier et Je pense à Yu, qui sera présentée au Théâtre d’Aujourd’hui en avril), l’histoire est tout sauf
quotidienne : Béatrice, jeune héritière, lucide et intelligente, affiche un message sur les murs de Montréal où
elle affirme chercher un homme qui pourra l’intéresser, l’émouvoir et la séduire. Dans l’ordre. C’est à ce
moment qu’un certain Jean se présente au 33e étage de l’immeuble désaffecté. Convaincu de pouvoir relever le
défi, l’homme fait la connaissance d’une femme peu banale : Béatrice est excessive, plus ou moins franche,
incapable de s’arrêter de raconter des histoires et victime d’excès de fatigue quand bon lui semble. Le tout
dans un climat de tension et de chaleur qui donne envie aux spectateurs de voler une des nombreuses
bouteilles d’eau que Béatrice engloutit à un rythme effréné.
Bien que l'interprétation d'Hugo Turgeon soit inégale, le travail de sa collègue Diane Cormier est en tous
points remarquable. Fragile, fébrile, entièrement connectée à son personnage d’excentrique vulnérable, nous
donnant l’impression de vivre chaque fraction de seconde et chaque parcelle d’émotion comme si c’était la
première fois, Cormier n’est rien de moins qu’une révélation !
Profitant d’une histoire infiniment bien écrite où se mêle le drame et la comédie, l’authenticité crue et le mensonge, une impression de suspense et de temps qui s’arrête, en plus d’un espace scénique nouveau genre – qui
aurait cru aller au théâtre pour voir un homme menacer de se jeter d’une fenêtre qui mène réellement sur
l’extérieur – le Théâtre Parenthèse fait de « Jean et Béatrice » un moment théâtral hors norme qui fait bon
à voir.
Par Samuel Larochelle, dit le Sage Gamin - http://sagegamin.blogspot.com/
Le théâtre de la rue Masson cherche à avoir pignon sur rue….
En entrant dans le local 311, on oublie rapidement l’aspect industriel. « Place au théâtre ! » semble dire
l’emplacement, alors que les lumières tamisées, un tableau scolaire, des couleurs chaudes et des affiches
rappelant les pièces qui y ont été jouées attirent le regard.
« Et quand c’est soir de représentation, on décors aussi le couloir, pour que les spectateurs se sentent comme à
l’entrée d’un théâtre de rue. Mais évidemment, et je trouve ça triste, je comprends que les gens ne voient que le
bâtiment. C’est pour cela qu’on cherche toujours un endroit plus adéquat. »
Diane Cormier, la directrice de l’endroit, aimerait voir son théâtre avoir pignon sur rue. Idéalement dans
Rosemont Petite-Patrie. « Il y a assez de théâtre sur le Plateau Mont-Royal. Il y a aussi la Licorne qui est
toute proche et que j’aime beaucoup. Nous, idéalement, on aura un théâtre avec porte directement sur la rue,
sur une artère principale du quartier.»
Déjà, il y a quelques années, le théâtre avait failli déménager sur l’avenue Mont-Royal, dans une ancienne
église. L’archevêché avait finalement apposé son refus au projet, ce qui avait tué dans l’œuf le déménagement.
« On a perdu beaucoup dans cette aventure, se souvient Mme Cormier. C’est pour cette raison que cette foisci, avant de repartir, on va s’assurer d’être plein à craquer chaque soir. On a été échaudé, mais on a beaucoup appris dans tout ça. »
Apprendre le métier
En plus de présenter la pièce « Jean et Béatrice » en mars et d’y tenir le rôle principal (« J’ai un trac
fou! »), Diane Cormier enseigne le théâtre aux élèves inscrits à son école.
Des gens de tous les milieux de tous les horizons viennent s’inscrire aux cours offerts au théâtre Parenthèse.
« Souvent, ils ont ça en dedans, caché, souligne Mme Cormier. Avant de les accepter ici, je leur fais passer
une audition, mais pas théâtrale. En fait, je veux comprendre leurs motivations profondes. Je veux éliminer
d’amblée les gens qui ont regardé un film hier soir et qui ont subitement le goût de devenir une vedette
populaire. Je dois être très vigilante. Mais après vingt ans, je commence à avoir l’œil. »
Myriam Binette est une nouvelle inscrite. Elle dit venir à la rencontre d’elle-même dans les cours théâtrales.
« Je voulais me rencontrer, arrêter de me faufiler de moi-même et de ne pas avoir le choix de me confronter.
Cette école de théâtre m’apporte cela. J’ai trouvé des outils pour ma propre vie », confie-t-elle.
Par Philippe Beauchemin - Journal de Rosemont
Les commentaires
À voir absolument
«J'ai adoré! C'était la première fois que j'assistais à une pièce de théâtre dans un cadre si intime et j'en retire
un excellent souvenir. Les deux acteurs ont donné une performance à couper le souffle; À aucun moment, je
n'ai douté de leurs sincérités. La pièce porte à réflexion ... qui n'est pas encore terminée dans mon cas ... Il
va bien falloir que je me pose pour y réfléchir ... Prendre le temps ... il me semble que la création traitait entre autres de ça ...»
Alain B.
Une pure Magie
Un huis clos amoureux où surprises, émotions et poésie se marient à merveille. Une découverte.
Patrick B.
Intime comme spectacle
J'ai connu un bel endroit , une école de théâtre et situé à deux pas de chez moi.
Lucille F.
Tension
Excellente pièce où la tension de chaque instant nous garde en haleine.
Hugo H.
Que d’intensité!!
Merci pour cette belle représentation. Que de folie, que d'intensité. Ce qui fait peur, c'est qu'on a tous, ou,
selon notre âge , on aura tous, cette folie qui nous traversera face à l'amour. Pas tout d'un coup, par chance,
mais on s'y retrouve en pièce détachée. Merci de nous renvoyer l'image de ce que les autres auront parfois de
nous. On en sort chamboulé, et ça fait du bien.
Christine G.
Jean et Béatrice
J'ai bien aimer l'idée de scène sur la longueur de pièce et le jeux des comédien très belle performance de Diane
Cormier Bravo
André M.
Très bonne pièce
Bon texte, écrit avec humour. Très bonne interprétation des deux acteurs. Une chose qui est sûre, c'est que
l'actrice ne sera pas déshydratée. à voir
Martin D.
Les commentaires
Le Groupe Enfin L’Hiver
La mission du Groupe Enfin L’Hiver ( GEL’H) est de favoriser la création, la production, la diffusion et l’accessibilité d’œuvres théâtrales professionnelles et non professionnelles, afin de rendre hommage à notre histoire canadienne française d’aujourd’hui.
Concrètement, le GEL’H est un O.B.N.L. qui a vu le jour en 2002 lorsqu’un groupe d’étudiants de l’École du Théâtre Parenthèse ont voulu se donner un lieu de création, de production et de diffusion. Ce lieu, nommé Théâtre Parenthèse, leur permet de mettre à profit leur apprentissage du jeu et de développer de
nouvelles compétences dans la mise en scène, la scénographie et les techniques du son et de
l’éclairage. Le GEL’H est une rampe de lancement pour la relève.
Aujourd’hui encore, il travaille en étroite collaboration avec l’École du Théâtre
Parenthèse, celle-ci en fondée depuis 1994. Il est fier de présenter au public ses productions étudiantes de grande qualité.
Membre de L’Association des compagnies de théâtre depuis 2005, le GEL’H a produit et
diffusé les productions professionnelles suivantes:



Hier, de Diane Cormier, interprétée par Diane Cormier
La plaie d’Égypte, de Christian Rochon, interprétée par André Montmorency et mise en scène par Diane Cormier
Mathilde, de Véronique Olmi, interprétée par Diane Cormier et Daniel Rochette, mise en scène par Catherine Mathieu
Cette année, c’est avec Jean et Béatrice de Carole Fréchette que le Groupe Enfin L’Hiver
nous éblouira, et il ne compte pas s’arrêter là.
Le GEL’H c’est aussi une quinzaine de bénévoles qui apportent une contribution annuelle approximative de 2 500 heures.
Membre du CA :
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Diane Cormier, directrice artistique du Théâtre Parenthèse
Patrick Berthiaume, vice-président
Alain Simoneau, secrétaire
Madeleine Charlebois, administratrice
Groupe Enfin L’Hiver
Laurence Folco
2177 rue masson, suite 311
Montréal, Québec
Agent de communication
(514) 962-6719
[email protected]
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