Deuxième partie
Les divers niveaux de la collaboration bancaire et industrielle,du court terme au long terme
Les « commandes allemandes », 1940-1941 : vers la couverture de l’ensemble du territoire
I. Les tractations des débuts de l’Occupation : contrats privés et avortement des « contreparties »
L’exemple-type des métaux non-ferreux (bauxite, alumine, aluminium)
Vertu des grands, vice des petits ?
Le contrat Aluminium français-Vereinigte Aluminium Werkedu 4 septembre 1940 sur l’alumine et
l’aluminium
Les marchés de bauxite
Une tendance générale, toutes zones confondues
La farce du « contrôle » de Vichy
Le néant du service Herck de la Production industrielle
L’interdiction cosmétique de la fabrication des matériels de guerre
Les constructions aéronautiques : initiative industrielle et docilité de Vichy
Fausses réquisitions, avalanche de contrats, mort des contreparties
Juillet-août 1940, la fausse réquisition des ateliers de chars,
La marée générale
Les débuts des crédits bancaires aux programmes industriels de livraison au Reich
La haute banque en général
La Banque de France
II. La collaboration économiquetoutes zones confondues : les acquis de 1941
La mise en place des comités d’organisation
Des CO écrans ? Des textes aux pratiques
Modèle allemand et instrument du ratissage
Vichy-Janus face aux négociations privées : la circulaireaux CO sur les « commandes
allemandes » mars-août 1941