En quoi consistent les idées de J. Benveniste concernant
la « mémoire de l’eau » et la « biologie numérique » ?
Les molécules émettent dans l’eau un rayonnement électromagnétique
spécifique et de basse fréquence
Pour les molécules d’intérêt biologique, ce rayonnement est la source de leur
«activité biologique » (entre la clé et la serrure, il n’y a pas de contact direct
mais des ondes)
L’eau est capable de se comporter comme une bande magnétique en stockant
sous forme électromagnétique « l’information » des molécules dissoutes même en
leur absence (= « mémoire de l’eau »)
Le rayonnement électromagnétique émis par une solution aqueuse d’une
molécule biologique peut être captée par une bobine électrique, amplifiée,
stockée dans une mémoire électronique et « rejouée » à volonté à de l’eau
vierge qui acquiert alors l’acticité spécifique de la molécule initiale.
Après près de 20 ans d’expérimentation, J. Benveniste était parvenu aux
conclusions suivantes :