cancers les plus fréquents, d`un centre participant à l`autre. Les pre

Wktp Eputem. Rte No 37 - 17 September 1982 - 282 - Relevé èpidém. Held ; N° 37 - 17 septembre 1982
Edito rial N o te : The Cancer and Steroid Hormone Study is a col
laborative effort of the National Cancer Institute and eight Surveil
lance, Epidemiology, and End Results (SEER) Centers of the Institute,
the National Institute of Child Health and Human Development, and
the Centers for Disease Control. It is specifically designed to clarify the
association between oral contraceptive use and breast, endometrial,
and ovarian cancer.
Methodological biases are unlikely to account for the study’s find
ings. Selection bias was minimized by attempting to enroll all women
from the eight geographical areas who have newly diagnosed breast,
endometrial, or ovarian cancer and by selecting controls at random
from the same areas. Accurate histories of oral contraceptive use were
facilitated by a book containing photographs of all oral contraceptives
ever marketed m the United States and by a calendar with which the
women could relate periods of contraceptive use to reproductive his
tories and other life events. Because of the widespread use of oral
contraceptives and the common occurrence of endometrial and ovar
ian cancer, the protective effects of oral contraceptives against these
tumors could have a large public health impact. The reduced risk of
cancer among women who have used oral contraceptives would result
m the prevention of over 1 700 cases of ovarian cancer and over 2 000
cases of endometrial cancer m the United Slates each year.
(Based on/Daprès: Morbidity and Mortality, 1
Ed it o r ia l Co m m e n t : Although this study is limited to the US, its
findings are of potential importance to developing countries as well
where the use of steroid contraception is increasing. However, the
implications for other countries must be interpreted with caution, for
two reasons. First, the incidence of both the cancers studied and the
use of steroid contraception varies greatly among different popula
tions, and the public health impact of a proposed protective effect will
vary accordingly. Second, other determinants of cancer risk, some of
which might interact with steroid hormones, vary markedly through
out the world. These include dietary habits, environmental condi
tions, occupational exposure to carcinogens and the prevalence of
certain infectious and non-infectious diseases.
Since practically all data on the nsk of neoplasia with the use of
steroid contraceptives is collected in developed countries, and be
cause of the increasing use of this method of contraception in devel
oping countries in particular, the World Health Organization is cur
rently undertaking a multinational case control study on this subject,
very similar in design to the study desenbed in this report. Data is
being collected in 10 developing and two developed countries, from
women with cancer of the breast, cervix, uterus, ovary, or liver, and
age-matched controls. Sufficient data is being collected so that risks
for at least the more common cancer sites can be compared between
the different participating centres. The first results are expected in the
fall of 1982.
Note de l a R é d a c t io n : L’étude sur le cancer et les stéroïdes hor
monaux est due au travail collectif du National Cancer Institute et de
huit Surveillance, Epidemiology, and End Results (SEER) Centers
dépendant de cet institut, du National Institute of Ckild Health and
Human Development, et des Centers for Disease Control. Elle est
spécialement conçue en vue délucider l'association entre la prise de
contraceptifs oraux et les cancers du sein, de lendomètre et de l’ovai
re.Il est peu probable que des biais méthodologiques puissent rendre
compte des sultats de l’étude. Le biais de la sélection est duit au
minimum par la prise en consiration de toutes les femmes des huit
régions géographiques chez lesquelles on a cemment diagnostiq
un cancer du sein, de l’endomètre ou de lovaire, et par la sélection
aléatoire des moins dans les mêmes régions. Pour faciliter la recons
titution exacte des antécédents de prise de contraceptifs oraux, on a
utilisé un livre contenant des photographies de tous les contraceptifs
commercialisés aux Etats-Unis dAmérique depuis le début et un
calendrier sur lequel les femmes pouvaient relier les riodes demploi
de contraceptifs à leurs grossesses et autres épisodes de leur vie. Du
fait de l’usage répandu des contraceptifs oraux et de la fréquence des
cancers de l’endomètre et de l’ovaire, les effets protecteurs des con
traceptifs oraux contre ces tumeurs pourraient avoir un impact très
important en matière de santé publique. La diminution du risque de
cancer chez les femmes ayant pris des contraceptifs oraux se tradui
rait, aux Etats-Unis dAmérique, par la prévention de plus de 1700 cas
de cancer de l’ovaire et de plus de 2 000 cas de cancer de l’endotre
chaque année.
2, 31, No. 29; US Centers for Disease Control.)
Rem a rq ue de la R é d a c tio n : Bien que cette étude soit limitée aux
Etats-Unis dAmérique, ses résultats psentent un inrêt potentiel
pour les pays en veloppement, où lemploi des stéroïdes contracep
tifs va en augmentant. Toutefois, les conséquences pour les autres
pays doivent être interpes avec pcaution, pour deux raisons:
dabord, lincidence des cancers étuds et l’emploi des stéroïdes con
traceptifs varient largement dune population à lautre, de sorte que
l’impact sur la santé publique dun effet protecteur propo variera en
conséquence. Ensuite, dautres terminants du risque de cancer, dont
certains peuvent interagir avec les stéroïdes hormonaux, varient lar
gement d’une région à l’autre. Ces terminants comprennent les
habitudes alimentaires, les conditions environnementales, l’exposi
tion professionnelle aux cancérogènes et la prévalence de certaines
maladies infectieuses et non infectieuses.
Comme pratiquement toutes les données sur le risque de néoplas
mes hé à l’emploi de stéroïdes contraceptifs sont recueillies dans les
pays développés, et du fait de l’emploi croissant de cette méthode de
contraception, en particulier dans les pays en développement, l’Orga
nisation mondiale de la Santé entreprend actuellement une étude
multinationale de cas avec témoins sur ce sujet, de conception très
proche de celle de l’étude crite dans le psent rapport. Des données
sont recueillies dans dix pays en développement et deux pays déve
loppés, et concernent des femmes atteintes dun cancer du sein, du col
de l’urus, de l’utérus, de l’ovaire ou du foie, ainsi que des témoins
appariées par âge. Les dones sont recueillies en nombre suffisant, de
façon quU soit possible de comparer les risques, au moins pour les
cancers les plus fréquents, dun centre participant à l’autre. Les pre
mierssultats sont attendus dici l’automne 1982.
SURVEILLANCE OF jl-LACTAMASE-PRODUCING NEIS
SERIA GONORRHOEAE (PPNG)
Resistance to Spectinomycin
Unite d Kin g d o m . T wo spectinomycin resistant ^-lactamase-
producing strains of A. gonorrhoeaehaxe been isolated at two sexually
transmitted diseases clinics in the London area in June 1982 and
confirmed at the Venereal Disease Reference Laboratory. The infec
tions were acquired in London and could not be linked to foreign
importation. The fi-lactamase-producing strains contained a plasmid
constellation typical for strains first identified m East Asia.
(a) A female patient presented with gonococcal vaginal discharge
and was treated with ampicillin/probenecid. As the pre- and post
treatment specimens revealed {3-lactamase (penicillinase)-producing
gonococcal strains sensitive to spectinomycin by disc test, the patient
was given spectinomycin 2 g î.m. The discharge persisted for two
weeks. The gonococcal strains isolated at that time produced ^-lacta
mase (penicillinase) and had an MIC of penicillin of over 100 pg/ml
and were resistant to spectinomycin (MIC 1000 pg/ml) and strepto
mycin, but sensitive to kanamycin and cefuroxime. The patient was
re-treated with co-trimoxazole for four days and did not return for a
test of cure.
The patients male contact was traced and a P-lactamase-producing
N, gonorrhoeae strain isolated (MIC over 100 pg/ml) which was sen-
SURVEILLANCE DE NEISSERIA GONORHOEAE PRODUC
TRICES DE P-LACTAMASE (NGPP)
Résistance à la spectinomycine
Royaume-Uni. Deux souches de N. gonorrhoeae productrices de
(3-lactamase résistantes à la spectinomycine ont é isolées dans deux
dispensaires de dermato-vénéréologie de la région de Londres en j uin
1982, et confirmées au Venereal Disease Reference Laboratory. Les
infections ont été contractées à Londres et ne peuvent être liées à une
importation de cas étrangers. Les souches productrices de P-lactamase
contenaient une constellation de plasmides typique des souches iden
tifiées pour la premre fois en Asie orientale.
b) Une femme psentant un écoulement vaginal gonococcique a
été traie par de l'ampicilline avec probénécide. L’épreuve aux dis
ques imprégnés pratiqe sur les échantillons prélevés avant et après
traitement ayant vélé la présence de souches de gonocoques pro
ductrices de p-lactamase (penicillinase) sensibles à la spectinomycine,
on a administ à la malade 2 g de spectinomycine par voie intra
musculaire. Lécoulement sest poursuivi pendant deux semaines. Les
souches de gonocoques isolées à ce moment étaient productrices de
P-lactamase (pénicillinase), avec un CMI de pénicilline de plus de 100
pg/ml et étaient sistantes à la spectinomycine (CMI 1000pg/ml) et à
la streptomycine, mais sensibles à la kanamycine et au céfuroxime. La
malade a é cette fois traitée par le co-trimoxazole pendant quatre
jours et ne s’est pas présene à l’examen post-thérapeutique.
Le contact masculin de la malade a éretrouvé; il était porteur
dune souche de N. gonorrhoeae productrice de p-lactamase (CMI
Wkly Epukm. Rec No. 37 - 17 Septem ber 1982 - 283 - Rele ifid im . hebd. N ° 37 - 17 septembre 1982
sitive to spectinomycin (MIC <30 pg/ml). Treatment with spectino-
mycin 2 g un. cured the infection.
(b) A male patient presented with gonococcal discharge and was
treated with ampicillin/probenecid. The pre-treatment isolate showed
penicillin and spectinomycin sensitive gonococci on disc test Three
days after treatment the urethral discharge was still present and con
tained P-lactamase-producing N. gonorrhoeae sensitive to spectino
mycin. The patient was re-treated with spectinomycin 2 g i.m. but the
urethral discharge persisted and at now contained gonococci which
were penicillinase-producing with an MIC for penciUin of over 100
(ig/ml and also resistant to spectinomycin (MIC over 1000pg/ml) and
streptomycin, but sensitive to kanamycin and cefiiroxime. Treatment
with cefiiroxime cured the infection.
supérieure à 100 jig/ml) sensible à la spectinomycine (CMI <30
pg/ml). Un traitement par 2 g de spectinomycine par voie intramus
culaire a permis de guérir l'infection.
b) Un homme présentant un écoulement gonococcique a été traité
par de l'ampicilline avec probénécide. L’isolement alisé avant le
traitement présentait, lors de lépreuve aux disques imprégnés, des
gonocoques sensibles à la pénicilline et à la spectinomycine. Trois
jours aps le traitement, l’écoulement utral persistait et contenait
des AT. gonorroheae productrices de P-lactamase, sensible à la specti
nomycine. le malade a été cette fois traité par 2 g de spectinomycine
par voie intramusculaire; l’écoulement a encore persis et contenait
de nouveau des gonocoques producteurs de nicillinase, avec une
CMI de pénicilline surieure à 100 pg/ml, sistants à la spectino-
mycine (CMI surieure à 1000 pg/ml) et à la streptomycine, mais
sensibles à la kanamyeme et au cefiiroxime. Le traitement par le
cefiiroxime a permis de guérir l’infection.
(Based on/Daps: A report from the Venereal Disease Reference Laboratory, London/Londres.)
Edito r ia l Co m m e n t . This is the second report from the United
Kingdom on ihe isolation of spectinomycin resistant p-lactamase-
producing N. gonorrhoeae strains.1 In all three cases spectinomycin
resistant strains were not isolated until patients were treated with
spectinomycin and in one instance a penicillinase-producing strain
could only be isolated after ampicillin/probenecid treatment
The emergence of spectinomycin resistance combined with penicil
lin resistance in gonococcal strains must be regarded as a serious
public health threat which may result in further complicating the
treatment and control of these infections. To prevent the spread of
resistant strains clinicians should be reminded of the need to ensure
clinical and bacteriological cure of patients presenting with gonorr
hoea and the rapid treatment of exposed sex partners.
' See No. 2, p. 15-16
No t e d e la R é da c t io n 11 s’agit ici du deuxme rapport faisant état
de l’iscdement de souches de N. gonorrhoeae productrices de fJ-lacta-
mase et résistantes à la spectinomycine au Royaume-Uni.1 Dans les
trois cas notifiés, il na pas été isolé de souches résistantes à la spec-
tinomycine avant que les malades ne soient trais par cet antibioti
que, et dans un cas une souche productrice de pénicillinase na été
isolée quaps traitement par l'ampicilline avec probénécide.
L’appanüon dune résistance à la spectinomycine associée à une
sistance à la pénicilme chez les souches de gonocoques doit être
considérée comme une grave menace sur la santé publique, suscepti
ble de compliquer encore davantage le traitement et la lutte contre ces
infections. Pour empêcher l’extension des souches résistantes, les cli
niciens devront garder à l’espnt la cessité dassurer la guérison
clinique et bacriologique des malades psentant une gonorrhée, et
le traitement rapide des partenaires sexuels exposés.
Voir 2, p. 15-16.
HUMAN CRYPTOSPORIDIOSIS
United Sta t es o f A m erica. A case of human cryptosporidiosis
m an animal handler was reported by Auburn University, Alabama in
September 1981. About three weeks before onset of symptoms in
mid-July 1981, the patient, a previously healthly 25-year-old male
free of immune deficiencies, had started a survey of calves for Cryp
tosporidium sp. Clinical features of his illness included nausea and
low-grade fever, moderate abdominal cramps, anorexia, 5-10 watery,
frothy bowel movements a day, and then constipation. Fourteen days
after onset, the patient was much improved and was eating a full diet
Sheaters sugar-flotation tests showed ococysts of Cryptosporidium sp.
in the first faecal sample collected 56 hours after onset of symptoms
and in faecal samples collected daily through the 12th day of illness;
no oocysts were found after day 12.
Since the initial report was submitted m September 1981, stool
examinations have been done for 16 other animal handlers at the
university who had contact with animals involved in three separate,
unrelated outbreaks of calf cryptosporidiosis. From these 16 persons,
11 additional cases of human cryptosporidiosis were identfied. All
involved previously healthy individuals; no abnormalities were
noted in their levels of serum globulins at the time of infection, and no
deficiencies in cell-mediated immune response were detected by lym-
phocyteblastogenesis testing. Symptoms occurred within one to two
weeks after the individuals had first contact with the infected calves.
Four of these 11 patients had clinical symptoms similar to those
described above; four had diarrhoea and moderate abdominal
cramps; one had fever, constipation and abdominal cramps; and two
were asymptomatic. All diagnoses were based on the presence of
Cryptosporidium sp. oocysts in stool specimens. Cryptosporidium sp.
oocysts had been found in calf faeces but were not found in the stools
of any other animals (cats, dogs, goats, pigs, or rats) with which the
patients had had contact.
Oocysts of Cryptosporidium sp. isolated from the animal handlers
were found to be morphologically indistinguishable from those ob
tained from naturally and experimentally infected calves. When Cryp
tosporidium sp. oocysts isolated from humans and calves were ino
culated orally into mice and rats, the infections produced by oocysts
from the animal handlers were indistinguishable from those produced
by calf oocysts. Oocysts from the animal handlers also produced
cryptosporidiosis in calves that had previously been free of Cryptos
poridium
CRYPTOSPORIDIOSE HUMAINE
Etats-Unis DAmérique Un cas de cryptosporidiose humaine
chez un manipulateur d'animaux a été signalé par lUniversité d’Au
burn (Alabama), en septembre 1981. Trois semaines environ avant
l'apparition des sympmes à la mi-juillet 1981, le malade, un jeune
homme de 25 ans sans aucun déficit immunitaire et jusque-là bien
portant, avait entrepris une recherche de Cryptosporidium sp. chez des
veaux. Parmi les caractéristiques cliniques de la maladie, on a observé
des nausées, une fièvre légère, des douleurs abdominales modérées,
une anorexie, de 5 à 10 selles aqueuses et mousseuses par jour, suivies
de constipation. Quatorze jours aps l’apparition de la maladie, l’état
du malade sétait beaucoup amélioré et il reprenait un régime alimen
taire complet La présence doocystes de Cryptosporidium sp. a ét
révélée par des épreuves de Sheater de flottation en solution sucrée
pratiquées sur le premier échantillon fécal recueilli 56 heures aps
l’apparition des symptômes ainsi que sur les autres échantillons pré
levés quotidiennement jusquau douzième jour de la maladie; aucun
oocyste na été observé après le douzme jour.
Etant donné que la notification initiale a été faite en septembre
1981, des examens coprologiques ont également été effectués pour 16
autres manipulateurs d’animaux qui, à l’Université, avaient éen
contact avec des animaux impliqués dans trois poussées épidémiques
de cryptosporidiose du veau distinctes et sans rapports entre elles. Sur
ces 16 personnes, la cryptosporidiose humaine a é diagnostiquée 11
fois. Il s’agissait dans tous les cas dindividus auparavant bien por
tants; aucune anomalie na été observée dans les concentrations de
globulines sériques au moment de l’infection et aucune déficience de
la ponse immunitaire à support cellulaire na été décelée par
l’épreuve de la transformation blastique. Les sympmes sont apparus
en l’espace dune à deux semaines après un premier contact avec les
veaux infectés. Quatre de ces onze malades présentaient des symp
mes cliniques analogues à ceux déents plus haut ; quatre souffraient de
diarrhée et de douleurs abdominales moes; un autre souffrait de
fièvre, de constipation et de douleurs abdominales; et deux étaient
asymptomatiques. Tous les diagnostics ont été fondés sur la présence
doocyste de Cryptosporidium sp. dans des échantillons de selles. Les
oocystes de Cryptosporidium sp. avaient é couverts dans des
excments de veaux et nont pas été observés dans ceux des autres
animaux (chats, chiens, chèvres, cochons ou rats) avec lesquels les
malades s’étaient trouvés en contact.
On s’est apeu que les oocystes de Cryptosporidium sp. isolés chez
les manipulateurs danimaux étaient morphologiquement indifiëren-
ciables de ceux obtenus sur des veaux naturellement ou exrimen
talement infectés. Lorsque des oocystes de Cryptosporidium sp. isolés
chez des humains et des veaux étaient inoculés par voie orale à des
souris et à des rats, les infections provoquées par les oocystes prove
nant de manipulateurs danimaux étaient indifférenciables de celles
provoqes par les oocystes provenant des veaux. Les oocystes pro
venant des manipulateurs danimaux provoquaient également une
cryptosporidiose chez des veaux jusque- indemnes de Cryptospori
dium-
1 / 2 100%

cancers les plus fréquents, d`un centre participant à l`autre. Les pre

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