Revue économique Deuxième trimestre de 2012 L’économie La reprise économique semble ralentir. Le ralentissement de la création d’emplois en Amérique du Nord est un symptôme du déclin de la confiance des consommateurs et des entreprises. Les préoccupations qui persistent en Europe quant à l’économie, ainsi que le recul de l’économie en Chine pèsent lourdement sur les marchés financiers. Indice S&P/TSX S&P 500 ($ CA) MSCI EAEO ($ CA) Indice oblig. universel DEX (RG) Trois mois -5,68 % -0,89 % -5,07 % 2,25 % Un an 30 juin 2012 -10,26 % 11,28 % -8,57 % 9,50 % Le Canada Le secteur des ressources fait face à une baisse des prix des produits de base. En juin, le prix du pétrole a clôturé le trimestre en baisse de 22,5 pour cent, à 82 $ le baril. La Banque du Canada a maintenu son taux de financement à un jour à un pour cent. Les craintes quant à une éventuelle bulle immobilière, en particulier dans les marchés des immeubles en copropriété de Toronto et de Vancouver, ont amené le gouvernement fédéral à resserrer certaines règles d’emprunt hypothécaire, notamment celles visant la période d’amortissement et le montant de l’emprunt admissible pour souscrire l’assurance prêt hypothécaire. Le dollar canadien s’est affaibli au cours du trimestre, perdant près de deux pour cent pour clôturer à 0,9813 $ par rapport au dollar américain. Le recul du dollar canadien est attribuable à la baisse du prix du pétrole et d’autres produits de base et aux craintes ravivées à l’égard de la stabilité de l’économie mondiale. L’indice obligataire universel DEX a enregistré un rendement de 2,25 pour cent au deuxième trimestre, tandis que l’indice composé S&P/TSX a obtenu -5,68 pour cent. Trois des dix secteurs ont enregistré des résultats positifs, les secteurs les plus performants étant ceux des télécommunications et de l’industrie. Les secteurs des technologies de l’information et des matériaux ont enregistré les résultats les plus décevants ce trimestre. L’indice S&P 500, exprimé en dollars canadiens, a affiché un rendement de -0,89 pour cent au deuxième trimestre. Quatre des dix secteurs ont obtenu un rendement positif, les plus performants étant ceux des télécommunications et des services aux collectivités. Les secteurs de la finance et des technologies de l’information ont été les plus décevants. Les États-Unis Le dynamisme de la reprise économique commence à ralentir, comme le démontre le nombre peu élevé de nouveaux emplois. Les entreprises ont hésité à embaucher de nouveaux travailleurs durant le deuxième trimestre, en raison de l’incertitude économique en Europe et d’autres préoccupations politiques nationales. Le taux de chômage s’établissait à 8,2 pour cent et n’a pas bougé durant les derniers mois. En plus des craintes quant à l’emploi et des préoccupations concernant l’imposant déficit du gouvernement américain, plusieurs municipalités américaines ont déclaré faillite. Les villes américaines sont touchées par la récente baisse de la valeur des propriétés, qui entraîne des revenus plus faibles provenant des taxes foncières. Elles doivent également composer avec des coûts croissants de leur main-d’œuvre et des avantages sociaux. La baisse du prix du pétrole a procuré un bref répit aux consommateurs. Le prix de l’essence à la pompe étant moins élevé, les consommateurs avaient plus d’argent à dépenser sur des biens et des services, ce qui a stimulé l’économie. Les marchés mondiaux Les problèmes financiers en Europe continuent de perturber les marchés financiers mondiaux. Les réels défis que représente une union monétaire sont devenus évidents. La Grèce a tenu deux élections au cours des quelques derniers mois. La seconde élection, à la mi-juin, a contribué à apaiser certaines inquiétudes concernant une possible sortie de la zone euro ou un rejet du plan de rigueur négocié avec les prêteurs en contrepartie de l’aide financière. Maintenant que la stabilité est revenue en Grèce, l’attention s’est tournée vers l’Espagne, dont le taux de ses obligations d’État de dix ans a augmenté à sept pour cent. En plus du ralentissement des économies européennes, la croissance économique de la Chine commence à s’affaiblir. La vigueur de l’économie chinoise et son plan de relance massif expliquaient en partie la reprise économique mondiale en 2009. L’économie de la Chine s’est accrue à un rythme de 7,6 pour cent au deuxième trimestre de 2012. À cet égard, il faut rappeler que ce taux de croissance fait l’envie du reste du monde et que l’Europe est en période de recul économique et non de croissance. Pour terminer Dans le cadre d’une approche disciplinée et diversifiée de l’investissement, les participants aux régimes devraient répondre au Questionnaire sur le profil d’investisseur et utiliser les outils de planification de la retraite d’Accès SRC. Leur portefeuille devrait refléter les facteurs de risque de chaque option de placement ainsi que leur propre tolérance au risque. La Great-West offre aux participants des outils et des documents d’information pour les aider à atteindre leurs objectifs de retraite et d’épargne.. Pour obtenir de plus amples renseignements sur les placements offerts dans le cadre de votre régime, visitez notre site Web au www.grsaccess.com. Sincères salutations, Robbin Dichter, CFA Directeur général, Service national de placements La Great-West, compagnie d'assurance-vie et la conception graphique de la clé sont des marques de commerce de La Great-West, compagnie d'assurance-vie (la Great-West) utilisées sous licence par la London Life, Compagnie d'Assurance-Vie (la London Life) et La Compagnie d'Assurance du Canada sur la Vie (la Canada-Vie) pour la promotion et la commercialisation de produits d'assurance. La London Life et la Canada-Vie sont des filiales de la Great-West. Tel qu'il est indiqué dans ce document, les produits de retraite et d'épargne collectifs sont établis par la London Life et les rentes immédiates sont établies par la Canada-Vie.