Clefsdufutur-LM Les quatre forces fondamentales Interaction électromagnétique responsable de la plupart des phénomènes quotidiens : lumière, électricité et magnétisme, chimie,... Par exemple, elle retient les décorations sur les parois verticales de votre réfrigérateur ; en principe, rayon d'action illimité. Mais en pratique, les charges positives et négatives tendent à se neutraliser à grande échelle ; peut être attractive ou repoussante selon le signe des charges électriques; cela vaut aussi pour les pôles dit Nord et les pôles dit Sud d'un aimant ; cent fois moins forte que l'interaction forte ; transportée par le photon. Interaction faible responsable d'un des types de radioactivité, la radioactivité bêta, elle joue aussi un rôle important dans la fusion nucléaire (comme par exemple au centre du soleil) ; rayon d'action très court, 10−18 m ; 1013 fois moins puissante que la force nucléaire forte ; transportée par les bosons lourds : Z0, W+ et W−. Interaction forte elle est responsable de la cohésion de tous les hadrons (baryons et mésons), c'est-àdire toutes les particules composées de quarks; elle est responsable, indirectement, de la cohésion des noyaux atomiques ; rayon d'action seulement 2,5·10−15 m (0,000 000 000 000 0025 m ), car la charge de couleur n'apparaît pas "nue" à des distances plus grandes (voir Confinement) ; la plus puissante de toutes les interactions connues ; transportée par les gluons. Gravitation c'est la force qui nous retient au sol ; elle est dominante pour les grandes structures de l'univers car elle est toujours attractive et ne peut pas être blindée comme les forces électriques ; rayon d'action illimité ; la plus faible de toutes les interactions, 1038-fois plus faible que l'interaction forte ; transportée par le graviton, une particule encore hypothétique. Théorie des cordes La théorie des cordes est l'une des voies envisagées pour régler une des questions majeures de la physique théorique : fournir une description de la gravité quantique c'est-à-dire l'unification de la mécanique quantique (inévitable pour décrire la physique aux petites échelles) et de la théorie de la relativité générale (nécessaire pour décrire la gravitation de manière relativiste). La principale particularité de la théorie des cordes est que son ambition ne s'arrête pas à cette réconciliation, mais qu'elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du tout, tout en reposant sur deux hypothèses assez révolutionnaires : Les briques fondamentales de l'Univers ne seraient pas des particules ponctuelles mais des sortes de cordelettes vibrantes possédant une tension à la manière d'un élastique. Ce que nous percevons comme des particules de caractéristiques distinctes (masse, charge électrique, etc) ne seraient que des cordes vibrant différemment. Avec cette hypothèse, les théories des cordes admettent une échelle minimale, reliée à la taille de Planck, et permettent ainsi d'éviter facilement l'apparition de certaines quantités infinies (on parle de « divergences ») qui sont inévitables dans les théories quantiques de champs habituelles. L'univers contiendrait plus de trois dimensions spatiales. Certaines d'entre elles, repliées sur elles-mêmes (voir les théories d'Oskar Klein), passant inaperçues à nos échelles (par une procédure appelée réduction dimensionnelle). La théorie des supercordes est une tentative d'expliquer toutes les particules et forces fondamentales de la nature, en les modélisant comme les vibrations de minuscules cordes supersymétriques. Elle est considérée comme la plus prometteuse des théories pour une gravité quantique, même si elle souffre des mêmes défauts que la théorie des cordes (impossibilité actuelle de réaliser la moindre expérience de vérification). Actuellement, le problème le plus fondamental en physique théorique est la grande unification, ou, autrement dit, l'harmonisation de la théorie de la relativité générale, qui décrit la gravité, et s'applique bien aux grandes structures (étoiles, planètes, galaxies), et de la mécanique quantique qui décrit les trois autres forces fondamentales connues : électromagnétique(EM), l'intéraction faible(W) et forte(S). La physique des particules élémentaires modélise celles-ci comme des points dans l'espace et les fait interagir à distance nulle, ce qui amène à des résultats de valeurs infinies. Les physiciens ont développé des techniques mathématiques, dites de renormalisation, pour éliminer ces infinis, qui fonctionnent pour les forces électromagnétiques, nucléaire forte et nucléaire faible, mais pas pour la gravité : à distance nulle la théorie de la gravité d'Einstein ne fonctionne pas. L'idée de départ est que les constituants fondamentaux de la réalité seraient des cordes d'une longueur de l'ordre de la longueur de Planck (approx. 10-33 cm), qui vibreraient à des fréquences de résonance. Par exemple, cette théorie prédit que le graviton (la particule candidate pour la gravité quantique, qui transmettrait la force de gravitation) serait une corde ayant une amplitude d'onde de zéro. Comme en physique quantique, elle aurait un spin de 2 et une masse nulle. Une autre conclusion importante est qu'il n'y a pas de différence mesurable entre des cordes qui s'enroulent autour d'une dimension et celles qui se déplacent dans les dimensions (c.-à-d., les effets dans une dimension de taille R sont les mêmes que dans une dimension de taille 1/R). Des dimensions supplémentaires Articles détaillés : Théorie de Kaluza-Klein, Réduction dimensionnelle et Dimensions enroulées. Selon la théorie des cordes, notre monde, apparemment tridimensionnel, serait non pas constitué de trois dimensions spatiales, mais de 10, 11, ou même 26 dimensions[2]. Sans ces dimensions supplémentaires, la théorie s'écroule. En effet, la cohérence mathématique impose la présence de dimensions supplémentaires. La raison pour laquelle elles restent invisibles, est qu'elles seraient enroulées par le procédé de la réduction dimensionnelle a une échelle microscopique (des milliards de fois plus petit qu'un atome !!), ce qui ne nous permettrait pas de les détecter. En effet, si on imagine un cable vu de loin, celui ci ne représente qu'une droite sans épaisseur, un objet unidimensionnel. Si l'on se rapproche assez près, on s'aperçoit qu'il y a bien une deuxième dimension, celle qui s'entoure autour du câble! D'après la théorie des cordes, le tissu spatial pourrait avoir de très grandes dimensions comme nos trois dimensions habituelles mais également de petites dimensions enroulées sur elles même. Le Processus d'Individualisation Cela nous aiderait peut-être quelque peu d'examiner la question de l'Individualisation, ou processus intelligent de prise de conscience de soi-même, qui différencie de manière si frappante les hommes des animaux.Lors de l'individualisation les deux pôles se rapprochent et lorsqu'ils se rencontrent la lumière jaillit, pénétrant les cavernes de la matière, et éclairant le sentier que le Pèlerin doit parcourir, pour revenir à sa source. Pour l'homme, cette pénétration de la lumière entraîne : La conscience de soi. Le dessein. La séparation de tous les autres soi, ou sphères. La conscience par-dessus tout. L'aptitude à évoluer. La faculté de "briller toujours davantage, jusqu'au jour parfait". Ceci est vrai aussi, pour un Logos solaire, et pour un Homme Céleste. L'individualisation, c'est littéralement la rencontre (à partir de l'obscurité de l'abstraction) des deux facteurs Esprit et Matière, au moyen d'un troisième facteur, la volonté intelligente, le dessein et l'action d'une Entité. Le rapprochement des deux pôles produit la lumière, une flamme brille, une sphère de gloire radieuse apparaît ; cette sphère accroît progressivement l'intensité de sa lumière, de sa chaleur, de son rayonnement, jusqu'à la limite de ses possibilités ; c'est ce que nous appelons la perfection. Il faut noter et distinguer les mots lumière, chaleur, radiation qui sont les caractéristiques particulières de toutes les entités individualisées, depuis les Dieux jusqu'aux hommes. L'homme commence à pénétrer le secret de ce phénomène, grâce à son aptitude à produire, à partir de connaissances scientifiques, ce que l'on appelle lumière électrique, et qui est employée pour l'éclairage, le chauffage, la guérison. A mesure que les étudiants du plan physique feront des découvertes dans ce domaine, toute la question de l'existence et de l'activité créatrice s'éclairera. En ce qui concerne l'origine du feu du mental, on peut en apprendre davantage en étudiant les diverses méthodes d'individualisation. Pour l'homme il y en a trois, autant que nous le sachions, bien que la possibilité de plusieurs autres méthodes, inconcevables pour la compréhension finie de l'homme, ne soit pas à rejeter. Ces méthodes sont : Premièrement : la méthode employée sur la chaîne lunaire (manifestation planétaire qui a précédé la nôtre) où la conjonction des trois feux fut réalisée par la force et l'énergie innées, et où le feu de la matière rencontra le feu de l'Esprit, grâce à la présence latente de l'étincelle de feu du mental. Cette étincelle du mental, agissant par l'instinct, provoqua une telle activité dans la forme ou substance matérielle, que celle-ci parvint à des hauteurs rendant possible le contact avec son pôle opposé. L'homme-animal aspira ; l'Esprit répondit ; la vibration du germe du mental avait pénétré la substance comme une levure. C'est ainsi que la conscience fut éveillée. Dans le précédent système solaire, les Hommes Célestes employèrent cette méthode, et ces Etres cosmiques avancés s'éveillèrent à la conscience, et maîtrisèrent les trois plans inférieurs du plan physique cosmique – les plans que l'homme s'efforce de maîtriser actuellement. Ils s'individualisèrent après un travail s'étendant sur un nombre inconcevable d'éons consacrés à l'effort 125. Le système solaire précédent dura beaucoup plus longtemps que ne durera l'actuel système solaire, et la force de la matière fut générée à mesure que les ères se succédaient. C'était la période de vivification de la spirille de l'atome permanent physique du Logos. Dans cette méthode d'individualisation, l'accent est mis sur le fait, que le principe de manas fait partie du caractère logoïque, qu'il est partie intégrante de Sa nature même. Manas a donc son origine dans Son Etre, dans Son Soi, il fait partie du contenu du Corps Causal logoïque et pénètre donc toute manifestation dont le Logos est l'origine. D'où l'exactitude de l'affirmation que le manas cosmique a sa source sur le plan mental cosmique, et constitue une partie du feu qui anime ce plan. Deuxièmement, dans ce second système solaire, en ce qui concerne la méthode qui y est employée, un point doit retenir notre attention. Ce feu du mental a sa source dans une constellation dont, encore récemment, la science exotérique ne reconnaissait pas les liens étroits avec notre système solaire, à cause de son éloignement considérable. Le soleil "Sirius" est la source du manas logoïque, de la même manière que les Pléiades sont liées à l'évolution de manas chez les sept Hommes Célestes, et que Vénus est responsable de l'apparition de Manas dans la chaîne de la Terre. Chacun était le primaire de l'autre, ou fut l'agent qui provoqua la première lueur de conscience dans les groupes respectifs, impliqués dans ce phénomène. Dans chaque cas, la méthode fut celle d'une lente croissance évolutionnaire, jusqu'à ce que la conscience brillât soudain, grâce à l'intervention de la force, venue apparemment d'une source extérieure. 1. Le Logos- Système solaire Sirius 2. Les sept Hommes Célestes - Schéma planétaire - Les Pléiades 3. L'Homme Céleste - Chaîne de la Terre - Vénus Donc, cette seconde méthode hâte le processus évolutionnaire par des influences venues de l'extérieur ; elles tendent à éveiller la conscience, et à provoquer la fusion des pôles. La première méthode dont nous avons parlé était celle du système solaire précédent. Celle que nous examinons maintenant est caractéristique du système solaire actuel et se poursuivra jusqu'à la fin du mahamanvantara. L'existence de la méthode antérieure, sur la chaîne de la lune, met en évidence la constance de la Loi de Répétition, selon laquelle tout cycle majeur inclut, dans ses premiers stades, tous les cycles mineurs, et répète le même processus. Ce fait est reconnu, par exemple, dans la construction du corps physique de l'homme, le foetus reproduisant tous les stades ou formes antérieurs, avant d'atteindre le stade humain ; de même, nous savons que la quatrième ronde reproduit brièvement les trois premières, mais possède sa qualité propre.