Indice média Publicitas

publicité
Indice média Publicitas
1ère édition, avril 2016
Research
Sommaire
1.1
MACH Basic 2016-1
p. 3
1.2
Summary MACH Basic 2016-1
p. 4
2.
Estimation Publicitas pour le marché publicitaire suisse de 2014 à 2018
p. 5
3.
Comparaison Media Focus des investissements en publicité 2014 vs 2015
p. 6
4.
Research – accord de coopération «MediaBrands» avec Publicom
p. 7
5.
Research – nouvelle étude: «Étude MIKE 2015»
p. 10
6.
Research – tendances: Y&R SWITZERLAND (Trends média et marketing 2016)
p. 12
7.
Research - Time Use StudyStudy (TUS)
p. 15
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 2
1.1 MACH Basic 2016-1
Presse quotidienne I (pénétration en %)
82.5
81.3
80.9
81.8
78.7
86.1
83.6
25
80.2
50
86.5
50
85.4
75
85.2
75
84.5
100
100
25
0
SI
SA
Presse hebdomadaire régionale (pénétration en %)
2016-1
2015-1
66.5
65.3
28.8
28.1
8.6
15.8
66.2
50
27.1
50
8.9
75
8.8
75
16.2
100
15.8
100
25
2015-2
2015-1
11.5
10.3
10.9
2015-2
SI
35.9
36.2
37.9
2016-1
SR
43
43.3
43.4
SR
39.9
40.1
40.7
SA
Presse quotidienne II+III (pénétration en %)
CH
SA
SR
SI
0
0
SI
Presse illustrée/news/thématique (pénétration en %)
2016-1
2015-2
2015-1
2016-1
43.3
41.7
40.1
31.6
38.6
36.5
30.9
50
29.6
50
40.9
75
40.4
75
38.8
100
38.2
100
25
2015-2
CH
SA
2015-1
59.6
61.6
62.7
Presse dominicale (pénétration en %)
31.4
32
33
SR
54.1
54.8
55.4
SA
49
49.7
50.5
CH
25
CH
2015-1
0
CH
25
2015-2
29.4
31.9
34.2
2016-1
2015-1
68
69
70.1
2015-2
62.4
63.7
64.8
2016-1
51.8
53.5
54.4
Journaux (pénétration en %)
0
0
CH
SA
SR
SI
SR
22.6
27
26.9
36.9
37.9
40.9
14.5
14.3
25
13.4
25
10.5
50
10.6
50
10.1
75
10.9
75
10.5
100
11
100
25
28.3
29
Presse financière et économique (pénétration en %) Magazines TV (pénétration en %)
2016-1
2015-2
2016-1
2015-2
2015-1
CH
SA
SR
0
0
CH
SA
SR
SI
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 3
SI
2015-1
SI
1.2 Summary MACH Basic 2016-1
Publication des statistiques de lectorat REMP MACH Basic 2016-1
La REMP SA Recherches et études des médias publicitaires a publié les dernières statistiques de lectorat
de l’étude MACH Basic 2016-1. Nous avons résumé l’évolution par rapport aux deux semestres passés,
par groupes de titres selon la typologie de la presse helvétique:
Au total, les médias imprimés ont obtenu une pénétration de 95,3% (-0,3% vs 2015-2).
Journaux
83,6% des personnes interrogées connaissent les avantages des journaux (presse dominicale incluse) et
s’informent régulièrement de l’actualité et des événements en lisant un journal quotidien imprimé. Cette
valeur est inférieure de 0,9% à celle du semestre précédent. Alors qu’un léger recul (non significatif) est
constaté en Suisse alémanique et en Suisse romande, une légère progression a été enregistrée au Tessin.
Elle est due en grande partie au «Corriere del Ticino». En Suisse romande, le quotidien «Le Matin»
enregistre une perte significative de lecteurs par rapport à 2015-2.
Les médias politiques tels que la «Weltwoche» (+4,7%) à droite et encore davantage l’hebdomadaire de
gauche «WoZ» (+26,5%) ont le vent en poupe.
Presse destinée aux pendulaires
Le journal le plus lu de Suisse reste le «20 Minuten». En Suisse alémanique, le journal atteint 1,43 mio.
de lectrices et de lecteurs, bien que, par rapport à la vague d’automne, il enregistre un recul significatif
de 2,6 %. Le lectorat du «Blick am Abend» est resté stable avec 672 000 lectrices et lecteurs.
Presse dominicale
Au niveau des journaux du dimanche, on observe une tendance au régionalisme en Suisse alémanique:
«Zentralschweiz am Sonntag» et «Ostschweiz am Sonntag» ont gagné de nouveaux lecteurs, alors que
les autres titres dominicaux enregistrent des pertes. Dans ce segment, le «SonntagsBlick» (-8,5%)
enregistre les plus lourdes pertes en termes de lecteurs par rapport au premier semestre.
Magazines
88,9 % de la population suisse toutes langues confondues lisent un magazine (-0,3% vs 2015-2). Les
catégories les plus touchées par le recul des lecteurs sont la presse TV (-3,3%) ainsi que les
illustrés/news et la presse thématique (-0,7%). Le magazine féminin «femina» enregistre également un
recul.
Presse grand public, presse féminine/people et presse TV
Les grands perdants de ces catégories sont «Die Glückspost» (-8,6%), «Tele» (-10,2%), «K-Geld»
(-10,3%) et «Fritz und Fränzi» (-17%).
Presse clientèle (aucun graphique)
Comme à l’accoutumée, le magazine «Coopération» (2,65 mio.) comptabilise le plus grand nombre de
lecteurs, suivi de près par le «Magazine Migros» (2,38 mio.).
Vous pouvez obtenir des informations détaillées sur les différents médias auprès de l’équipe médias en
contactant Sabrina Pavone Francet ([email protected]) ou les analyser via l’outil de
planification AdPlanning.
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 4
2. Estimation Publicitas pour le marché publicitaire suisse (2014-2018)
Chiffres d’affaires de la publicité en Suisse
Presse sans numérique
Internet
Mio. CHF
Évol. a.p. %
Mio. CHF
Évol. a.p. %
2014
2015
2016
2017
2018
1'644
-12.8
1'014
12.7
1'544
-6.1
1'116
10.1
1'454
-5.8
1'226
9.9
1'375
-5.4
1'347
9.9
1'302
-5.3
1'469
9.1
CAGR
'15-'18
-5.7
9.7
Source: pwc Media Outlook 2015
Tendance des chiffres d’affaires de la publicité en Suisse
2014
2015
Ist
Marché total
Presse sans numérique
TV
Radio
C inéma
Télétexte
Publicité extérieure
Publicité directe
Internet
Mio. C HF
Évol. a.p.
Mio. C HF
Évol. a.p.
Mio. C HF
Évol. a.p.
Mio. C HF
Évol. a.p.
Mio. C HF
Évol. a.p.
Mio. C HF
Évol. a.p.
Mio. C HF
Évol. a.p.
Mio. C HF
Évol. a.p.
Mio. C HF
Évol. a.p.
5'130
%
1'644
%
-12.8
798
%
7.5
153
%
4.1
28
%
7.7
3
%
-16.7
431
%
2.9
1'059
%
-2.6
1'014
%
12.7
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 5
2016
2017
2018
Prognose




































3. Comparaison des dépenses publicitaires Mediafocus 2014 vs 2015
Pression publicitaires en millions de francs bruts
2014
2015
1'336'965
1'298'650
Évol. a.p. %
+2.5%
-2.9%
Mio. CHF
724'286
714'466
-0.6%
-1.4%
141'517
127'646
Mio. CHF
Journaux quot. , hebdomadaires et dominicaux
Presse magazine grand-public et financière
Évol. a.p. %
Mio. CHF
Presse spécialisée
Presse professionelle
Évol. a.p. %
-4.1%
-9.8%
Mio. CHF
79'570
75'349
Évol. a.p. %
-3.3%
-5.3%
1'606'057
1'646'674
Évol. a.p. %
+4.0%
+2.5%
Mio. CHF
222'457
209'560
Mio. CHF
TV
Radio
Évol. a.p. %
-3%
-5.8%
35'455
46'496
Évol. a.p. %
+4%
+31.1%
Mio. CHF
3'891
3'105
Évol. a.p. %
-19.9%
-20.8%
Mio. CHF
508'032
635'140
Évol. a.p. %
+79.4%
+25.0%
Mio. CHF
Mio. CHF
Cinéma
Télétexte
Internet
Out-of-Home
Affichage numérique
555'841
585'226
Évol. a.p. %
-0.5%
+5.3%
Mio. CHF
19'290
23'402
Évol. a.p. %
-3.3%
+21.3%
Source: Media Focus, investissements janvier – décembre 2014 vs. 2015
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 6
4. Research – accord de coopération «MediaBrands» avec Publicom
L’étude comparative MediaBrands
Depuis 2013, MediaBrands analyse chaque année la perception et l’évaluation des marques médias par
les utilisateurs suisses au moyen d’enquêtes représentatives en ligne. L’étude se concentre sur des
facteurs qualitatifs considérés par la recherche comme des indicateurs essentiels de la valeur
marchande, notamment la sympathie des utilisateurs pour la marque média ou leur attachement
ressenti pour cette marque. MediaBrands identifie également avec quelles caractéristiques de la
personnalité des destinataires associent les marques médias, dans quelle mesure ils considèrent les
marques comme «uniques», «crédibles» ou «jeunes». Les réponses des quelque 3200 Suisses
alémaniques et, depuis 2016, des 1200 Suisses romands interrogés chaque année donnent une image
quantifiable de quelque 100 marques de marques médias du point de vue des lecteurs, des auditeurs
et des spectateurs.
Signification des marques médias pour les entreprises médias
Certains résultats de l’étude MediaBrands 2015 sont présentés dans l’illustration 1, à l’exemple de la
radio locale neo1. Par rapport aux autres stations de radio suisses, neo1 obtient d’excellents résultats
pour toutes les dimensions liées à la personnalité. De telles analyses sont utiles à une entreprise média
et ce non seulement à des fins de marketing. Il est possible d’identifier d’éventuels problèmes de
gestion de la marque en comparant l’image (recherchée) de la marque à l’image de marque telle
qu’elle est perçue par les utilisateurs. Les données, et surtout le contraste entre ses propres valeurs de
marque et celles des marques concurrentielles et des indices de référence, permettent aux entreprises
médias d’évaluer plus précisément leur positionnement sur le marché et d’adapter leur stratégie de
marque.
Signification des marques médias pour le marché publicitaire
L’image de marque des marques médias du point de vue des consommateurs est également
importante pour les publicitaires. La manière dont l’utilisateur perçoit et juge un média a une influence
sur la façon dont une publicité publiée sur le média sera perçue et évaluée, et donc si il va finalement
acheter le produit. Cette importance du support publicitaire pour l’efficacité de la publicité a fait l’objet
de recherches approfondies ces dernières années et elle a été confirmée par plusieurs études
indépendantes (cf. p. ex. Ots/Wolff 2008; Berkler 2008). Il a été démontré que la sympathie et
l’association des utilisateurs à une marque ont une influence significative sur l’impact de la publicité.
L’approche dite du framing fournit une explication: lors de la lecture, de l’écoute ou de la vision de
médias, un cadre d’interprétation émotionnel et cognitif se développe dans l’esprit des utilisateurs. Ce
cadre détermine comment les destinataires perçoivent et jugent les messages publicitaires.
Source: «Die Vermessung der Medienmarkenwelt» - Publicom AG, Beratung und Forschung für Medien und Kommunikation, 2016
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 7
4. Research – accord de coopération «MediaBrands» avec Publicom
Une expérience de la REMP a révélé, par exemple, que les utilisateurs surévaluent les prix des produits
promus s’ils voient leur publicité publiée sur certaines marques de médias (REMP 2013). D’autres
études ont montré les effets du support publicitaire sur l’impact publicitaire notamment au niveau
neuronal (Deppe 2005). Si un département marketing souhaite augmenter la crédibilité de sa marque,
il serait peu recommandable de publier des publicités dans les médias qui certes atteignent le groupe
cible, mais qui sont considérés par celui-ci comme peu crédibles. Il est également possible
d’argumenter pour d’autres objectifs marketing, notamment pour une augmentation souhaitée de la
compétence, de la jeunesse ou de l’utilité d’une marque dans la perception du public. MediaBrands
propose aux planificateurs médias les données nécessaires pour comparer l’image souhaitée d’une
marque de produits avec l’image de marque des marques médias et de trouver la formule publicitaire
adéquate.
Analyse du potentiel des utilisateurs sur la base des MediaBrands
Les données MediaBrands actuelles permettent en outre de réaliser des analyses de potentiel des
utilisateurs et des mesures stratégiques pour les entreprises médias. Les personnes interrogées sont
réparties en quatre groupes, en fonction de leurs réponses concernant leur comportement d’utilisation
et leur sympathie pour une marque: le groupe des «fans» comprend les personnes qui utilisent
régulièrement la marque et la jugent sympathique. Les «aspirants» jugent cette marque sympathique,
mais l’utilisent nettement moins souvent que les fans de la marque. Les «pragmatiques» utilisent la
marque souvent, mais ne la trouvent pas particulièrement sympathique. Pour finir, les «distancés»
n’apprécient pas particulièrement la marque et l’utilisent donc rarement.
D’un point de vue stratégique, il est judicieux d’adapter en premier lieu le marketing aux aspirants qu’il
faut convaincre d’utiliser plus souvent la marque. Des informations détaillées sur la composition
concrète des différents groupes d’utilisateurs – la structure des âges, les rapports entre les sexes ou
leur formation – facilitent l’adaptation ciblée des mesures de marketing aux différents groupes.
L’illustration 2 montre une analyse des différents types d’utilisateurs de la marque média «Blick», qui
diffèrent considérablement notamment selon les sexes.
♀
♂
♀
♂
♀
♂
♀
♂
Source: «Die Vermessung der Medienmarkenwelt» - Publicom AG, Beratung und Forschung für Medien und Kommunikation, 2016
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 8
4. Research – accord de coopération «MediaBrands» avec Publicom
Il est également intéressant pour les publicitaires de connaître la composition des groupes
d’utilisateurs d’une marque média. Comme il a été mentionné plus haut, le fait qu’un utilisateur juge
un support média sympathique peut avoir une influence positive sur le succès de la publicité. Les fans
et les aspirants d’une marque média constituent donc un groupe cible lucratif pour la publicité comme
utilisateurs pragmatiques de la même marque. L’analyse du potentiel des utilisateurs réalisée par
MediaBrands présente aux publicitaires comment associer au mieux supports publicitaires et groupes
cibles.
Résumé
Les caractéristiques qualitatives des marques médias ont de plus en plus d’importance dans la
recherche et dans la pratique. MediaBrands détermine les données correspondantes pour la Suisse et
propose ainsi aux entreprises médias et aux publicitaires un outil utile pour optimiser leurs stratégies.
L’étude aide les entreprises médias à identifier le positionnement sur le marché de leur propre marque
en la comparant à l’indice de référence et en adaptant les futures mesures stratégiques aux souhaits et
aux caractéristiques des utilisateurs. Par ailleurs, MediaBrands permet aux planificateurs publicitaires
et médias de placer la publicité de manière plus adaptée au groupe cible et donc plus efficace. Les
données MediaBrands seront intégrées dans l’outil Adplanning de Publicitas en automne 2016 et
pourront être évaluées individuellement en ligne.
Littérature - sélection
Berkler, S.: Medien als Marken? Konstanz 2008.
Deppe M. et al.: Evidence for a neural correlate of a framing effect. In: Brain Research Bulletin 2005, 67(5):413-421.
Drüge, Lutz: Markenführung für Verlage im Zeitalter der Medienmarken. VDZ-White Paper 2008.
Malthouse, Edward C.; Calder, Bobby J.:Media Placement versus Advertising Execution. In: International Journal of Market Research 2010, 52(2), 217-230.
Ots, Mart; Wolff, Per-Erik: Media Consumer Brand Equity: Implications for Advertising Media Planning. In: Ots, Mart (Ed.): Media Brands and Branding.
Jonkoping International Business School 2008, 95-112.
Siegert, G., Förster, K., Chan-Olmsted, S.M., Ots, M. (Eds.): Handbook of Media Branding. Cham 2015.
Sommer, Christoph; Marty, Linda: The Role of Media Brands in Media Planning. In: Journal of Media Business Studies 2015; 12(3):1-19.
WEMF: Was Medienmarken wert sind. 2013. http://www.wemf.ch/pdf/de/Forschung/17_MFT/D_Factsheet_MeFo13_130911.pdf, Abruf: 1.2.2016.
Source: «Die Vermessung der Medienmarkenwelt» - Publicom AG, conseil et recherche pour les médias et la
communication, 2016
Pour obtenir des informations complémentaires au sujet de MediaBrands, n’hésitez pas à contacter
à l’interne Sabrina Pavone Francet ([email protected]).
.
Indice
média Publicitas | 1èe édition, avril 2016 | p. 9
5. Research – nouvelle étude:
«Étude MIKE 2015» (Médias – Interaction – Enfants (Kinder) – Parents (Eltern)
L’étude MIKE a été réalisée par la ZHAW (Haute Ecole zurichoise des Sciences appliquées) et a étudié
le comportement d’utilisation des médias des enfants de l’école primaire vivant en Suisse. Entre la miseptembre 2014 et la fin janvier 2015, 1065 enfants âgés entre six et treize ans, ainsi que 641 parents
ont été interrogés dans les trois régions linguistiques suisses.
Vous trouverez ci-après un aperçu des principaux résultats de l’étude:
Activités de loisirs (médias et non médias)
Activités de loisirs non médias

Même à l’ère numérique, jouer et faire du sport font partie des loisirs préférés. 89% et 88% des
enfants jouent une fois par semaine au minimum dehors ou à l’intérieur.

Environ trois enfants sur quatre retrouvent au moins une fois par semaine des amis, font du sport
ou entreprennent une activité en famille.
Utilisation des médias

La télévision est, avec la musique, l’activité média la plus pratiquée: seuls 4% des enfants suisses
ne regardent jamais la télévision.

67% des enfants utilisent Internet au moins une fois de temps en temps. L’utilisation augmente
sensiblement au cours de la scolarité primaire: 40% des enfants de 6 à 7 ans et 97% des enfants de
12 à 13 ans utilisent Internet au moins une fois de temps en temps.

69% des enfants utilisent un mobile au moins une fois de temps en temps. 52% d’entre eux
possèdent leur propre mobile. Le mobile est le média préféré des enfants.

61% des enfants jouent aux jeux vidéos une fois par semaine, au minimum. 12% des enfants n’y
jouent jamais. Les garçons jouent sensiblement plus que les filles.
Source: étude MIKE 2015 – ZHAW (Haute Ecole zurichoise des Sciences appliquées) – département de psychologie
appliquée
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 10
5. Research – nouvelle étude:
Étude «MIKE 2015» - suite
Utilisation des médias (suite)

YouTube fait partie intégrante du quotidien des enfants de plus de 9 ans: 76% des enfants utilisent
YouTube au moins une fois par semaine, 40% chaque jour ou presque. Les garçons utilisent
YouTube sensiblement plus que les filles.

90% des enfants lisent un livre de temps en temps pendant leurs loisirs.

L’utilisation des médias par les parents est liée à celle des enfants: les parents sont des modèles.
Contenus médias

Les parents interrogés se soucient en première ligne des contenus médias que peuvent rencontrer
les enfants en ligne. Les thèmes tels la violence et la pornographie jouent là un rôle important.

Les enfants font davantage d’expériences positives que négatives avec les contenus visibles à la
télévision et sur Internet. 93% des enfants ont déjà vu des choses à la télévision qui les ont rendus
heureux et 60% des enfants y ont vu des choses qui leur ont fait peur. Les enfants font davantage
d’expériences positives et négatives avec la télévision qu’avec Internet. Mais ils regardent aussi
davantage la télévision.
Disponibilité des appareils dans le ménage:
Disponibilité des appareils dans la chambre:
CD-Player
41
97
Radio
41
Accès à Internet
96
iPod/MP3-Player
28
Téléviseur
95
Portable/Smartphone
28
Portable/Smartphone
98
Ordinateur/Laptop
Caméra digitale
88
Console de jeu portable
26
Radio
81
Magnétophone à cassettes
CD-Player
80
Accès à Internet
19
Caméra digitale
18
61
Tablette
18
60
Ordinateur/Laptop
15
Téléviseur
10
Tablette
76
iPod/MP3-Player
Console de jeu fixe
Console de jeu portable
53
Magnétophone à cassettes
Console de jeu fixe
47
23
9
n = 1’048
n = 1’049
Médias préférés:
Indice première et deuxième mention
Téléphone portable
380
TV
326
Livres
271
Ordinateur/Internet
207
Appareil de musique
140
Magazine
Radio
123
44
n = 988
Source: étude MIKE 2015 – ZHAW (Haute Ecole zurichoise des Sciences appliquées) – département de psychologie
appliquée
Rapport complet sous: www.zhaw.ch/psychologie/mike
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 11
6. Research – tendances:
Y&R GROUP SWITZERLAND – Voici les tendances marketing et médias 2016
L’année 2016 sera celle d’un développement accéléré. Il ne sera pas question de révolution, mais d’un
changement marqué par une évolution exponentielle. Voici comment les chercheurs en tendances du
Y&R Group Switzerland les résument.
Les thèmes dominants du Consumer Electronics Show (CES) qui a lieu en janvier à Las Vegas en sont
un bon indice: les Self Driving Cars, les drones, l’Internet des Objets, les robots ou les wearables ne
sont pas de nouveaux développements. Mais de nombreuses choses, considérées comme utopiques ou
tout au moins expérimentales il y a peu de temps encore, sont aujourd’hui mûres pour le marché et
influenceront durablement l’économie et la société.
On observe les tendances suivantes dans le domaine du marketing, des médias et de la technologie:
TREND 2016 #1: Messaging Apps
Aujourd’hui, en Suisse, les smartphones sont davantage utilisés pour envoyer des messages que pour
téléphoner. Comme l’étude «Media Use Index», du Y&R Group Switzerland le montre, 63% de la
population suisse écrivent des messages chaque jour, 54% lisent et écrivent des e-mails. Pour
téléphoner, le smartphone n’est utilisé tous les jours que par 46% des personnes interrogées.
À l’échelle mondiale, les applications de messagerie gagnent en importance et volent même la vedette
aux médias sociaux: les quatre principales applications de messagerie possèdent ensemble plus
d’utilisateurs que les quatre principales plateformes de médias sociaux, à savoir près de 3 milliards
d’utilisateurs mensuels actifs (businessinsider.com). La plus importante est «WhatsApp», suivie de
«Facebook Messenger», de «WeChat» et de «Viber».
Source: Y&R Group Switzerland – Y&R Exchange Event TRENDS 2016
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 12
6. Research – tendances:
TREND 2016 #2: Marketing Automation
La Marketing Automation permet, dans le cadre d’une campagne numérique, de réagir
automatiquement et individuellement au comportement du groupe cible et d’atteindre une conversion
maximale. Une entreprise qui convie à un événement peut introduire différents processus en fonction
des personnes qui a) s’inscrivent, b) se désinscrivent et c) ne réagissent pas. Les personnes inscrites
reçoivent ainsi un rappel juste avant l’événement, alors qu’un manque de réaction via des canaux
supplémentaires gâcherait des mesures de suivi.
À un niveau supérieur, la Marketing Automation permet de lancer différentes campagnes pour
s’adresser à des segments de groupes cibles différents. De tels processus complexes constituaient
jusqu’alors un cauchemar organisationnel. Aujourd’hui, des logiciels spéciaux les traitent de manière
automatique et efficace.
TREND 2016 #3: Programmatic Buying
Dans le domaine des Display Ads et des Text Ads, le Programmatic Buying garantit des
campagnes encore plus efficaces que les placements fixes couramment utilisés aujourd’hui. En effet,
alors que, pour les placements fixes, les publicitaires définissent le groupe cible sur la base de
catégories relativement grossières, le Programmatic Buying permet de les définir au moyen d’un
logiciel.
Source: Y&R Group Switzerland – Y&R Exchange Event TRENDS 2016
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 13
6. Research – tendances
Il optimise en continu une campagne en cours en termes de conversions et de coûts. En l’espace de
120 millisecondes, elle évalue un grand nombre de paramètres et décide ainsi quel moyen publicitaire
sera utilisé pour chaque insertion. Le Programmatic Buying permet de lancer des campagnes à partir
d’un seul cockpit.
TREND 2016 #4: Internet of Things (IoT)
L’Internet of Things (IoT) – l’Internet des objets fait également partie des grandes tendances de
l’année 2016. Alors que l’intérêt se concentre souvent sur les différents produits (ou «things») et leurs
features, les consommateurs et les entreprises sous-estiment aujourd’hui encore l’importance des
données générées par l’IoT.
L’exemple du prestataire en domotique Nest Labs, racheté pour un montant record par Google, montre
que les seuls paramètres de température livrent des informations sur le comportement d’une famille.
La pertinence de ces données augmente de manière notoire lorsqu’elles sont combinées avec d’autres
appareils connectés. Cela explique pourquoi toutes les grandes entreprises technologiques essaient
d’établir un standard pour la mise en réseau d’éléments smart home et IoT.
TREND 2016 #5: Personal Digital Assistants
Source: Y&R Group Switzerland – Y&R Exchange Event TRENDS 2016
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 14
6. Research – tendances:
«Apple Siri» ou «Google Now» nous donnent actuellement un avant-goût de ce que nous pouvons
attendre des assistants numériques dotés d’une intelligence artificielle. Avec Echo, Amazon s’est
également dotée d’une bonne situation de départ comme plateforme smart home. Toutes ces solutions
convainquent par leur commande vocale, mais elles ne parviennent pas encore à réaliser de
transactions payantes.
Certains systèmes basés sur le texte vont déjà plus loin. L’application de messagerie «WeChat» et le
service «Assist» intégré au Facebook Messenger permettent, par exemple, au moyen de messages
textes, de commander un taxi, des fleurs et même de réserver une table dans un restaurant. Il en
ressort que les consommateurs effectueront bientôt de nombreuses transactions non plus par
téléphone ou sur une surface Web, mais via des messages en langue naturelle.
Source: Y&R Group Switzerland – Y&R Exchange Event TRENDS 2016
Vous trouverez l’intégralité de l’étude sous: http://www.yr-group.ch/trends/die-trends-des-jahres-2016
7. Research – Time Use Study (TUS):
TIME USE STUDY (TUS) - Utilisation des médias et activités dans la journée
La Time Use Study (TUS) est la seule étude suisse qui mette en évidence les activités et l’utilisation des
médias au cours d’une journée. Elle est réalisée et publiée tous les deux ans. La Time Use Study
2015/2016 est le fruit d’une coopération entre Mediapulse SA, la REMP et la SRG SSR.
L’étude montre le déroulement de la journée de personnes domiciliées en Suisse et âgées de 15 ans et
plus. L’utilisation des médias et les activités peuvent être analysées par jour de la semaine et par
tranche horaire. L’étude fournit ainsi aux propriétaires de médias des informations importantes pour
leur réflexion stratégique. Les régies publicitaires, les agences média et de publicité disposent, à
travers cette étude, d’une base de décision sérieuse pour planifier le mix média de campagnes
publicitaires.
Données spécifiques concernant l’utilisation des médias
TUS fournit des informations détaillées sur les offres de médias consultées, la durée de consultation et
les appareils utilisés pour ce faire.
L’étude contient des données sur les thèmes suivants:

Utilisation des médias (types de médias, appareils utilisés) et activités (18 activités différentes,
p. ex. travail, repas, sport, voyages, transports publics, etc.) au cours de la journée

Utilisation globale quantifiable des médias pour chacune des trois régions linguistiques de Suisse et
pour l’ensemble de la Suisse (fréquence, durée, etc.)

Médias de masse, technologies de communication et de divertissement

Informations sociodémographiques (informations sur les groupes cibles)
Source: REMP
Factsheet et méthodologie sous : http://www.remp.ch/f/etudes_media/timeusestudy.php
Sabrina Pavone Francet se tient à votre disposition pour tout complément d’information
([email protected]).
Indice média Publicitas | 1ère édition, avril 2016 | p. 15
Publicitas SA
Rue Etraz 4
Case Postale 7114
1002 Lausanne
Sabrina Pavone Francet
Research Analyst
[email protected]
Tel: +41 58 680 98 42
Christina Ueberschlag
Research Analyst
[email protected]
Tel: +41 58 680 96 05
Téléchargement