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Remerciements
Je tiens ici à adresser mes remerciements aux membres du jury pour avoir accepté de
m’accompagner à travers cette épreuve des plus importantes pour la suite de ma carrière. Je les
remercie également pour la souplesse dont ils ont fait part afin que nous trouvions, exercice
particulièrement difficile par les temps qui courent, un moment commun pour nous réunir. Je
remercie plus particulièrement Sabine Barles, qui a accepté de me diriger dans ce travail, de
m’apporter de très nombreux conseils et sans laquelle il m’aurait été bien plus difficile de
comprendre comment orienter mon mémoire. Son livre sur l’invention des déchets urbains m’a
en outre apporté beaucoup dans ce travail. Je remercie également Dominique Bourg, en ce que
les quelques années de travail en commun à l’UTT m’ont permis de m’ouvrir à toutes ces
problématiques dont il est question dans ce mémoire. Sans lui, les questions d’écologie
industrielle et d’économie de fonctionnalité me seraient sans doute à peine familières.
Il me faut aussi remercier les quelques personnes avec qui il m’a été possible d’échanger et qui
ont enrichi ma réflexion. Je citerai surtout Christian Coméliau et Christoph Bey, tous deux
venus pour un court séjour à Troyes et avec lesquels les échanges ont été aussi cordiaux que
stimulants. Au-delà de ces rencontres, certains auteurs que je n’ai pas la chance de connaître en
personne m’ont à coup sûr beaucoup apporté dans ce travail. Je citerai Majid Rahnema, Jean-
Pierre Dupuy, Gilbert Rist, Anthony Giddens, Fernand Braudel, Laurent Davezies, Pierre-André
Taguieff, Serge-Christophe Kolm, Jean-Marie Schaeffer, Paul Virilio et Amartya Sen. Avec
d’autres, ils sont représentatifs à mon sens de ces auteurs qui, au-delà de leur discipline de
départ, réfléchissent au monde tel qu’il est et à ce que l’homme pourrait en faire.
Enfin, je ne peux qu’exprimer mon affection à Céline, ma compagne, qui me donne au
quotidien cet équilibre qui m’est si précieux. L’été 2008 a pour moi été particulièrement
studieux, mais à aucun moment elle ne me l’a fait peser.