Mercredi 5 janvier 2011
Carnets d’enquêtes sur la mort de
César
Fait par Paul et Johanna
Sommaire :
Carnets d’enquêtes sur la mort de César ..................................................................................... 1
I-Les funérailles de César. .......................................................................................................... 3
1) Lieux des funérailles. ........................................................................................................... 3
2) Funérailles chez les romain s. .............................................................................................. 3
3) Impression sur les funérailles de César. ............................................................................. 4
4) L’interrogatoire sur la mort de César. ................................................................................ 4
II- Au Sénat. ................................................................................................................................ 5
1) Une séance au Sénat. .......................................................................................................... 5
3) Tableau d’un assassinat. ......................................................................................................... 6
III- Les présage de César : .......................................................................................................... 6
1) L’interprétation d’un présage. ............................................................................................ 6
2) Interview avec l’har uspice. ................................................................................................. 6
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I-Les funérailles de César.
1) Lieux des funérailles.
Le Champ de Mars est situé en plein cœur de Rome, il servait aux évolutions militaires et
divers autres usages : des assemblées du peuple et la jeunesse s’exerçait à la lutte, au lancé de javelot
et de disque, à la conduite de chars. A la fin de la République, on éleva autour du Champ de Mars des
portiques, des arcs de triomphe et des monuments publics.
Les Tribunes au Harangues, à l’origine, se trouvait devant la Curie (local du Sénat) César
la fit déplacée non loin au sud-
ouest. Cette tribune a gardé son
nom, Rostres, Ce nom désignant les
éperons de navire pris à l’ennemi à
la bataille d’Antium et qui la
décoraient.
Le Temple de Venus
Genetrix « mère » de la famille
des lulii (famille de César) :
construit après que César eut fait le
vœu d’élever un temple à Vénus
lors de la bataille de Pharsale.
La Curie de Pompée se
trouve sur le Champ de Mars ; se
fut le premier
théâtre en dur construit à Rome,
inauguré en 55 av. J.C. (l’année du
second consulat de Pompée).
Le Capitole est le temple
consacré à Jupiter, Junon,
Minerve .Il doit son nom à la
colline sur laquelle il a été
construit.
Le Tombeau de Julie se
tombeau est celui de sa fille morte
en 54 av. J.C.
Le Forum se situe devant
la tribune aux harangues, il sert à
rendre la justice.
Plan du Champ de Mars
2) Funérailles chez les romains.
Le cortège funéraire, va vers la nécropole pour que le corps du défunt soit brûlé.
Les sépultures étaient variées autant que pouvait l'être la population : les tombes les plus modestes
contenaient une simple urne de terre avec les cendres du mort et tout autour des vases à offrande ainsi
que des bris d'autres vases, de verreries et de bijoux intentionnellement brisés et brûlés sur le
bûcher. Des familles plus aisées firent tailler dans des calcaires tendres des urnes de pierre à couvercle.
Les plus riches se faisaient construire de véritables mausolées, bâtis en grand appareil.
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L'appartenance à la classe sociale conditionne le faste des rites funéraires romains. Les Romains, très
superstitieux et religieux pensaient qu'un déroulement précis des funérailles était essentiel à l'obtention
d'une vie après la mort. Ils étaient donc très pointilleux sur l'exécution des rites funéraires. Les riches
se faisaient, en principe, incinérer, tandis que les Romains plus pauvres comme les esclaves pouvaient
être jetés dans des fosses communes, sans cérémonie. Il est par ailleurs courant que certains hommes,
dont les empereurs à travers le culte Impérial, aient fait l'objet d'un culte après leur mort.
Le statut social était un facteur important dans le déroulement et le faste des rites funéraires romains.
On exposait le corps au public avant de l'incinérer, selon une durée qui dépendait de la position du
défunt dans la société. Les patriciens bénéficiaient d'une exposition pouvant durer plusieurs jours,
invitant les romains à une période de deuil et à témoigner leurs respects à la famille. Les plébéiens
étaient souvent incinérés le lendemain de leur mort.
Le corps devait sortir les pieds en premier. L'état romain pouvait décréter un deuil public pour les
personnages importants.
Après l'exposition, la nuit de préférence pour éviter les grands rassemblements publics et pour
décourager les débordements de foules qui pouvaient dégénérer pour les hommes importants, le
cortège funéraire est conduit dans la nécropole, ville des mort, en dehors de la ville des vivants,
attend le bûcher. Les suivants du cortège chantent les nénies, les hommes s'habillant en couleurs, tous
devaient s'habiller de laines, négliger de se laver, ou de changer de vêtements, les têtes des fils sont
voilés, les cheveux des femmes décoiffés, les ongles ne sont pas coupés. Ce lieu a préalablement été
sanctifié par un prêtre qui l'a béni avec de l'eau et une branche de laurier ou d'olivier. Les familles les
plus riches paient des musiciens pour conduire le cortège. Les parents pouvaient également porter des
masques de cire à l'effigie d'autres membres décédés de famille. On prononçait un panégyrique
pendant la consomption du bûcher et on jetait des offrandes : nourriture, parfum, et objets chers au
défunt. Lorsque le foyer s'éteint, un membre de famille (habituellement la mère ou l'épouse du défunt)
mouille les cendres avec du vin puis lave les os avec du parfum, et place ces vestiges dans une urne
cinéraire (olla), un sac de tissu, un coffre d'or, de marbre, de poterie, de verre, ou de métal...
L'emplacement est marqué par une pierre ou un morceau de bois.
Les membres de la famille qui étaient âgés de plus de six ans devaient porter le deuil pendant une
année entière. Les enfants de moins de six ans pendant un mois, un mari pendant dix mois et les
parents de sang pendant huit mois.
Urne funéraire
3) Impression sur les funérailles de César.
Le récit de Suétone n’est pas clair. Il y à des différences entre les funérailles de César et
les funérailles en temps normal. Par exemple, César n'a pas été incinéré dans la nécropole
mais sur la place publique
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4) L’interrogatoire sur la mort de César.
Qui est le premier conjuré à agir ? Quel rôle joue-t-il ?
C’est Cimber Tillius est le premier conjuré à agir. Il pénètre l’espace sacré et arrache un pan de la
tunique de César.
Qui porte le premier coup à César ? Où le blesse-t-il ?
L’un des frères Cascus porte le premier coup un peu en dessous de la gorge
Quelles sont les réactions successives de César ?
Il plante un stylet dans le bras de Cascus et crie « cette fois c’est de la violence ! » puis s’adressant à
Marcus Brutus « Toi aussi mon fils ? ». Il essaye de s’échapper et comprenant qu’il n’y arrivera
pas, il réajusta sa tunique pour mourir dignement
Combien de coups de couteau reçoit-il finalement ?
César reçut 23 coups de couteau dont un fatal.
Que font les conjurés après l’assassinat ?
Les conjurés s’enfuient en désordre
Qu’advient-il de César ?
Son corps sans vie sera finalement ramené chez lui.
II- Au Sénat.
1) Une séance au Sénat.
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