La violence et le terrorisme n’ont aucun rapport avec l’Islam (Rohani) L’Islam est la religion de la paix et de la clémence et il a toujours banni la violence et l’extrémisme, a souligné le président Hassan Rohani. Le président Hassan Rohani a souligné que malheureusement les attentats terroristes perpétrés dans le monde ont provoqué une vague de campagnes anti-musulmanes et islamophobes alors que les terroristes et les crimes qu’ils commettent n’ont aucun rapport avec l’Islam ou le Coran. « Les terroristes se présentent comme musulmans, ce qui a causé de préjugé chez l’opinion publique mondiale de l’islam et des musulmans. », a fait remarquer le président iranien, réaffirmant que l’Islam est pourtant la religion de la paix et de la clémence. Ces pouilleux barbus n’ont aucun avenir, voilà pourquoi, ils ne passeront pas en Tunisie, Ils, ce sont les ténébreux terroristes ! Ils, ce sont les ténébreux terroristes, les mercenaires de Satan qui se tapissent dans le noir, en embuscade pour notre beau pays, à la recherche de la moindre faille sécuritaire, à attendre le moindre relâchement de la garde, pour porter leurs coups traitres, comme eux, sous le couvert de la nuit, aussi noire que les idées qu’ils véhiculent. Ils auront beau gesticuler, ils auront beau agir par traitrise, et porter des coups bas à la Nation, à ses enfants, à ses guerriers, ils sauront, très rapidement qu’ils ne passeront jamais dans ce pays où les gens aiment la vie, et bravent la mort qu’ils nous promettent. C’est, tout simplement, en regardant les news de ce samedi 29 novembre, qu’on se rend, définitivement, compte que ces pouilleux barbus n’ont aucun avenir sous nos cieux ni dans nos murs. En effet, ils ont perpétré un acte odieux et vil, le 24 novembre, en plein cœur de la Capitale Tunis. Ils ont fait sauter un bus, ils ont tué treize de nos valeureux guerriers, ils ont créé un début de panique sur cette artère centrale de Tunis, ils nous ont fait pleurer, ils nous ont attristé, mais ils ont, par la même occasion rempli nos cœurs de haine et de rancœur contre eux et contre tout ce qui leur ressemble de près ou de loin. Ils ont rempli nos cœurs de haine, une haine exclusivement orientée vers eux, mais en aucun cas, ils n’ont pu, et ne pourront, nous faire haïr notre pays ni la vie, ni encore moins, la joie de vivre qui a, de tous temps caractérisé le tunisien. La preuve : à quelques mètres du lieu de leur odieux attentat, la vie a continué, et les tunisiens les ont bravés en continuant d’assister à la manifestation culturelle des journées cinématographiques de Carthage, dans un élan de défi, qui leur a été lancé en pleine figure, à eux, et à tous ceux qui, dans le noir, se cachent derrière eux. Et les tunisiens, malgré l’Etat d’urgence, malgré le couvre feu, ont tenu à faire réussir cette session des JCC, mieux que ses précédentes, et la cérémonie de clôture, hier soir, aura voulu être à la hauteur du défi du tunisien aux sombres desseins de ceux qui manipulent de loin, ces hideux terroristes, ennemis de la vie. Un autre évènement, tenu aujourd’hui, est venu s’imposer comme une gifle sur la face encrassée de ces terroristes, c’est celui du match de la finale de la coupe africaine des clubs, qui s’est déroulé à Sousse. Sousse la ville qu’ils ont cherché par tous les moyens à endeuiller, et à faire sombrer dans la peur et la terreur. L’organisation fort réussie de cette rencontre s’est voulue comme un signe fort du pays, citoyens comme Etat, pour signifier à cas terroristes qu’ils ne nous ôteront pas la joie de vivre, la joie de jouer, et la joie de vaincre. Sans oublier, bien sûr, l’autre évènement de cette journée de dimanche, celui d’un jeune berger qui a été porté disparu pendant près de trois heures dans les montagnes de Kasserine. Si cet évènement a une signification, c’est que les terroristes ne pourront jamais nous faire peur et nous pousser à déserter nos montagnes, c’est aussi, que les terroristes, en tuant un berger, n’ont pas réussi à dissuader les centaines d’autres jeunes gens qui les bravent tous les jours en menant leurs bêtes dans les montagnes où ils avaient cru élire domicile. Et l’épilogue de cet évènement est tout aussi plein d’enseignements, puisqu’une fois l’alerte donnée, la famille et les amis du jeune berger n’ont nullement hésité à aller le chercher dans la montagne, défiant tous ceux qui voulaient les terroriser et les dissuader d’aller y faire paitre leurs bêtes. Pour toutes ces raisons, oui, la Tunisie n’est pas prête à plier ni à céder à la menace et à la terreur. Maintenant, ces mercenaires de Satan savent à quoi s’en tenir avec le tunisien. Ils peuvent l’embêter, le gêner, lui faire mal, le trucider… Mais ils ne pourront jamais vaincre son amour de la vie, son amour de la Tunisie.