106. Confusion et démence. - Diagnostiquer un syndrome

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106. Confusion et démence.
- Diagnostiquer un syndrome confusionnel, savoir évoquer un hématome sous-dural chronique.
- Diagnostiquer un syndrome démentiel, une maladie d'Alzheimer.
- Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient en abordant les problématiques
techniques, relationnelles, éthiques, organisationnelles consécutives à l'évolution de la maladie.
129 : Troubles cognitifs du sujet âgé.
- Orientation diagnostique devant des troubles cognitifs du sujet âgé et principales causes.
338. État confusionnel et trouble de conscience chez l’adulte et chez l’enfant.
‐ Diagnostiquer un état confusionnel et un trouble de la conscience.
-Identifier les situations d'urgence et planifier leur prise en charge pre‐hospitalière et hospitalière.
DOSSIER 1.
Vous voyez en consultation Mme Françoise S., 62 ans, pour une plainte mnésique. Elle est retraitée
depuis 2 ans et vit avec son époux. Elle rapporte que sa mémoire s’est dégradée ces 6 derniers mois,
elle perd souvent ses affaires, a des difficultés à trouver ses mots, et est plus irritable qu’auparavant.
Elle se plaint d’oublier de nombreux événements, récents et anciens, et son mari lui reproche
régulièrement de répéter plusieurs fois la même chose.
QCM1. Quel(s) élément(s) d’anamnèse recherchez-vous en faveur d’une maladie d’Alzheimer
débutante ?
1.
2.
3.
4.
5.
Une fluctuation des troubles
Une anosognosie
Une évolution rapidement progressive
Des hallucinations visuelles
Des troubles précoces du comportement
QCM2. La maladie d’Alzheimer se caractérise sur le plan neuropsychologique par :
1.
2.
3.
4.
5.
Un trouble de la mémoire prédominant sur les faits anciens
Un trouble de la mémoire prédominant sur les faits récents
Un manque du mot
Des difficultés praxiques
Un syndrome dyséxécutif cognitif
QCM3. Concernant la maladie d’Alzheimer, quelle(s) sont la ou les propositions vraies :
1.
2.
3.
4.
5.
Elle touche environ 2 millions de personnes en France
Son incidence est en augmentation régulière
Son risque est augmenté pour les porteurs de l’allèle E2 de l’apolipoprotéine E
Elle touche plus fréquemment les hommes que les femmes
Toutes les propositions précédentes sont fausses
QCM4. Quelles anomalies neuropathologiques caractérisent la maladie d’Alzheimer ?
1.
2.
3.
4.
5.
L’accumulation de protéines β-amyloides en amas extracellulaires.
L’accumulation anormale de grains argyrophiles.
L’accumulation intraneuronale de protéine Tau sous forme hyperphosphorylée.
L’accumulation intra-neuronale de protéine TDP-43.
Une perte synpatique.
QCM5. Concernant le test du MMS, quelles propositions sont exactes :
1.
2.
3.
4.
5.
Il permet d’affirmer le diagnostic de maladie d’Alzheimer
Il permet d’affirmer le diagnostic de démence
Il doit être interprété en fonction du niveau socio-culturel
Il doit être interprété en fonction de l’âge
Il permet d’évaluer la sévérité de la maladie d’Alzheimer
QCM6. Le bilan minimal pour l’exploration d’un syndrome démentiel comprend :
1.
2.
3.
4.
5.
Un bilan neurospychologique
Un scanner cérébral
Une IRM cérébrale
Un bilan biologique
Une imagerie cérébrale de perfusion
QCM7. Parmi les examens biologiques suivants, lequel ou lesquels font partie du bilan plasmatique
usuel ?
1.
2.
3.
4.
5.
Calcémie
Vitamine D
Vitesse de sédimentation
Taux de β-amyloide plasmatique
Génotypage de l’apolipoprotéine E
QCM8. Parmi les examens biologiques plasmatiques ci-dessous, le ou lesquels sont évocateurs d’une
maladie d’Alzheimer ?
1.
2.
3.
4.
5.
Diminution de la vitamine B12
Dissociation du TPHA/VDRL
Augmentation de la protéine Tau plasmatique
Diminution de la calcémie
Toutes les propositions précédentes sont fausses
QCM9. Vous disposez de l’IRM cérébrale ci-dessous. Quelles sont les propositions exactes.
1.
2.
3.
4.
5.
Il s’agit d’une coupe sagittale.
Il s’agit d’une coupe coronale.
La séquence est pondérée en T1.
La séquence est pondérée en T2.
La flèche est située dans l’hémisphère gauche.
QCM10. Sur l’IRM précédente, quelle est la structure désignée par la flèche verte ?
1.
2.
3.
4.
5.
L’hypothalamus.
Le thalamus.
Le corps mamillaire.
L’hypophyse.
L’hippocampe.
QCM11. Vous effectuez une ponction lombaire chez Mme S. Quelles anomalies caractérisent un
profil de type Alzheimer dans les biomarqueurs du liquide céphalo-rachidien ?
1.
2.
3.
4.
5.
Une diminution du peptide beta-amyloide
Une augmentation du peptide beta-amyloide
Une diminution de la protéine Tau phosphorylée
Une augmentation de la protéine Tau phosphorylée
Une diminution de l’albumine
QCM12. Vous décidez d’instaurer un traitement médicamenteux. Parmi les classes médicamenteuses
ci-dessous, lesquelles ont une AMM dans la maladie d’Alzheimer ?
1.
2.
3.
4.
5.
Les anticholinergiques centraux
Les anticholinestérasiques centraux
Les antagonistes des récepteurs NMDA du glutamate
Les antagonistes des récepteurs nicotiniques
Les antagonistes des récepteurs aux leucotriènes
QCM13. Les médicaments ayant actuellement l’AMM dans la maladie d’Alzheimer :
1.
2.
3.
4.
5.
Ont une efficacité considérée comme modeste.
Ont montré ralentir l’évolution de la maladie
Peuvent être initiés par un médecin généraliste
Peuvent être reconduits par un médecin généraliste
Sont indiqués à toutes les phases de la maladie
QCM14. Quelles mesures non médicamenteuses envisagez-vous ?
1.
2.
3.
4.
5.
Instauration d’une stimulation cognitive par une orthophoniste.
Prise en charge à 100%.
Réduction de la consommation d’alcool.
Soutien psychologique des aidants.
Mise en arrêt maladie prolongé.
QCM15. Plusieurs années ont passées, Mme S. souffre d’une maladie d’Alzheimer à un stade avancé
avec un retentissement important sur son autonomie, quelles mesures envisagez-vous ?
1.
2.
3.
4.
5.
Instauration de l’allocation personnalisée à l’autonomie
Instauration d’aides au domicile
Prise en charge en centre d’accueil de jour
Mesure de protection médico-légale
Discussion d’une institutionnalisation en EHPAD
DOSSIER 2.
Vous voyez en consultation M. Guy L., 72 ans, qui présente un tableau de détérioration cognitive
sévère. M. L. est mutique et ne répond pas aux consignes. Le score MMS est irréalisable. Il présente
un grasping et des comportements d’imitation, il répète de manière automatique la fin des questions
que vous lui posez. Son épouse rapporte que la situation s’est progressivement détériorée sur
plusieurs années, avec initialement des troubles prédominant sur le comportement.
QCM1. Parmi les étiologies ci-dessous, lesquels seraient à évoquer devant un syndrome démentiel
d’évolution rapide.
1.
2.
3.
4.
5.
Maladie à corps de Lewy.
Encéphalite de Hashimoto.
Maladie de Creutzfeld-Jacob
Démence syphilitique
Encéphalite limbique paranéoplasique
QCM2. Parmi les propositions suivantes, lesquelles vous feraient évoquer une maladie à corps de
Lewy ?
1.
2.
3.
4.
5.
La survenue précoce d’hallucinations visuelles
Une fluctuation des troubles
La survenue d’épisodes confusionnels
Un syndrome parkinsonien précédent de plusieurs années les troubles cognitifs
Une amélioration sous traitement neuroleptique
QROC3. Quel diagnostic évoqueriez-vous devant l’association d’un syndrome démentiel rapidement
progressif à un syndrome cérebelleux ?
QCM4. Parmi les constatations cliniques suivantes, lesquelles sont en faveur d’une maladie de
Creutzfeld-Jacob ?
1.
2.
3.
4.
5.
Syndrome pseudo-bulbaire
Syndrome cérebelleux
Myoclonies
Syndrome démentiel
Syndrome extrapyramidal
QCM5. Quels examens sont en faveur d’une maladie de Creutzfeld-Jacob ?
1.
2.
3.
4.
5.
Une diminution du peptide beta amyloide dans le liquide céphalo-rachidien.
Une augmentation de la protéine 14-3-3 dans le liquide céphalo-rachidien.
Des hypersignaux des noyaux gris à l’IRM cérébrale.
Des anomalies à l’électroencéphalogramme
Une diminution de la vitamine B1 plasmatique
QCM6. Parmi la liste ci-dessous, quelles sont les arguments en faveur d’une dégénérescence lobaire
frontotemporale (DFT) ?
1.
2.
3.
4.
5.
Une perte des convenances sociales
Une atteinte précoce de la mémoire
La présence d’antécédents familiaux
Un syndrome frontal clinique
Une hyperphagie
QCM7. Quels examens peuvent conforter le diagnostic de DFT ?
1.
2.
3.
4.
5.
L’IRM cérébrale
TEP scan cérébral au fluorodesoxyglucose
Scanner thoracoabdominopelvien
Dat-Scan cérébral
TEP scan cérébral au florbetapir
QCM8. Quels signes à l’IRM cérébrale sont évocateurs d’une DFT ?
1.
2.
3.
4.
5.
Atrophie hippocampique
Atrophie frontale
Hypersignaux postérieurs de la substance blanche
Atrophie pariétale
Atrophie des pôles temporaux
QCM9. Quelles mutations génétiques sont associées à des formes familiales de DFT ?
1.
2.
3.
4.
5.
Protéine beta-amyloide
Protéine Tau
Presenilin 1
Progranuline
Alpha-synuclein
QCM10. A l’examen clinique, vous observez des fasciculations diffuses. Quel diagnostic associé aux
troubles cognitifs évoquez-cous ?
QCM11. Quel examen complémentaire demandez-vous pour confirmer le diagnostic évoquer à la
question précédente.
QCM12. Parmi les molécules ci-dessous, laquelle ou lesquels ont l’AMM pour la DFT ?
1.
2.
3.
4.
5.
Rivastigmine
Donepezil
Memantine
Galantamine
Toutes les propositions précédentes sont fausses
QCM13. La famille de M. L. souhaite effectuer une demande de tutelle. Qui peut saisir le juge des
tutelles ?
1.
2.
3.
4.
5.
Le conjoint
Un descendant
Le médecin traitant
Le médecin spécialiste
Le Procureur de la République
QCM14. Qui peut alors établir le certificat médical de demande de protection juridique ?
1.
2.
3.
4.
5.
Tout médecin thésé
Le médecin traitant
Le médecin spécialiste
Tout médecin hospitalier
Un médecin inscrit sur la liste d’expert du Tribunal d’Instance
QCM15. Une personne sous curatelle simple peut librement
1.
2.
3.
4.
5.
Gérer ses comptes bancaires
Faire une donation
Exercer son droit de vote
Se marier
Se présenter à une élection municipale
DOSSIER 3
Mme Denise M., 74 ans, consulte aux urgences avec son fils, pour une dégradation récente de son
autonomie au domicile, depuis environ une semaine. Mme M., veuve depuis 5 ans, était jusqu’à
présent parfaitement autonome à son domicile et très active. Quand vous interrogez Mme M. sur la
raison qui l’amène aux urgences, elle reste floue et peu informative. Elle se plaint de discrètes
céphalées. Son fils rapporte qu’elle ne l’a pas appelé de la semaine, alors qu’elle est habituée à
l’appeler quotidiennement. Il la trouve par ailleurs anormalement calme et parfois un peu endormie
pendant la journée. Son appartement est anormalement sale. Mme M. a pour principaux
antécédents un diabète et une hypertension artérielle depuis plusieurs années, tout deux biens
contrôlés sous traitement. Depuis le décès de son mari, elle souffre par ailleurs d’insomnie et
d’anxiété. Vous notez plusieurs épisodes de chute mécanique au cours des 6 derniers mois. Son
traitement actuel est : hydrochlorothiazide (20 mg/jour), metformine (1000 mg/jour), aspirine (250
mg/jour), alprazolam (1 mg au coucher), diazepam (5 mg au coucher), paracetamol (3g par jour).
QCM1. Parmi les arguments ci-dessous, lesquels sont en faveur d’un syndrome confusionnel ?
1.
2.
3.
4.
5.
Troubles de la vigilance
Absence de fluctuation des troubles
Apparition récente des troubles
Troubles de la mémoire à court terme
Agitation motrice
QCM2. Parmi les arguments ci-dessous, lesquels ne sont pas en faveur d’un syndrome confusionnel ?
1.
2.
3.
4.
5.
Inversion du rythme nycthéméral
Trouble du langage
Labilité de l’humeur
Perplexité anxieuse
Prise récente de toxique
QCM3. Parmi les causes suivantes, lesquelles peuvent être responsable d’un syndrome
confusionnel ?
1.
2.
3.
4.
5.
Pneumonie
Effet indésirable médicamenteux
Hyponatrémie
Intoxication au monoxyde de carbone
Globe vésical
QCM4. Parmi les éléments suivants, lesquels sont un facteur de risque de syndrome confusionnel ?
1.
2.
3.
4.
5.
Age élevé.
Polymédication.
Détérioration cognitive.
Anesthésie générale
Dénutrition
QCM5. Concernant le syndrome confusionnel
1.
2.
3.
4.
5.
Les causes neurologiques sont plus fréquentes que les causes extra neurologiques
Il peut être révélateur d’un syndrome démentiel
Il doit systématiquement faire rechercher un globe vésical et un fécalome
Il est une urgence diagnostique et thérapeutique
Nécessite rarement une hospitalisation
QCM6. Parmi les examens suivants, lesquels font partie de votre bilan systématique :
1.
2.
3.
4.
5.
Glycémie
Calcémie
Bandelette urinaire
Gazométrie artérielle
Electrocardiogramme
QCM7. Quelles sont les indications à réaliser un scanner cérébral ?
1.
2.
3.
4.
5.
Trouble de la vigilance
Signe de localisation neurologique
Présence de céphalées
Trouble de la mémoire à court terme
Suspicion de traumatisme crânien
QCM8. Vous réalisez l’examen ci-dessous. Quelles sont les propositions exactes.
1.
2.
3.
4.
5.
Il s’agit d’une IRM pondérée en T1
Il s’agit d’un scanner cérébral non injecté
Il s’agit d’un scanner cérébral injecté
Il y a une asymétrie des sillons corticaux
Toutes les propositions précédentes sont fausses
QCM9. Quel est votre diagnostic ?
1.
2.
3.
4.
5.
Hématome extra-dural
Hématome sous-dural aigu
Hématome intra-parenchymateux
Hématome sous-dural chronique
Hémorragie sous-arachnoïdienne
QCM10. Quelles sont les éléments de votre prise en charge initiale ?
1.
2.
3.
4.
5.
Traitement ambulatoire
Hospitalisation
Evaluation neurochirurgicale
Arrêt de l’aspirine
Réhydratation
QCM11. Au lendemain de son hospitalisation, Mme M. est agitée et agressive, elle refuse ses
traitements. Quels sont les éléments de votre prise en charge ?
1.
2.
3.
4.
5.
Favoriser la présence de la famille
Evaluer le rapport bénéfice risque de tous les actes invasifs
Dépister un globe vésical
Contention systématique
Prévention du risque de fugue
QCM12. Malgré les mesures précédentes, Mme S. reste très agitée. Vous décidez d’instaurer un
traitement psychotrope de l’agitation. Quelles en sont les modalités ?
1.
2.
3.
4.
5.
Privilégier une benzodiazépine à demi-vie longue en cas d’anxiété prédominante
Privilégier un neuroleptique en cas d’hallucinations au premier plan
Réévaluer quotidiennement la poursuite du traitement
Débuter d’emblée à dose pleine
Privilégier les formes injectables
QCM13. Quelles sont les indications usuelles à un traitement neurochirurgical de l’hématome sousdural ?
1.
2.
3.
4.
5.
Crises comitiales
Apparition d’un déficit focal
Céphalées majeures
Epaisseur maximum > 10 mm
Epaisseur maximum > 20 mm
QCM14. Quelles sont les modalités usuelles du traitement chirurgical ?
1.
2.
3.
4.
5.
Trépanation
Lavage au sérum physiologique
Mise en place d’un drain sous-dural
Dérivation ventriculaire
Couverture par traitement anti-aggrégant plaquettaire
QCM15. Quelles peuvent être les complications évolutives ?
1.
2.
3.
4.
5.
Récidive de l’hématome sous dural
Hémorragie sous-arachnoidienne
Epilepsie séquellaire
Récidive du syndrome confusionnel
Détérioration cognitive
DOSSIER 4.
M. Roger C., 67 ans, consulte aux urgences pour une altération récente de l’état général. Il souffre
de céphalées intenses depuis 48 heures, accompagnées de nausées et de vomissements. Il a eu
plusieurs fois l’impression d’entendre comme des bruits de cloche. Vous ne relevez pas
d’antécédents notables. Cliniquement, M. C. est confus, allongé en chien de fusil sur son brancard. La
température est de 39°C, la nuque est douloureuse, le score Glasgow est à 13 (Y3, M6, V4). Vous
avez un doute sur un discret déficit moteur du membre supérieur droit.
QCM1. Concernant le score Glasgow du patient, quelles propositions sont exactes :
1.
2.
3.
4.
5.
Le patient ouvre les yeux uniquement sur stimulation douloureuse
Le patient ouvre les yeux uniquement sur demande
La réponse verbale est inappropriée
Le patient bouge les membres uniquement sur stimulation douloureuse
Le patient a une réponse en extension à la stimulation douloureuse
QROC 2. Quel est votre diagnostic syndromique ?
QCM3. Le bilan biologique retrouve une CRP à 150 mg/L, l’hémogramme est dans les normes. Quel
examen demandez-vous en première intention ?
1.
2.
3.
4.
5.
Une ponction lombaire
Un scanner cérébral
Un électro-encéphalogramme
Une échographie cardiaque
Une radio de thorax
QCM4. La ponction lombaire retrouve 200 éléments/mm3, dont 80% de lymphocytes, quelques
hématies, une protéinorachie à 0.90 g/L, une glycorachie à 0.50 g/L, un examen bactériologique
direct négatif. Parmi les agents suivants, lesquels sont habituellement responsables d’une méningite
lymphocytaire ?
1.
2.
3.
4.
5.
Herpes virus
Haemophilus Influenzae
Listeria
Cryptocoque
Méningocoque
QCM5. Un liquide céphalo-rachidien normal se caractérise par (réponse unique) :
1.
2.
3.
4.
5.
< 1 élément par mm3.
< 5 éléments par mm3.
< 10 éléments par mm3.
< 50 éléments par mm3.
< 100 éléments par mm3.
QCM6. Un liquide céphalo-rachidien normal se caractérise par (réponse unique) :
1.
2.
3.
4.
5.
< 1 hématie par mm3.
< 5 hématies par mm3.
< 10 hématies par mm3.
< 50 hématies par mm3.
< 100 hématies par mm3.
QROC7. Quel agent auriez-vous suspecté devant la présence associée d’un trouble de
l’oculomotricité ?
QCM8. Vous suspectez une méningoencéphalite herpétique. Quel en est le principal agent
responsable ?
1.
2.
3.
4.
5.
Herpes Simplex Virus type 1
Herpes Simplex Virus type 2
Virus de la Varicelle et du Zona
Cytomegalovirus
Virus d’Epstein-Barr
QCM9. Quelles sont la/les structures cérébrales préférentiellement atteintes dans ce cadre ?
1.
2.
3.
4.
5.
Lobes frontaux
Lobes temporaux
Lobes pariétaux
Lobes occipitaux
Noyaux gris centraux
QROC10. Quel examen proposez-vous pour confirmer le diagnostic ?
QCM11. Quels sont les éléments de votre prise en charge initiale ?
1.
2.
3.
4.
5.
Hospitalisation en secteur traditionnel
Hospitalisation en soins intensifs
Aciclovir 10 mg/kg toutes les 8 heures
Amoxicilline 200mg/kg par jour
Traitement antiépileptique
QCM12. L’évolution est marquée par l’apparition à J5 d’une insuffisance rénale aigue à diurèse
conservé. L’examen cytobactériologique des urines met en évidence une importante cristallurie.
Quel diagnostic évoquez-vous ?
1.
2.
3.
4.
5.
Crise de goutte
Toxicité de l’aciclovir
Toxicité de l’amoxicilline
Infarctus rénal
Glomérulonéphrite herpétique
QCM13. Vous revoyez le patient un an après. Il présente d’importants troubles du comportement à
type de boulimie, une hyperactivité motrice une désinhibition sexuelle. Quel est votre diagnostic ?
1.
2.
3.
4.
5.
Syndrome de Korsakoff
Syndrome de Gerstman
Syndrome d’Anton Babisnsky
Syndrome frontal
Syndrome de Kluver et Bucy
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