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Vol. 1|no.7
LESTROUBLES DU
VIELLISSEMENT
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Parlez-en àvotre pharmaciencar, votresan,c’est tout ce qui compte.
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UNE AIDE PRÉCIEUSE
La canne se porte toujours du côté opposé àlajambe
handicapée, et vous devez la faireavancer en synchronisme
avec cette jambe. Si vous utilisez une canne uniquement
pour stabiliser votredémarche, portez-la du côté dominant
de votrepas, celui avec lequel vous êtes le plus àl’aise.
L’hiver,sécurité oblige, installez un dispositif «pic àglace»
au bout de votrecanne.
POUR UNE UTILISATION APPROPRIÉE
Vous utilisez une canne pour la premièrefois?Vous ressentez
des douleurs au dos lorsque vous vous en servez?Suivez les
quelques indications suivantes.
1.
Position de base du corps:placez-vous debout, le dos
droit, les pieds légèrement écartés et chaussés de vos
souliers de tous les jours, les bras relâchés de chaque
côté du corps.
2.
Placez la canne àenviron 6pouces (15 cm) de l’extérieur
de la jambe qui n’est pas touchée par le handicap.
3.
Desserrez l’anneau de sécurité (s’il yenaun) et le dispositif
d’ajustement (boutons poussoirs) de la canne.
4.
Ajustez la poignée de la canne àégalité du pli de votre
poignet, àl’aide des boutons poussoirs.
5.
Une fois l’ajustement terminé, resserrez l’anneau
de sécurité.
Si votrecanne n’est pas ajustable, assurez-vous qu’elle
est de la longueur appropriée, de façon que la poignée
arrive àlahauteur du pli de votrepoignet.
Votrepharmacien peut discuter avec vous de vos problèmes
de mobilité ou d’organisation de votreenvironnement
immédiat, et vous recommander l’équipement dont vous
avez besoin.
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Cette publicité est payée en collaboration avec
LA CANNE :UNGAGE DE MOBILITÉ
Lorsqu’on est rendu àuncertain âge, se lever,marcher et sortir constituent autant d’activités de la vie quotidienne qu’il est
indispensable de maintenir et de soutenir.Une canne peut alors êtred’un grand secours.
LE POINT DE VUE DE
PATRICK THIVIERGE
PHARMACIEN-
PROPRIÉTAIRE
SOMMAIRE
La rie de fascicules Espace santése poursuit avec sesrendez-
vous éducatifset imagés,valorisant la prévention et l’information.
COLLECTIONNEZ-LES TOUS !
CAPSULEDE VOTRE
PHARMACIEN BRUNET [2]
La maladied’Alzheimer
et autres mences [4-5]
L’amsie [6]
La maladiede Parkinson [7]
La surdité [8-9]
Lestinopathies [10 ]
La dérescence maculaire [11 ]
La cataracte [12 ]
L’ostéoporose [13 ]
AIDE ET RESSOURCES [15 ]
Pages4à13 ties de l’Encyclopédie familiale de la santé.
Ce fasciculeestprincipalement tide l’Encyclopédie familiale de la santé.L’ouvrage
ingralcrit plusde 400maladieset propose un tour completdu corpshumain.
L’Encyclopédie familiale de la santé aétécréée et conçue par Les ÉditionsQuébec
Amérique inc., en collaboration avec plusde 300decins et spécialistes.
Disponible en librairie
www.ikonet.com/fr/sante/
PROCHAINE PARUTION LE 3VRIER
[LE UR]
Renseignements : Danielle Girard dgirard@lapresse.ca
En lignesurcyberpresse.ca/espacesante
LESTROUBLES DU
VIELLISSEMENT
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LA MALADIE D’ALZHEIMER
ET AUTRES DÉMENCES
La démence est une détérioration progressive et irréversible des facultés intellectuelles due à des lésions du cerveau.
Certaines démences sont la conséquence d’une maladie clairement identiée telle qu’un accident vasculaire cérébral ou la
syphilis, tandis que d’autres, comme la maladie d’Alzheimer, sont dues à une dégénérescence des neurones dont la cause
est inconnue. Les démences sont caractérisées par des troubles variés qui conduisent à plus ou moins long terme
à une perte d’autonomie des malades.
LA MALADIE D’ALZHEIMER
La maladie d’Alzheimer est la première cause de démence dans les pays
occidentaux. Elle touche environ 5%de la population âgée de plus de 65 ans
et de 10 % à 20 % des octogénaires. Il s’agit d’une maladie neurologique
dégénérative caractérisée par une diminution du nombre de neurones dans
le cerveau et par une atrophie cérébrale, qui conduisent inéluctablement à
la démence. Le malade souffre de troubles cognitifs (aphasie, troubles de
la mémoire, de l’organisation, de la reconnaissance des personnes et des
choses, etc.) et du comportement (agressivité, délire, anorexie, etc.).
Ces troubles s’accentuent progressivement, sur plusieurs années, jusqu’à
ce que le malade ne soit plus en mesure d’accomplir seul la moindre
activité. Les causes de la maladie d’Alzheimer ne sont pas encore établies,
mais plusieurs éléments pourraient représenter un facteur de risque dont
l’âge, les antécédents familiaux, l’obésité, le tabagisme et les facteurs
environnementaux (exposition aux métaux lourds).
L’APHASIE
L’aphasie est une difculté d’expression
et de compréhension du langage parlé ou
écrit, qui sulte d’une lésion cérébrale.
Elle peut se traduire dans un premier
temps par des difcultés à trouver ses
mots. Plus tard, le malade peut perdre
totalement la signication des mots et
sombrer dans le mutisme.
LA DÉMENCE VASCULAIRE
La démence vasculaire est causée par la
pétition d’accidents vasculaires cérébraux.
Il s’agit de la deuxième cause de démence
dans les pays occidentaux, après la maladie
d’Alzheimer. Les démences vasculaires
évoluent par à-coups, avec des périodes de
stabilisation, et sont souvent caractérisées
par des troubles de l’humeur tels que
l’hyperémotivité et l’apathie.
Troubles de la mémoire
Les troubles de la mémoire sont
généralement le premier symptôme
de la maladie d’Alzheimer.
© Les Éditions Québec Amérique inc., 2011. Tous droits servés.
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Il est normal d’avoir des pertes de mémoire ponctuelles et remédiables, particulièrement en vieillissant. Ainsi, les symptômes associés à la
maladie d’Alzheimer peuvent être présents chez chacun. To utefois, ceux-ci se multiplient et sont accentués dans le cadre de la maladie.
Portez attention aux signes précurseurs et consultez un spécialiste au moindre doute. Plus le diagnostic est précoce, plus le traitement
ralentissant l’évolution de la maladie est susceptible d’être efcace.
LES SIGNES PRÉCURSEURS DE LA MALADIE D’ALZHEIMER
SYMPTÔMES:
Troubles cognitifs (mémoire, langage,
raisonnement, attention), troubles du
comportement (confusion, agitation,
apathie, agressivité, anxiété, troubles du
comportement alimentaire, errance, hal-
lucinations, compulsions, hyperémotivité,
etc.), troubles du sommeil, dépression.
TRAITEMENTS:
La plupart des démences sont incur-
ables. Certains symptômes peuvent être
atténués (anxiété, dépression, troubles
du sommeil) et il existe des traitements
pouvant ralentir l’évolution de la maladie.
PRÉVENTION:
Démences vasculaires: prévention des
accidents vasculaires cérébraux.
Les signes précurseurs:
• Problèmes de mémoire: oubli ou difculté à retenir des événements
ou des informations centes, difculté à reconnaître les gens,
perte des souvenirs lointains ;
• Difculté à accomplir des tâches familières: préparer un repas,
prendre des médicaments, etc. ;
• Problèmes de langage: difculté à s’exprimer, tendance à chercher
ses mots et à les remplacer par d’autres mots inadéquats ;
• Difculté à établir un emploi du temps;
• Perte progressive du sens de l’orientation dans l’espace et dans
le temps ;
• Perte de jugement, adoption de comportements inadaptés
à la situation ;
• Difculté à assimiler les notions abstraites comme des calculs,
des chiffres, etc.;
Tendance à égarer des objets et à les placer à des
endroits inappropriés ;
• Changements d’humeur ou de comportement très brusques et sans
raison apparente ;
• Modication de la personnalité: confusion, méance, apathie, etc.;
• Manque particulier d’enthousiasme.
COMMENT GÉRER LA MALADIE D’ALZHEIMER
Il n’existe pas de traitement pour soigner la maladie d’Alzheimer. Seuls quelques médicaments
et des approches telles que des techniques de relaxation peuvent limiter certains symptômes
et améliorer la qualité de vie des patients. Il est important d’offrir un soutien aux malades, de
les visiter gulièrement, de communiquer avec eux et de leur aménager un environnement de
vie sans danger an d’éviter les accidents et les infections. Fournir un aide-mémoire et créer un
cadre de vie stable, calme et ritualisé permet également de faire face à la maladie d’Alzheimer.
La pratique gulière d’exercices physiques serait également bénéque: elle fournit un objectif,
permet de conserver les capacités physiques et a un effet à la fois calmant pour la personne et
stimulant pour son cerveau.
LA MALADIE
D’ALZHEIMER
ET AUTRES DÉMENCES
© Les Éditions Québec Amérique inc., 2011. Tous droits servés.
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