Michel Fioc Électromagnétisme et électrocinétique (2P021) UPMC, 2016/2017
Chapitre VII
Forces ´electromagn ´etiques
VII.a. Force de Lorentz
1. Expression
La force à laquelle est soumis, à un instant t, un point matériel de charge q, situé en Met se déplaçant
à une vitesse ~
v(t) par rapport à un référentiel galiléen dans un champ électrique ~
E(M,t) et un champ ~
B(M,t)
est la force de Lorentz,
~
F=q(~
E+~
v×~
B). (VII.1)
Cette force comprend deux termes : une force électrique, ~
Félec =q~
E, et une force magnétique, ~
Fmag =q~
v×~
B.
2. Travail de la force magnétique
La force magnétique ne travaille pas. Sa puissance est en eet nulle :
P(~
Fmag)=~
Fmag ·~
v=q(~
v×~
B)·~
v=0 (VII.2)
puisque ~
v×~
Best perpendiculaire à~
v. La force magnétique ne provoque pas de changement d’énergie cinétique,
donc de modification de la norme de la vitesse. En revanche, elle modifie sa direction.
3. Application : mouvement d’une charge ponctuelle dans un champ magnétique
uniforme stationnaire
Étudions l’eet de la force magnétique sur une particule chargée plongée dans un champ magnétique
uniforme stationnaire. On suppose que le champ électrique est nul et que toutes les autres forces sont né-
gligeables. On a
md~
v
dt=q~
v×~
B.(VII.3)
Dans le repère de Frénet,
d~
v
dt=dv
dt~
uT+v2
Rc~
uN,(VII.4)
vest la norme de la vitesse, Rcle rayon de courbure de la trajectoire (c.-à-d. le rayon du cercle osculateur), ~
uT
le vecteur unitaire tangent à la trajectoire dans le sens de celle-ci et ~
uNest le vecteur normal à la trajectoire situé
dans le plan osculateur et orienté vers le centre de courbure (c.-à-d.
MC =Rc~
uNavec Rc>0). En projetant
(VII.3) sur ~
uT, on obtient
mdv
dt=q(v~
uT×~
B)·~
uT=0.(VII.5)
On retrouve que vest constante. Puisque d~
v/dtse réduit au terme (v2/Rc)~
uN, on déduit de (VII.3) que ~
uN
est orthogonal à ~
B. Soient BBk~
Bk,~
uB~
B/Bet vB~
v·~
u. On peut écrire ~
vsous la forme
~
v=v~
u+~
v,(VII.6)
~
vest orthogonale à ~
u. Puisque ~
Best uniforme et stationnaire,
md~
v
dt·~
B=md(~
v·~
B)
dt=mdv
dtB=0,(VII.7)
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donc v=cte. Comme v2=v2
+v2
, où vBk~
vk, et que v=cte, on a aussi v=cte. Or
mv2
Rc~
uN=q~
v×~
B.(VII.8)
En prenant la norme, on obtient que
m v2
Rc
=|q|vB,(VII.9)
puisque ~
v~
B. Le rayon de courbure vaut donc
Rc=m v2
|q|vB(VII.10)
et est constant. On obtient une trajectoire de rayon de courbure constant dont le centre de courbure Cse déplace
à la vitesse constante vselon la direction de ~
B. Le champ magnétique étant orthogonal à ~
uN, la trajectoire
est une hélice d’axe dirigé selon ~
B, c.-à-d. une trajectoire qui s’enroule autour d’un cylindre comme le sillon
d’une vis. Dans le cas où v=0, le cylindre se réduit à un cercle de rayon Rcdans un plan perpendiculaire
à~
B, mais Rcn’est pas le rayon du cylindre dans le cas général.
4. Transformation des champs dans un changement de référentiels galiléens
Soient Ret R0deux référentiels galiléens, ~
vR0/Rla vitesse de R0par rapport à R(c.-à-d. celle de O0par
rapport à R, car Ret R0ne tournent pas l’un par rapport à l’autre puisqu’ils sont tous deux galiléens : la
vitesse angulaire ~
ωR0/Rde rotation de R0par rapport à Rest nulle), et ~
vq/Ret ~
vq/R0les vitesses d’une charge
ponctuelle qpar rapport à Ret R0. En mécanique classique non relativiste, la force subie par un point matériel
est la même dans deux référentiels galiléens. La charge, quant à elle, ne dépend pas du référentiel. On a
donc
q(~
E+~
vq/R×~
B)=q(~
E0+~
vq/R0×~
B0),(VII.11)
~
Eet ~
B(resp. ~
E0et ~
B0) sont les champs électrique et magnétique dans R(resp. R0). Comme ~
vq/R=~
vq/R0+~
vR0/R
(car ~
ωR0/R=~
0),
q(~
E+~
vR0/R×~
B)+q~
vq/R0×~
B=q~
E0+q~
vq/R0×~
B0.(VII.12)
Ceci étant vrai pour toute vitesse ~
vq/R0, on doit avoir
~
E0=~
E+~
vR0/R×~
B,(VII.13)
~
B0=~
B.(VII.14)
L’équation (VII.13) montre que le caractère électrique ou magnétique d’un terme n’a rien d’absolu mais
dépend du référentiel ; les champs électrique et magnétique ne sont pas indépendants, mais forment un tout :
le champ électromagnétique.
D’après l’équation (VII.14), ~
B0semble ne pas dépendre de ~
E, mais ces calculs ont été eectués dans le
cadre de la relativité galiléenne. Dans le cadre de la relativité restreinte, plus exact et plus approprié, même
à faible vitesse, à l’électromagnétisme, l’expression de ~
B0dépend aussi de ~
Eet est symétrique de celle de ~
E0.
À faible vitesse, l’équation (VII.14) devient
~
B0~
B~
vR0/R×~
E
c2.(VII.15)
Même si k~
vR0/Rk  c, le terme en ~
En’est pas négligeable devant celui en ~
Bsi k~
Ek  ck~
Bk.
VII.b. Force de Laplace
1. Expression
Considérons une portion de conducteur neutre se déplaçant à la vitesse d’entraînement ~
wpar rapport à
un référentiel Rgaliléen et parcourue par des courants. Diérents types de porteurs de charge, référencés
par un indice k, se meuvent dans ce conducteur. Notons qkla charge d’un porteur, νkle nombre de porteurs
de type kpar unité de volume, ~
vkleur vitesse par rapport au conducteur (donc ~
vk+~
wpar rapport à R), et
ρkla densité volumique de charge. La force magnétique exercée sur un porteur est qk(~
vk+~
w)×~
B. La force
magnétique exercée sur tous les porteurs contenus dans un volume ¯
dτest
¯
d~
FLapl =X
k
νk¯
dτqk(~
vk+~
w)×~
B=X
k
ρk~
vk×~
B¯
dτ+X
k
ρk~
w×~
B¯
dτ, (VII.16)
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soit, puisque le conducteur est neutre,
¯
d~
FLapl =~
×~
B¯
dτ. (VII.17)
Cette force porte le nom de force de Laplace. (Il ne faut pas la rajouter à la force de Lorentz : c’est la forme
que prend le terme magnétique de celle-ci dans le cas d’un conducteur.)
Pour un conducteur filiforme parcouru par un courant I, la force de Laplace exercée sur une portion ¯
d~
`
orientée dans le sens de Ivaut
¯
d~
FLapl =I¯
d~
`×~
B. (VII.18)
2. Force d’interaction entre deux circuits rectilignes : définition de l’ampère
Considérons deux circuits filiformes rectilignes parallèles, C1et C2, parcourus par des courants d’intensités
respectives I1et I2. Notons ~
uzun vecteur unitaire parallèle aux fils et orientons I1et I2dans le même sens.
La force exercée par une portion ¯
d~
`1de C1située en P1sur une portion ¯
d~
`2de C2située en P2vaut
¯
d2~
F12=I2¯
d~
`2×d~
BP1(P2).(VII.19)
La force exercée par C1tout entier sur ¯
d~
`2vaut
¯
d~
F12=I2¯
d~
`2×~
B1(P2)=I2dz~
uz×µ0I1
2π ρ ~
uφ, 1(P2),(VII.20)
ρest la distance entre les fils et ~
uφ, 1(P2) est la valeur en P2du vecteur ~
uφdéfini à partir de l’axe C1. On
obtient ¯
d~
F12
dz=µ0I1I2
2π ρ ~
uρ, 1(P2).(VII.21)
La force entre C1et C2est donc attractive si I1et I2sont de même signe, et négative sinon. Si I1=I2=1 A et
ρ=1 m,
¯
d~
F12
dz=2×107N~
uρ, 1(P2).(VII.22)
C’est d’ailleurs la définition de l’ampère : intensité parcourant deux fils infinis parallèles, distants d’un mètre,
produisant une force par unité de longueur d’un des fils égale à 2 ×107N·m1.
3. Travail des forces exercées sur un conducteur
Le travail de la force de Laplace exercée sur une portion de conducteur neutre se déplaçant de d~
r=~
wdt
vaut
¯
d2WLapl =¯
d~
FLapl ·d~
r=(~
×~
B)·d~
r¯
dτ. (VII.23)
Ce travail n’est généralement pas nul : il ne s’agit donc pas du travail de la force magnétique!
Pour clarifier ce point, reprenons le calcul du travail des forces électromagnétiques exercées sur un volume
¯
dτde conducteur se déplaçant de d~
r:
¯
d2W=X
k
ρk(~
E+[~
vk+~
w]×~
B)·(~
vk+~
w)¯
dτdt.(VII.24)
Comme (~
vk×~
B)·~
vk=0 et (~
w×~
B)·~
w=0, on a
¯
d2W=X
k
ρk~
vk·(~
E+~
w×~
B)¯
dτdt+X
k
ρk~
E·~
w¯
dτdt+hX
k
ρk~
vki×~
B·~
w¯
dτdt
=~
·(~
E+~
w×~
B)¯
dτdt+(~
×~
B)·~
w¯
dτdt.(VII.25)
Le terme
¯
d2Wm=~
·(~
E+~
w×~
B)¯
dτdt(VII.26)
est le travail électromoteur, c.-à-d. le travail fourni au conducteur par un générateur pour déplacer ses charges
par rapport à lui-même, c.-à-d. pour maintenir le courant quand le conducteur se meut ; sa source est ici le
champ électromoteur
~
fm=~
w×~
B(VII.27)
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engendré par le déplacement du conducteur dans le champ magnétique 1. Le champ électromoteur peut aussi
être produit par une pile chimique 2ou, nous le verrons au chapitre VIII, par un champ magnétique variable ;
le champ électrique comprend alors, outre le terme électrostatique «
grad V», un terme électromoteur qu’il
faut rajouter à ~
fm.
Le deuxième terme du membre de droite de (VII.25) est le travail de la force de Laplace; il correspond au
travail fourni au conducteur pour le déplacer et est égal à l’opposé de la contribution des forces magnétiques
au travail électromoteur. Le travail total des forces magnétiques est donc bien nul.
Pour un conducteur filiforme, le travail de la force de Laplace s’écrit
¯
d2WLapl =I(¯
d~
`×~
B)·d~
r=I~
B·(d~
rׯ
d~
`)=I~
B·¯
d2~
Sc,(VII.28)
où l’on a utilisé l’invariance par permutation circulaire d’un produit mixte, c.-à-d.
(~
a×~
b)·~
c=(~
b×~
c)·~
a=(~
c×~
a)·~
b,(VII.29)
et ¯
d2~
Sc=d~
rׯ
d~
`est la surface balayée, « coupée » par l’élément ¯
d~
`quand il se déplace de d~
r. On obtient
donc
¯
d2WLapl =I¯
d2Φc,(VII.30)
¯
d2Φc=~
B·¯
d2~
Scest le flux de ~
Bcoupé par ¯
d~
`. L’intensité étant la même en tout point d’un conducteur,
dans l’ARQS, le travail des forces de Laplace sur l’ensemble du conducteur pendant dtest
¯
dWLapl =I¯
dΦc,(VII.31)
¯
dΦcest le flux coupé par l’ensemble du conducteur.
4. Énergie potentielle
Réécrivons cette expression, dans le cas d’un champ magnétique stationnaire (c.-à-d. indépendant du
temps), pour un circuit filiforme C(t) fermé, éventuellement déformable mais de constitution constante. La
surface coupée Scpar le circuit n’est pas fermée. Complétons-la par une surface S(t) s’appuyant sur le circuit
à l’instant tet par une surface S(t+dt) s’appuyant sur le circuit à l’instant t+dt. La surface Stot =ScS(t)
S(t+dt) ainsi obtenue est fermée. L’orientation de Scet celle de S(t) déterminée par celle de C(t) sont soit
toutes deux vers l’extérieur de Stot, soit vers l’intérieur. L’orientation de S(t+dt) déterminée par celle de
C(t+dt) est en sens opposé. On a donc
Stot
~
B(t)·¯
d~
S=± IC(t)
~
B[t]·¯
d2~
Sc+"S(t)
~
B[t]·¯
d~
S"S(t+dt)
~
B[t]·¯
d~
S!,(VII.32)
où l’orientation des surfaces est vers l’extérieur dans Stot et est cohérente avec celle de Cdans HC(t),!S(t)et
!S(t+dt). Or
Stot
~
B(t)·¯
d~
S=0 (VII.33)
pour ~
Bpris à un même instant en tout point de la surface, car div ~
B=0, donc
IC(t)
~
B(t)·¯
d2~
Sc="S(t+dt)
~
B(t)·¯
d~
S"S(t)
~
B(t)·¯
d~
S.(VII.34)
Le champ étant stationnaire, on obtient
¯
dΦc=Φ(t+dt)Φ(t)BdΦ, (VII.35)
Φ(t)=!S(t)~
B(t)·¯
d~
Set Φ(t+dt)=!S(t+dt)~
B(t+dt)·¯
d~
Ssont les flux de ~
Bà travers Caux instants tet t+dt.
Si le champ est stationnaire, on a donc
¯
dWLapl =IdΦ. (VII.36)
Si l’intensité est, elle aussi, stationnaire,
¯
dWLapl =dEp, (VII.37)
Ep=IΦ(VII.38)
1. Rappelons que le champ électrostatique seul ne permet pas l’établissement d’un courant dans un circuit fermé. En eet, on a alors
VAVB=RAB I, où RAB est la résistance d’une portion AB de circuit. Pour un circuit fermé, A=B, donc 0 =R I, où la résistance
totale du circuit, R, est diérente de 0. On a donc I=0.
2. ¯
d2West n’est alors plus le travail des seules forces électromagnétiques.
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est l’énergie potentielle 3d’interaction entre la boucle et les sources du champ magnétique.
Un équilibre stable correspondant à un minimum de potentiel, la boucle a tendance à se déplacer et à
s’orienter (en l’absence d’autres forces conservatives) de manière à maximiser le flux (règle du flux maximal).
L’équilibre stable n’est bien sûr atteint que parce qu’il y a des forces dissipatives; la boucle oscillerait sinon
autour de cette position.
VII.c. Actions sur un dipôle magnétique
Considérons un dipôle magnétique permanent Dde moment ~
m, disons une boucle Crigide parcourue par
un courant Istationnaire pour simplifier, placé dans un champ extérieur ~
Bext. L’énergie potentielle d’interaction
vaut
Ep(Dext) =IΦ=I"S
~
Bext ·¯
d~
S≈ −~
Bext ·"S
I¯
d~
S,(VII.39)
en supposant ~
Bext quasi uniforme à l’échelle de la boucle. Or !SI¯
d~
Sest le moment magnétique ~
mde la boucle,
donc l’énergie d’interaction entre un dipôle magnétique de moment ~
mde norme constante et les sources du
champ magnétique est
Ep(Dext) =~
m·~
Bext. (VII.40)
Ce résultat, ainsi que ceux qui suivent, reste vrai pour une distribution volumique de courant localisée et
stationnaire (dans le référentiel du dipôle, considéré comme un solide), par exemple un aimant.
Pour un dipôle se comportant comme un solide, le travail des forces exercées sur lui pendant une durée
dt, lorsqu’un point Cdu dipôle subit une translation d~
rCet que le dipôle tourne d’un angle orienté ¯
dαautour
d’un axe dirigé selon un vecteur unitaire ~
u, vaut
¯
dWextD=~
FextD·d~
rC+~
Γ(C)
extD·¯
d~
α, (VII.41)
¯
d~
α=¯
dα~
u. En termes de vitesse de rotation ~
ωD/Rdu dipôle par rapport à un référentiel galiléen R,
¯
d~
α=~
ωD/Rdt.(VII.42)
La valeur de ~
m·~
Bne dépend que de la position du dipôle, par l’intermédiaire de ~
B, et de l’orientation de
~
m. On a donc
¯
dWextD=dEp=d(~
m·~
B)=d~
rC(~
m·~
B)+d(ϑ, ϕ)(~
m·~
B),(VII.43)
ϑest la « colatitude » de ~
m,ϕsa « longitude » 4et les termes en indice des diérentielles désignent les
variables par rapport auxquelles la diérentiation est eectuée. On a
d~
rC(~
m·~
B)=
gradC(~
m·~
B)·d~
rC(VII.44)
et
d(ϑ, ϕ)(~
m·~
B)=(d(ϑ, ϕ)~
m)·~
B.(VII.45)
Or, pour toute fonction ~
f, ses dérivées temporelles dans deux référentiels Ret R0sont reliées par
d~
f
dt
/R
=
d~
f
dt
/R0
+~
ωR0/R×~
f,(VII.46)
donc d~
m
dt!/R
=~
ωD/R×~
m(VII.47)
puisque ~
mest constant dans le référentiel R0=Ddu dipôle. On a donc
d(ϑ, ϕ)~
mB(d~
m)/R=~
ωD/R×~
mdt=¯
d~
α×~
m.(VII.48)
On en déduit que
d(ϑ, ϕ)(~
m·~
B)=(¯
d~
α×~
m)·~
B=(~
m×~
B)·¯
d~
α(VII.49)
car le produit mixte est invariant par permutation circulaire. On obtient finalement que
¯
dWextD=~
FextD·d~
rC+~
Γ(C)
extD·¯
d~
α=
gradC(~
m·~
B)·d~
rC+(~
m×~
B)·¯
d~
α, (VII.50)
d’où, par identification,
~
FextD=
gradC(~
m·~
Bext)(VII.51)
et ~
Γ(C)
extD=~
m×~
Bext(C). (VII.52)
3. Attention, l’expression de Epn’inclut pas l’énergie nécessaire pour conserver un courant stationnaire.
4. ϑet ϕsont deux des trois angles d’Euler. Le troisième n’intervient pas dans l’expression de Ep.
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