Les 2 murs de solvants délimitent la zone d’existence des espèces électroactives.
c) Cas de vagues successives
Lorsque plusieurs espèces sont susceptibles de réagir à une électrode, les
courants correspondants s’ajoutent.
La courbe (i-E) présente alors des vagues successives
II) Piles et électrolyseurs
1) Notations
2) fonctionnement en générateur : pile
La réaction est naturelle
C’est l’oxydant le plus fort sur le réducteur le plus fort (règle du γ)
On utilise les courbes i-E de façon à avoir ia = - ic
On trouve alors la tension aux bornes de la pile.
Prise en compte de la résistance interne de la pile.
Approche thermodynamique : rappels
Capacité d’une pile
Cas des accumulateurs
3) fonctionnement en électrolyseur :
La réaction n’est pas naturelle.
Elle nécessite de l’énergie fournie par un générateur électrique
On utilise les courbes i-E de façon à avoir ia = - ic
On trouve alors la tension à appliquer aux bornes de l’électrolyseur pour que la
réaction s’effectue.
Tension de seuil
Prise en compte de la résistance interne de l’électrolyseur.
Rendement faradique
Rq : C’est toujours la réaction la plus facile (la moins coûteuse en énergie) qui
se produit.
III) Phénomènes de corrosion humides
1) Transformations spontanées, potentiel mixte :
1 seule électrode avec 2 couples rédox
L’électrode peut éventuellement être le siège d’une oxydation et d’une réduction
ia = - ic
potentiel unique de l’électrode = potentiel mixte