Document PDF - Urologie Santé

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Progrès en urologie (2014) 24, 934—938
Disponible en ligne sur
ScienceDirect
www.sciencedirect.com
Maîtrise du risque infectieux en urologie :
transmission croisée, précautions standard
et complémentaires
Infection control in urology: Standard and isolation precautions
S. Malavaud
UOH, CHU de Toulouse, hôpital Rangueil, 1, avenue Jean-Poulhès, 31059 Toulouse cedex,
France
Reçu le 30 mai 2014 ; accepté le 2 juin 2014
Disponible sur Internet le 2 juillet 2014
Résumé
Introduction. — Les précautions complémentaires (les PC) doivent être mises en œuvre
lorsqu’un patient est identifié comme porteur de bactéries particulières, par leur niveau de
résistance aux antibiotiques, leur virulence et/ou leur potentiel épidémique.
Matériel et méthodes. — L’hygiène des mains et l’application des précautions standard doivent
être systématiques, elles seules permettent d’agir en toute sécurité lorsque le statut viral
ou bactérien d’un patient n’est pas connu. La connaissance des voies de transmission d’un
microorganisme, des équipements de protection individuelle et des bonnes pratiques d’hygiène
doivent permettre de sélectionner en fonction du cas les moyens de prévention adaptés.
Résultats. — Les mesures géographiques et techniques se déclinent en trois catégories de précautions complémentaires, air (PCA), gouttelettes (PCG) et contact (PCC).
Discussion. — Les PCC sont de loin les plus fréquentes, elles concernent les germes responsables
d’infections cutanées, entériques et la plupart des bactéries multi-résistantes actuelles. Parmi
ces dernières, ont récemment été individualisées les bactéries hautement résistantes émergentes (BHRe), pour lesquelles des mesures spécifiques se rajoutent aux mesures précédentes.
Conclusion. — Les bactéries multi-résistantes sont devenues ces dernières années un enjeu
majeur de santé publique. Les mesures destinées à en réduire la transmission croisée constituent, avec une meilleure utilisation des antibiotiques, l’essentiel de la prévention des
infections à BMR.
© 2014 Publié par Elsevier Masson SAS.
Adresse e-mail : [email protected]
http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2014.06.001
1166-7087/© 2014 Publié par Elsevier Masson SAS.
Précautions complémentaires en urologie
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Summary
Objectives. — To provide a structured review of good hygiene practices in infection control.
Material. — A review of existing recommendations on standard precautions, isolation precautions and specific recommendations in infection control.
Results. — Isolation precautions complement standard precautions when a patient is identified
as a carrier of bacteria showing resistance to antibiotics, virulence characteristics and/or epidemic potential. Full compliance with hand hygiene recommendations and standard precautions
is mandatory as it optimizes safety when patient’s viral and/or bacterial status is unknown. Acknowledging the routes of transmission, the value of individual protection equipment and good
hygiene practices is therefore crucial in modern infection control. For specific micro-organisms,
isolation precautions are needed against airborne, droplets and/or contact cross-contamination
routes. Within isolation precautions, contact precautions are the most widely indicated as they
control the risks of contamination from germs involved in cutaneous or enteric infections and
of transmission of multi-resistant bacteria (MRB). In addition, specific recommendations have
been defined for emerging resistant MRB.
Conclusion. — MRB are becoming worldwide a major issue in public health. Reducing crosscontamination is, with lesser and better use of antibiotics, one of the main avenue in their
control.
© 2014 Published by Elsevier Masson SAS.
Introduction
Dans la maîtrise de la transmission croisée des microorganismes, il est désormais classique de distinguer trois niveaux
de précautions :
• les précautions standard (PS) [1,2], qui doivent être
respectées par tout professionnel de santé, pour tout
malade, en toute circonstance. Ce sont elles qui permettent d’agir en sécurité face à l’inconnu, c’est-à-dire
un patient dont on ne sait rien quant aux infections ou
aux portages de microorganismes qu’il a ou qu’il a eus. Ce
sont elles qui protègent le personnel soignant du risque
d’exposition au sang et aux liquides biologiques, et qui
réduisent les échanges de flores microbiennes natives
entre soignants et soignés ;
• les précautions complémentaires (PC) [3,4] sont mises en
œuvre lorsque des microorganismes précis ont été identifiés — ça n’est plus un risque, mais une certitude ! — en
fonction de leur potentiel épidémique et de leurs voies
de transmission (contact, air et gouttelettes) ;
• enfin, les précautions renforcées [5] ont été récemment
définies afin de lutter contre des bactéries faisant partie
de la flore intestinale, mais présentant des caractéristiques de résistance aux antibiotiques telles que, alliées à
un potentiel épidémique important, elles sont désormais
un enjeu de santé publique majeur (bactéries hautement
résistantes aux antibiotiques émergentes, BHRe).
Matériel et méthodes
Dans tous les cas, les précautions font appel à une « boîte
à outils » commune, dans laquelle il faut choisir judicieusement les équipements de protection individuelle (EPI) avant
de les utiliser correctement (les pratiques).
La désinfection des mains et le nettoyage de l’environnement constituent le socle de la maîtrise de la transmission
croisée, auquel seront rajoutés les autres éléments en fonction du cas.
Les précautions standard
La tenue de travail doit être propre « du jour », les ongles
sont courts, sans vernis ni faux ongles [6], les mains et poignets sont dépourvus de tout bijou et montre.
La désinfection des mains intervient entre chaque
patient, et pour un même patient, entre chaque soin de
niveau de risque différent, avant de mettre des gants et dès
leur retrait.
La désinfection des mains se fait toujours par friction
hydro-alcoolique [7] à de rares exceptions près (mains
souillées, précautions mises en place pour des bactéries
sporulant telles que Clostridium difficile, ou des parasites
tels que le sarcopte de la gale) ; la technique doit être
parfaitement maîtrisée, les 7 « petits gestes » permettant
que chaque zone cutanée soit effectivement désinfectée
(Fig. 1).
Lorsqu’il existe, le matériel à usage unique et
sécurisé (aiguilles, cathéters, épicrâniennes, matériel à
hémoculture. . .) doit être utilisé [8]. L’évacuation des objets
piquants et tranchants doit se faire au plus près du soin, sans
recapuchonnage ni désadaptation à la main, au moyen de
collecteurs spécifiques, de taille adaptée à l’activité, dont
le remplissage ne dépassera pas la limite indiquée sur le
collecteur, inviolables une fois fermés, incinérables.
Les EPI (gants, surblouse ou tablier plastique, lunettes de
protection, masque, masque à visière) doivent être choisis,
de façon adaptée (Fig. 2), dès lors que le soin qui va être fait
présente un risque d’exposition des mains et/ou du visage
et des yeux du soignant au sang et liquides biologiques du
soigné. Les surchaussures sont inutiles, et même source de
contamination des mains lorsqu’elles sont enlevées.
La bonne gestion des excreta doit être abordée dès ce
stade : hygiène des mains, protection des mains et de la
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bouche, dans le cadre des précautions complémentaires
de type gouttelettes ou encore dans le cadre des
mesures d’asepsie requises pour les gestes invasifs à haut
risque ;
• le masque à pièce faciale filtrante (FFP) protège celui qui
le porte de l’inhalation de particules très fines, en suspension dans l’air (par exemple bacille de la tuberculose
provenant d’un patient atteint de tuberculose respiratoire, ou encore spores aspergillaires mises en suspension
à l’occasion de travaux. . .).
Les précautions complémentaires
Encore volontiers appelées « isolement », ce terme doit être
abandonné tant son impact est négatif chez les personnes
qui en font l’objet.
Bonnes pratiques
Figure 1. Technique pour la friction hydro-alcoolique adapté de
[7].
DSF : désinfection.
tenue lors des changes, de la manipulation des bassins et
pistolets (dont l’entretien est fait de préférence en lavebassin avec une montée en température suffisante), vidange
des sacs collecteurs d’urine.
Parmi les EPI, les masques méritent quelques précisions,
utiles pour la suite :
• le masque chirurgical a deux objectifs : protéger celui qui
le porte des éclaboussures de sang et de liquides biologiques (dans le cadre des précautions standard) ; éviter
que celui qui le porte ne diffuse des gouttelettes de sécrétions et microorganismes provenant de son nez ou de sa
Rappelons les règles essentielles :
• les PC, par nature complètent les PS, dont le respect doit
rester scrupuleux, en particulier l’hygiène des mains ;
• la mise en œuvre et la levée de précautions
complémentaires doivent faire l’objet d’une prescription
et d’une traçabilité dans le dossier du patient ;
• les mesures doivent être appliquées par l’ensemble des
personnels concourant à la prise en charge du patient. La
signalisation, par tout moyen (affiche, pictogramme. . . sur
la porte de la chambre, le dossier de soins, les demandes
de consultations ou de gestes en plateau technique ou
d’imagerie, les courriers accompagnant un transfert ou
une sortie au domicile), dans le respect du secret médical,
est la clé d’une information partagée, au bon moment,
par tous les professionnels appelés à intervenir dans
l’établissement et au-delà ;
• le patient (ou la personne de confiance) doit en être
informé par l’équipe médicale et soignante, avec tact et
de manière adaptée ;
• le plan de soins, d’investigations et de traitements ne doit
pas être modifié du fait de la mise en œuvre de PC ;
• de telles situations peuvent se rencontrer dans n’importe
quel domaine d’exercice et dans n’importe quelle spécialité, aucun service, aucune consultation n’est à l’abri
d’avoir à gérer des patients en PC.
Grands principes
Figure 2. La « boîte à outils » en matière de produits et de
matériels à utiliser dans le cadre des précautions standard et
des précautions complémentaires. PHA : produit hydro-alcoolique ;
OPT : objets piquants et tranchants.
Deux grands principes président aux précautions
complémentaires.
Le premier, s’agissant de patients hospitalisés, est qu’ils
soient hébergés en chambre seule, ou lorsque plusieurs
patients sont porteurs du même microorganisme qu’ils
soient hébergés dans la même chambre ou le même
secteur (cohorte) ; s’agissant de patients en consultation, l’idéal est de les maintenir à distance des autres
patients et de réduire leur attente, voire d’éviter leur
passage en salle d’attente. Ce sont là des mesures
dites « géographiques ».
Le second repose sur la connaissance de la ou des voie(s)
de transmission d’un microorganisme, dûment identifié, qui
permet, dans le cadre des précautions complémentaires, de
choisir les outils les plus efficaces pour réduire cette transmission.
Précautions complémentaires en urologie
Deux grandes voies de transmission existent :
• la transmission par l’air : dans ce cas, 2 sous-voies existent
qui concernent, l’une des particules très fines, provenant
du poumon profond de la personne infectée à l’occasion
des efforts de toux et d’éternuement, et capables de rester en suspension dans l’air un certain temps, l’autre des
particules plus grosses, générées à partir des sécrétions
salivaires et nasales à l’occasion de la parole, du rire,
de la toux, plus lourdes et qui vont rapidement sédimenter sur les surfaces horizontales. La barrière permettant
le plus sûrement l’interruption de la transmission est le
masque, dans le premier cas, le port de masque FFP par
la personne à protéger (PC AIR, PCA), dans le second cas,
le port de masque chirurgical par la personne, soignante
ou soignée, génératrice des particules (PC gouttelettes,
PCG) ;
• la transmission par contact, avec des mains le plus souvent, mais aussi des surfaces ou des objets contaminés.
La mesure la plus efficace est la désinfection des mains,
à laquelle sera très souvent associé le port des gants dès
l’entrée dans la chambre, ainsi que la protection de la
tenue du professionnel de santé par une surblouse ou un
tablier dès lors qu’un contact physique avec le patient
et/ou son environnement est prévisible. La charge bactérienne des objets sortant de la chambre du patient
doit être maîtrisée : « petits » dispositifs médicaux dédiés
au patient pendant son séjour (glucomètre, tensiomètre,
stylo, stéthoscope, nacelle de pesée. . .), désinfection des
DM partagés, évacuation du linge et des déchets dans
des contenants fermés et étanches, vaisselle et plateaux
traités en lave-vaisselle à une température suffisante. La
contamination de l’environnement du patient est toujours
présente, il faut la réduire en renforçant le bionettoyage
et en augmentant sa fréquence. Cet ensemble de mesures
constitue les PC contact ou PCC, de loin les plus fréquemment mises en œuvre dans les établissements de santé.
Résultats
Les indications des différents types de PC découlent des
sites portages (infectés ou simplement colonisés) et de la
ou des voie(s) de transmission possible(s) pour chaque agent
infectieux :
• PCA : tuberculose respiratoire, viroses éruptives (rougeole, rubéole, varicelle), viroses respiratoires émergentes (grippes humaines d’origine animale. . .) ;
• PCG : grippe humaine saisonnière, adénovirus, coqueluche, scarlatine et angine à Streptocoque A ; toute toux
fébrile jusqu’à plus de précisions, chez toute personne
(soignant, soigné, visiteur). Les microorganismes concernés sont généralement caractérisés par une durée de
contagiosité, les PC sont à maintenir pendant toute cette
durée et peuvent ensuite être levées ;
• PCC : nous retrouvons dans cette catégorie :
◦ des germes responsables d’infections cutanées (herpès,
varicelle, impétigo, gale. . .),
◦ des germes responsables d’infections entériques (Rotavirus, C. difficile. . .). Dans ces deux cas, la guérison
clinique et/ou l’existence d’une durée de contagiosité
spécifique guideront la durée des PC, et donc dicteront
la levée des PC,
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◦ la plupart des bactéries multi-résistantes aux antibiotiques qui nous préoccupent en France. Les plus
fréquentes sont Staphylococcus aureus méticillinorésistant (SARM), dont le gîte est le nez, et
secondairement la peau ; les entérobactéries productrices de bêtalactamase à spectre étendu (EBLSE), dont
le portage est digestif, associé ou non à d’autres sites
anatomiques, symptomatiques ou non (poumon, arbre
urinaire. . .) ; citons encore Acinetobacter baumanii
résistant à l’imipénème (ABRI), certains Pseudomonas aeruginosa (PARC). Pour ces bactéries, il n’existe
pas de notion de période de contagiosité comme pour
les pathogènes spécifiques. La durée de portage de
ces bactéries, qu’il s’agisse d’une infection ou d’une
colonisation, peut être prolongée, jusqu’à plusieurs
années. C’est la raison pour laquelle les PCC sont, soit
maintenues jusqu’au retour du patient à son domicile, soit levées après s’être assuré de la négativité
de plusieurs dépistages digestifs et ce, en dehors de
tout contexte nécessitant la prise d’antibiotiques. Il est
recommandé de prendre l’avis du praticien hygiéniste
pour définir la meilleure stratégie.
Les PCC doivent être à nouveau mises en place en cas de
réadmission d’un patient ayant un antécédent de portage
de BMR.
La participation du patient et de ses visiteurs au respect
de ces mesures, tout particulièrement à l’hygiène des mains,
doit être un objectif fort.
Discussion
Les PCC se sont avérées efficaces dans la diminution des bactéries dont la diffusion est peu dépendante de la pression
de sélection des antibiotiques ; le SARM en est le meilleur
exemple, avec un taux de prévalence d’infections nosocomiales à SARM qui est passé de 0,4 % en 2006 à 0,2 % en 2012
[9], et un taux d’incidence qui est passé de 0,59 cas pour
1000 journées d’hospitalisation à 0,39 cas en 2011 [10]. La
diffusion des BMR dont le portage est intestinal, est plus difficile à contenir car dépendante à la fois de la transmission
croisée, le plus souvent manuportée, et de la pression de
sélection des antibiotiques, utilisés non seulement en médecine humaine, hospitalière et de ville, mais également dans
les secteurs agricoles et industriels.
Depuis quelques années des bactéries appartenant à des
espèces bactériennes banales de la flore intestinale et fréquemment isolées dans les infections humaines (telles que
Escherichia coli et Enterococcus faecium) mais présentant
des caractéristiques de résistance aux antibiotiques, nouvelles et alarmantes, émergent en France, souvent chez des
patients en provenance, ou ayant eu des soins à l’étranger.
Ce sont les bactéries hautement résistantes émergentes
(BHRe) avec aujourd’hui (mais la liste peut évoluer) les
entérobactéries productrices de carbapénémases (EPC) et
les E. faecium résistants aux glycopeptides (ERG). Devant la
menace d’impasse thérapeutique en cas d’infection à une
telle BHRe, le ministère de la Santé a enjoint, par toute
une série de circulaires, les établissements de santé à faire
preuve d’une extrême rigueur dans la gestion des patients
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suspects d’en être porteurs ou à plus forte raison, porteurs
avérés.
Quels sont les patients suspects ? Ce sont tous qui font
l’objet d’un rapatriement ou d’un transfert sanitaire en
provenance d’un établissement de soins étranger et tous
ceux qui se présentent dans un établissement de soins de
l’Hexagone et qui ont été hospitalisés au moins 24 heures à
l’étranger, dans un secteur à forte densité de soins, dans
l’année qui précède, notion qui n’est pas spontanément
évoquée par les intéressés et qu’il faut donc rechercher activement. Les patients doivent faire l’objet d’une admission
directe dans le service, sans passer par les urgences, pour
être mis en chambre seule et faire l’objet d’un dépistage
digestif (écouvillonnage rectal ou coproculture, en précisant le contexte au laboratoire) ; les PCC seront levées si le
dépistage est négatif. L’équipe d’hygiène doit être informée
et accompagner les mesures prises.
Comme l’a rappelé très récemment l’Organisation mondiale de la santé, la résistance bactérienne est un enjeu
majeur pour les décennies à venir, pour l’ensemble des pays
[11].
Conclusion
La prévention de la diffusion des BMR repose sur un petit
nombre de mesures qui visent à éviter les infections nosocomiales par les bonnes pratiques d’asepsie lors des soins,
à limiter la pression de sélection des antibiotiques en
les utilisant « moins et mieux » et à maîtriser la transmission croisée par une parfaite hygiène des mains et de
l’environnement. Ces mesures sont complétées par des précautions complémentaires adaptées aux germes et à leurs
voies de transmission.
L’urologie qui accueille des patients de tous âges et de
tous horizons avec une densité de soins importante fait
souvent appel aux antibiotiques et intervient parfois en
milieu septique. Aussi est-elle régulièrement confrontée aux
bactéries multi-résistantes. Il est donc important que les
équipes médicales et paramédicales d’urologie connaissent
et utilisent les mesures de prévention adaptées.
S. Malavaud
Déclaration d’intérêts
L’auteur déclare ne pas avoir de conflits d’intérêts en relation avec cet article.
Références
[1] Ministère de la santé. Circulaire DGS/DH no 98-249 du 20 avril
1998, relative à la prévention de la transmission d’agents infectieux véhiculés par le sang ou les liquides biologiques lors des
soins dans les établissements de santé; 1998.
[2] Ministère de la Santé, HCSP, SFHH. Surveiller et prévenir les
infections associées aux soins; 2010 http://www.sf2f.net/
publications-SF2H/SF2H surveiller-et-prevenir-les-IAS-2012.
pdf
[3] SF2H. Recommandations nationales : prévention de la transmission croisée : précautions contact; 2009 http://www.sf2h.net/
publications-SF2H/SF2H prevention-transmission-croisee-2009.
pdf
[4] SF2H. Recommandations nationales : prévention de la transmission croisée par voie respiratoire : air et gouttelettes;
http://www.sf2h.net/publications-SF2H/SF2H reco2013
mmandations air-ou-gouttelettes/SF2H recommandations airou-gouttelettes 2013.pdf
[5] Ministère de la santé. http://circulaire.legifrance.gouv.fr/
pdf/2014/01/cir 37839.pdf
[6] Meunier O, Hemmerlé J, Burger S, Salles F. Les faux ongles et
l’hygiène hospitalière. HygièneS 2014;XXII(1):61—2.
[7] SF2H. Recommandations pour l’hygiène des mains; 2009
http://www.sf2h.net/publications-SF2H/SF2H recommandations hygiene-des-mains-2009.pdf
[8] Guide
des
matériels
de
Sécurité.
GERES;
2010
http://www.geres.org/16 doc/16 gure.htm
[9] http://www.invs.sante.fr/Publications-et-outils/Rapports-etsyntheses/Maladies-infectieuses/2013/Enquete-nationale-deprevalence-des-infections-nosocomiales-et-des-traitements
anti-infectieux-en-etablissements-de-sante-France-mai-juin2012
[10] Réseau de surveillance RAISIN-BMR. http://www.invs.sante.
fr/bmr-raisin
[11] Antimicrobial resistance, global report on surveillance. WHO;
2014.
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