Transmission nosocomiale du virus de l`hépatite C en hémodialyse

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La Lettre de l’Infectiologue - Tome XIV - n° 8 - octobre 1999
Une étude prospective initiée en 1994 reposant sur un suivi
virologique systématique de patients hémodialysés a
permis d’identifier dans le même centre onze infections de
novo au virus de l’hépatite C sur une période de
douze mois. Ces infections ont été observées lors de trois
épisodes d’une durée inférieure à trois mois chez des
patients dialysés, mais n’ayant jamais été transfusés. La
détermination du génotype viral par hybridation inverse
dans la région 5’ non codante permettait l’identification
de différents génotypes déjà identifiés parmi les patients
anciennement infectés et dialysés dans le centre. Afin de
démontrer l’existence de relations génétiques entre les
souches impliquées dans les infections de novo et les
souches des sujets anciennement infectés, la région
hypervariable HVR-1 du gène E2 a été étudiée par
séquençage direct de l’ARN génomique extrait d’échan-
tillons sanguins recueillis chez tous les patients viré-
miques. Grâce à l’application d’une méthodologie rigou-
reuse, il a été mis en évidence que tous les patients infectés
par des souches génétiquement proches avaient été
dialysés dans le même secteur et au cours de la même
séance ou de deux séances consécutives. Bien que le
mécanisme exact de la transmission virale n’ait pu être
identifié, des brèches dans le respect des règles d’hygiène
ont probablement été à l’origine de ces infections.
J. Izopet, Toulouse
M.J. Blaser (Nashville, États-Unis), spécialiste internationale-
ment reconnu de l’infection à Helicobacter pylori, nous livre de
nouvelles hypothèses concernant les relations anciennes, mais
changeantes, entre H. pylori et l’espèce humaine (J Infect Dis
1999 ; 179 : 1523-30). Cette démonstration propose une expli-
cation convaincante à l’apparent paradoxe qui existe entre cette
infection, universellement répandue et généralement sans consé-
quence importante, et les nombreuses affections digestives poten-
tiellement graves dans lesquelles elle joue un rôle essentiel :
les ulcères gastriques et duodénaux, l’adénocarcinome gas-
trique, le lymphome gastrique du MALT... Les interactions
entre l’hôte infecté, des facteurs nutritionnels et environ-
nementaux et les caractéristiques de la bactérie, notamment
son génotype de mieux en mieux connu grâce au séquen-
çage récent du génome, permettent de mieux comprendre
les conséquences pathologiques de l’infection.
Le rôle du gène cag illustre bien la complexité du pro-
blème, jouant tour à tour le rôle de facteur favorisant de
certaines maladies (ulcères gastroduodénaux et cancer
gastrique distal) et de facteur protecteur vis-à-vis du
reflux gastro-œsophagien (RGO) et du cancer du cardia.
Les souches cagA négatives, en revanche, semblent rela-
tivement neutres, avec un risque modéré de maladie par
rapport au sujet non infecté. La diminution concomitante
dans les pays développés de l’incidence de l’infection et
des maladies associées au gène cag, alors même que la
prévalence du RGO et du cancer du cardia augmente,
plaide en faveur de cette hypothèse. Il est néanmoins trop
tôt pour conclure à l’existence de “bon” ou de “mauvais”
H. pylori.Toutefois, il est raisonnable de penser que les
caractéristiques de la gastrite infectieuse, sa topographie
(antrale, fundique ou diffuse), son intensité et l’atrophie
qui peut en résulter joueraient un rôle essentiel en rela-
tion avec les modifications de la sécrétion acide gastrique :
gastrite antrale prédominante avec hypersécrétion acide
dans l’ulcère duodénal, avec peut-être risque augmenté de
RGO, gastrite diffuse avec normo- ou hyposécrétion acide
dans l’ulcère gastrique, gastrite atrophique et hyposécré-
tion acide dans le cancer gastrique... Sans doute faut-il
maintenant considérer qu’il n’y a pas un mais plusieurs types
d’infections à H. pylori,ce qui rend mieux compte de l’évo-
lution de l’infection au cours du temps et de ses conséquences
en pathologie humaine.
J.D. de Korwin, Nancy
S. Yerly et coll. (Lancet 1999 ; 354 : 729-33) ont évalué la pré-
valence de variants VIH-1 résistants aux traitements antirétrovi-
raux chez 82 patients présentant une primo-infection par le VIH
Transmission nosocomiale du virus
de l’hépatite C en hémodialyse
Relations modulées
entre Helicobacter pylori et l’homme :
effet sur l’état de santé
Transmission de virus résistants
aux traitements antirétroviraux
La Lettre de l’Infectiologue - Tome XIV - n° 8 - octobre 1999
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(PIV) entre 1996 et 1998 dans une population bénéficiant d’un
accès large aux nouvelles molécules antirétrovirales (Genève).
Huit patients (10 %) ont été infectés par des virus présentant
des mutations associées à la résistance aux inhibiteurs nucléo-
sidiques de la transcriptase inverse (INTI), principalement à
l’AZT. Trois patients (4,3 %) présentaient des mutations pri-
maires (V82A, L90M) accompagnées d’au moins 2 muta-
tions secondaires associées à la résistance aux inhibiteurs
de la protéase (IP). La résistance génotypique a été confir-
mée par une résistance phénotypique aux IP chez 2 des
3patients. La transmission de virus multirésistants était
décrite chez un patient, partenaire d’un sujet infecté depuis
10 ans et multitraité depuis 4 ans. Les variants viraux iso-
lés du plasma de ce patient au cours de la primo-infection
présentent 12 mutations de résistance aux INTI et aux IP.
La charge virale au cours de la PIV était élevée, ce qui sug-
gère le maintien, malgré ces mutations, d’une forte capa-
cité réplicative virale. La trithérapie précoce n’a entraîné,
chez ce patient, qu’une réponse virologique partielle.
L’utilisation des IP entraîne une augmentation de la trans-
mission des variants présentant des mutations primaires
et secondaires de résistance. Ces résultats plaident en
faveur de la réalisation d’un test génotypique de résis-
tance, non seulement dans les cas d’échecs thérapeutiques
pour initier un traitement de sauvetage, mais aussi chez
les patients primo-infectés pour assurer le meilleur trai-
tement antirétroviral initial.
I. Pellegrin, Bordeaux
O.J. Cohen et A.S. Fauci commentent l’article de S. Yerly
et coll. dans le même numéro du Lancet (1999 ; 354 : 697-8)
en insistant moins sur la résistance des virus que sur leur trans-
mission. Les auteurs suggèrent que l’ère des HAART a contri-
bué à une mauvaise perception de la gravité de l’infection et à
une augmentation des comportements sexuels à haut risque chez
certains patients. Quelles que soient les avancées des traitements
antirétroviraux, la transmission de virus résistants affirme l’im-
portance des mesures de prévention de la transmission. “Le
moyen le plus efficace de prévenir la transmission de virus résis-
tants est de prévenir la transmission elle-même”.
I. Pellegrin, Bordeaux
J.L. Anderson et coll. (Circulation mars 1999, 99 : 1540-
7) ont présenté les résultats d’un essai clinique randomisé
de prévention secondaire des accidents coronariens par
l’azithromycine chez des patients séropositifs pour
Chlamydia pneumoniae.
Ce travail a été entrepris à la suite de la publication en
1997 de deux études pilotes (Gupta S. et coll. Circula-
tion 1997 ; 96 : 404-7, et Gurfinkel E. Lancet 1997 ; 350 :
404-7) qui montraient une réduction des événements
coronariens secondaires chez des sujets traités par macro-
lides. Il est à noter que ces deux études différaient entre
elles par le type de patients recrutés (délai variable après
l’accident coronarien aigu), le type de macrolides utili-
sés (azithromycine et roxithromycine), la durée de trai-
tement et la conception de l’étude.
L’étude d’Anderson a porté sur 333 patients dont des
patients aux antécédents semi-récents d’infarctus du
myocarde, des patients ayant subi une chirurgie corona-
rienne ou présentant une sténose supérieure à 50 % à la
coronarographie. Tous ces patients étaient séropositifs
pour C. pneumoniae, avec un taux supérieur au 1/16e,et
répartis en deux groupes : un groupe placebo et un groupe
azithromycine, traités pendant 3 mois. À 6 mois, il n’y
avait pas de différence dans les deux groupes pour le
nombre d’accidents coronariens secondaires, mais il y avait
une diminution significative des marqueurs de l’inflam-
mation (CRP et IL6) dans le groupe traité. Par ailleurs,
contrairement aux résultats de l’étude de Gupta, le taux des
anticorps anti-Chlamydia pneumoniae n’avait pas diminué
sous traitement par azithromycine par rapport au groupe pla-
cebo.
Cette étude de plus grande ampleur ne confirme donc pas les
résultats des deux études pilotes et la question demeure, au-delà
du rôle pathogénique de C. pneumoniae dans l’athéromatose, de
la place d’un traitement antibiotique par macrolides, dont on
connaît par ailleurs l’effet anti-inflammatoire potentiel. D’autres
essais seraient certainement souhaitables, en stratifiant les popu-
lations de patients selon le type d’atteinte coronarienne (aiguë ou
chronique, lésions localisées ou diffuses...) et en fonction de mar-
queurs plus pertinents de l’infection à C. pneumoniae.
J.L. Schmit, Amiens
Chlamydia pneumoniae, athéro-
matose coronarienne, efficacité des
macrolides : l’affaire rebondit
Transmission de souches de VIH-1
résistantes aux molécules antirétro-
virales : “fâcheux”, mais inévitable
Les articles publiés dans La Lettre de l’Infectiologuele sont sous la seule responsabilité de leurs auteurs.
Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction par tous procédés réservés pour tous pays.
© octobre 1985 - EDIMARK S.A.
Imprimé en France - Differdange S.A. - 95110 Sannois - Dépôt légal 4etrimestre 1999
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La Lettre de l’Infectiologue - Tome XIV - n° 8 - octobre 1999
Novembre - décembre 99
2-6 novembre, Manille,
Philippines
2nd World Congress
of pediatric infectious
diseases
Asian Society for pedia-
tric infectious diseases,
Department of pedia-
trics, UP, Philippine
General Hospital, Laft
avenue, Manille, Phi-
lippines.
Tél. : (63) 2 524 91 67
Fax : (63) 2 524 08 92
4 novembre, Paris
12eJournée de phar-
macologie
clinique : “Quel dos-
sier pharmacociné-
tique/pharmacodyna-
mique pour l’évaluation
d’un nouvel antibio-
tique ?”
ICA, 4, villa d’Orléans,
75014 Paris.
Tél. : 01 40 64 20 26
Fax : 01 40 64 20 50
5 novembre, Paris
42eJournée de l’hôpital Claude-Ber-
nard : “Les maladies infectieuses rares”
ICA, 4, villa d’Orléans, 75014 Paris.
Tél. : 01 40 64 20 26
Fax : 01 40 64 20 50
10 novembre, Paris
Journée d’étude sur les anaérobies :
pathologies osseuses, pulmonaires et
ORL
SmithKline Beecham, 6, esplanade
Charles-de-Gaulle, BP 306, 92731
Nanterre Cedex.
Tél. : 01 46 98 48 48
11-14 novembre, San Diego,
États-Unis
12th Annual Meeting of the Associa-
tion of nurses in AIDS care, ANAC
http ://www.anacnet.org
12-15 novembre, Winnipeg, Canada
2nd Canadian HIV/AIDS Skills Buil-
ding Symposium : “Getting together,
sharing together, learning together”
The Events Team, Canadian AIDS
Society, 900-130 Albert St, Ottawa,
Ontario, K1P 5G4, Canada.
Tél. : (1) 613 230 35 80
Fax : (1) 613 230 07 79
http ://www.cdnaids.ca
17-20 novembre, Philadelphie,
États-Unis
IDSA (Infectious Diseases Society
of America annual meeting)
Enid Shyla John, Coordinator, IDSA
Meeting Department, 99, Canal
Center Plaza, Suite 210, Alexandria,
VA 22314, États-Unis.
Tél. : (1) 703 299 02 00, poste 211
Fax : (1) 703 299 02 04
E-mail : sjohn@idsociety.org
18-20 novembre, Paris
44es Jounées internationales de
biologie
39es Dimanches biologiques de
Lariboisière
Jeanne Berga, Syndicat des biolo-
gistes, 11, rue de Fleurus, 75006 Paris.
Tél. : 01 53 63 85 00. Fax : 01 53 63 85 01
18-21 novembre, Perth, Australie
11th Annual medical and scienti-
fic Conference of the Australa-
sian Society for HIV medicine
Australasian Society for HIV medi-
cine, PO Box 166, Randwick NSW
2031, Australie.
Tél. : (61) 2 93 82 16 56 / 4 14 37 31 61
Fax : (61) 2 93 82 36 99
E-mail : b.pearlman@unsw.edu.au
21 novembre, Johannesburg,
Afrique du Sud
6th World Congress and 38th
IUSTI General Assembly combi-
ned with 7th Joint Biennial
Congress of the STD & ID Socie-
ties of Southern Africa
Congress Secretariat, Priscilla May,
c/o SAIMR, PO Box 1038, Johannes-
burg 2000, Afrique du Sud.
E-mail :
25 novembre, Bruxelles, Belgique
3rd National seminar on travel
medicine
Dr F. Jacobs, Clinique des maladies
infectieuses et tropicales, hôpital
Erasme, Route de Lennik 808, 1070
Bruxelles, Belgique.
Tél. : (32) 2 555 67 46
Fax : (32) 2 555 39 12
26-27 novembre, Paris
Réunion de la Société française
de mycologie médicale : “Les
nouveaux antifongiques”
Bernadette Ruetsch, SFMM, Institut
Pasteur, 25, rue du Docteur-Roux,
75724 Paris Cedex 15.
Tél. : 01 40 61 32 54
Fax : 01 45 68 84 20
28 novembre-2 décembre,
Washington, États-Unis
48th Annual Meeting of the Ame-
rican Society of Tropical Medicine
and Hygiene
ASTMH Headquarters, 60 Revere
Drive, Suite 500, Northbrook, IL,
États-Unis.
Tél. : (1) 847 480 95 92
Fax : (1) 847 480 92 82
http ://www.astmh.org
2 décembre, Paris
6eSéminaire de recherche junior
SPILF-SFM
Pr Lagrange
Tél. : 01 42 49 94 93
Fax : 01 42 49 92 00
2-3 décembre, Paris
19eRICAI : “Réunion interdisci-
plinaire de chimiothérapie anti-
infectieuse”
AORIC Secrétariat, faculté de méde-
cine, service de bactériologie, 28,
place Henri-Dunant, 63001 Clermont-
Ferrand Cedex.
Tél. : 04 73 60 80 54
Fax : 04 73 27 74 94
http ://www.ricai.org
2-4 décembre, San Francisco,
États-Unis
Comprehensive review of HIV
management winter symposium
University of California, San Fran-
cisco, Department of medicine, CME,
UCSF Box 0656, San Francisco, CA
94143-0656.
Tél. : (1) 415 476 52 08
http :
//www.medicine.ucsf.edu/programs/cme
2-5 décembre, Cold Spring Harbor,
États-Unis
Molecular approaches to vaccine
design
Meetings & courses office, 1, Bungtown
Rd, Cold Spring Harbor, NY 11742,
États-Unis.
Tél. : (1) 516 367 83 46
Fax : (1) 516 367 88 45
http ://www.cshl.org/meetings
2-5 décembre, Florence, Italie
4th International Workshop on
HIV cells of macrophage lineage
and other reservoirs
EAC srl, Corso Lodi, 24, 20135 Milan,
Italie.
Tél. : (39) 02 59 90 23 20
Fax : (39) 02 59 90 07 58
3-7 décembre, La Nouvelle-Orléans,
États-Unis
41st Annual Meeting of the Ame-
rican Society of Haemotology
ASH, 1101 Connecticut Ave NW, Suite
700, Washington, DC 20036, États-Unis.
Tél. : (1) 202 857 11 72
Fax : (1) 202 857 11 64
5-8 décembre, Paris
4eConférence internationale sur
la prise en charge extrahospita-
lière et communautaire des per-
sonnes vivant avec le VIH/sida
Bureau de la conférence, Dixit Paris -
VIH 99, 71-73, rue Victor-Hugo, 92400
Courbevoie.
Tél. : 01 47 88 53 47
Fax : 01 47 88 56 63
5-9 décembre, Maui, Hawaii
3rd International Conference on
therapies for viral hepatitis
Conference Secretariat, International
Medical Press, 2989 Piedmont Road,
Atlanta, GA 30305, États-Unis.
Tél. : (1) 404 233 64 46
Fax : (1) 404 233 28 27
9-11 décembre, Toulouse
41eCongrès de la Société nationale
française de médecine interne
Martine Warembourg, faculté de méde-
cine Henri-Warembourg, 59045 Lille
Cedex.
Tél. : 03 20 62 69 53. Fax : 03 20 88 01 89
15-16 décembre, Paris
14eSéminaire fondamental de
microbiologie clinique : “Les
hépatites virales”
Laboratoires MSD, 3, avenue Hoche,
75008 Paris.
Tél. : 01 47 54 87 00. Fax : 01 47 66 99 91
17-18 décembre, Paris
3eSéminaire annuel de recherche
clinique sur l’infection à VIH
Mme Hélène Pollard, ANRS, 101, rue
de Tolbiac, 75013 Paris.
Tél. : 01 53 94 60 30
Fax : 01 53 94 60 02
La Lettre de l’Infectiologue - Tome XIV - n° 8 - octobre 1999
343
!DIU sur les “Stratégies
thérapeutiques en patholo-
gie infectieuse”, organisé par
l’université Paris VI (UFR
Pitié-Salpêtrière) avec la col-
laboration des universités
Paris VII (UFR X.-Bichat) et
Paris V-René-Descartes
(UFR Paris-Ouest).
Renseignements : secrétariat
du service des maladies
infectieuses et tropicales du
Pr F. Bricaire, hôpital Salpê-
trière, 47, boulevard de l’Hô-
pital, 75651 Paris Cedex 13.
Tél. : 01 42 16 01 01.
Fax : 01 42 16 01 65.
!DU d’antibiologie. Coor-
donnateur : Pr C. Martin,
département d’anesthésie
réanimation, CHU Nord,
13015 Marseille.
Tél. : 04 91 96 86 50.
!DU d’infections noso-
comiales. Coordonnateur :
Pr F. Gouin, département
d’anesthésie réanimation,
CHU Timone adultes, 13005
Marseille.
Tél. : 04 91 38 57 91.
!DU d’hygiène hospi-
ta
lière. Coordonnateur : Pr
M.
Drancourt.
Renseignements :
Laboratoire de microbiolo-
gie, hôpital Salvator, 13009
Marseille.
Tél. : 04 91 74 49 41.
Unité des Rickettsies,
faculté de médecine, 27, bd
Jean-Moulin, 13005 Mar-
seille.
Tél. : 04 91 38 55 17.
!DU des maladies parasi-
taires et tropicales,
organisé
par la faculté de médecine
Paris-Sud.
Renseignements :Dr P. Bourée,
département des maladies
tropicales, hôpital Bicêtre,
78, rue du Général-Leclerc,
94275 Le Kremlin-Bicêtre.
Tél. : 01 45 21 33 21.
Fax : 01 45 21 33 19.
!Conférence de Consen-
sus de la SPILF et de la SFD
“Érysipèle et fasciite nécro-
sante : prise en charge”,
Tours, le 26 janvier 2000.
Informations et inscription :
Agence 2M2, 7, rue Bas-
tienne, 95160 Montmorency.
Tél. : 01 39 64 88 83.
Fax : 01 39 89 77 56.
Date limite des abstracts novembre - décembre 99
30 novembre 1999
31 mars-1er avril, Bruges, Belgique
2nd International Conference on HIV
and Iron
Dr Johan R. Boelaert, Algemeen
Zienhuis Sint-Jan, Ruddershove,
10, B-8000 Bruges, Belgique.
Fax : (32) 50 45 22 99
http ://www.azbrugge.be
1er décembre 1999
10-13 avril, Buenos Aires, Argentine
9th ICID (International Congress on
Infectious Diseases)
T.F. Brewer, 181, Longwood Avenue,
Boston, Massachusetts, 02115-5804,
États-Unis.
Tél. : (1) 617 277 05 51
Fax : (1) 617 731 15 41
http ://www.isid.org
16-21 avril, Baltimore, États-Unis
13th International Conference on anti-
viral research
Courtesy Associates, attn. Kelley Gil-
lespie, 2000 L Street, NW, Suite 710,
Washington DC 20036, États-Unis.
Tél. : (1) 202 973 86 90
Fax : (1) 202 331 01 11
http ://www.isar-icar.com
3 décembre 1999
4-10 avril, Keystone, États-Unis
Novel biological approaches to HIV-1
infection based on new insights into
HIV-biology
Keystone Symposia, 221 Summit
Place 272, Drawer 1630, Silverthorne,
CO 80498, États-Unis.
Tél. : (1) 970 262 12 30
Fax : (1) 970 262 15 25
http ://www.symposia.com
8 décembre 1999
8-13 avril, Breckenridge, États-Unis
Biological threats and emerging
diseases
Keystone Symposia, Drawer 1630,
Silverthorne, CO 80498, États-Unis.
Tél. : (1) 970 262 12 30
Fax : (1) 970 262 15 25
http ://www.symposia.com
8-14 avril, Snowbird, États-Unis
Cytokines and disease
Keystone Symposia, Drawer 1630,
Silverthorne, CO 80498, États-Unis.
Tél. : (1) 970 262 12 30
Fax : (1) 970 262 15 25
http ://www.symposia.com
15 décembre 1999
21-24 mars, Bruxelles, Belgique
20th International Symposium on
intensive care and emergency medi-
cine
Mr Carl Vanhaesendonck, Manager,
Intensive care Dept -Symposium,
Erasme University Hospital, Route de
Lennik 808, B-1070 Bruxelles, Bel-
gique.
Tél. : (32) 2 555 32 15
Fax : (32) 2 555 45 55
http ://www.intensive.org
COURS - DIU - DU...
!
“Forme & Santé”, deuxième salon
médical grand public, 18-21 novembre
1999, Espace Eiffel-Branly, Paris.
Le succès remporté par la première édition
de “Forme & Santé”, salon médical destiné
au grand public, démontre que ce dernier
est à la recherche d’une information médi-
cale de qualité et confirme qu’être et rester
en bonne santé constitue bien la priorité
pour tous.
Or, pour un public non spécialisé, il est dif-
ficile de faire la part des données scientifi-
quement démontrées, des messages pure-
ment publicitaires et des courants irration-
nels “à la mode” ouvrant la voie à de nom-
breux dérapages.
La deuxième édition de “Forme & Santé”,
placée sous le haut patronage de l’Ordre des
médecins, conseil départemental de la ville
de Paris et en partenariat avec la mairie de
Paris, proposera de nombreux thèmes d’ac-
tualité : prévention cardiovasculaire, nutri-
tion, rhumatologie (arthrose, polyarthrite
rhumatoïde), cancérologie, gynécologie...
Pendant 4 jours, les professionnels de la
santé répondront en direct aux questions
posées par le public lors des conférences-
débats.
Programme complet sur le 3615 Forme et
Santé (1,29 F/mn).
CONGRÈS
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