Doc.1 >  
1° D’après ce document, tous les citoyens athéniens sont-ils de même 
condition ? Quels sont les principaux droits communs aux citoyens (par 
rapport à la terre, par rapport au vote, par rapport à la justice, etc.) 
2° A quelles assemblées, les citoyens doivent-ils participer ?  
3° Quels types de citoyens s’occupent des liturgies ? Pourquoi ?  
4° Selon vous, quels sont les citoyens qui participent le plus activement 
à la vie politique athénienne ? Justifie ta réponse. 
 
Doc.2 > A part l’obligation de participer aux assemblées et d’occuper 
des fonctions dans la cité, quels étaient les autres principaux devoirs 
du citoyen athénien d’après les documents 2 et 3 ?  
 
Doc.3 : a) Quel monument d’Athènes nous permet de connaître la fête 
des Panathénées ?  
b) Pourquoi la fête des Panathénées est une fête à la fois une fête 
religieuse et civique ?  
 
Doc.4 et 1 : a) Selon Thucydide, s’occuper de la politique, est-ce 
uniquement voter ? b) Peut-on être un bon citoyen sans s’occuper de 
politique selon Thucydide ? c) Qu’en était-il de la réalité à Athènes au 
Ve s. av. J.- C. ? Justifie ta réponse. 
 
Synthèse : à l’aide de tes connaissances et des documents, dresse un 
tableau qui récapitule les principaux droits et devoirs du citoyen athénien. 
Fais apparaître tous les facteurs qui ont permis la démocratie athénienne 
Doc.4 : Un citoyen passif est un citoyen inutile 
Thucydide rapporte le discours prononcé par Périclès à 
l’occasion des obsèques officielles des morts athéniens de la 
première année de la guerre du Péloponnèse. 
 
Ceux qui participent au gouvernement de la cité peuvent 
s’occuper aussi de leurs affaires privées et ceux que leurs 
occupations professionnelles absorbent, peuvent se tenir fort 
bien au courant des affaires publiques.  
Nous sommes en effet les seuls à penser qu’un homme ne 
se mêlant pas de politique mérite de passer, non pour un 
citoyen paisible, mais pour un citoyen inutile. Nous 
intervenons tous personnellement dans le 
gouvernement de la cité au moins par notre vote ou 
même en présentant nos suggestions. Car nous ne 
sommes pas de ceux qui pensent que les paroles nuisent à 
l’action. Nous estimons plutôt qu’il est dangereux de passer 
aux actes, avant que la discussion nous ait éclairé sur ce 
qu’il y a à faire. 
Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, II, 40, Ve s. av. J.-C.