Les noms des personnes dont le dire signifie un visage – les noms
propres au milieu de tous les noms et lieux communs – ne résistent-
ils pas à la dissolution du sens et ne nous aident-ils pas à parler ? Ne
permettent-ils pas de présumer, derrière les propos en perdition, la
fin d’une certaine intelligibilité, mais l’aube d’une autre ?
Emmanuel Levinas1
REMERCIEMENTS
Comme nous le savons grâce à Emmanuel Levinas, le sens que l’auteur a cru mettre dans
les mots est en réalité précédé et interrompu par l’aube d’une autre intelligibilité, celle de la
signifiance éthique du visage.
En guise de remerciement, je tiens à invoquer ici les noms propres, dont le dire signifie un
visage, des personnes qui ont rendu le présent travail possible.
Je tiens à adresser mes plus vifs remerciements en premier lieu à Pierre Rodrigo et Karel
Novotný. Ils m’ont fait confiance avant même d’avoir entrepris ce travail et m’ont soutenu
de par leurs précieuses relectures, remarques et encouragements tout au long de son
accomplissement.
Je voudrais également remercier infiniment tous ceux (et chacun en premier lieu !) à qui j’ai
demandé de l’aide au cours de ces années de lectures et d’écriture et qui ont répondu à ma
demande sans hésitation. Ma profonde gratitude va à Marie Alison, Yves Aulas, Ivan
Bierhanzl, Šimon Bierhanzl, Arthur Cools, Alberto Foletti, Ivan Foletti, Josef Fulka, Jan
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
1 E. LEVINAS, Noms propres, Montpellier, Fata morgana, 1976, p. 10-11.
2 S. PETROSINO ET J. ROLLAND, La vérité nomade, Paris, La découverte, 1984, p. 147.