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Le public plus accessible…
le privé meilleur sur l’accueil,
la rapidité de la prise en charge
et la gestion
Question : Les hôpitaux publics/les cliniques privées vous paraissent-ils/elles à
même… ?
Groupe VITALIA
5, rue du Cirque 75008 Paris
Tel: [phone] Fax: [phone]
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www.groupe-vitalia.com
Ce numéro de la Lettre de Vitalia a été imprimé à 11000 exemplaires
Juillet/Août/Septembre 2011
du Groupe Vitalia / n°25
CLINIQUE OCÉANE (VANNES)
En 2009, la Clinique Océane à Vannes
s’est dotée de 8 Lits Identifiés de
Soins Palliatifs (LISP).
Après deux ans d’expérience,
le Dr Anny Parot-Monpetit,
médecin référent en soins palliatifs,
esquisse un premier bilan.
Lits identifiés de Soins
Palliatifs : premier bilan
© Hervé Porte
© Agence METAFORE
Taux d’occupation des LISP
à la Clinique Océane :
167% en 2010 soit
12 à 14 patients par jour.
Brèves
Bientôt le magazine n° 6 !
La sortie du magazine des cliniques
Vitalia n°6 est prévue au début du
mois de septembre 2011. Son contenu
est diversifié : tourisme, histoire,
santé, interviews de célébrités, dos-
sier de fond et un cahier jeux de 24
pages ! Autofinancé par la publicité
qu’il recueille, ce périodique est dis-
tribué gratuitement aux patients et
aux visiteurs.
Un service de soins immédiats
à Orléans
La Clinique de la Présentation, près
d’Orléans, vient d’inaugurer son ser-
vice d’accueil de soins non program-
més. Cette unité permet la prise en
charge immédiate des patients par
un médecin urgentiste, sans rendez-
vous, et la réalisation des examens
d’exploration (biologie et radiologie).
Trois médecins urgentistes, une
infirmière libérale et une secrétaire
médicale animent ce cabinet.
Le service comporte un accueil, une
salle d’attente, une salle de plâtre, une
salle de pansements et trois boxes de
consultations. Chaque box est équipé
de moniteurs de surveillance. Quatre
lits sont attenants à cette unité : tous
sont monitorés et l’un d’eux, dédié au
déchocage, permet une ventilation
assistée.
Du nouveau
à Tronquières
Dans le cadre de l’opération
«Tronquières 2012», le
centre médico-chirurgical
d’Aurillac rénove
son hall d’accueil
et construit un
centre de dialyse
de 1200m, com-
posé de 24 postes.
L’établissement
pourra prochainement mettre ces
nouvelles infrastructures au service
des patients.
Journée régionale
des aides-soignantes
L’équipe d’endoscopie de la Clinique
Saint François à Châteauroux a par-
ticipé à la 2e journée régionale des
aides-soignantes. Le but : témoigner
de son expérience en endoscopie di-
gestive, urologique et pneumologique
(technicité, vigilance, maintenance
des endoscopes). La Clinique Saint
François bénéficie en effet d’une
importante activité en endoscopie.
En 2010, 3727 coloscopies et 2709
fibroscopies ont été réalisées. Huit
aides-soignantes travaillent dans ce
service.
La Lettre : Que sont les Lits Identifiés de
Soins Palliatifs ?
Dr Anny Parot-Monpetit :
Les LISP se situent dans
des services qui sont
confrontés à des fins de vie
ou des décès fréquents,
mais dont l’activité n’est
pas exclusivement consa-
crée aux soins palliatifs. Ces Lits Identifiés
répondent à une graduation nécessaire de
l’offre de soins palliatifs. Dans les services
de cancérologie, ils permettent d’assurer au
patient une prise en charge de proximité.
La Lettre : Quand a débuté l’histoire du
projet des LISP à la Clinique Océane ?
Dr A. P.-M. : C’est en septembre 2008 que
la Clinique Océane a obtenu l’autorisation
pour l’ouverture de 8 LISP dans un service
de médecine de 45 lits à orientation onco-
logique et pneumologique. L’équipe LISP
est aujourd’hui constituée d’un médecin et
d’une infirmière, tous deux référents en soins
palliatifs.
La Lettre : Quel bilan faites-vous de ces
deux années ?
Dr A. P.-M. : Excellent ! L’avantage des LISP
est de permettre le suivi conjoint du can-
cérologue et du médecin de soins palliatifs
pour mieux appréhender la complexité des
situations. Cela permet aussi d’anticiper
en équipe les problèmes de fin de vie et de
favoriser l’accompagnement en intégrant les
souhaits de la personne dans la réflexion
médicale.
La Lettre : Des formations ont-elles lieu
pour les équipes
paramédicales ?
Dr A. P.-M. : Tout à
fait ! Depuis 2009,
nous avons mis en
place une formation
de trois jours, dédiée
à la prise en charge
palliative des soignants du service
d’oncologie.
De plus, une formation continue
de l’équipe paramédicale aux
thématiques de la douleur a été
instituée.
La Lettre : Quelles sont les difficultés que
vous rencontrez aujourd’hui ?
Dr A. P.-M. : Une de mes principales inquié-
tudes est la fragilité d’une organisation qui
repose sur un binôme unique médecin/infir-
mière. Le médecin référent en soins palliatifs
n’est pas présent à temps plein et n’est pas
remplacé en cas d’absence. Cela provoque
une rupture pour la continuité des soins. Une
réflexion sur le temps strictement médical
dévolu à l’activité palliative est nécessaire.
A LA UNE
Comment les cliniques privées sont-elles
perçues par les Français ?
Une enquête IPSOS réalisée au printemps
pour la Fédération de l’Hospitalisation Privée
répond à cette question. Nous nous sommes
procurés les résultats de ce sondage auprès
de la FHP. En voici en exclusivité
les grandes lignes.
Editorial
A la lecture de ce sondage
de la FHP, j’ai pu mesurer de
façon tangible le crédit très
important dont jouissent les
établissements privés de santé
en France. Ils sont notamment
plébiscités pour leur gestion,
la rapidité de la prise en
charge des patients, la qualité
de l’accueil, leur confort, la
restauration, le ménage…
Cette étude démontre éga-
lement une fois de plus le
haut niveau de confiance
qu’ont les médecins libéraux
exerçant dans les établis-
sements privés auprès de
la population.
Il s’agit là d’une juste recon-
naissance des efforts consen-
tis par l’ensemble du secteur
privé ces dernières années.
Malheureusement, nous avons
encore du mal à nous départir
de notre image clivante. Les
cliniques et hôpitaux privés
demeurent pour une immense
majorité des Français des lieux
qui ne sont pas accessibles à
tous. Cette perception renvoie
en particulier au sujet des
dépassements d’honoraires
sur lequel il devient impératif
que les professionnels de
santé trouvent des solutions
répondant aux attentes des
usagers.
Dr Christian
Le Dorze
Président du
Groupe Vitalia
Les Français jugent
leur système de santé
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Comment améliorer le financement
du système de soins ?
Question : Pour chacune des mesures suivantes qui pourraient être prises pour
résoudre le problème du financement du système de soins français, dites-moi ce que
vous en pensez… ?
Confiance dans les médecins…
et défiance pour les pouvoirs publics
Question : Et avez-vous confiance en la capacité des acteurs suivants pour faire
face aux grands enjeux auxquels le système de santé français sera confronté dans les
prochaines années ?
VIE DU GROUPE
ÉVÉNEMENT
A Draguignan, deux classes de 6e étaient
également présentes à la Polyclinique afin
de se familiariser avec les bonnes pratiques
d’hygiène. L’infirmier-hygiéniste a expliqué
pourquoi, comment et à quelle fréquence
il convient de se nettoyer les mains. Les
enfants ont aussi appris où se cachent les
bactéries.
De plus, les patients, les visiteurs, le per-
sonnel soignant des deux établissements
et même les ambulanciers ont pu participer
à un atelier de friction hydro alcoolique
(réalisation d’une friction hydro alcooli-
que avec une solution fluorescente qui
permet de contrôler l’efficacité de la
friction).
La promotion de l’hygiène des mains joue
un rôle essentiel dans la prévention des
infections nosocomiales, notamment
pour le contrôle d’épidémies. Chaque
année, les infections nosocomiales
touchent entre 700 000 et un million de
personnes en France.
La Lettre : Quel est le logiciel retenu pour
l’informatisation du dossier patient ?
Jean-Michel Culioli : Vitalia
a retenu le logiciel
eMED
de l’éditeur CS3i, basé à
Vichy.
eMED équipe 120
établissements en France.
Il est déployé notamment
à la Clinique Toulouse-
Lautrec à Albi. Dans cet établissement,
le bloc opératoire, la SSPI et les 164 lits
d’hospitalisation MC et SSR sont informati-
sés. Ce logiciel sécurise la prise en charge
des patients et répond aux exigences du
contrat de bon usage du médicament passé
entre chaque établissement et son Agence
régionale de santé.
La Lettre : Concrètement, comment va se
dérouler le programme d’informatisation
« eMED -VITALIA 2011-2012 » ?
J. -M. C. : La première étape du programme
vise, dans chacun des 27 établissements,
à déployer
eMED dans un service « pilote »,
dans lequel la prescription, la dispensation
et l’administration des médicaments seront
informatisées. L’informatisation de ces trois
étapes du circuit du médicament s’intègre
dans une démarche plus large : l’informa-
tisation du dossier médical
et celle du dossier de soins
(questionnaire d’entrée, pan-
carte infirmière, transmissions
ciblées).
eMED inclut également une
brique logicielle « consultation
d’anesthésie » qui permet le
recueil d’antécédents et d’aller-
gies, la prescription d’examens
complémentaires et des prémé-
dications ainsi que la gestion du
traitement personnel.
La Lettre : Aujourd’hui, où
en est le déploiement d’ eMED ?
J. -M. C. : Trois établissements ont en-
tamé le déploiement d’
eMED : Guillaume
de Varye à Bourges, La Pergola à Vichy et
Notre-Dame à Draguignan. Les 24 autres
cliniques démarreront l’informatisation de
leur dossier patient entre septembre 2011
et janvier 2012. Ces déploiements sont me-
nés d’une part, par les équipes projets de
CS3i, d’autre part par les équipes projets
constituées dans les établissements par le
directeur (référent métier principal, coor-
dinateur de projet, référents métiers). Un
comité de pilotage (directeur, président de
CME, praticiens) supervise le travail mené
par l’équipe projet.
La Lettre : Vitalia engage un budget
supérieur à 6 millions d’euros pour
ce programme…
J. -M. C. : Oui, c’est un très gros budget ! La
direction du Groupe a opté pour une solution
ambitieuse, qui non seulement répond aux
obligations légales des établissements, mais
permet aussi d’améliorer la qualité de la prise
en charge des patients, et les conditions de
travail de tous ceux – soignants, chirurgiens,
anesthésistes, spécialistes – qui seront
amenés à l’utiliser au quotidien.
Vitalia vient de lancer un vaste programme d’informatisation
du dossier patient, qui concerne les 27 établissements MCO du
Groupe ne disposant pas à ce jour d’un dossier patient informatisé.
Précisions avec Jean-Michel Culioli, Directeur des systèmes
d’information de Vitalia.
La participation de tous les acteurs de l’établissement,
et au premier titre des praticiens, est la clé de la réussite
de ce projet ambitieux.
«Mission mains propres»
à Draguignan et Orléans
A l’occasion de la journée nationale «Mission mains propres»,
les Polycliniques Notre Dame à Draguignan et Les Murlins à Orléans ont
organisé une journée de sensibilisation consacrée à l’hygiène des mains.
Objectif ? Sensibiliser les professionnels de santé, les patients et l’ensemble
de la population.
A LA UNE
Les Français jugent leur système de santé (suite de la p. 1)
Informatisation du dossier patient :
c’est parti !
Une journée ludique et pédagogique.
L’hygiène des mains est l’affaire de tous !
Brèves
Bienvenue !
Nous souhaitons la bienvenue aux
directeurs qui viennent de rejoindre
le Groupe Vitalia :
• Isabelle Bataille, Directrice de
la Polyclinique Saint François/
Saint Antoine à Montluçon et de
la Clinique de La Marche à Guéret ;
• Régis Moreau, Directeur
de la Clinique Saint François
à Châteauroux.
Nouvelle IRM à Saint Cœur
La Clinique du Saint Cœur à Vendôme
vient de rénover les locaux du service
d’imagerie et de se doter d’une nou-
velle IRM (financée par les 5 radiolo-
gues de la clinique). Celle-ci concilie
une grande qualité d’image, une su-
reté diagnostique et une vitesse d’ac-
quisition sans égal. Equipée du sys-
tème TIM
(Total Imaging Matrix) ,
cette IRM permet de réaliser des
images du corps entier en un seul
examen. Désormais, les Vendômois
n’ont plus à se déplacer à Blois ou à
Tours pour subir ce type d’examen.
L’inauguration a eu lieu le 11 juin der-
nier en présence des élus, des méde-
cins généralistes et spécialistes ainsi
que des salariés de l’établissement.
L’Université Vitalia
récompense sept salariés
L’Université Vitalia à Montluçon a
organisé le 7 avril dernier la remise
du titre «Manager en établissement
de santé» pour la première promotion
de management niveau 3. Au total,
sept salariés ont été récompensés.
Le but de cette formation était d’ap-
profondir les fondamentaux d’un
bon manager : maîtrise des risques,
droit du travail, gestion des conflits,
gestion du temps et des priorités ou
encore pilotage de projet.
Retrouvez la totalité de ce sondage sur le site Intranet du Groupe :
www.extranet.groupe-vitalia.com
Formabloc récompensé
Le 18 mai dernier au Palais Brongniart à Paris, s’est
déroulée la cérémonie de remise des Trophées de
l’Hospitalisation privée en présence de nombreuses
personnalités du monde médical et hospitalier, des
médias et de la politique.
Au total, plus de 50 candidatures ont été déposées.
Parmi les dix dossiers de qualité de la catégorie
«ressources humaines», le jury a décidé de récompenser Formabloc, la formation
créée par Vitalia et dédiée aux infirmières circulantes de bloc opératoire.
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