En raison du taux de succès et de la réputation du
programme, la demande ne cesse de croître au sein
de la communauté et la liste d’attente est intermina-
ble. Il faut bien se rendre à l’évidence : le petit cottage
construit il y a 55 ans ne suffit plus à la demande.
L’espace est devenu un enjeu déterminant : il n’y a
pas suffisamment de pièces pour les patients hospi-
talisés, les consultations et les activités de groupe.
Idéalement, les installations devraient être confortables
et accueillantes, et répondre aux normes actuelles
d’insonorisation, de chauffage et de ventilation. Ce
serait également une bonne chose s’il y avait un
ascenseur vu que les clients atteints d’anorexie ou de
boulimie sont souvent très faibles et éprouvent de la
difficulté à monter au deuxième étage, ou se déplacent
en fauteuil roulant. De plus, l’accès à la nourriture et
son entreposage sont loin d’être optimaux,
ce qui rend difficile la préparation des repas.
Une sécurité accrue et un meilleur éclairage
naturel figurent aussi sur la liste des améliorations
souhaitées par l’équipe soignante.
Le fin fond de l’histoire
En 2016, grâce à une subvention récente du gouver-
nement provincial de 575 000 $, il sera possible de
rénover l’unité des soins hospitaliers et l’hôpital de
jour, et de rehausser les normes actuelles. En d’autres
mots, cette subvention permettra de répondre à certains
besoins, mais pas à tous les besoins.
C’est alors que votre contribution prend tout son sens.
En effet, avec un montant additionnel de 150 000 $,
il serait possible d’apporter d’autres améliorations
qui auraient des effets positifs et significatifs sur les
patients et le personnel soignant du Programme.
Votre don permettrait d’augmenter de six à neuf le
nombre de chambres réservées aux patients hospi-
talisés, d’améliorer la circulation du personnel et de
recevoir un nombre accru de clients sur les lieux, et
de développer le pavillon dans son ensemble.
Au fond, toutes ces rénovations feraient en sorte
d’améliorer l’efficacité du Programme des troubles
de l’alimentation, de rendre l’expérience du patient
encore meilleure et, à long terme, de sauver des vies.
Et vous pouvez nous aider à faire en sorte que tout
cela se réalise.
Le témoignage de Marie-Hélène, ancienne patiente du
Programme des troubles de l’alimentation de l’Institut Douglas :
« J’ai souffert d’anorexia nervosa quand j’étais dans la
vingtaine. J’ai eu la chance d’être traitée au Douglas dans
le cadre du Programme des troubles de l’alimentation.
Quand je suis arrivée à l’hôpital de jour, j’étais dans
un état déplorable : j’étais déprimée, je n’avais aucune
estime de soi et je ne pesais que 69 livres.
Lorsque j’ai commencé le traitement d’une durée de
cinq mois, j’étais désespérée et j’avais peur. Je n’aurais
pas pu imaginer que le traitement me sauverait la vie.
C’est pourtant ce qui est arrivé. »
Rez-de-chaussée
Étage 1
Sous-sol
OPTION 1 OPTIMAL
Secteur d'agrandissement
Secteur de réaménagement
Terrasse (aménagement extérieur)
Secteur d'adrandissement non excavé
Renseignements :
Suzanne Bélanger, CFRE, directrice générale
Fondation de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas
6875, boulevard LaSalle
Montréal (Québec) Canada H4H 1R3
Téléphone : 514-761-6131, poste 2765
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