Croissance économique : accroissement durable de la production

1
Définitions : croissance économique, PIB, PIN, TCAM, productivité travail, convergence des niveaux de vie, lois
d’Engel, RNB, PPA, développement, IDH, fonction de production, loi des rendements décroissants, contraintes techno-
logiques, investissement, K fixe, FBCF, résidu, productivité, productivité apparente du travail, amortissements,
innovation, croissance endogène, externalités positives, K humain, recherche fondamentale, effet multiplicateur,
institutions, institutions marchandes.
Croissance économique : accroissement durable de la production globale d’une économie (augmentation des richesses
donc augmentation du PIB résulte de l’augmentation des quantités produites et/ou de l’augmentation du prix donc c’est
mieux de le calculer en volume ou en dollars constant pour éliminer l’inflation).
PIB : toute la valeur ajoutée créée dans un pays quel que soit la nationalité de l’entreprise sur une période donnée.
PIN : Produit intérieur net, mesure la production agrégée des agents économiques résidents au cours de la période (PIB),
nette de la consommation de capital fixe (CCF), qui correspond au coût d'usure du capital au cours de la même période.
TCAM : calculer un taux d'évolution moyen sur une durée de n périodes.
Facteur travail : activité humaine rémunérée, légale et déclarée qui contribue à la production de biens et de services.
Convergence des niveaux de vie : niveau de vie du pays rejoint le niveau de vie de la puissance ayant le niveau de
vie le plus élevé.
Lois d’Engel : La loi d'Engel est une loi empirique avancée en 1857 par le statisticien allemand Ernst Engel. D'après
cette loi, la part du revenu allouée aux dépenses alimentaires (ou coefficient d'Engel) est d'autant plus faible que le
revenu est élevé. Même si la proportion d'une catégorie de biens est réputée décroissante dans un budget de consom-
mation donné, cela n'empêche pas que si le revenu augmente, la dépense allouée à l'alimentation, exprimée en valeur
absolue, augmente.
Niveau de vie : quantité et qualité des biens et des services qu’une population peut acquérir.
RNB : (Gross national income (GNI) en anglais) est une valeur assez proche du produit national brut (PNB). Il correspond
à la somme des revenus (salaires et revenus financiers) perçus, pendant une période donnée, par les agents écono-
miques d'une même nationalité. Le RNB est la somme du PIB et du solde des flux de revenus primaires avec le reste du
monde.
PPA : taux de change qui permet d’acheter la même quantité de biens et de services pour une somme donnée dans
chaque pays. Indice calculé à partir d’un même panier de biens identiques dans tous les pays. Bien pour les comparai-
sons internationales.
Développement : ensemble des transformations structurelles et qualitatives qui accompagnent et qui entretiennent la
croissance. (Urbanisation, exode rural, féminisation, augmentation niveau santé et éducation,…)
IDH : indice de veloppement humain créé en 1990 par le PNUD indice composite (moyenne géométrique de
plusieurs indices) compris entre 0 et 1.
Fonction de production : tous les éléments nécessaires à la alisation d’un bien ou d’un service. On va combiner ces
facteurs de différentes manières (complémentaire, donc fixe comme une entreprise de taxis qui a besoin d’un homme
pour un véhicule, un homme ne pouvant pas se substituer à un véhicule et inversement ou substituable, donc + ou de K).
Loi des rendements décroissants : prod° varie de façon moins importante que la variation des facteurs de prod°
utilisés. Il faut réinvestir pour la dépasser. Elle a été formulée par Turgot (homme politique et économiste français du
XVIIIème, ministre de Louis XVI), puis approfondie par David Ricardo, qui s'en est attribué la paternité.
Contrainte technologique : la fonction de prod° dépend des avancées technologiques et de la limite technique, qui
empêche l’entreprise de substituer du K au travail. La fonction de prod° donne l’état des contraintes technologiques qui
pèsent sur l’entreprise.
2
Investissement : flux de nouveaux biens d’équipement, de logiciels ou de bâtiments qui vont renouveler ou accroitre le
stock de K fixe existant (ex : ménages avec investissement immobilier, entreprises avec machines, Etat avec aménage-
ment du territoire,…). C’est différent des placements qui sont l’achat de titres financiers,....
K fixe : stock de biens d’équipements durables, bâtiments ou logiciels utilisés pendant plus d’un an dans le processus de
prod°. (≠ ≤1 ans = CI ou K circulant)
FBCF : constituée par les acquisitions moins cessions d'actifs fixes réalisées par les producteurs résidents. Les actifs fixes
sont les actifs corporels ou incorporels issus de processus de production et utilisés de façon répétée ou continue dans
d'autres processus de production pendant au moins un an. La FBCF est un agrégat dans lequel les investissements de
chaque agent économique vont s’additionner.
Productivité : En économie, la productivité est finie comme le rapport, en volume, entre une production et les res-
sources mises en œuvre pour l'obtenir.La production désigne les biens et/ou les services produits. Les ressources mises en
œuvre, dénommées aussi facteurs de production, désignent le travail, le capital technique (installations, machines,
outillages...), les capitaux engagés, les consommations intermédiaires (matières premières, énergie, transport...), ainsi
que des facteurs moins faciles à appréhender bien qu'extrêmement importants, tels le savoir-faire accumulé. La
productivité peut aussi être calculée par rapport à un seul type de ressources, le travail ou le capital. On parle alors de
productivité apparente. Une mesure couramment utilisée est celle de productivité apparente du travail. On peut
également calculer une productivité apparente du capital.
Productivité apparente du travail : quantité ou valeur de biens et de services crées par un travailleur dans un temps
donné.
Amortissements : constatation comptable annuelle de la dépréciation des immobilisations c'est-à-dire le traitement et
l’enregistrement de la valeur des biens de l’entreprise (éléments de l’actif concernés par l’amortissement). Cette
dépréciation est due à plusieurs facteurs : facteurs physique, facteur techniques, facteurs économiques…
Résidu : part de la croissance qu’on ne peut attribuer ni à l’augmentation du facteur travail ni à l’augmentation du
facteur K. On appelle ça « résidu de Solow ».
Productivité globale des facteurs : rapport entre la production et les dépenses en termes de facteurs de production
nécessaires pour la réaliser. Cela permet de mesurer l’efficacité de la combinaison des deux facteurs.
Innovation : désigne l’introduction dans le processus de production ou sur un marché d’une invention. Application
industrielle et commerciale d’une invention.
Croissance endogène : théorie qui explique la croissance économique par des facteurs endogènes comme le velop-
pement du capital humain, les savoir-faire, le progrès technique.
Externalités positives : avantages procurés à un agent économique sans qu’il n’ait à en supporter le coup.
K humain : ensemble des qualifications, des aptitudes et de l’expérience accumulées par un individu et qui détermine
sa capacité productive. S’acquiert par la formation initiale (diplôme), la formation continue et l’apprentissage (expé-
rience).
Recherche fondamentale : ensemble des travaux expérimentaux ou théoriques entrepris essentiellement en vue
d'acquérir de nouvelles connaissances sur les fondements de phénomènes ou de faits observables, sans qu'aucune
application ou utilisation pratiques ne soient directement prévues.
Effet multiplicateur : Le multiplicateur keynésien exprime la relation entre une variation de la pense (dépenses
publiques,…) et la variation du revenu qu'elle nère. L’augmentation de la demande se traduit par une hausse de la
production qui se traduira elle-même par une hausse de la demande (théorie développée par John Maynard Keynes).
La demande entraînera la production qui suscitera de nouveaux salaires pour produire ces biens, et donc par répercus-
sion une nouvelle demande.
Institutions : système de valeurs et de normes qu’on peut retrouver dans la loi ou dans la coutume et qui va structurer
les relations entre les individus.
Institutions marchandes : système de normes et de valeurs qu’on peut retrouver dans la loi ou dans la coutume et qui
encadre les échanges marchands.
3
John Maynard
Keynes
(1883-1946)
professeur d’économie anglais, représente l’Angleterre à la conférence de Bretton Woods
(1944). Introduit concept d’incertitude (prévisions des agents auto-réalisatrices), les recours à
des politiques de relance conjoncturelle, budgétaires et monétaire, le fait que le niveau de
l’emploi pas fixé sur le marché du travail en fonction du salaire mais sur le marché des biens et
des services.
Œuvre : Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 1936.
Citation : « La situation devient sérieuse lorsque l’entreprise n’est plus qu’une bulle d’air dans le
tourbillon spéculatif. »
Joseph Stiglitz
(né en 1943)
reçoit le prix Nobel d’économie en 2011. Participe au développement de la nouvelle écono-
mie keynésienne (NEK) qui cherche à expliquer la rigidité des marchés à partir du comporte-
ment rationnel des agents économiques en situation d’asymétrie d’information.
Œuvres : La Grande Désillusion, 2002.
Le Triomphe de la cupidité, 2010.
Citation : « Une des raisons pour lesquelles la main invisible est invisible, c’est peut-être qu’elle
n’existe pas. » (Quand le capitalisme perd la tête, 2003).
David Ricardo
(1772-1823)
économiste à Londres, il est considéré comme l’un des pères fondateurs de la discipline. Il
fait partie de l’école classique et son œuvre a durablement marqué la science économique. Il
établit un lien étroit entre quantité de monnaie en circulation et inflation, reprend la distinction
opérée par Adam Smith entre la valeur d’usage (dépend de la satisfaction éprouvée à la
consommation du bien) et la valeur d’échange (quantité d’autres biens que l’on peut acquérir
en échange d’un bien), estime que la valeur d’échange dépend de la quantité de travail qu’il
a fallu pour produire ce bien. Il estime que les profits baissent tendanciellement, et envisage
deux solutions : le progrès technique et l’ouverture au commerce international. Il défend le
libre-échange et sa théorie des avantages comparatifs.
Œuvres : Le Haut Prix du lingot, une preuve de la dépréciation des métaux précieux, 1810.
Essai sur l’influence du bas prix du blé sur les profils du capital, 1815.
Des principes de l’économie politique et de l’impôt, 1817.
Citation : « L’expérience montre […] que jamais un Etat ou une banque n’a disposé d’un pou-
voir illimité d’émission de papier-monnaie sans en abuser. »
Alexis de
Tocqueville
(1805-1859)
à Paris, monarchiste et libéral, il fait des études de droit. En 1831, il part en mission offi-
cielle étudier le système pénitentiaire américain, il analyse les débuts de la mocratie,
thème de son grand ouvrage De la démocratie en Amérique. Il fait ensuit une carrière poli-
tique et publie L’Ancien Régime et la Révolution en 1856. Il perçoit d’importantes dérives po-
tentielles dans les sociétés démocratiques comme : la tyrannie de la majorité (opprimer les
minorités), l’augmentation du conformisme, la montée de l’individualisme (individu se préoccupe
davantage de son bien-être matériel), et une « passion pour l’égalité » qui entraîne
un désintérêt des citoyens pour les affaires publiques.
Œuvres : De la démocratie en Amérique (deux tomes, 1835, 1840).
L’Ancien Régime et la Révolution, 1856.
Citation : « Le désir d’égalité devient toujours plus insatiable à mesure que l’égalité est plus
grande. »
Karl Marx
(1818-1883)
économiste et philosophe allemand considéré comme l’un des plus grands penseurs du XIXe
siècle. Son œuvre comprend des écrits scientifiques dans lesquels il cherche à expliquer le
fonctionnement du système capitaliste, et des écrits politiques dans lesquels il dénonce l’injustice
de ce système (théorie de l’exploitation, la lutte des classes).
Œuvres : Le Capital (Livre 1), 1867.
Citation : « Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre. »
« L'histoire de toute société jusqu'à nos jours n'a été que l'histoire de luttes de classes.
» (Manifeste du parti communiste, 1848).
Friedrich En-
gels (1820-
1895)
philosophe et théoricien socialiste allemand, grand ami de Karl Marx qu’il aidera pour les
rédactions de certains ouvrages dont Le Manifeste du Parti Communiste. Arès la mort de Marx,
il assurera la publication des tomes II et III de l’œuvre de celui-ci : Le Capital. C’est une réfé-
rence du marxisme.
4
Œuvres : L'origine de la famille, de la propriété privée et de l'État, 1884.
Socialisme utopique et socialisme scientifique, 1880-82.
Citation : « Dans la famille, l'homme est le bourgeois ; la femme joue le rôle du prolétariat. »
(L'Origine de la famille, de la propriété privée et de l'État, 1884)
Joseph Aloïs
Schumpeter
(1883-1950)
Economiste autrichien, connu pour ses théories sur les fluctuations économiques, la destruction
créatrice et l’innovation.
Œuvres : Capitalisme, Socialisme et Démocratie, 1942.
Citation : "Le capitalisme constitue, de par sa nature, un type ou une méthode de transfor-
mation économique, et non seulement il n’est jamais stationnaire, mais il ne pourrait le devenir.
[…] Ce processus de destruction créatrice constitue la donnée fondamentale du capitalisme."
Alfred Sauvy
(1898-1990)
Démographe et économiste français. Il fut le chef de file des démographes français. En 1952,
il employa pour la première fois l'expression de « tiers-monde », par analogie avec ce que fut
le tiers état de 1789, pour qualifier un monde marginalisé par le capitalisme et le com-
munisme. Ses travaux d'économie, fondés sur une observation statistique scrupuleuse, lui
confèrent, en outre, une place originale parmi les économistes français contemporains.
Œuvres : Théorie générale de la population (1954-1956), Malthus et les deux Marx (1963),
Histoire économique de la France entre les deux guerres (1965-1975), Éléments de démogra-
phie (1977), De la rumeur à l'histoire (1985).
Citation : « L’opinion publique est souvent une force politique, et cette force n’est prévue par
aucune constitution. » (extrait de L’Opinion publique).
« En période de mobilité économique, la souplesse est une condition vitale du plein
emploi. » (extrait de La France ridée)
« Bien informés, les hommes sont des citoyens ; mal informés ils deviennent des sujets.
»
Nikolai
Dmitrievitch
Kondratiev
(1892-1938)
Economiste soviétique qui s’est fait connaître pour sa théorie des cycles économiques. Il fut
membre du parti socialiste révolutionnaire de gauche avant d’être adjoint au ministre du Ravi-
taillement lors de la révolution russe en 1917. Au cours des années 1920, Kondratiev à émis
l’hypothèse de l’existence de cycles longs à partir de séries chronologiques des prix de gros
au Royaume-Uni et aux Etats-Unis de 1790 à 1920.
Il a ainsi constaté que des cycles currents tous les 30 à 60 ans se mettaient en place avec
dans un premier temps, une phase de prise de risques par les entreprises ainsi qu’une forte
croissance économique, puis dans un second temps, la hausse du chômage et un recul des en-
treprises.
Directeur de l’Institut des Conjonctures Economiques au Commissariat du Peuple aux Finances
en 1920, son intervention et ses théories sur le retour du capitalisme après chaque crise lui
valut les foudres de Staline qui l’envoya au Goulag en 1931.
Robert Lucas
(1937- ?)
Robert Lucas a reçu le prix Nobel en 1995 pour ses travaux sur les anticipations rationnelles.
Principal représentant de l’école des nouveaux classiques, il est particulièrement critique à
l’égard de toute intervention de l’Etat.
Influencé par les travaux de Samuelson et de Friedman, Lucas enseigne d’abord au Carnegie
Institute of Technology, il travaille sur les décisions d’investissement des entreprises. En
1974, il entre à l’Ecole de Chicago et devient l’un des principaux opposants aux théories
keynésiennes. Bien qu’elles soient dominantes à l’époque, Lucas les juge trop rigides, et ineffi-
caces à long terme.
5
Croissance économique : accroissement durable de la production globale d’une économie (augmentation des richesses
donc augmentation du PIB résulte de l’augmentation des quantités produites et/ou de l’augmentation du prix donc c’est
mieux de le calculer en volume ou en dollars constant pour éliminer l’inflation).
Croissance ≠ expansion ≠ dépression (baisse + de 2 trim. du PIB) croissance mesurée avec taux de croissance du PIB
PIB : toute la valeur ajoutée créée dans un pays quel que soit la nationalité de l’entreprise sur une période donnée.
Brut parce que l’usure du K fixe n’est pas pris en compte (K naturel, machines, etc.) Sinon : PIN (net)
Production marchande et non marchande (production gratuite ou coût de vente <50% au coût de production)
avec les ISBLSM et les administrations publiques. (Ne prend pas en compte la production domestique)
3 mesures PIB :
Production : PIB = VA + Impôt sur produits + TVA + droits de douane Subventions sur produits
Revenus : PIB = RS + EBE + RX Subventions
Demande : PIB = CS + FBCF + VS + X M
Les administrations publiques créent de la richesse mais pas de marge. La richesse créée est égale au coût de produc-
tion - (consommations intermédiaires + amortissements)
La croissance avant le XIXe siècle est faible ( 0.5%/an) à cause du caractère primaire de l’économie des pays
(agricole = vulnérable intempéries)
La croissance après le XIXe siècle est égale à 1.8%/an pour les pays de la 1ère RI puis elle s’accélère (pendant la
période 1998-2012, le PIB double) Le taux de croissance est même de 10% pour certains pays à cette époque.
Le taux de croissance est plus faible pendant les 30 Piteuses 1975-1995 (expression de Nicolas Baverez, né en 1961,
avocat, normalien, énarque, docteur en histoire et agrégé de sciences sociales) et la croissance mondiale est principale-
ment tirée vers le haut par les pays émergents.
Les RIs bouleversent les structures sociales (rurales urbain,…) ce qui amène l’apparition de la sociologie, afin
d’analyser les conséquences de ces changements de la société (Tocqueville, Weber,…)
30 Glorieuse (expression de Fourastié, 1907-1990) : l’augmentation des gains productivité entraîne une augmentation de
la production, donc une augmentation des revenus et par la même occasion du niveau de vie (spécifiquement le taux
d’équipement des ménages) Cela a pour résultat une augmentation de la part des budgets des ménages pour les loisirs,
ce qui confirme les lois d’Engel. Les 30 Glorieuse entrainent aussi des changements dans la structure socio-professionnelle :
- agriculteurs et + de travailleurs dans le secteur tertiaire (tertiarisation de la société). Donc cette période, perçue comme
un âge d’or aujourd’hui, n’a pas touchée de façon équitable les personnes, et a été plus profitable aux travailleurs indé-
pendants, qui ont pu suivre l’inflation plus facilement que les salariés (salaires fixes) ou les agriculteurs.
On assiste à une montée de l’individualisme, et par la même occasion de situations anomiques avec une baisse du catholi-
cisme, qui était une sorte de « couche protectrice » et qui bien que restant assez présent dans la société catholicisme
zombie ») n’est plus aussi fort qu’avant. Néanmoins on assiste à des progrès dans de nombreux secteurs comme l’hygiène,
l’éducation,…
Pendant les 30 Glorieuse, les USA étaient au top, avec notamment l’aide de la production fordiste. Les NPI rattrapent
progressivement leur retard. Depuis les années 1970 environ, l’économie et la production des pays émergents commen-
cent à se rapprocher des grandes puissances de la Triade. Alors, que dans les années 1970, la production des pays
avancés représentait 70% de la production mondiale, ce chiffre tombe à 50% aujourd’hui, ce qui montre la place gran-
dissante des pays émergents sur la scène du commerce international. Néanmoins, ces décennies (1970-1980-1990) utili-
sées par les pays émergents sont des décennies perdues pour l’Afrique et une partie de l’Amérique du Sud.
Taux de croissance annuel moyen : TCAM = ( -1) x100
1 / 17 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !