Prêts pour la Spé ? Mécanique quantique o Je sais que la lumière (et en général les ondes électromagnétiques) et la matière ne peuvent pas être décrit uniquement comme des ondes ni uniquement comme des particules : c’est la dualité onde-particule o Je connais les relations de Planck-Einstein (E = h. pour un photon) et de de Broglie (prononcer « Breuil ») ( = h/p pour une particule de matière ; cette relation est aussi vraie pour un photon) o Je sais calculer des ordres de grandeurs intervenant dans des phénomènes quantiques (énergie, quantité de mouvement (qdm) d’un photon, longueur d’onde d’une particule de matière, nombre de photons émis par seconde…) o Je sais décrire une expérience qui mettent en évidence la nécessité de la notion de photon (le plus simple : trous d’Young avec des photons uniques ; sinon rayonnement thermique, effet photoélectrique ou diffusion Compton) o Je sais décrire une expérience qui mettent en évidence la nécessité de la notion d’onde de matière(le plus simple : trous d’Young avec des atomes) o Je sais qu’on peut associer à une particule quantique une fonction d’onde (M,t) à valeurs complexes qui caractérise l’état de la particule o Je sais que la probabilité de présence de la particule est le module au carré de la fonction d’onde o Je sais que la probabilité de présence totale est 100 % (normalisation) o Je sais que la fonction d’onde est une grandeur additive, et que par conséquent, s’il y a 2 situations possibles pour la particule, la fonction d’onde résultante est la somme des fonctions d’ondes des 2 situations ( = 1 + 2). On dit que l’état de la particule est une superposition des 2 états 1 et 2. o Je sais déterminer la probabilité de présence de la particule dans la situation « superposition » et identifier le terme d’interférences o Je sais expliquer en utilisant cette relation une expérience d’interférences « particule par particule » ; notamment je sais expliquer en quoi la particule est dans une superposition de 2 états o Je sais qu’on ne peut pas prévoir où va arriver une particule, on dispose juste d’une probabilité ; si on considère suffisamment de particules, on retrouve la courbe de probabilités o Je sais que dans l’expérience des trous d’Young, si on cherche à déterminer par quel trou passent les particules, on perd les interférences o Je sais interpréter ce résultat par le principe de complémentarité : une particule quantique ne peut pas se comporter comme une onde et comme une particule en même temps o Je connais l’inégalité de Heisenberg spatiale o Je sais faire l’analogie entre cette inégalité et la diffraction des ondes lumineuses o Je sais ce qu’est une particule matérielle non relativiste dans un puits infini à une dimension (je sais tracer l’énergie potentielle) o Je sais que la probabilité de présence de la particule est nulle en dehors du puits infini o Je propose donc une fonction d’onde sous la forme d’une onde stationnaire qui possède des nœuds sur les limites du puits o Je sais trouver les longueurs d’onde permises (modes propres) o Je sais écrire l’énergie mécanique (= Ec + 0) en fonction de la quantité de mouvement, j’introduis la longueur d’onde o Je sais en déduire les énergies que peut prendre la particule dans le puits infini (toutes strictement positives) o Je sais représenter les niveaux d’énergie (et les états permis) sur un diagramme énergétique o Je sais établir le lien entre confinement spatial et quantification (si la largeur du puits tend vers l’infini, les niveaux forment un continuum : il n’y a plus de quantification) 1 o Je sais décrire un oscillateur harmonique quantique (particule matérielle non relativiste dans un profil d’énergie potentielle quadratique de pulsation caractéristique 0) o Je sais montrer que l’énergie d’un oscillateur harmonique quantique ne peut pas être nulle (le plus simple, c’est d’écrire que la quantité de mouvement est m.v et que vmax = .xmax ; on trouve alors h/(40) ; on peut faire mieux, mais ce n’est pas nécessaire et c’est plus compliqué)