Compte rendu lundi 18 février des Journées sectorielles Agriculture 1) Présentation et discussion du cadre conceptuel : principaux concepts, typologie des acteurs du secteur privé ; les approches « chaînes de valeur » ……….., Bertus Wennink Présentation PPT: Appui aux acteurs privés dans le secteur agricole – information de référence Remarque 1 (Makara, RDC) : 3 préoccupations : 1) Liée au contexte : politiques agricoles à inclure ? 2) Concept acteurs : il manque les PTF comme acteurs dans la présentation 3) La CTB s’inspire de 3 approches (promotion d’un environnement plus propice, développement des chaînes de valeur et développement économique local) mais elle ne tient pas compte de tout l’aspect du développement culturel local, écarte l’aspect de la politique locale et de décentralisations. Remarque 2 (Burundi) : important de ne pas trop restreindre notre vue sur l’approche systémique (thème transversal, appliqué à tous). L’importance de la décentralisation qui n’est pas seulement un transfert de pouvoir mais se manifeste dans plusieurs formes. Remarque 3 (Niger) : dans le secteur agricole on ne doit pas oublier les grandes sociétés para publique comme acteur. 2) Présentation de l’évolution du contexte : la politique belge et le contexte institutionnel de soutien public au secteur privé - Yves Dricot, DGD ; Présentation PPT Coopération belge et appui au secteur privé. Information additionnelle : Budget 2012 (millions d’euros): Coop gouvernemental 300 Coop NGO 250 Multilatérale 500 « Secteur privé »/BIO 120 (2011) Divers 150 Question: quelle est la volonté et le rôle des acteurs pour collaborer ? Dans la pratique, comment vous voyez les possibilités de collaborer ? Les acteurs les plus importants de la coopération belge : CTB, BIO, DGD. Il manque de contact et de la communication entre la BTC et BIO. Bio par exemple est obligé d’être en relation avec un attaché de la coopération (aspect investissement), et cela va devenir plus automatique avec la nouvelle loi. Depuis 2009 il y a une platform belge pour le secteur privé mais ça ne fonctionne pas pour des raisons différentes comme beaucoup d’acteurs. La nouvelle note stratégique appui au secteur privé doit donc prendre en compte le problème de manque de coordination. Questions : - Comment dans la coopération bilatérale on peut appuyer le secteur privé dans le secteur agricole ? - Quelle est la place de l’économie sociale dans la coopération belge ? Réponse : appui au secteur privé est un canal pour lutter contre la pauvreté. Le secteur privé prend de risque. Comment on peut appuyer le secteur agricole sans de toucher l’autonomie de l’entreprise ? Ce n’est pas la CTB qui sera l’organisme de travailler directement avec les entreprises privés ; L’économie sociale a une place important dans le Coopération belge. Question : Dans quelle mesure BIO va s’inscrire dans le financement pour le secteur agricole ? Réponse : BIO collabore avec des entreprises et pas avec l’agriculture familiale. Pour le développement de secteur agricole il faut aller plus loin que l’agriculture familiale. 3) Présentation de la première étude de cas « PAIOSA Burundi » : Présentation PPT - Commentaire : les petites parcelles de 0,5 ha sont une contrainte pour le développement agricole - Commentaire: selon son expérience au Burundi, il est primordial d’avoir une vision à long terme et dans le temps pour des changements réels. Cependant, de nouveaux objectifs, thèmes et stratégies sont formulés. Il n’est pas bon de changer tout le temps la stratégie d’appui. Il faudrait continuer ce qui fonctionne. - Question: Quelle est le service qui s’occupe de la qualité de semences comme on a besoin d’un service qui contrôle la qualité pour pouvoir les comparer. - Réponse: Dans la politique d’agriculture Vision 2025 il est prévu que graduellement plus de gens doivent travailler hors de secteur d’agriculture. Actuellement environ 85% de gens qui travaille comme agriculture sont pas des entrepreneurs. 4) Présentation « Seed Sector Development Rwanda » Présentation PPT Commentaires : Quand le gouvernement subventionne à 100% la distribution de semences de maïs et de blé gratuites est-ce que ce n’est pas un détruit de la filiale semencière. Les choses sont en train de changer, prêts à acheter des semences. Et engrais par exemple sont subventionné à 50%. 2 formes de production de semences peuvent coexister (paysannes et secteur privé) : c’est une question de compromis. 5.1) Café mondial : Pourquoi appuyer le secteur privé ? Quelle justification apporter à l’utilisation de fonds public ? Détails de la discussion plénière et restitution des groupes de travail : jour 1 /annexe 1 Récapitulatif : - Ça fait partie des politiques et stratégies nationales - Le secteur privé joue un rôle clé dans le développement agricole, base de l’économie nationale, dans la création d’emploi et d’une richesse - Le secteur privé est plus efficace/efficiente dans la fourniture des biens & services 5.2) Café mondial : Quels sont les acteurs privés que vous supportez, Pourquoi supportez-vous ces acteurs en particulier ? Récapitulatif : - Grandes entreprises : en principe non (mais ils peuvent jouer un rôle comme ‘lead firm’ dans le développement d’une filière) - Petites et moyennes entreprises (professionnalisation) : - o Quand elles jouent un rôle clé dans une filière o Quand elles constituent le maillon faible ONG (ASBL) o En tant qu’organisation d’intermédiation o Comme prestataires de services 5.3) Café mondial : Comment l’appui actuel permet-il d’améliorer la commercialisation ou le développement de nouveaux marchés pour les producteur ruraux? Récapitulatif : - Faciliter le dialogue secteur public – secteur privé - Adapter la réglementation (climat d’affaires) - Travailler plus sur la demande (le marché) - Mettre en place des systèmes d’information de marché - Appuyer l’élaboration des plans d’affaires ----------------------------------------------------