Les acteurs les plus importants de la coopération belge : CTB, BIO, DGD. Il manque de contact et
de la communication entre la BTC et BIO.
Bio par exemple est obligé d’être en relation avec un attaché de la coopération (aspect
investissement), et cela va devenir plus automatique avec la nouvelle loi.
Depuis 2009 il y a une platform belge pour le secteur privé mais ça ne fonctionne pas pour des
raisons différentes comme beaucoup d’acteurs. La nouvelle note stratégique appui au secteur
privé doit donc prendre en compte le problème de manque de coordination.
Questions :
- Comment dans la coopération bilatérale on peut appuyer le secteur privé dans le secteur
agricole ?
- Quelle est la place de l’économie sociale dans la coopération belge ?
Réponse : appui au secteur privé est un canal pour lutter contre la pauvreté. Le secteur privé prend de
risque. Comment on peut appuyer le secteur agricole sans de toucher l’autonomie de l’entreprise ? Ce
n’est pas la CTB qui sera l’organisme de travailler directement avec les entreprises privés ;
L’économie sociale a une place important dans le Coopération belge.
Question : Dans quelle mesure BIO va s’inscrire dans le financement pour le secteur agricole ?
Réponse : BIO collabore avec des entreprises et pas avec l’agriculture familiale. Pour le développement
de secteur agricole il faut aller plus loin que l’agriculture familiale.
3) Présentation de la première étude de cas « PAIOSA Burundi » :
Présentation PPT
- Commentaire : les petites parcelles de 0,5 ha sont une contrainte pour le développement
agricole
- Commentaire: selon son expérience au Burundi, il est primordial d’avoir une vision à long terme
et dans le temps pour des changements réels. Cependant, de nouveaux objectifs, thèmes et
stratégies sont formulés. Il n’est pas bon de changer tout le temps la stratégie d’appui. Il
faudrait continuer ce qui fonctionne.
- Question: Quelle est le service qui s’occupe de la qualité de semences comme on a besoin d’un
service qui contrôle la qualité pour pouvoir les comparer.