Initiation au Contrôle de Gestion & Comptabilité Analytique Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Objectifs du séminaire Votre allié performance Evaluer et piloter toute organisation à l'aide : • Des outils de contrôle de gestion (budget, comptabilité analytique etc.) • Des outils de gestion financière. Votre allié performance Sommaire 1. Introduction Définition et évolutions actuelles du contrôle de gestion Le Contrôle de Gestion: Système de Pilotage L’approche systémique du contrôle de gestion La fonction contrôle de gestion dans l’entreprise Rôle et profil du Contrôleur de gestion Manager 2. Les outils du Contrôle de Gestion Le Système d’Information Les centres de responsabilité La comptabilité analytique : instrument privilégiée du CDG La Gestion des stocks Nouvelle approche du Contrôle de Gestion La comptabilité analytique selon le couple: ABC/ABM L’ABM : Nouvelle approche du Management de l’Entreprise Votre allié performance 3. Le Processus budgétaire Démarche et instruments de la gestion prévisionnelle Approche de mise en place des budgets des principales fonctions de l’entreprise Le contrôle budgétaire L’analyse des écarts 4. Les Tableaux de bord de gestion Contenu des TBG Balanced Scorecard ou Tableau de Bord Prospectif Choix des indicateurs de gestion 5 . Le Benchmarking ou le choix d’une référence externe 6. Les outils financiers Les différents équilibres financiers : FR, BFR, TN Le Bilan fonctionnel et le Bilan Liquidité Les différents retraitements du bilan fonctionnel Les choix d’investissement Les concepts de base d’un Business Plan (ou plan d’affaires) 6. Dimension Humaine du Contrôle de Gestion Votre allié performance Définition et évolutions actuelles du Contrôle de Gestion Votre allié performance Le contrôle de gestion est un système d’évaluation des responsabilités et des voies par lesquelles la rentabilité de l’entreprise peut être améliorée Amélioration de la rentabilité Évaluation des responsabilités Le contrôle de gestion a pour but de fournir aux organes de décisions de l’entreprise des informations permettant de : Connaître la situation de l’entreprise à un moment donné Réduire les incertitudes face à l’avenir Situer l’état réel par rapport aux objectifs Procéder à des corrections des réalisations nécessaires Votre allié performance S’assurer de la bonne gestion de l’établissement Évaluer les performances des centres de responsabilité Mettre à la disposition des responsables des informations pertinentes pour la prise de décision Le contrôle de gestion est le processus finalisé par lequel les managers obtiennent l’assurance et la pertinence que les ressources sont obtenues et utilisées de manière efficace et efficiente pour atteindre les résultats de l’organisation. Votre allié performance Objectifs Ressources (moyens) Votre allié performance Efficience Résultats Le contrôle de gestion est un processus en boucle (itératif) constitué de quatre étapes essentielles : La planification : au sens de fixation des objectifs et gestion prévisionnelle. (avant) La mise en œuvre ou réalisation. (pendant) Le suivi des réalisations. L’action corrective : on opère un retour sur l’amont pour rectifier les décisions et les actions entreprises. (après) PILOTER POSTEVALUER Décision Résultat Action Votre allié performance Cette définition insiste sur trois caractéristiques ou composantes essentielles du contrôle de gestion, en tant que maîtrise de la gestion par les opérationnels : Elle souligne que le contrôle de gestion n’est pas une action isolée mais qu’il s’agit d’un processus ; Elle rappelle le caractère finalisé de ce processus en mentionnant explicitement la notion d’objectifs ; enfin, elle met en valeur la dimension incitative du contrôle de gestion, sa relation étroite avec la motivation des responsables. Votre allié performance Synthèse : Le contrôle de Gestion ENSEMBLE DE DISPOSITIFS SUR LESQUELS S'APPUIENT LES MANAGERS POUR MAITRISER LE PROCESSUS STRATEGIE/ACTIONS/RESULTATS. CES DISPOSITIFS DOIVENT ETRE COHERENTS, STRUCTURES ET SYNCHRONISES Votre allié performance Le Contrôle de Gestion: Système de Pilotage Votre allié performance Le cycle de pilotage FIXATION DES OBJECTIFS Philosophie du système de pilotage CORRECTION DES ECARTS Votre allié performance MISE EN OEUVRE SUIVI DES INDICATEURS Processus du contrôle de gestion Planification stratégique Objectifs Moyens FINALISATION Plans opérationnels et budgets Suivi Contrôle budgétaire Bouclages et apprentissages Tableaux de bord Actions correctives Évaluation des performances Conséquences au plan de gestion ou stratégie Votre allié performance PILOTAGE POSTEVALUATION Actualiser Evaluer Concevoir Evaluation Stratégie Activité Gestion Processus Mettre en oeuvre Votre allié performance Moyens L’ Approche Systémique du Contrôle de Gestion Votre allié performance Pour certains acteurs, le contrôle de gestion est défini comme étant un système qui assure la coordination entre les sous-systèmes : Finalisation ; Organisation ; Information ; Motivation. Il est habituel de distinguer dans ce contrôle trois niveaux correspondant à des horizons temporels distincts : Votre allié performance Contrôle stratégique DG Contrôle des programmes d’action Directions Opérationnelles Contrôle d’exécution Niveau exécutoire Votre allié performance Contrôle stratégique • Concerne les dirigeants Contrôle de Gestion • Pour les cadres & les responsables Contrôle opérationnel ou d’exécution Votre allié performance • Suivi quotidien à court terme La fonction contrôle de gestion dans l’entreprise Votre allié performance Mission du contrôle de gestion Mise en œuvre d’un système de pilotage Planification stratégique et opérationnelle Élaboration des budgets Élaboration des système de reporting de gestion Mise en œuvre d’un système de contrôle des activités Analyse des écarts Contrôle des opérations : dépenses, stocks, immobilisations, etc Mise en œuvre d’un système d’évaluation des performances Élaboration des tableaux de bord Analyse de rentabilité des activités Analyse des rendements des moyens Votre allié performance Structure d’organisation Rattachement de la fonction CG PDG/DG DAF Organisation du Service CG Selon la taille de l’établissement Selon la structure de l’établissement Selon le secteur d’activités Votre allié performance Role et profil du Contrôleur de Gestion manager Votre allié performance Le nouveau Contrôle de Gestion est basé sur le triplet "ANTICIPER, PILOTER, AGIR", ce qui a des conséquences directes sur son exercice, et donc sur les compétences à développer. Votre allié performance Un nouveau métier et d'autres responsabilités Anticiper et alerter Un des apports fondamentaux de la fonction Contrôle de Gestion est de repérer les ruptures et de déceler les signes annonciateurs de dérive Le rôle du Contrôleur de Gestion est donc d'alerter à temps et de favoriser l'adoption de mesures correctrices Le poids que doit donc prendre le Contrôleur de Gestion dans le management implique qu'il dispose d'un capital de confiance qui se gagnera notamment par des talents de pédagogue et d'homme de conviction Veiller à la bonne tenue du cap Il revient au Contrôleur de Gestion de valoriser les écarts de trajectoire et de les expliquer Les explications des écarts seront d'autant plus pertinentes que le Contrôleur de Gestion aura une bonne connaissance des métiers Votre allié performance Garantir la qualité de l'information La maîtrise de l'information est devenue un enjeu majeur. En revanche, l'abondance des données disponibles et la difficulté de les contrôler, de les synthétiser et de les structurer compliquent la tâche du Contrôleur de Gestion Le Contrôleur de Gestion s'assurera donc de la mise en place et de la bonne utilisation du système d'information de gestion Etre un conseiller permanent Son positionnement au carrefour de métiers et de compétences désigne le contrôleur de gestion comme générateur d'avis et d'opinions Il doit donc suggérer des schémas d'amélioration, par exemple en vue d'une réduction des coûts, et les étayer par des simulations réalistes, facilitant la prise de décisions Etre un homme d'action Il met en place les indicateurs et les instruments de mesure des actions engagées Il imagine des solutions originales contribuant à améliorer la performance Votre allié performance Un bagage technique plus diversifié Développer sa connaissance des outils du Contrôle de Gestion, en se tenant informé des évolutions et tendances de la fonction (le benchmarking, la méthode ABC par exemple, les méthodes d'analyse des coûts)) Renforcer sa connaissance des métiers, en se rapprochant du terrain. Ceci permettra au Contrôleur de Gestion d'être plus pertinent dans ses analyses, mais aussi de "se vendre" en interne et de diffuser la culture de gestion à tous les niveaux Maîtriser les outils informatiques du Contrôle de Gestion, car le Contrôle de Gestion assure souvent la gestion des systèmes d'information de gestion Le profil du Contrôleur de Gestion devient de plus en plus opérationnel. Il est donc important de prévoir un plan de formation assurant à la fois le développement des connaissances "théoriques" et de la réalité du terrain Votre allié performance Des qualités d'homme d'ouverture et de communication Le Contrôleur de Gestion se doit avant tout d'être un homme d'ouverture et d'écoute Il doit également être un organisateur pointu, homme orchestre et animateur d'équipe Il saura aussi être modérateur et apte à "dégonfler" les éventuels conflits en proposant des arrangements "gagnant-gagnant" Il est imaginatif et créatif. Il doit éviter de s'appuyer sur la seule exploitation du passé. Il doit "imaginer" le futur grâce à : un sens aigu de l'anticipation l'exploitation des données Il dispose d'une compétence technique liée à sa formation et à son expérience Au delà de cette compétence, il doit être capable de la partager et de communiquer auprès de ses collaborateurs. Il doit être en mesure d'accompagner quotidiennement son équipe sur le plan de la pédagogie, de l'animation et de la formation Ce rôle de manager devient aujourd'hui primordial dans la fonction de contrôle de gestion Votre allié performance Des qualités d'homme d'ouverture et de communication Ce nouveau comportement suppose un sens aigu de la communication : Savoir communiquer ses convictions Savoir expliquer les chiffres Savoir commenter les situations de manière synthétique Savoir intéresser ses partenaires Savoir prouver au quotidien la valeur ajoutée du contrôle de gestion Le Contrôleur de Gestion est celui qui installe la culture de gestion auprès des responsables opérationnels et qui fait prendre conscience des nouveaux enjeux auxquels la société se trouve confrontée. Il est également un des vecteurs majeurs de la conduite du changement induit par l'évolution des systèmes de gestion Votre allié performance … le CDG aide, en effet, les managers à comprendre l’avenir et à agir en conséquence Dans cet environnement, le rôle du contrôle de gestion est multiple Responsabiliser Planifier • Sensibiliser les opérationnels aux préoccupations de gestion • Connaître l ’environnement et anticiper les évolutions • Traduire les objectifs stratégiques en termes économiques Mesurer • Définir les modalités de suivi • Mesurer les performances et s ’assurer de la mise en pratique des orientations stratégiques Votre allié performance Contrôleur de Gestion • Définir des actions dont les acteurs ont la maîtrise et allouer les moyens correspondants Animer • Garantir l’adéquation entre les processus de gestion et une organisation toujours changeante • Mettre à disposition des outils de pilotage Les outils du Contrôle de Gestion Votre allié performance Les outils du Contrôle de Gestion Un Système d’information de gestion ; Un Système Budgétaire ; Une comptabilité analytique ; Votre allié performance Un Système d’Information de Gestion (SIG) : Définition C’est un système mis en place pour répondre à l’ensemble des impératifs d’information de l’établissement, il doit garantir la fiabilité, la cohérence, la rapidité et la souplesse d’accès et de diffusion de l’information. Votre allié performance Un Système d’Information de Gestion : Finalité Faciliter la prise de décision ; Maîtriser les marges et orienter les décisions ; Maîtriser les coûts et les performances des activités ; Contrôler la mise en œuvre de la stratégie Instaurer un langage commun Votre allié performance Un système budgétaire : cinq phases Définition des objectifs ; Étude des hypothèses et des politiques à mettre en œuvre ; Simulation budgétaire par le contrôle de gestion ; Élaboration par les opérationnels des plans d’action et proposition des budgets ; Approbation par la Direction générale des budgets définitifs ; Votre allié performance Un système budgétaire Définition des objectifs Objectifs commerciaux Chiffre d’affaires Volume des ventes Objectifs financiers Rentabilité des capitaux investis ; L’estimation des objectifs est fixée par référence au dispositif productif de l’établissement : Soit à partir du plan stratégique Soit en se basant sur les derniers résultats connus de l’établissement. Votre allié performance Un système budgétaire Études des hypothèses et politiques à mettre en œuvre Évolution de l’environnement Croissance économique du pays Croissance du secteur Taux d’inflation Taux d’intérêt Formulation des politiques Politique commerciale Politique de sous-traitance Politique d’embauche Politique salariale Politique financière Votre allié performance Un système budgétaire Simulation budgétaire Estimation des valeurs les plus probantes des principaux paramètres qui déterminent le résultat : Niveau d’activité ; Évolution des prix de vente ; Évolution des salaires et charges sociales ; Les charges financières, remboursement d’emprunts Élaboration de la simulation par le jeu des scénarios ; Choix d’un pré-budget. Votre allié performance Un système budgétaire Élaboration par les opérationnels Les centres de responsabilité feront aussi une analyse de type «pré-budget » ; Chacun d’eux définira un plan d’action pour atteindre les objectifs spécifiques ; Sur la base du plan d’action, le budget doit être élaboré ; Études et évaluation des plans et budgets par la hiérarchie supérieure Votre allié performance Un système budgétaire Approbation par la DG des budgets définitifs Arbitre les contraintes budgétaires entre les différents centres ; Approuve ou renvoi à la révision certains budgets de centres Examine la cohérence entre les différents budgets ; Veille à l’équilibre financier global et mesure l’allocation des ressources En comité budgétaire, la DG arrête les budgets définitifs. Votre allié performance La comptabilité analytique Objectifs Déterminer les marges (résultat analytique) par activités et produits; Suivi et maîtrise des coûts engagés par les centres de responsabilités. Calculer les coûts et prix de revient des biens et services ; Caractéristiques S’adapter à la structure organique et aux activités de l’entreprise ; Effectuer un découpage de l’entreprise par centre de responsabilité ; Utiliser les données financières, techniques et logistiques liées au cycle d’exploitation. Mettre en place un système d’informations rapide et efficace facilitant le pilotage des centres de responsabilité. Votre allié performance La comptabilité analytique Mise en place dans l’établissement Découpage analytique de l’entreprise en centres de responsabilité ; Mise en place des procédures de traitement des données ; La conception des états de synthèse répondant au besoin en informations de gestion. Clés de succès Maîtrise des cycles de production et de commercialisation ; Analyse des principales fonctions et activités de l’entreprise ; L’Utilisation d’un système d’information performant ; La mise en place des procédures souples et efficaces. Votre allié performance La comptabilité analytique Critères Comptabilité générale Comptabilité analytique Finalité Légale Managériale Règles Légales et rigides Souples et adaptées Charges Nature Destination Périodicité Annuelle plus fréquente : mois Informations Financières Economiques, physiques Résultats Activité, produit Global Indicateurs Comptables, financiers Gestion, décision Destinataires externe Votre allié performance interne Découpage de l’entreprise en centres d’ analyse ou centres de responsabilités Votre allié performance Le découpage de l’établissement en centres d’analyse est intimement lié à la détermination des coûts. Les centres ainsi constitués doivent posséder une homogénéité garante de la pertinence des calculs de coût de revient. La démarche budgétaire consiste, à ce propos, à bien gérer les budgets dans le sens de la maîtrise des dépenses et des coûts dans des proportions requises. Votre allié performance Par conséquent, les responsables des centres d’analyses doivent raisonner et se comporter en tant que gestionnaires, assurant pleinement leur responsabilité en matière d’engagement opportun et pertinent des dépenses. Votre allié performance Définition et principes de mise en place Un centre de responsabilité peut-être défini comme un sousensemble de l’entreprise, correspondant à la structure, « au découpage » défini par celle-ci et : Possédant une délégation réelle d’autorité, assortie de moyens humains, financiers, matériels, etc. ; Pour atteindre des objectifs quantifiés et datés ; Dont on procède à un suivi périodique à travers un contrôle budgétaire, un reporting, des rapports spécifiques. En contrôle de gestion le principal problème concerne la fixation des prix de cession interne Votre allié performance Des ressources négociées Un territoire reconnu et un ..fixés sur un horizon cohérent avec les ressources confiées pilotage délégué Un « contrat » qui engage chacun Votre allié performance Un engagement sur des objectifs... Fonctionnement d’un centre de responsabilité Politiques Ressources Processus Économie Résultats Efficacité Efficience Performances Sanctions « positives » et négatives Bouquin H. (2001), Le contrôle de gestion, PUF, p. 179. Votre allié performance Le découpage de l’activité de l’établissement en centres d’analyse Le critère de base qui préside au découpage de l’activité de l’entreprise est celui de cohérence de la mesure de l’utilisation des ressources du centre d’analyse. Aussi le découpage doit reposer sur une base solide car des modifications trop fréquentes perturbent le suivi des résultats. Votre allié performance On distingue deux logiques qui président au choix des centres : La logique du calcul qui veut faire de chaque centre une « section homogène » de part la ressource consommée (KWH Consommé, nombre d’heures machine, nombre de jour de travail, quantité de matière première consommées…) La logique de la responsabilité qui souhaite voir dans chaque centre un responsable des dépenses capable de les maîtriser. Votre allié performance Diversité des centres d’analyse ou de responsabilité Les Centres De Coût Il s’agit de maîtriser, voire comprimer les dépenses, en respectant les contraintes qui sont exprimées en terme de quantités, de qualité, de détail… La performance du responsable sera mesurée en comparant les coûts standards au coûts réels. Les Centres de recettes Le responsable doit respecter le budget des dépenses de fonctionnement qui lui est attribué. Quant à la performance du responsable, elle se mesure par le volume des ventes, donc par le chiffre d’affaires réalisé. Votre allié performance Les Centres de dépenses discrétionnaires : Pour les services fonctionnels dont la mission est d'aider une activité opérationnelle, un centre de coûts discrétionnaire est crée avec un budget fixé pour gérer au mieux l'opération. A la différence des centres de coûts, cette solution est utilisée quand il n'est pas possible de rattacher le service directement à un produit. Le contrôle du centre se fait alors sur la capacité à respecter une dotation budgétaire. Pour mesurer la performance de ce centre, on utilise les indicateurs suivants : coût total du centre, qualité du service en termes de taux de réclamation, etc. Votre allié performance Les centres de profit : Le responsable dispose d’une plus grande autonomie, il peut agir aussi bien sur les coûts que sur le chiffre d’affaires. Ce type de centre correspond à des entités de taille suffisante pour donner un sens à cette autonomie : filiale, ligne de produits, délégation, centre commercial… de la sorte que des centres de profit peuvent être implantés à des niveaux hiérarchiques plus bas que les précédents. Votre allié performance Les centres d’investissement : La définition de cet agrégat concerne en général les immobilisations... Le critère de performance de ces centres est le ratio des résultats obtenus rapportés aux capitaux investis durant la période. Votre allié performance Les centres de coûts : les centres de coûts productifs Type de fonctions Usines, Ateliers, Divisions de fabrication Caractéristiques Ils ont une relation directe avec le processus de « production » principal, Leurs coûts peuvent être estimés sans trop d’ambiguïté par rapport à un « volume de production » Objectifs Volume à produire; Niveau de qualité à respecter ou améliorer; Coût total à ne pas dépasser. Instruments de CDG et de performances associés Coûts standards; Budgets flexibles; Calcul et analyse d’écarts sur prix et rendement; Mesures de quantité et qualité produites. Votre allié performance Les centres de coûts: les centres de coûts discrétionnaires Type de fonctions Informatique, Ressources humaines, comptabilité – contrôle - finance, Juridique, Communication… Caractéristiques Coût total; Tâches ou activités à accomplir, récurrentes ou ponctuelles. Objectifs De service ou de support liés à l’existence de clients internes et/ou à leur cohérence avec la stratégie de l’entreprise. Instruments de CDG et de performances associés Budget; Suivi des coûts de fonctionnement. Votre allié performance Les centres de profit Le responsable doit répondre des produits d’exploitation et des coûts afférents à l’exploitation en question Type de fonctions Directions, Divisions, Succursales, Qui comportent à la fois de la fabrication et de la commercialisation ou de la commercialisation seule mais en situation d’autonomie pour gérer les produits, les marchés, les clients. Caractéristiques Ils correspondent au 1er niveau de réelles délégation et autonomie. Objectifs Toute forme de marge ou de résultat (résultat net, E.B.E., ….) le plus approprié par rapport aux éléments maîtrisés par le centre. Instruments de CDG et de performances associés Votre allié performance Compte de produits et de charges du centre de responsabilité; Contribution (marge); Coûts standards; Etc. Les centres d’investissement Ce sont des centres de profit dont le responsable décide également des investissements concernant son secteur Type de fonctions Département ou division filiale Caractéristiques Centres de profit maîtrisant de plus des actifs économiques. Objectifs Résultat; Capitaux propres. Instruments de CDG et de performances associés ROI (return on investment) = B/A = bénéfice/actifs employés = k% BR (bénéfice résiduel) = bénéfice – (k% * actifs employés) Votre allié performance Les centres de revenus Le titulaire a la responsabilité de la création de produits d’exploitation (C.A. ou volumes de vente) Type de fonctions Forces de vente peu autonomes (agence commerciale, service de vente, etc.) Caractéristiques Coût de fonctionnement établi à l’avance sans latitude de « jouer dessus »; Ne sont ni maîtres ni responsables de la rentabilité des produits (ni clients), mais doivent en conséquence vendre une proportion préétablie dans chaque catégorie. Objectifs Volume de vente; C.A. réalisé; Quotas clients ou produits; Parts de marché. Instruments de CDG et de performances associés Prix de vente; Performance en volume vendu ou C.A. réalisé, éventuellement complété par un mix clients ou un mix produits. Votre allié performance La Comptabilité Analytique de Gestion : Instrument privilégié du Contrôle de gestion Votre allié performance Les calculs de coûts La distinction de la nature des coûts : Coûts directs coûts indirects La distinction de l’impact des coûts : Les charges fixes Les charges variables La problématique organisationnelle Votre allié performance Direct/Indirect VS Fixe/Variable Direct Indirect Fixe Coût Coût Variable Coût Coût Votre allié performance Les différents services Services logistiques Services prestataires Indirect Indirect et direct Services opérationnels DIRECT Coût de production Votre allié performance LE COÛT COMPLET La méthode du réseau ou méthode des sections homogènes Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance auxiliaire principal Charges Indirect Indirect Direct Direct Direct Personnel Energie Fournitures Autres Total Total S/t S/t S/t Total Total Total Total Total Votre allié performance auxiliaire Charges Personnel Energie Fournitures Autres Total Adm 2000 Entret Atelier1 Atelier2 Distrib 1200 1200 Votre allié performance principal 6000 4000 1500 1000 700 300 850 250 100 7850 4950 1900 auxiliaire Charges Adm Total 0 principal Entret Atelier1 Atelier2 Distrib Unité d’ oeuvre 0 7850 4950 h/mach h/mach 1900 C.A. Nombre D’ U.O 1570 1485 19000 Coût de l’U.O 5 3,33 0,10 Votre allié performance CALCUL Pour le mois N Fabrication 1000 produits Consommation de matière 2 000 Heures de travail des sections directes 10 000 Heures machines atelier 1 1 850 Heures machines atelier 2 1 300 Chiffre d’affaires 25 000 Votre allié performance Calcul du Coût du produit Matière……………………. 2 000 MO directe………………. 10 000 Coût atelier 1…………….. 9 250 • 1850 x5 = 9250 Coût atelier 2……………. 4 329 • 1300 x3,33 = 4329 Coût de distribution…….. 2 500 • 25000X0,10 = 2500 –TOTAL…….. 28 079 Coût unitaire 28 079/ 1000 = 28,08 Votre allié performance Les critiques du coût complet L’arbitraire de la répartition des charges indirectes L’absence de lien de causalité Des décisions incertaines • La suppression d’un produit • L’externalisation d’une activité Le coût est une opinion Votre allié performance LES COÛTS PARTIELS La Méthode des coûts variables La méthode des coûts directs Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Le direct costing Le direct costing repose sur le principe des coûts variables « C’est le coût formé par les seules charges variant avec la quantité de produits à vendre » Votre allié performance Exposé de la méthode Les charges fixes sont considérées comme un tout indissociable, et donc seules les charges variables sont ventilées dans le calcul du produit Chiffre d’affaires -Coût variable = marges sur coût variable Votre allié performance Résultat analytique PRIX DE VENTE Charges fixes Charges Variables Votre allié performance Marge Sur coût variable Coût Variable Ou Direct cost Appréciation de la méthode Éléments essentiels de raisonnement à court terme Simplification des calculs Contrôle des charges Comparaison facilitée Mise en évidence des produits les plus rentables Permet de décider des stratégies de développement Votre allié performance Limites de la méthode Tous les produits ne consomment pas le même niveau de charges fixes Difficulté à séparer les charges fixes des charges variables Votre allié performance LE SEUIL DE RENTABILITE OU POINT MORT Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Définition Volume ou valeur des ventes à partir duquel (de laquelle) une activité est rentable. Au point mort le résultat est nul. Mesurer la contribution de différents produits au bénéfice. Votre allié performance La logique CA CV M/CV C.F. RESULTAT P1 P2 P3 SOMME 10000 7000 3000 12000 6000 6000 15000 8000 7000 37000 21000 16000 12000 4000 Votre allié performance Marge s/ coût Variable bénéfice perte Charges fixes Quantités Point mort Votre allié performance Hypothèse de calcul Prix de vente unitaire du produit Charges variables 90 Charges fixes 120 000 Votre allié performance 120 Point mort Prix de vente 120 Coût variable 90 = marge sur coût variable 30 S.R = CF / M s CV 120000/ 30 = 4000 unités Votre allié performance Exemples L’entreprise vend un produit 120 DHS Les charges variables de production sont de 70DHS. Les charges fixes supportées par l’entreprise sont de 500 000DHS. Quel est le seuil de rentabilité ? Votre allié performance Corrigé CA………………….. 120 CV…………………. 70 Marge/CV……….. 50 Charges Fixes….. 500 000 SR 500 000/50 = 10 000 unités Votre allié performance CAS N°2 L’entreprise fabrique 3 produits P1 PV 110 cv 50 prod maxi 8 000 P2 PV 150 cv 60 prod maxi 5 000 P3 PV 300 cv 280 prod maxi 250 000 Les charges fixes s’élèvent à 1 000 000 Quel est le seuil de rentabilité ? Quelle est la production qui optimise le résultat ? Votre allié performance Corrigé P1 PV 110 Coût variable 50 M/CV unitaire 60 Production maximale 8 000 M/CV Totale Max 480 000 Coût fixe Proportion 3% Marge proportionelle 30 418 SR en Qté 507 Votre allié performance P2 P3 150 300 60 280 90 20 5 000 250 000 450 000 5 000 000 2% 19 011 211 Total 263 000 1 000 000 95% 100% 950 570 1 000 000 47 529 LES COÛTS DIRECTS La problématique est celle des charges communes à l’entreprise que ces charges soient fixes ou variables. Le coût direct est composé des CF et des CV qui sont directement affectable au domaine concerné. Ce calcul permet de mesurer la contribution des différents produits à la couverture des charges communes. Votre allié performance APPRECIATION DE LA METHODE Cette méthode permet d’éviter des travaux de répartition longs et toujours contestables. Elle doit être appliquée avec pragmatisme au regard de l’interprétation du caractère direct ou indirect de la charge. Votre allié performance LE COÛT MARGINAL Il se définit comme l’accroissement de coût qui résulte de la fabrication et/ou de la vente d’une unité supplémentaire de bien ou service. Il est égal à la différence entre le coût total correspondant à n+1 produits et celui correspondant à n produits. Votre allié performance LE COÛT MARGINAL Le coût marginal comprend : • Les charges variables de l’unité fabriquée • La totalité des charges fixes permettant de réaliser la fabrication ou la prestation de cette unité Cette méthode est destinée à maximiser le résultat de l’entreprise Votre allié performance EXEMPLE Une entreprise réalise des séries de 100 unités dont les coûts se présentent selon le tableau ci après. Votre allié performance nombre séries Coût total 10 C.F Totales C moy série C.V moy Cmargin série série 1100 800 300 110 80 11 1190 890 300 108,2 80,9 90 12 1280 980 300 106,6 81,6 90 15 1600 1260 340 106,6 84 320 Votre allié performance C.V Totales ETUDE DE CAS Une entreprise de restauration collective est équipée d’une cuisine centrale dont la capacité est de 400 000 repas correspondant à un coût fixe de 2 600 000 DHS Les coûts variables de production sont de 12 DHS par repas et le prix de vente du repas est de 20 DHS. Les clients actuels de cette entreprise achètent 340 000 repas. La société est confrontée à la demande d’une autre entreprise qui propose d’acheter 200 000 repas. Cependant pour répondre à cette demande, l’entreprise doit investir dans une nouvelle unité pour 1 800 000DHS. Au prix actuel doit-elle répondre favorablement ? Quel est le coût marginal et quand est-il calculé ? A quel prix de repas peut-elle accepter ce nouveau client ? Votre allié performance Corrigé Résultat avant : [(20-12) * 340 000] – 2 600 000 = 120 000 Résultat avec le nouveau client : [(20-12) * 540 000] – 4 400 000 = - 80 000 L’entreprise ne peut appliquer le même prix de vente actuel Votre allié performance Corrigé : Coût marginal Avant Après CV 4 080 000 6 480 000 CF 2 600 000 4 400 000,00 Coût total 6 680 000 10 880 000 Coût marginal 4 200 000 Votre allié performance Corrigé : Coût supplémentaire Ancienne marge SR Total Nb Nouv repas Prix Supp Votre allié performance 120 000 80 000 200 000 200 000 1 MAD LES COUTS STANDARDS Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Le coût standard Le système des coûts standards est une application cohérente de la démarche prévisionnelle qui prépare et facilite l’élaboration des budgets, point de passage obligé de la prévision du résultat de la période. Le coût standard est, donc un coût prévisionnel établi à partir d’une étude technique. Votre allié performance Description de la méthode des coûts standards Il s’agit de déterminer des quantités de matières premières, matières consommables, heures de main d’œuvre, services divers… qui entrent dans la fabrication d’un produit. Ainsi présentés, les coûts standards apparaissent liés à l’organisation du travail qui découpe en tâches élémentaires le processus de production. Pour calculer un coût, il ne suffit pas de déterminer des quantités de ressources nécessaires : il faut les valoriser grâce à l’obtention des prix unitaires de ces ressources. Votre allié performance Les buts de la méthode des couts standards Comme toute méthode de contrôle de gestion largement appliquée dans les entreprises, les coûts standards répondent à plusieurs préoccupations : Favoriser la gestion prévisionnelle et la pertinence des budgets ; Mesurer les performances des producteurs et encourager les gains en rendement ou en productivité ; Votre allié performance Le prix de cession interne Votre allié performance Le prix de cession interne Pour pouvoir établir des comptes de résultat propres à chaque centre d’activités qui enregistrent les échanges de biens et de services entre eux, il est nécessaire de mettre en place une facturation interne, rendant possible l’évaluation par chaque centre de ses charges et ses produits. Cette facturation interne impose la définition de prix de cession interne. Dans une prestation entre deux centres d’activités, le prix de cession sera un produit pour le cédant, une charge pour le centre acquéreur. Votre allié performance Le prix de cession interne Aussi, la mesure de la performance de chaque centre dépend de ce prix de cession interne. Ces prix doivent jouer pour le responsable du centre le même rôle que les prix du marché jouent s’il s’adresse à l’extérieur, c'est-à-dire l’aider à optimiser ses décisions en faisant appel au calcul de rentabilité. Votre allié performance La gestion des stocks Votre allié performance Introduction Définition : La gestion des stocks consiste à planifier, organiser, diriger et contrôler les activités relatives à tous les stocks de matières gardés dans l’entreprise. Fonctions de l’entreprise La gestion des stocks touche à trois fonctions de l’entreprise qui poursuivent des objectifs différents. 1. Fonction marketing 2. Fonction production 3. Fonction finance Votre allié performance Introduction (suite) La fonction marketing cherche à obtenir le maximum de produits finis en stock pour servir rapidement la clientèle. La fonction production cherche à produire en grande série afin de profiter des économies d’échelle. Enfin, la fonction finance vise à réduire au minimum le niveau de tous les stocks et en accélérer la rotation. Votre allié performance Les types de stocks On recense quatre types de stocks 1. 2. 3. 4. Stocks Stocks Stocks Stocks de matières premières de produits en cours de produits finis entretien-réparation-opération Votre allié performance Les types de stocks (suite) Le stock de matières premières représente les principales matières nécessaires aux opérations de transformation de l’entreprise. Le stock de produits en cours est constitué des matières premières ayant subi quelques étapes de transformation et de production. Votre allié performance Les types de stocks (fin) Le stock de produits finis représente les quantités de produits prêts à être livrés aux clients. Le stock entretien-réparation-opération est constitué des produits nécessaires à l’entretien de l’équipement et des lieux de travail, aux réparations des machines et aux opérations. Votre allié performance Nouvelle approche du Contrôle de Gestion Votre allié performance A quoi sert une comptabilité de Gestion? La gestion opérationnelle des coûts, notamment la réduction des coûts, le benchmarking sur les coûts, l’identification et l’évaluation des coûts de non qualité… Le pilotage stratégique des coûts de revient et des marges des produits, notamment la fixation des prix de vente… Le pilotage des centres de responsabilité: gestion budgétaire, comptes d’exploitation analytiques… Votre allié performance La gestion opérationnelle des coûts Le pilotage stratégiques des coûts de revient et des marges - La réduction des coûts, - Le benchmarking sur les coûts, - L’identification des coûts de non qualité Votre allié performance La fixation des prix de revient Le pilotage des centres de responsabilité - Comptes d’exploitation analytiques, - Gestion budgétaire, Toute dépense est rattachée à trois types d’objets: Quelle ressource? Dépense QUI? En faisant quoi? Votre allié performance Nature Centre de responsabilité Activité Constat : Les insuffisances de la CA 1- Le reversement de la pyramide des coûts 20 ans avant: Coûts directs: 90% Coûts indirects: 10% A l’heure actuelle: Coûts directs: 90% Coûts indirects: 10% 2- Les coûts de main- La CA porte son attention à 75% sur la MOD, d’œuvre qui représente en fait que 10% des coûts totaux, alors que la matière en constitue 55% et la structure 35% 3- Les coûts de production La CA ne s’intéresse qu’à la phase de production. Or 70 à 90% des coûts actuels sont des coûts de conception, de maintenance et de services liés au produit. Votre allié performance La comptabilité analytique selon le couple: - ABC (Activity Based Costing) -ABM (Activity Based Management) Votre allié performance Fondements Le principal ingrédient consiste à placer L’activité entre les centres de responsabilité et les objets de coût (produits, services, etc.) C’est cette chaine d’activités (allusion à la chaine de valeur de Porter) qui permet à l’entreprise d’être performante et de générer de la valeur. Votre allié performance Fondements Plusieurs concepts nouveaux apparaissent dans cette nouvelle méthode et doivent être explicitées : L’ACTIVITÉ LE PROCESSUS L’INDUCTEUR LA CAUSALITÉ Votre allié performance Logique de la méthode Les produits (objets de coûts) consomment des activités qui consomment des ressources. Votre allié performance Schéma Analytique Activité Ressources Prestations ou produits ex : RH, immobilier, machines, capitaux... ex : une voiture vendue, un impôt recouvré….. Votre allié performance Tâche, Activité et processus Processus Activité Tâche Votre allié performance Tâche, Activité et processus Chaque section, fonction ou service, est divisée en plusieurs activités afin de déterminer les causes de la consommation des ressources par ces activités. Ces causes sont nommées «inducteurs d’activités» qui sont les facteurs qui déclenchent les activités, ils sont responsables de leurs coûts. Votre allié performance L’inducteur • C’est une forme de raisonnement qui consiste à trouver une règle générale qui pourrait rendre compte de la conséquence • Remplace l’unité d’œuvre • Traduit une causalité dans la consommation des ressources là où les unités d’œuvre n’étaient que des corrélations. Votre allié performance L’inducteur : 2 Types • Inducteur d’activité (activity drivers) : Il mesure les ressources consommées par l’activité et de qualifier la cause apparente qui relie les coûts aux produits • Inducteur de coût (cost drivers) : est la loi qui détermine le niveau des coûts à travers l’organisation de l’activité. Ex : Nombre de composants, nombre de références, nombre de clients, nombre de lots ou de séries, heure de main d’œuvre, etc… Votre allié performance Les 5 étapes de mise en place Etape 1: L’identification des activités: Déterminer les processus en identifiant les activités. Etape 2: L’affectation des ressources aux activités : Affectation de toutes les charges aux différentes activités qui représentent les ressources de fonctionnement de l'activité. Etape 3 : Le choix des inducteurs: Le contrôleur de gestion choisit alors un indicateur de performance pour chaque activité. Il s’agit de rechercher les facteurs expliquant le mieux les consommations de ressources (charges). La nature de l’inducteur dépend du lien de causalité entre l’activité (ou les activités regroupées) et le volume de l’inducteur. Votre allié performance Les 5 étapes de mise en place Etape 4 : Regroupement des activités et le calcul des coûts unitaires des inducteurs : L’existence d’inducteurs communs aux activités permet le regroupement des activités. Les coûts unitaires des inducteurs sont calculés par le rapport : Volume des ressources / volume de l’inducteur Etape 5: La a détermination des coûts de revient complets à base d’activités : Les coûts de revient complets par la méthode des coûts à base d’activités s’obtiennent en incorporant les charges directes et les charges indirectes des centres de regroupement imputées aux coûts au prorata des inducteurs utilisés. Votre allié performance Le passage méthode traditionnelle à la méthode ABC Votre allié performance Exemple Votre allié performance L’ABM : Nouvelle Approche de Management de l’ Entreprise Votre allié performance Définition La méthode ABM analyse les différents coûts résultants de la méthode ABC afin d'en déterminer les causes et mener ainsi les actions d’optimisation nécessaires. Les processus sont classés en activités principales, secondaires et répétitives elles-mêmes identifiées selon leur valeur ajoutée. L'ABC/M est utilisée entre autres comme aide décisionnel pour estimer l’opportunité d’externaliser ou de sous-traiter une activité ou une prestation. Elle permet également de réorganiser les processus métiers (Reengineering). Votre allié performance Les étapes 1. L’analyse, l’évaluation et l’optimisation des processus 2. PROCESS REEGINEERING 3. La mise en place d’une démarche qualité 4. La mise en place d’ une structure : just on time 5. Management de Performance Retour sommaire Votreauallié performance Process Reengineering Remise en cause fondamentale et redéfinition radicale des processus opérationnels pour obtenir des gains spectaculaires dans les performances critiques que sont les coûts, la qualité, le service et la rapidité. Votre allié performance TQM : Total Quality Management Programmes portant sur toute l'entreprise, destinés à donner aux travailleurs et aux managers le pouvoir de résoudre les problèmes scientifiquement, tout en gardant l'œil sur l'amélioration constante de la satisfaction du client. Votre allié performance Définition de la performance Est performance dans l’entreprise tout ce qui, et seulement ce qui, contribue à atteindre les objectifs stratégiques . Votre allié performance Le sens de la performance Toujours plus loin Toujours plus vite Votre allié performance Toujours plus fort Toujours plus haut OBJECTIFS STRATEGIQUES PROCESSUS AU CROISEMENT : LES ENJEUX DE PERFORMANCE LA RECHERCHE DES LEVIERS D'ACTION ACTIONS DE PROGRES CONTINU LE SYSTEME DE CONTROLE Plans d'action Indicateurs de progression Indicateurs de résultat Votre allié performance ACTIONS DE TYPE PROJET Démarche et instruments de la gestion prévisionnelle Votre allié performance La gestion budgétaire : définition La gestion budgétaire n’est pas une opération purement comptable et opérationnelle, mais un outil d’aide à la décision stratégique (simulations) La gestion budgétaire concerne l’ensemble de l’organisation. En ce sens, elle est une discipline « transversale » et devient un outil de coordination des différentes fonctions L’implication d’un nombre élevé d’acteurs dans la planification budgétaire permet une adhésion au contexte financier, amis engendre aussi parfois des frustrations et des conflits. Votre allié performance La gestion budgétaire : définition Deux situations extrêmes à éviter : L’absence de budget ne permet pas d’anticiper les difficultés futures de l’entreprise L’ajustement en continu des budgets apporte peu de valeur ajoutée en regard de l’investissement qu’il requiert Votre allié performance Demarche et instruments de la gestion prévisionnelle Diagnostic de l’environnement Diagnostic de l’entreprise Buts de l’organisation PLAN STRATEGIQUE Stratégie a long terme Programme d’action et objectifs moyen terme PLAN OPERATIONNEL Plans d’actions et objectifs court terme BUDGET Que convient-il de faire ? Que peut-on faire ? Que veut-on faire ? Qu’allons-nous faire ? Comment faisons-nous ? Actions Mesure des résultats Diffusion Analyse et interprétation (écarts) Actions correctives Votre allié performance REPORTING REPREVISION Faisons-le ! Surveillons l’évolution Le Plan Stratégique Lors de l’élaboration du Plan Stratégique l'entreprise se projette dans l'avenir et définit : ses objectifs d'entreprise, les produits et services qu'elle vendra à ses clients les scénarii possibles pour atteindre ses différents objectifs l’allocation optimale de ses ressources Le calendrier Les indicateurs de résultats Votre allié performance Le plan opérationnel Cycle d’anticipation plus court que le Plan Stratégique : 2 ans Articuler le long terme et le court terme Le diagnostic à court terme identifie : les actions à réaliser dans tous les domaines : commercial, production, finance, logistique… et sur tous les processus de l’entreprise les variables d’actions qu’il faut absolument maîtriser pour obtenir le positionnement stratégique voulu Votre allié performance Le plan opérationnel Le Plan Opérationnel est réalisé par les centres de responsabilités : Les opérationnels conçoivent les programmes d’actions Les niveaux hiérarchiques supérieurs évaluent leurs impacts prévus au cours des 2 années à venir, les besoins en investissements, les résultats financiers prévus... Votre allié performance Le Plan Opérationnel Lier objectifs long terme et actions court terme Définition des plans d'action : pour chaque levier d'action identifié, quelles seront les modalités précises de l'action à mener pour atteindre la cible (plan d'action) ? Choix et définition des indicateurs : pour suivre les plans d'action et mesurer les résultats obtenus, quels indicateurs de pilotage et quels indicateurs de résultats retiendra-t-on et comment les organisera-t-on en tableaux de bord ? Votre allié performance Le Plan Opérationnel Lier objectifs long terme et actions court terme Définition des plans d'action : pour chaque levier d'action identifié, quelles seront les modalités précises de l'action à mener pour atteindre la cible (plan d'action) ? Choix et définition des indicateurs : pour suivre les plans d'action et mesurer les résultats obtenus, quels indicateurs de pilotage et quels indicateurs de résultats retiendra-t-on et comment les organisera-t-on en tableaux de bord ? Votre allié performance Le Budget Les enjeux du budget Au niveau de la direction générale : programmer une étape dans la poursuite des objectifs stratégiques ; favoriser la diffusion des objectifs de l’entreprise ; allouer les moyens nécessaires pour chaque niveau Au niveau des opérationnels : Dans un cadre de réflexion systématisée replacer sa gestion quotidienne dans sa dimension stratégique ; s’engager sur des objectifs annuels en cohérence avec ceux des autres fonctions de l’entreprise Votre allié performance Le Budget : Un engagement Le budget doit être l’engagement des opérationnels sur un résultat sur la base des ressources allouées. Le budget est souvent considéré à tort comme: autorisation de dépenses, reconduction du passé, objectifs sans allocation de moyens. Votre allié performance Le Budget Construction des budgets détaillés Certains budgets sont structurants (conditionnent d’autres budgets) et doivent donc être élaborés en priorité. C’est le cas des budgets suivants : budget des ventes (détermine tous les budgets liés à l’activité : frais de transport sur ventes, emballages, achats…) ; budget des effectifs (conditionne le budget des frais de personnel); budget des investissements Budget des ventes Budget des effectifs Budget de production Budget des frais généraux et amortissements Budget d’approvisionnement Budget d’investissements Budget de trésorerie Votre allié performance Budget de trésorerie/ CPC /bilan Le Budget validation du budget définitif Les budgets détaillés sont analysés et consolidés au niveau fonctionnel par le contrôle de gestion central Le budget définitif est diffusé pour validation auprès des opérationnels Si des modifications doivent être apportées, une nouvelle proposition budgétaire sera alors transmise et soumise à approbation. Le budget est ainsi une procédure itérative. Votre allié performance Le Budget validation du budget définitif Il est important que le budget soit accepté par TOUS les opérationnels et TOUS les responsables budgétaires. Un budget non accepté est un mauvais budget dans lequel personne ne se reconnaît et ne se donnera les moyens de l’atteindre. Le budget risque de passer du « budget proposé » au « budget imposé La motivation des opérationnels devient alors un véritable enjeu Votre allié performance Le suivi des réalisations L’évolution des paramètres internes et externes à l’Entreprise modifient immanquablement sa trajectoire vers l’atteinte de ses objectifs Au cours de l’exercice, l’évolution non attendue de l’un de ces paramètres, hypothèses budgétaires, conduit à ré-envisager la façon d’atteindre l’objectif retenu Votre allié performance Le suivi des réalisations La re-prévision est le résultat d’une réflexion effectuée dans un laps de temps court par l’ensemble des fonctions et entités de l’Entreprise La re-prévision est basée sur les dérives constatées ou prévues pour la fin de l’exercice afin de respecter l’objectif annuel (analyse des écarts) les actions correctrices à engager Votre allié performance Le suivi des réalisations La démarche Les processus budgétaire et de reprévision relèvent de la même ambition PREVISION Diagnostic Constat BUDGET Anticipation RE-ESTIMATION La prévision, comme la ré-estimation, détermine le résultat que doit atteindre l’Entreprise avec les données constatées à l’instant donné, sans les remettre en cause Votre allié performance Détermination d’objectifs Plans d’actions REPREVISION Le budget définit la cible à atteindre. La reprévision met en lumière les actions correctrices à mener pour respecter l’engagement du budget. Le suivi des réalisations La démarche Cible Cible Reprévision Budget Prévision Ré-estimation Définir - ou redéfinir - la trajectoire conduisant à la cible objectif Votre allié performance Le suivi des réalisations La démarche De la même façon que pour le budget, l’opérationnel est au cœur du processus de re prévisions Les reprévisions des indicateurs physiques sont définies par l’opérationnel (sur proposition éventuelle du responsable de gestion) Le responsable de gestion en propose une valorisation économique, nouvelles valeurs des indicateurs financiers L’opérationnel valide les reprévisions des indicateurs physiques et financiers Le contrôleur de gestion est la « conscience économique » de l’opérationnel Votre allié performance Approche de mise en place des budgets des principales fonctions de l’Entreprise Votre allié performance Le budget : Définition Le budget est la traduction financière des plans d’action Prévus en fonction des objectifs généraux et des moyens disponibles de l’entreprise ou l’organisation. La base annuelle est la plus fréquente mais un découpage plus fin (Mois – Trimestre) est souvent pratiqué. Le budget global est le résultat d’une agrégation de budgets partiels. Le découpage des budgets correspond aux structures de l’organisation (Département, fonction, produit, atelier, chantier…). Votre allié performance Objectifs du dispositif budgétaire Aider à la planification des opérations programmées dans l’année ; Coordonner les activités des différentes composantes de l’organisation et éviter les incohérences dans les décisions locales ; Communiquer les objectifs généraux à tous les responsables ; Votre allié performance Contrôler les activités en dégageant des écarts entre prévision et réalisation ; Evaluer les performances des responsables. Le budget est donc un outil de : • Coordination et de communication ; • Gestion prévisionnelle ; • Délégation et motivation. Votre allié performance Le budget des ventes C’est le budget pivot dont dépendent les autres budgets. Le budget des ventes va récapituler les prévisions relatives au produit des ventes et aux coûts spécifiques de la fonction commerciale (publicité, transports, rémunération des représentants et autres intermédiaires….) Votre allié performance Le budget des ventes objectifs assignés Déterminer la nature et la qualité de ce que l’on veut vendre. Définir la cible à atteindre et le calendrier. Mettre en place des moyens et des méthodes pour vendre. Fixer les prix et les modalités de vente pour valoriser le budget. Votre allié performance Le budget des ventes collecte des données Au niveau interne, des informations pertinentes peuvent être trouvées auprès : • du service commercial (évolution du C.A au cours des années précédentes, évolution de la stucture de la clientèle,…); • du service de production (évolution des quantités produites, évolution du coût de production,…); • du service comptable (comptabilité clients,…) Votre allié performance Au niveau externe, L’entreprise: • peut se procurer des informations auprès de certains organismes spécialisés (CMC , CCI, les sociétés privées d’études économiques,…); • doit s’informer sur l’intensité de la concurrence en identifiant ses concurrents, leurs points forts et faibles; • doit s’efforcer à avoir des informations sur le besoin et les aspirations des consommateurs (études de marché, enquête de satisfaction,…) Votre allié performance Le budget des ventes techniques de prévision des ventes La prévision des ventes consiste à déterminer les ventes futures : en quantités, en valeur. En tenant compte : des tendances et des contraintes imposées à l’entreprise, des décisions de politique générale de l’entreprise. Il en résulte l’établissement d’un C.A prévisionnel dépendant de la composition des ventes et des prix prévus. • • • • calcul du taux de croissance ajustement linéaire total mobile (CA glissant 12 mois) coefficients saisonniers Votre allié performance Le budget des ventes détermination du prix de vente Le prix de vente peut être déterminé par référence au coût de revient, prix de marché et le prix psychologique du consommateur ou imposé par voie réglementaire. Votre allié performance Le budget des ventes budgétisation des ventes La budgétisation des ventes doit être aussi fine que possible. Cela signifie que pour chaque produit il faut définir: La quantité à vendre pour chaque variante ou modèle. Par type de clientèle. Par zone géographique. Par point de vente. Par période. Par famille de produits Votre allié performance Le budget des ventes budgétisation des frais commerciaux Il s’agit d’un budget contenant toutes les charges inhérentes à l’opération de vente : • Salaires du personnel commercial (non proportionnelles) et Commissions (proportionnelles) • Charges de mercatique (non proportionnelles) – publicité – promotion – Parrainage, mécénat…. • Autres charges de distribution (par service) – Marketing : études, moyens/actions – Ventes : animation des équipes – Administration des ventes : fichiers clients, correspondance, tournées – Emballage / expédition – Service après-vente – Amortissement des véhicules de distribution Votre allié performance Exemple de budgétisation des frais de publicité Marketing communications – liste non exhaustive Relations avec la presse Conférences de presse Evénements (concerts) Foires Repas d’affaires (internes/externes) Voyages Sport (sponsoring, participation à des manifestations) Sponsoring Séminaires sur les produits de l’entreprise Concours/tombolas Spots TV Tarifs/ listes de prix Votre allié performance Telemarketing Création d’un site Web Catalogues promotionnels Publicité dans la presse quotidienne ou hebdomadaire générale Idem presse spécialisée Cocktails Support aux canaux de vente indirects/revendeurs Newsletters/magazines Brochures Création de CD’s Cadeaux d’entreprise Direct mailings Le budget de production Il va assurer la réalisation du programme des ventes. Il va recenser l’ensemble des prévisions de produits et de charges liés à l’activité de fabrication et aux activités connexes (entretien, achats, sous-traitance,….) Les trois phases: • L’ établissement du programme de fabrication des produits. • La détermination du niveau d’activité des unités de production. • La budgétisation proprement dite. Votre allié performance Le budget de production Etablissement du programme de fabrication des produits: recherche d’un optimum La solution proposée fait appel à un modèle linéaire pour l’optimisation ou recherche du meilleur programme de production compte tenu de contraintes données : Moyens matériels de production dont les possibilités d’extension sont étudiées dans le budget des investissements. Matières premières et matières consommables pour lesquelles l’entreprise peut être tributaire d’un marché. Main-d’œuvre disponible en tenant compte de la situation du marché du travail pour le personnel qualifié nécessaire. L’adaptation du nombre d’heures disponibles si l’on veut augmenter la capacité de production se fait par embauche ou par recours aux heures supplémentaires. Votre allié performance Le budget de production La budgétisation des charges de production Elle s’effectue sur la base du nombre prévisionnel d’unités d’oeuvres et en utilisant la notion de budget flexible. Chaque composante du budget de production comporte en général : Une partie fixe, indépendante du niveau prévisionnel d’activité (salaire mensuel d’un chef d’atelier ou d’un contremaitre, par exemple) Une partie variable, dépendant linéairement du niveau d’activité. Votre allié performance Le budget des approvisionnements En matière budgétaire, comme en matière d’économie d’entreprise, la notion d’approvisionnement recouvre à la fois la notion de stockage et la notion d’achat avec, pour cette dernière, tous ses aspects: commande, livraison, règlement. Votre allié performance Le budget des approvisionnements Le responsable du budget des approvisionnements doit veiller à établir un programme : permettant à tout moment d’éviter les ruptures de stock; n’entraînant pas une gestion des stocks trop onéreuse. Votre allié performance Le budget des approvisionnements L’objet de ce budget est donc double: Déterminer les quantités de produits, matières premières et autres fournitures nécessaires au programme de production. Une fois les quantités nécessaires déterminées pour l’exercice à venir, il restera la partie gestion des approvisionnements qui regroupe essentiellement deux fonctions: la fonction achats et la fonction stockage. Les éléments du budget: Le prix d’achat des produits Les dates d’achat ou de prise de commande Les quantités à acheter Les dates probables de livraison (entrées en stock) Les dates envisagées de ventes ou d’utilisation (sorties de stock) De plus : toutes dépenses entraînées par la constitution du stock ainsi que les conséquences de leur surabondance ou de leur insuffisance (analyse financière) Votre allié performance Le budget des centres administratifs Les différents types de centres + La direction générale Les services administratifs Les services comptables et financiers La direction des ressources humaines La direction informatique • • • • • • La réflexion stratégique et la planification Le contrôle de gestion L’audit interne La recherche et le développement Le service de contrôle de la qualité Le département d’études commerciales Votre allié performance Le budget des centres administratifs La tendance : reconduction de l’enveloppe budgétaire L’évolution : une approche par la valeur La perspective d’une réduction des frais généraux Votre allié performance Le budget des charges de personnel La maîtrise des frais de personnel répond à une triple demande d ’amélioration des processus de gestion et de contrôle : une meilleure anticipation des outils de simulation plus précis des systèmes d’information et de contrôle adaptés à un pilotage décentralisé des Ressources humaines La budgétisation des frais de personnel répond à ces préoccupations. Votre allié performance Le budget des charges de personnel La logique budgétaire, outils de pilotage, outils de simulation 1) La logique budgétaire Comment organiser l’évolution des rémunérations? Comment programmer les effectifs? Comment contrôler les frais de personnel par centre? Comment va évoluer la masse salariale? 2) Les budgets, outils de pilotage Budget de frais de personnel Rémunération et charges par individu Rémunération individuelle Suivi des temps de travail Coût maind’oeuvre Production Votre allié performance Calcul des coûts de main-d’œuvre : •par sous-unité •au niveau global Coûts des sous-unités Performance Masse salariale Le budget des investissements PROJET D’INVESTISSEMENT égale Demande de CAPITAUX PERMANENTS dont La limitation Nécessite de déterminer le « MONTANT » EXACT DE L’INVESTISSEMENT La non gratuité Nécessite de calculer la RENTABILITÉ DU PROJET pour s’assurer que RENTABILITÉ > au coût des capitaux Nécessite une PROCÉDURE DÉCISIONNELLE GLOBALE Votre allié performance Le budget des investissements Génération Évaluation •Coût •Rentabilité Présélection Budget des investissements Élimination Rejet ou report Approche globale: séquence des étapes de toute décision d’investissement Votre allié performance Le budget de trésorerie Il est bâti en dernier car il est la conséquence de l’ensemble des décisions prises dans chaque centre de responsabilité au niveau des : Volumes de ventes Conditions de paiement (clients, fournisseurs) Remises (clients, fournisseurs) Investissements Dépenses de recherche et de formation, etc. Ainsi que celles prises au niveau de la direction de l’entreprise: Investissements stratégiques, déménagement, négociation de contrats, etc. Votre allié performance Présentation du budget de trésorerie NATURE HORIZON PAS FREQUENCE NIVEAU D’ANALYSE BUDGET ANNUEL 1 AN MOIS 1 FOIS / AN + X REVISIONS BANQUE CUMUL 1 FOIS / MOIS BANQUE CUMUL MOIS OU QUINZAINE OU DECADE PREVISION MENSUELLE A 3 MOIS GLISSANTS 3 MOIS PREVISION A 1 MOIS (position au jour le jour) 1 MOIS JOUR TOUS LES JOURS BANQUE PAR BANQUE POSITIONS DE CHANGE ET DE TAUX 12 MOIS GLISSANTS MOIS TOUS LES JOURS DEVISE PAR DEVISE Votre allié performance Présentation du budget de trésorerie Modèle de budget de trésorerie Mois 1 Ventes encaissées Primes et subventions Produits financiers "= Encaissements exploitation (a) Emprunts Primes et subventions Autres "= Encaissements hors exploitation (b) TOTAL DES ENCAISSEMENTS (c=a+b) Achats comptant Achats par traite Autres achats et charges externes Impôts et taxes Salaires Charges sociales Intérêts d'emprunts Autres frais financiers "= Décaissements exploitation (d) Remboursement des emprunts TVA décaissée Investissements Prélèvements personnels "= Décaissements hors exploitation (e) TOTAL DES DECAISSEMENTS (f=d+e) Trésorerie début de mois (g) Mouvement mensuel (h=c-f) Trésorerie cumulée brute (j=g+h) Crédits de trésorerie Découvert Escompte Affacturage Autres (compte-courant d'associé) TRESORERIE CUMULEE NETTE Votre allié performance Mois 2 Mois 3 Totaux Le plan de trésorerie Objectifs De prévenir le risque d’illiquidité Le plan de trésorerie permet De négocier les financements à CT et à moindre coût Les déséquilibres apparaissant à l’intérieur d’une année peuvent mettre l’entreprise en difficulté de paiement Le budget de trésorerie est exigé par les établissements de crédit pour étudier une demande de financement à CT De prévoir Les excédents de trésorerie doivent être l’utilisation optimale placés en fonction des opportunités des excédents du marché de trésorerie Bilan et CPC prévisionnels servent D’établir bilan et de base à l’évaluation de la rentabilité CPC prévisionnels prévisionnelle Votre allié performance Le plan de trésorerie Démarche Première étape Budget de trésorerie ou plan de trésorerie Provisoire : constatation des encaissements et des décaissements sur une période donnée Votre allié performance Objectif trésorerie zéro ni excédents inemployés ni découverts trop coûteux Deuxième étape Plan de trésorerie : intégration des moyens de financement à CT Placements de trésorerie envisagés Le plan de trésorerie Ajustements Recherche de financements complémentaires Constatation d’une insuffisance de trésorerie temporaire Constatation d’un excédent de trésorerie Votre allié performance Mobilisation de créances nées sur l’étranger ou sur marchés publics Escompte commercial Crédits de trésorerie: crédit de campagne, facilités de caisse, découvert bancaire, … Émission de billets de trésorerie sur le marché monétaire Avances en comptes courants des associés ou administrateurs Recherche de placements de trésorerie : OPCVM Dépôts à terme, bons de caisse Souscription de titres de créances négociables sur le marché monétaire Le plan de trésorerie Rubriques 1 Encaissements d’exploitation Produits financiers courants 2 Encaissements hors exploitation 3 Total encaissements 4 Décaissements d’exploitation Charges financières courantes 5 Décaissements hors exploitation 6 Total décaissements 7 Solde encaissements/décaissements 8 Trésorerie début du mois 9 Trésorerie fin de mois 10 En-cours d’escompte 11 Autres crédits CT 12 En-cours placements 13 Disponibilités Votre allié performance J F M … D Le contrôle budgétaire Votre allié performance Le contrôle budgétaire est une méthode qui permet de comparer les résultats obtenus dans les états financiers (réel) avec les objectifs fixés dans les états prévisionnels (budget). Ainsi, il est possible de comprendre ce qui différencie les prévisions budgétaires des réalisations effectives. La constatation des écarts permet de « contrôler » (maîtriser) la gestion en ce qu’elle: Joue un rôle d’alerte. Déclenche l’analyse des causes des écarts. Appelle alors des actions correctives. Votre allié performance Le contrôle budgétaire et les relations humaines Nécessité d’une approche intégrée dont les bases sont autant techniques que psychosociologiques Choisir le système budgétaire approprié à l’organisation et aux besoins de l ’entreprise. Réaliser un effort systématique d’information adapté aux interlocuteurs et portant sur les objectifs, les politiques et les résultats de l’exploitation. Assurer la formation des collaborateurs en vue d’améliorer la compétence des cadres et des exécutants. Mettre sur pied, si besoin est, un système adéquat de rémunération et de promotion Votre allié performance Les motivations du personnel par la décentralisation et la délégation Quand il y a centralisation de la gestion, les objectifs des départements et des services sont imposés par la direction, les forces qui peuvent amener les responsables hiérarchiques à respecter les budgets annuels qui leur sont attribués sont du type: primes de budget, primes d’objectif. Ce contrôle budgétaire n’est qu’une « vérification » détaillée permettant à la direction de s’assurer que les informations normatives ont été données et qu’elles ont été exécutées. Votre allié performance Les différentes étapes du contrôle budgétaire Le contrôle avant l’action : le contrôle anticipatif est assuré au cours de la budgétisation. Budgétisation – Contrôle a priori Simulation Votre allié performance Les différentes étapes du contrôle budgétaire Le contrôle pendant l’action : type de contrôle placé au niveau même des opérations. proche du terrain Le contrôle action est : limité à l’action en cours continu Votre allié performance Les différentes étapes du contrôle budgétaire Le contrôle après l’action : contrôle a posteriori, consistant en une mesure des résultats et donc en une évaluation des performances. Étape aussi essentielle que les précédentes, elle constitue une phase d’analyse et de réflexion, qui permet notamment de: • Fournir aux responsables des unités de gestion les éléments du compte rendu de gestion qu’ils doivent établir à l’intention de l’autorité dont ils ont reçu délégation. • Mettre à jour les normes techniques et économiques. • Améliorer la fiabilité des prévisions pour l’avenir. • Permettre à l’autorité supérieure de corriger sa propre trajectoire à l’horizon de gestion qui est le sien. Votre allié performance Les conditions d’efficacité du contrôle budgétaire La continuité du contrôle : le système de contrôle doit être constamment en alerte. La rapidité d’obtention des résultats : le délai qui s’écoule entre la date de la mesure et celle de sa lecture par le gestionnaire responsable doit être suffisamment court pour que soient possibles la recherche de la cause de l’écart, d’une part et l’action corrective, d’autre part. La saisie des informations en comptabilité analytique : les consommations doivent être localisées et valorisées non pas au niveau des produits mais à celui des centres de responsabilité. La cohérence du plan budgétaire et du plan analytique : association des rubriques budgétaires aux rubriques comptables. Votre allié performance Les préalables techniques du contrôle budgétaire Construction du budget révisé Confrontation des réalisations avec le budget initial Permet de vérifier si les objectifs ont été atteints Contrôle d’efficacité Votre allié performance Les préalables techniques du contrôle budgétaire Construction du budget révisé Confrontation des réalisations avec le budget adapté Il s’agit de simuler a posteriori le fonctionnement normal de l’entreprise ou d’une partie de l’entreprise. Contrôle d’efficience Votre allié performance Les modalités du contrôle budgétaire Les étapes de l’analyse détaillée des écarts Le calcul des écarts L ’identification des causes L ’identification des responsables L’identification et l’analyse des scénarios de solution Le choix et la mise en place d’une solution Votre allié performance L’analyse des écarts Votre allié performance L’analyse des écarts Il existe 2 types d’écarts : • Les écarts sur charges directes • Les écarts sur charges indirectes ou écarts sur centres de travail. Votre allié performance Les écarts sur charges directes Ces écarts concernent : • La main d’œuvre directe • Les matières consommées Pour chaque domaine il se distingue en: • Ecart sur quantité ou sur temps • Ecart sur prix ou sur salaire Votre allié performance Les écarts Coût standard = Temps standard X Coût horaire standard Coût réel = temps réel X Coût horaire réel L’écart peut provenir du temps ou du coût horaire Comment valoriser l’écart sur temps ? Quel coût horaire ? Comment valoriser l’écart sur prix ? Quelle quantité ? Votre allié performance Les écarts matières Quantité standard 1400 Prix standard sur la période 50 Constaté sur la période : Consommation 1500 Prix observés 52 Votre allié performance Calcul des écarts Ecart global: [1400*50]-[1500*52]= 8000 Ecart sur quantité : [1500-1400]*50 = 5000 Ecart sur prix [52-50]*1500 = 3000 Votre allié performance 8000 Calcul des écarts Ecart global: [1400*50]-[1500*52]= 8000 Ecart sur quantité : [1500-1400]*52 = 5200 Ecart sur prix [52-50]*1400 = 2800 8000 Votre allié performance Les écarts sur charges indirectes La méthode des 4 écarts • • • • Ecart Ecart Ecart Ecart sur budget pour charges fixes sur budget pour charges variables de rendement de capacité Votre allié performance CAS PRATIQUE Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance ACTIVITE STANDARD Pour un centre de travail donné, l’activité Normale est fixée à : Production de 5000 pièces pour 2500 heures machine. Le standard retenu est de : Charges variables :……………… 9 Charges fixes :…………………… 16 Charges indirectes totales : … 25 Par heure machine Votre allié performance ACTVITE CONSTATEE Sur la période étudiée l’activité a été la suivante : Charges indirectes totales 42250 • Charges variables …. 15600 • Charges fixes ……….. 26650 Nombre de pièces produites 4500 Nombre d’heures machine 1950 Votre allié performance Calculs préalables Charges variables unitaires réelles : 15600/1950 = 8 Heures standard /production réelle: (2500/5000)*4500 = 2250 Charges indirectes standard par rapport à la production réelle (62500/5000)*4500=56250 Votre allié performance ECART GLOBAL Frais réels Frais standard correspondant à l’activité réelle (1950*8)+26650 42250 (2250*9)+(2250*16) 56250 Ecart global favorable - 14000 Votre allié performance Analyse des écarts Réel Standard Production (pièces) Heures machines Charges variables Indirectes (dhs/heure machine) Charges fixes Indirectes (dhs/heure machine) Total unitaire Charges Indirectes Votre allié performance 5 000 4 500 2 500 1 950 Standard Ecarts proportionnel -500 -550 9,00 8,00 15 600,00 20 250,00 -4 650,00 16,00 13,67 26 650,00 36 000,00 -9 350,00 25,00 21,67 42 250,00 56 250,00 -14 000,00 Ecart sur budget pour charges fixes En principe les charges fixes demeurent inchangées quel que soit le niveau de production. Dans cet exemple, les charges fixes ont été bien moins importantes que le standard. Un tel constat peut conduire à revoir le standard et a rechercher l’origine de l’économie de charges fixes. Votre allié performance Ecart de rendement Il permet de mesurer le niveau de productivité de la période au regard du standard. Il mesure l’efficience, c’est à-dire la comparaison entre les heures effectives et les heures standard correspondant à la production effective: Heures machines réalisées heures machines standard (proportionnel) Ecarts heures Votre allié performance Ecarts rendement 1 950 2 250 -300 L’interprétation des écarts Les écarts ne peuvent pas être interprétés sans une discussion avec le responsable du centre d’activité. Le contrôleur de gestion doit donc alerter le responsable pour discuter avec lui de l’origine de l’écart et des actions correctrices éventuelles qui peuvent être envisagées. Votre allié performance Les tableaux de bord de gestion Votre allié performance Votre allié performance Les tableaux de bord de gestion La nécessité de disposer d’un tableau de bord est inhérente au pilotage, que ce soit celui d’un avion, d’une voiture ou d’une entreprise. Dans toutes ces situations, il y a l’obligation de prendre rapidement des décisions correctrices en fonction de la situation extérieure et des capacités du véhicule. Votre allié performance Les informations rassemblées dans un tableau de bord doivent présenter un certain nombre de caractéristiques : • Ne donner que des informations indispensables ; • Pouvoir être consultées à tout moment ; • Etre interprétées sans ambiguïté par le décideur. Votre allié performance Dans un tableau de bord, il faut absolument mettre en évidence, d’une manière claire, les principales anomalies détectées (clignotants rouges), qui peuvent donner de précieuses indications au décideur. Les techniques modernes de visualisation par ordinateur, sont vivement recommandées. Votre allié performance Pour déterminer le contenu d’un tableau de bord, il faut respecter quelques principes : Le choix des indicateurs doit être effectué avec le concours des utilisateurs ; Il faut repérer soigneusement les indicateurs mesurant : • Les propres activités du décideur ; • Les activités des niveaux inférieurs qu’il contrôle ; • Les données essentielles de l’environnement… • Les indicateurs doivent être objectifs ou refléter le phénomène mesuré. Votre allié performance Caractéristiques par rapport aux outils comptables de suivi Outils comptables de suivi TBG Informations financières exclusivement Incluent des données non financières voire non quantifiées. Informations produites en interne exclusivement. Possibilité d’inclure des informations extérieures. Contenu “standard” pour tous les responsables. Contenu adapté aux différents responsables. Périodicité en général mensuelle ou annuelle. Périodicité en fonction des possibilités d’action des responsables. Beaucoup de données, outils détaillés et exhaustifs. Très peu de données, centrées sur les points pertinents, importants permettant d’agir. Longs à analyser. Rapide à lire, percutant. Votre allié performance Clarification de la mission et définition des objectifs Le TBG doit se calquer sur l’organisation choisie et existante de l’entreprise. Il doit concerner chacun des centres de responsabilité. Ne doit retenir que les critères essentiels. Doit favoriser une circulation de l’information de façon montante, descendante et transversale. Votre allié performance Les facteurs clefs de gestion Exemple Nous n’avons pas atteint notre objectif de C.A l’année N: pourquoi? Réponse: nous avons perdu un client important représentant 25% de notre activité. Pourquoi? Réponse : à plusieurs reprises, les délais de livraison n’ont pas été respectés. Votre allié performance EFFICACITÉ D’UN TABLEAU DE BORD Coût Utilité AMELIORATIONS CHIFFREES OBTENUES GRACE AUX DECISIONS Votre allié performance • SAISIE DES INFORMATIONS, TRAITEMENT,EDITION • TEMPS D’ANALYSE Critères de Choix des indicateurs de gestion Votre allié performance Le choix des indicateurs est guidé par une préoccupation simple : comment cerner de manière fiable, claire et prédictive l’évolution des facteurs clés de gestion? Pour un même facteur clé, plusieurs indicateurs sont généralement envisageables. Votre allié performance Choix des indicateurs les qualités requises d’un indicateur Clair et facile à obtenir et à interpréter. Fiable. Essayant de limiter les effets pervers. Mesurant au plus tôt. Partagé et cohérent d’un TBG à l’autre. Votre allié performance Ils mesurent les résultats produits par le centre de responsabilité: niveau d’activité, qualité, coûts, marge dégagée, etc. Ils peuvent être mesurés en valeur ou en volume. Votre allié performance Un exemple de tableau de bord mensuel de suivi du Budget des ventes Réalisation Montant % CA Prévisionnel montant écart P.M. année précédente CUMUL Montant % CA année précédente Sous-traitance Nbre d’heures techniques travaillées CA net/heure travaillée Effectifs Eléments financiers CA net/personne Coût commerciaux et administratifs Résultat d’exploitation Résultat financier Résultat courant Eléments qualitatifs Eléments de mesure d’activité Chiffre d’affaires Délai moyen de livraison % devis abouti Indice satisfaction ….. …… Remarque : Les éléments qualitatifs sont à apprécier en fonction de la nature de l’activité et des facteurs essentiels au succès de l’entreprise. Votre allié performance Approche budgétaire : conclusion Ainsi, les agents doivent être jugés à partir de l’étendue des tâches et des responsabilités qu’ils assument dans le court et le long terme. Tous doivent être des acteurs à part entière dans le processus des budgets et être motivés pour atteindre leurs objectifs budgétaires. Votre allié performance BALANCED SCORECARD (BSC) OU TABLEAU DE BORD PROSPECTIF Votre allié performance Le tableau de bord prospectif Definition du TBP TB: un ensemble de mesures organisées selon quatres axes (finances, clients, psus operationnels, apprentissage). Prospectif : les mesures sont directement liées à la vision et à la stratégies de l’entreprise Votre allié performance Le tableau de bord prospectif Les quatres axes de TBP Que faut il apporter Aux actionnaires ? Que devons nous apporter A nos clients? Clients Objectifs Mesures Resultats financiers Objectifs Mesures 22% Vision et stratégie En quoi devant nous exceller ? Processus interne Objectifs Mesures 22% 34% Apprentissage Objectifs Mesures 22% Quelles compétences et quelles Motivations devons nous développer ? Votre allié performance Le tableau de bord prospectif liens de cause à effet entre indicateurs finances clients opérations R.humaines Votre allié performance 4. les clients plus satisfaits vont entraîner des meilleurs résultats financiers ; 3. des méthodes et des processus améliorés vont augmenter la satisfaction des clients ; 2. des employés compétents et impliqués vont améliorés les méthodes et les processus ; 1. la compétence et la motivation du personnel sont Les fondements de l’innovation et de progrés Tableau comparatif entre le TB et le TBP Système de mesure traditionnel Tourné vers les finances (focalisation sur le passé). Non lié à la stratégie. Tourné vers l’optimisation des coûts. Ses mesures ne permettent pas de tirer des leçons. Orienté apprentissage individuel Votre allié performance Système de mesure stratégique Equilibré entre les quatres axes (focalisation sur l’avenir) Directement lié à la stratégie Tourné vers l’amélioration des performances. Global(qualité, coûts, délai). apprentissage collectif. Facteurs clés de succès les FCS sont directement liés à la vision Vision les FCS sont fondés des ‘future’ MCSdonnées objectives qui concernent le positionnement actuel sur le marché FCS FCS en œuvre des MCS la mise FCS donne naissance TBP FCS MCS aux mesures clés de succès qui sont les composantes de TBP Situation actuelle Votre allié performance MCS Les mesures clés de succès (MCS) Que faut il apporter aux actionnaires? Axe finances - diversifier les sources de revenus - augmenter la marge nette mesures clé orientées performances financières accroître notre part de marché sur les segments à fort potentiel ; - fidéliser les clients ciblés ; - Comment devons nous être perçu par les clients ? Axe client mesures clé orientées vers les clients spécialiser les opérations sur le segment ciblé - développer de nouveaux produit ; - Que doivent adopter les processus aux clients ? Axe processus mesures clé orientée performances opérationnelles Comment les hommes et l’organisation doivent-ils piloter le changement? Votre allié performance Axe apprentissage mesures clé orientées ressources humaines - développer l’innovation et la prise de décision ; - développer les compétences stratégiques Caractéristiques des MCS les MCS sont réparties de manière équilibrée parmi les quatre axes de TBP les MCS sont directement liées aux FCS ; les MCS sont en nombre limité ; les MCS sont liées entre elles par des relations de cause à effet Votre allié performance Les mesures clés « Finances ». Les enjeux de l’axe finance Le critère de choix des indicateurs. • croissance (CA, Investissement) • maintien ( reduction des coûts) Votre allié performance Les mesures clés orientées finance Hier Aujourd’hui Demain Votre allié performance . CA réalisé . bénéfice annuel . retour sur investissement . CA en attente de facturation . besoin en fond de roulement . marge nette vendue .% CA investi dans la recherche .% CA adopté par les nouveaux produits .rentabilité par segment de produit .rentabilité par segment de client Les mesures clés « Client». Les mésures d’option et de comportement Les critéres de choix des indicateurs Mesurent les opinions et les critéres d’achat Captent les reclamations des clients Votre allié performance Les mesures clés orientées « client » . part Hier de marché calculée (en nombre de clients, en CA, en volume d’achat) . part de marché instantanée (en nombre de clients, en CA, en volume d’achat) . taux de conservation des clients . réclamations : nombre+délai traitement . taux d’achat des nouveaux produits Aujourd’hui image de marque .satisfaction produit/service .valeur globale perçue .réclamations : taux de retour à la satisfaction . Demain Votre allié performance Les mesures clés « Operation». Le critère de choix des indicateurs. Combinent les données de maitrise de psus avecs les caractéristiques des produits et des services. Concerne aussi les psus du support . Votre allié performance les mesures clés orientées « opération » Hier . volume des activités ; .bilan d’exploitation .… Aujourd’hui . productivité (homme, machine, …) . données de maîtrise des processus . caractéristiques des produits et des services . évaluation des risques produits/processus Demain Votre allié performance . niveau d’intégration des fournisseurs Les mesures clés « RH». Le critère de choix des indicateurs. Mesurent les opinions et les comportements. Composantes d’efficacités ( compétance et motivation ) Votre allié performance les mesures clés orientées « R H » Hier •. performances des salariés (atteinte des objectifs) . fidélité des employés . motivation des salariés . taux de primes variables . polyvalence des salariés Aujourd’hui . Demain Votre allié performance .satisfaction des salariés .plaintes des salariés Utiliser le TBP pour créer des organisations orientées stratégie 1. Traduire la stratégie en termes opérationnels 2. Mettre l’organisation en adéquation avec la stratégie pour créer des synergies 3. Faire que la stratégie soit l’affaire de tout le monde 4. Faire de la stratégie un processus continu 5. Mobiliser le changement grâce au leadership de la direction Votre allié performance 1. Traduire la stratégie en termes opérationnels Elaborer les carte stratégiques La carte stratégique de tableau de bord explici les hypothèses de la stratégie; Les clients ciblés et les indicateurs de résultats pour le client; La stratégie transforme les actifs immatériels; L’axe interne va reprendre la stratégie; Votre allié performance 2-Mettre l’organisation en adéquation avec la stratégie pour créer des synergies Centre de profit Le service commun Le TBP de liaison Definir les objectifs de C.P que le S.C doit réaliser TBP de service commun 1-l’accord de service finance client 2- Le retour d’info De client Votre allié performance Vision Interne Apprentissage 3. Faire que la stratégie soit l’affaire quotidienne de tous Sensibiliser à la stratégie Définir les objectifs individuels et par équipe adopté la rémunération équilibrée et prospective Votre allié performance 4- Faire de la stratégie un processus continu Budget Allocation de Ressources Boucle de gestion de l’exploitation Ressources Analyse Exploitation Projet et processus Résultats le problème : il manque un processus pour gérer la stratégie Votre allié performance La solution : faire de la stratégie un processus continu Stratégie Actualiser la stratégie Boucle d’apprentissage stratégique Vérifier, apprendre et adapter : -vérification des relations de cause à effet - Analyse de l’activité Vérifier les hypothèses TBP Relier stratégie et processus budgétaire : - Objectifs ambitieux - Projets stratégiques - Prévisions mobiles Ressources Budget Suivi :fermer la boucle stratégique : - Retour d’information stratégique - Réunion de direction -Responsabilité Boucle de gestion de l’exploitation Analyse Exploitation Input Votre allié performance Out put Relier la stratégie aux budgets dans une procédure de « descente graduelle » Stratégie 3 à 5 ans 1- traduire la stratégie dans le TBP 2- fixer les objectifs ambitieux 3- identifier les projets stratégiques et les besoins en 4- débloquer ressouces les ressources Budgets Votre allié performance 1 an 5- Mobiliser le changement grâce au leadership de la direction conjuguer leadership et mobilisation Se sortir d’une situation catastrophique Créer un nouvel avenir Le style du leadership Votre allié performance Les causes d’échec de TBP Problème de transition Problème de conception Problème de processus le manque d’engagement de la part de la direction trop peu de salariés impliqués le TB est conservé au sommet un processus de développement trop long le traitement de TB comme un système le recours à des consultants inexpérimentés Votre allié performance LE BENCHMARKING OU LE CHOIX D’ UNE REFERENCE EXTERNE Votre allié performance Définition Concept US, lancé par Rank Xerox dans les années 80 Le benchmarking est un processus continu d'évaluation des produits, des services et des méthodes de travail par rapport à ceux des concurrents ou entreprises leaders C'est la recherche des méthodes les plus performantes pour une activité donnée permettant de s'assurer d'une supériorité Il est interne ou externe Les points majeurs : l'identification de l'objet du benchmarking puis la collecte des données Votre allié performance « Benchmark » : à l’origine norme à battre dans les tests de résistance ou de performance au banc d’essai ou maintenant toute référence de performance (externe) 70 % des entreprises US du Top 500 affirmaient recourir régulièrement au benchmarking Votre allié performance Objectif d’un Benchmarking et domaines d’application Transmettre la pression concurrentielle à des unités éloignées du marché ou dont l’efficacité a du mal à être cernée par des budgets Processus continuel de gestion du changement, il vise à se comparer à ses meilleurs concurrents ou firmes leaders afin de mettre en évidence des écarts de performance éventuels. L’objet du Benchmarking est alors de les résorber en adoptant les pratiques de la référence et ainsi d’acquérir un avantage concurrentiel Votre allié performance Les dix étapes du processus de benchmarking 1. Identifier les sujets et l’objet du benchmarking 2. Identifier les meilleurs compétiteurs 3. Fixer les méthodes de cueillette de données et recueillir les données internes et externes 4. Analyser les performances et identifier les causes de variance Votre allié performance Les dix étapes du processus de benchmarking 5. Planifier les niveaux de performance futurs 6. Communiquer les résultats de l’analyse 7. Etablir les objets fonctionnels 8. Développer un plan d’action 9. Implanter et suivre les résultats 10. Recalibrer le benchmarking Votre allié performance Les quatre types de benchmarking Collecte des données Adaptation Découvertes de méthodes novatrices (sites, régions, etc..) Très facile Facile Très rares Le benchmarking auprès des concurrents directs Très difficile Facile Rares Facile Variable Nombreuses Facile Difficile Nombreuses Type de benchmarking Le benchmarking interne (productivité, sous-traitance etc…) Le benchmarking orienté vers une fonction (compare les processus de support) Le benchmarking horizontal (Les pratiques auprès d’un secteur différent) Votre allié performance Les règles essentielles Prendre le terme ‘‘concurrent’’ dans son sens large Définir très largement le secteur S’assurer que les choses sont comparables Votre allié performance Les premières sources d’information Internet Les banques de données publiques Les associations professionnelles Les autres sources Votre allié performance La recherche d’informations 1) Recherche d’informations sur Internet quelques questions systématiques 2) Internet pour la recherche d’informations que rechercher sur Internet ? Informations "Primaires" Information élaborée 3) Annuaires vs Moteurs de Recherche 4) Quelques moteurs de recherche 5) Choix des mots clés Votre allié performance La recherche d’informations 6) La recherche d’informations exemples de moteurs de veille 7) Méta-moteur de recherche 8) Automatiser ses recherches 9) Recherches particulières 10) Automatiser ses recherches 11) Bases de données gratuites Votre allié performance La recherche d’informations L'information elle-même est paradoxalement difficile d'accès car Internet garanti la quantité d'information, mais pas la qualité. Avec Internet, le coût du traitement de la recherche d'information n'est plus dans la phase de recherche, mais dans la phase de traitement. Votre allié performance Analyse des différents types d‘écarts Ecart négatif Ecart nul Ecart positif Votre allié performance Une première analyse et les différents types d’écarts L’analyse comparative de l’écart • Analyse qualitative de l’opportunité • Mesure chiffrée de la performance : les benchmarks Votre allié performance Fixation des objectifs Détermination des objectifs (benchmarks) Nature des objectifs: • Des termes opérationnels • Des objectifs peu nombreux Des modifications de méthode Votre allié• performance Communication des résultats de l’analyse bonne communication = bon accueil des propositions = mise en œuvre efficace des orientations Votre allié performance A qui communiquer les résultats encadrement du département concerné direction personnel d’exécution concerné les clients les fournisseurs (parfois) Votre allié performance Méthodes de communication encadrement du département concerné Rapport Compte rendu d’entretiens Lettre d’information Campagne de communication Réunion d’information Votre allié performance Présentation des résultats résumé description du processus suivi présentation des méthodes découvertes Votre allié performance Mise en œuvre des résultats du benchmarking METHODE DETERMINEE ELABORATION D’UN PLAN D’ACTION LES TACHES : LES HOMMES : Définition Découpage Ressources Calendrier Responsabilités Objectifs visés Moyens de contrôle Adhésion Compréhension Motivation Votre allié performance Implanter et démarrer des actions concrètes La voie hiérarchique Le management de projet Le recours à un ‘responsable de processus’ Les cercles de qualité Votre allié performance Contrôler la progression Il faut mettre en place un suivi régulier des chiffres clés qui mesurent la progression du projet par rapport aux objectifs fixés. Ratio: coût/chiffre d'affaire Progression de l’Entreprise efficacité et en expertise Votre allié performance en Contrôler la progression Le benchmarking doit s’intégrer dans quatre processus vitaux: • • • • La planification Le management La recherche de la qualité Les finances Les enquêtes de benchmarking sont en fait une mécanique simple et peu onéreuse. Votre allié performance Assurer le succès du programme L’encadrement doit aussi procéder à deux types d’inspection : • Suivre les résultats du benchmarking • Suivre le processus du benchmarking lui-même Votre allié performance Réajustement du Benchmarikng : Le questionnaire interne Compréhension du processus de benchmarking Compréhension des méthodes de point Importance et valeur du benchmarking Pertinence pour la fixation d’objectifs Communication en matière de benchmarking Votre allié performance Exemples des questions Le benchmarking est-il important ? Le processus en dix étapes est-il compris ? Le benchmarking a-t-il un intérêt ? Les objectives tirés des références de benchmarking sont-ils réalistes ? Où et comment peut-on améliorer le benchmarking ? Que voudrez-vous savoir de plus sur le benchmarking ? Votre allié performance Consensus et d’accord avec les personnes intégrés Obtenir le consensus sur les bénéfices de l’opération et le rôle de chaque membre de l’équipe et les limites, Faire passer le message que le benchmarking n’est pas un moyen de travailler plus, mais de travailler mieux, Faire en sorte que les résultats du benchmarking soient bien compris et bien acceptés. Votre allié performance Conclusion : Au-delà du benchmarking Modification des frontières de l‘entreprise Simplification des processus Changement des mentalités Votre allié performance Les outils financiers Votre allié performance Le Bilan : outil de diagnostic financier par excellence Il traduit la situation patrimoniale de l’entreprise en termes d’emploi et de ressources: • Les ressources sont décrites dans le passif • Les emplois sont traduits dans l’actif Votre allié performance Structure du Bilan Actif Actif Immobilisé Actif Circulant HT Trésorerie - Actif • Immo en non valeurs • Immo incorp • Immo Corp • Immo financières • Stocks • Créances • Titres et valeurs de placement • Etat débiteur • Autres débiteurs • Banques • Caisses Votre allié performance Passif Financement Permanent • Le capital • Les réserves et résultats • Les dettes de financement Passif Circulant HT • Les fournisseurs • Les organismes sociaux • Etat Créditeur • Autres créanciers Trésorerie - Passif Crédits de trésorerie à court terme (moins de 12 mois) Le bilan fonctionnel • Les dettes et les créances sont analysés selon leur fonction (financement ou emplois) • C’est le bilan préconisé par le plan comptable sans aucun retraitement • Sa présentation permet de dégager les grandes masses Votre allié performance L’équilibre financier : 3 notions fondamentales • Le Fonds de Roulement Fonctionnel (FRF) • Besoin de Financement Global (BFG) • Trésorerie Nette (TN) Votre allié performance L’équilibre financier : 3 notions fondamentales • Le Fonds de Roulement Fonctionnel (FRF) • Besoin de Financement Global (BFG) • Trésorerie Nette (TN) Votre allié performance Le fonds de roulement fonctionnel : Définition C’est l’excédent des ressources durables sur les emplois stables FRF = Financement Permanent – Actif Immobilisé Votre allié performance Exemple Actif Passif Actif Immobilisé 250 000,00 Financement Permanent Actif Circulant HT 175 000,00 Passif Circulant HT 130 000 Trésorerie - Passif 25 000 Trésorerie - Passif 30 000 Total Actif Votre allié performance 450 000 Total Passif 290 000,00 450 000 Solution FRF = 290 000 – 250 000 = 40 000 Les ressources ont financé l’intégralité des investissements et ont dégagé un surplus de 40 000 dhs. Votre allié performance Le Besoin de Financement Global : Définition C’est l’écart entre l’Actif Circulant Hors Trésorerie et le Passif Circulant Hors Trésorerie BFG = ACHT – PCHT Il s’agit d’un besoin dont le financement provient soit de FRF ou du concours bancaire, ou des deux à la fois Autrement dit, il s’agit d’un besoin non financé par les ressources d’exploitation. Votre allié performance Exemple Suite au premier exemple BFG = 175 000 – 130 000 = 45 000 Il s’agit d’un besoin comblé par en partie par le FRF 40 000 dhs Le reste est financé par un crédit de trésorerie 5 000 dhs Votre allié performance La Trésorerie Nette A partir du FRF et du BFG : TN = FRF – BFG Ou A partir du Bilan : Trésorerie Actif – Trésorerie Passif Votre allié performance Reprenons notre exemple T = T Actif – T Passif = 25 00 – 30 000 = - 5 000 Ou T= FRF – BFG = 40 000 – 45 000 = - 5 000 Votre allié performance Le Bilan Financier ou Bilan Liquidité : Objectif Donner une image plus proche de la réalité économique du patrimoine de l’entreprise. Se basant sur le principe du coût historique, et respectant certaines règles d’ordre légal pour l’entrée au patrimoine, le bilan fonctionnel ne peut donner cette image patrimoniale. Votre allié performance Le Bilan Financier ou Bilan Liquidité : Définition Liquidité : La capacité de l’entreprise à faire face à ses dettes à moins d’un an à l’aide de son actif circulant à moins d’un an. Le Bilan Liquidité met en évidence le degré d’exigibilité des passifs et le degré de liquidité des actifs en fonction du critère DUREE. Votre allié performance Bilan Financier : Présentation Actif Explications Actif Immobilisé (plus d’un an) Tous les emplois stables à plus d’un an Valeurs d’exploitation (moins d’un an) Les stocks sauf le (stock de sécurité) Valeurs réalisables (moins d’un an) Les créances à moins d’un an Valeurs disponibles (moins d’un an) Les disponibilités Votre allié performance Bilan Financier : Présentation Passif Capitaux Permanents (plus d’un an) • Capitaux propres • Dettes à Moyens et Long Termes Explications • Les ressources propres de l’entreprise • Les capitaux empruntés dont l’échéance à plus d’un an Dettes à court terme (moins d’un an) Les dettes à régler à moins d’un an Trésorerie Passif Les concours bancaires à moins d’un an Votre allié performance Retraitements Afin de disposer d’un bilan financier, il y a lieu de retraiter certains éléments du bilan fonctionnel (celui préconisé par le plan comptable) Votre allié performance Les corrections apportées à l’actif • • • • • Les actifs fictifs : (Immobilisations en non valeurs) sont retranchés de l’actif en contre partie des capitaux propres. Les créances financières dont l’échéance est à moins d’un an, sont transférés de l’actif immobilisé vers l’actif circulant (valeurs réalisables) ; Les immobilisations sont enregistrées à leurs valeurs économiques (valeur vénale), la différence entre cette valeur et la valeur comptable est corrigée au niveau des capitaux propres ; Les stocks de sécurité (stock outil) sont retranchés du poste stocks (valeurs d’exploitation) et ajoutées à l’actif immobilisé ; Les effets de commerce escomptables sont retranchés du poste clients et comptes rattachés et ajoutés à la trésorerie (valeurs disponibles) ; Votre allié performance Les corrections apportées à l’actif (suite) • • • • Les éléments d’actif circulant dont l’échéance est à plus d’un an sont à transférer vers l’actif immobilisé ; Les titres et valeurs de placement facilement cessibles sont retranchés de l’actif circulant et ajoutés à la trésorerie ; Les écarts de conversion actif s’ils n’ont pas fait objet de provision, doivent être enlevés de l’actif en contre partie des capitaux propres ; Les immobilisations acquises par crédit-bail sont à intégrer dans l’actif immobilisé en contre partie des dettes de financement. Votre allié performance Les corrections apportées au passif • • • La partie du résultat qui sera distribué est retranchée des capitaux permanents et ajouter aux dettes à court terme ; Les provisions pour risques et charges devenues sans objets doivent être classées au niveau des capitaux propres (à déduire l’impôt latent correspondant) ; L’impôt latent à moins d’un an contenu dans les subventions d’investissement, dans les provisions réglementées devenu sans objet est à soustraire des capitaux propres et ajouter au niveau des dettes à court terme ; Votre allié performance Les corrections apportées au passif (suite) • Les dettes de financement dont l’échéance est à moins d’un an sont à transférer au niveau des dettes à court terme ; • Les dettes d’exploitation à plus d’un an contenues dans le passif circulant sont à reclasser dans les dettes de financement ; • Les écarts de conversion-passif sont contrepassés en vertu du principe de prudence. Deux cas de figure sont identifiés : Pour l’augmentation des créances : on retranche du passif l’écart de conversion en contre partie des créances de l’actif (soit immobilisé, soit circulant selon le cas) ; Pour l’augmentation des dettes : on retranche du passif l’écart de conversion, la même valeur sera ajoutée au passif au niveau des dettes (dettes de financement ou passif circulant selon les cas). Votre allié performance Fiche de retraitement Actif Elément Actif Valeurs Valeurs Trésorerie Capitaux Immobilisé d'exploitation réalisables Actif propres Total Bilan Fonctionnel Retraitements - …. - …. - …. - …. - …. Total Bilan Financier Votre allié performance Passif Dettes MLT Dettes CT Trésoreri e Passif Application Actif Brut Actif immobilisé Immo en n valeurs F Préliminaires Ch à rép sur plusieurs exercices Immo Corp Terrains Constructions Ins tech mat & outillage Immo Fin Prêts immo Titres de part Actif circulant HT Marchandises Clients et cptes ratachés Autres débiteurs Trésorerie Actif Banque Total Actif Votre allié performance Passif Amt/Prov 362 40 30 10 242 120 70 52 80 15 65 177 80 70 27 6 6 545 Net 40 10 10 30 20 10 25 10 15 0 65 322 30 20 10 212 120 50 42 80 15 65 152 70 55 27 6 6 480 Financement permanent Capital Réserves Légales Rt net de l'exercice Dettes de financement 350 250 20 45 35 Passif Circulant HT Frs et cpte ratachés Autres créanciers 100 70 30 Trésorerie Passif Crédit de trésorerie Total Passif 30 30 480 Application Autres informations : • • • • • • • • La valeur réelle du terrain est de 135 ; Dans les immobilisations, il y a un prêt au personnel de 8 à régler dans 7 mois ; La valeur sur le marché financier des titres de participation est 85 ; L’entreprise possède un stock de sécurité de 10 ; Dans d’autres débiteurs il y a une créance de 12 à régler dans 17 mois ; L’entreprise dispose d’un portefeuille d’effets de commerce de 14, tous escomptables ; 40% du résultat distribuable (après prélèvement de la réserve légale) sera distribué aux actionnaires dans 3 mois ; Une partie des dettes fournisseurs 14 est à régler dans 18 mois. Votre allié performance Solution : Fiche de retraitement Actif Elément Total Bilan Fonctionnel Retraitements - Actifs fictifs - Valeur réeel du terrain - Prêts immobilisés à moins d'un an - Titres de participation - Stock de sécurité - Autres débiteurs à plus d'un an - Effets escomptables - Dividendes à distribuer - Dettes frs à plus d'un an Total Bilan Financier Votre allié performance Passif Actif Valeurs Valeurs Trésorerie Capitaux Immobilisé d'exploitation réalisables Actif propres 322 -30 15 -8 20 10 12 70 82 6 315 Dettes MLT Trésoreri e Passif 35 100 30 14 49 17,1 -14 103,1 30 -30 15 8 20 -10 -12 -14 14 -17,1 341 Dettes CT 60 64 20 302,9 Bilan Financier Actif PASSIF Valeurs d'exploitation Valeurs réalisables Trésorerie Actif Total Actif 341 Capitaux propres 60 Dettes MLT 64 Dettes CT 20 Trésorerie Passif 485 Total Actif Actif Immobilisé Votre allié performance 302,9 49 103,1 30 485 Conclusions Votre allié performance Le contrôle de gestion introduit un mode de gestion par exceptions dont la particularité est de ne pas s’attarder aux réalisations normales, mais d’intervenir lorsque des écarts significatifs sont signalés entre objectifs et réalisations. La séquence plan à budget à tableaux de bord (réalisation) à actions de correction échouera si elle n’emporte pas l’adhésion des dirigeants et des responsables de la gestion. Favoriser l'apprentissage de la gestion auprès des services opérationnels qui ont plutôt tendance à rechercher la prouesse technique au détriment de l'efficacité économique (conflits d'intérêts). Votre allié performance une vision partagée par tous des objectifs et des indicateurs de performance, ce qui suppose d’associer tout le personnel à la déclinaison opérationnelle et à l’actualisation des travaux. la forte implication des responsables pour faire vivre le nouveau dialogue de gestion L’adaptation des compétences et la professionnalisation de certains métiers (contrôle de gestion, fonction budgétaire et comptable, maîtrise d’ouvrage informatique et conduite de projet, fonction RH, …) La mise à plat de certains processus clés majeurs pour mieux identifier les leviers de performance une volonté forte mais un rythme adapté dans le changement afin de permettre l’appropriation par chacun un « intéressement » aux résultats, quelle qu’en soit la forme. Votre allié performance Perfectionnement en Analyse Financière Formateur : Abderrazak ABDENBAOUI Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance SOMMAIRE - Structure du Bilan - Structure du CPC - Analyse financière : • Analyse de la rentabilité • Approche par les ratios • Le Tableau de financement • Les source de financement (Des investissements et de l’exploitation) - Le Business Plan Votre allié performance Structure Bilan et CPC Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Comptes du Bilan Actif Actif Immobilisé Actif Circulant HT Trésorerie - Actif 2 3 5 Passif Financement Permanent Passif Circulant HT Trésorerie - Passif Votre allié performance 1 4 5 Structure du Bilan Actif Passif Actif Immobilisé • Immo en non valeurs • Immo incorp • Immo Corp • Immo financières Financement Permanent • Le capital • Les réserves et résultats • Les dettes de financement Actif Circulant HT • Stocks • Créances • Titres et valeurs de placement • Etat débiteur • Autres débiteurs Passif Circulant HT • Les fournisseurs • Les organismes sociaux • Etat Créditeur • Autres créanciers Trésorerie - Actif • Banques • Caisses Trésorerie - Passif Crédits de trésorerie à court terme Votre allié performance Le Compte de Produits & Charges Charges 6 Exploitation Financières Non Courantes Impôts sur les résultats Votre allié performance Produits 7 61 63 65 67 Exploitation Financiers Non Courants 71 73 75 Analyse financière Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Sommaire • Notions, objectifs et importance de l’analyse financière pour l’entreprise • Diagnostic de l’équilibre financier • Analyse de la rentabilité de l’entreprise • Approche par les ratios • Fonds de roulement normatif • Tableau de financement Votre allié performance Notions, objectifs et importance de la gestion financière Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Analyse financière : Définition L’analyse financière (outil de la gestion financière) consiste à COLLECTER et RETRAITER l’information comptable contenue dans les différents états de synthèse, mais également d’autres sources d’information internes et externes à l’entreprise. Ce travail permet, à travers l’établissement et le suivi réguliers de RATIOS, une meilleure lecture de la situation patrimoniale de l’entreprise. Cette lecture permettra à la fois : • Une meilleure prise de décision quant à la stratégie financière à poursuivre • Une anticipation pour faire face à d’éventuels déséquilibres financiers futurs Votre allié performance Qui s’intéresse à l’analyse financière? Les gestionnaires internes : En tant qu’analystes internes, ils sont les mieux placés pour avoir une analyse aussi fine que possible en raison de la disponibilité de l’information. Votre allié performance Qui s’intéresse à l’analyse financière? Les actionnaires ou les investisseurs : Ces derniers s’intéressent aux bénéfices potentiels et à la rémunération de leurs capitaux apportés. Ils s’intéressent également aux plus-values dégagées. Votre allié performance Qui s’intéresse à l’analyse financière? Les bailleurs de fonds : • Les organismes de crédits (Banques, crédit-bail, affacturage) • OPCVM (FCP et SICAV) qui investissement dans des portes-feuilles obligations ou actions. Votre allié performance Qui s’intéresse à l’analyse financière? Les salariés: • La santé de l’entreprise leur permet de s’assurer de la longévité de leur emploi • Les salariés peuvent également être des actionnaires de l’entreprise dans le cadre d’une politique d’actionnariat des salariés. Votre allié performance Qui s’intéresse à l’analyse financière? Et aussi… • L’Etat • Les clients • Les fournisseurs Votre allié performance Qui s’intéresse à l’analyse financière? Chacun fait une lecture de l’information financière en fonction des ses objectifs, ses centres d’intérêt et de la position qu’il occupe. Votre allié performance Objectifs de l’analyse financière Répondre aux questions relatives à: • La structure financière de l’entreprise : équilibre, capacité de l’entreprise à faire face aux cycles d’exploitation et d’investissement, capacité de remboursement de ses dettes, capacité d’endettement etc... • Structure et évolutions des actifs : politique d’investissement, de stockage etc.. • Evolution du cycle d’exploitation : rotation des stocks, et des délais des créances et des dettes etc… • Evolution de l’activité: chiffre d’affaires, croissance • Evolution de la rentabilité : exploitation, rentabilité financière, coût de l’endettement etc… Votre allié performance Objectifs de l’analyse financière Et aussi… La détection de signes avants coureurs annonçant d’éventuels risques et dérapages dans le futur. Votre allié performance Diagnostic de l’équilibre financier Votre allié performance Le Bilan : outil de diagnostic financier par excellence Il traduit la situation patrimoniale de l’entreprise en termes d’emploi et de ressources: • Les ressources sont décrites dans le passif • Les emplois sont traduits dans l’actif Votre allié performance L’équilibre financier : 3 notions fondamentales • Le Fonds de Roulement Fonctionnel (FRF) • Besoin de Financement Global (BFG) • Trésorerie Nette (TN) Votre allié performance Le fonds de roulement fonctionnel : Définition C’est l’excédent des ressources durables sur les emplois stables FRF = Financement Permanent – Actif Immobilisé Votre allié performance Exemple Actif Passif Actif Immobilisé 250 000,00 Financement Permanent Actif Circulant HT 175 000,00 Passif Circulant HT 130 000 Trésorerie - Actif 25 000 Trésorerie - Passif 30 000 Total Actif Votre allié performance 450 000 Total Passif 290 000,00 450 000 Solution FRF = 290 000 – 250 000 = 40 000 Les ressources ont financé l’intégralité des investissements et ont dégagé un surplus de 40 000 dhs. Votre allié performance Le Besoin de Financement Global : Définition C’est l’écart entre l’Actif Circulant Hors Trésorerie et le Passif Circulant Hors Trésorerie BFG = ACHT – PCHT Il s’agit d’un besoin dont le financement provient soit de FRF ou du concours bancaire, ou des deux à la fois Autrement dit, il s’agit d’un besoin non financé par les ressources d’exploitation. Votre allié performance Exemple Suite au premier exemple BFG = 175 000 – 130 000 = 45 000 Il s’agit d’un besoin comblé par en partie par le FRF 40 000 dhs Le reste est financé par un crédit de trésorerie 5 000 dhs Votre allié performance La Trésorerie Nette A partir du FRF et du BFG : TN = FRF – BFG Ou A partir du Bilan : Trésorerie Actif – Trésorerie Passif Votre allié performance Reprenons notre exemple T = T Actif – T Passif = 25 00 – 30 000 = - 5 000 Ou T= FRF – BFG = 40 000 – 45 000 = - 5 000 Votre allié performance Le Bilan Financier ou Bilan Liquidité : Objectif Donner une image plus proche de la réalité économique du patrimoine de l’entreprise. Se basant sur le principe du coût historique, et respectant certaines règles d’ordre légal pour l’entrée au patrimoine, le bilan fonctionnel ne peut donner cette image patrimoniale. Votre allié performance Le Bilan Financier ou Bilan Liquidité : Définition Liquidité : La capacité de l’entreprise à faire face à ses dettes à moins d’un an à l’aide de son actif circulant à moins d’un an. Le Bilan Liquidité met en évidence le degré d’exigibilité des passifs et le degré de liquidité des actifs en fonction du critère DUREE. Votre allié performance Bilan Financier : Présentation Actif Explications Actif Immobilisé (plus d’un an) Tous les emplois stables à plus d’un an Valeurs d’exploitation (moins d’un an) Les stocks sauf le (stock de sécurité) Valeurs réalisables (moins d’un an) Les créances à moins d’un an Valeurs disponibles (moins d’un an) Les disponibilités Votre allié performance Bilan Financier : Présentation Passif Capitaux Permanents (plus d’un an) • Capitaux propres • Dettes à Moyens et Long Termes Explications • Les ressources propres de l’entreprise • Les capitaux empruntés dont l’échéance à plus d’un an Dettes à court terme (moins d’un an) Les dettes à régler à moins d’un an Trésorerie Passif Les concours bancaires à moins d’un an Votre allié performance Retraitements Afin de disposer d’un bilan financier, il y a lieu de retraiter certains éléments du bilan fonctionnel (celui préconisé par le plan comptable) Votre allié performance Les corrections apportées à l’actif • • • • • Les actifs fictifs : (Immobilisations en non valeurs) sont retranchés de l’actif en contre partie des capitaux propres. Les créances financières dont l’échéance est à moins d’un an, sont transférés de l’actif immobilisé vers l’actif circulant (valeurs réalisables) ; Les immobilisations sont enregistrées à leurs valeurs économiques (valeur vénale), la différence entre cette valeur et la valeur comptable est corrigée au niveau des capitaux propres ; Les stocks de sécurité (stock outil) sont retranchés du poste stocks (valeurs d’exploitation) et ajoutées à l’actif immobilisé ; Les effets de commerce escomptables sont retranchés du poste clients et comptes rattachés et ajoutés à la trésorerie (valeurs disponibles) ; Votre allié performance Les corrections apportées à l’actif (suite) • • • • Les éléments d’actif circulant dont l’échéance est à plus d’un an sont à transférer vers l’actif immobilisé ; Les titres et valeurs de placement facilement cessibles sont retranchés de l’actif circulant et ajoutés à la trésorerie ; Les écarts de conversion actif s’ils n’ont pas fait objet de provision, doivent être enlevés de l’actif en contre partie des capitaux propres ; Les immobilisations acquises par crédit-bail sont à intégrer dans l’actif immobilisé en contre partie des dettes de financement. Votre allié performance Les corrections apportées au passif • • • La partie du résultat qui sera distribué est retranchée des capitaux permanents et ajouter aux dettes à court terme ; Les provisions pour risques et charges devenues sans objets doivent être classées au niveau des capitaux propres (à déduire l’impôt latent correspondant) ; L’impôt latent à moins d’un an contenu dans les subventions d’investissement, dans les provisions réglementées devenu sans objet est à soustraire des capitaux propres et ajouter au niveau des dettes à court terme ; Votre allié performance Les corrections apportées au passif (suite) • Les dettes de financement dont l’échéance est à moins d’un an sont à transférer au niveau des dettes à court terme ; • Les dettes d’exploitation à plus d’un an contenues dans le passif circulant sont à reclasser dans les dettes de financement ; • Les écarts de conversion-passif sont contrepassés en vertu du principe de prudence. Deux cas de figure sont identifiés : Pour l’augmentation des créances : on retranche du passif l’écart de conversion en contre partie des créances de l’actif (soit immobilisé, soit circulant selon le cas) ; Pour la diminution des dettes : on retranche du passif l’écart de conversion, la même valeur sera ajoutée au passif au niveau des dettes (dettes de financement ou passif circulant selon les cas). Votre allié performance Fiche de retraitement Actif Elément Actif Valeurs Valeurs Trésorerie Capitaux Immobilisé d'exploitation réalisables Actif propres Total Bilan Fonctionnel Retraitements - …. - …. - …. - …. - …. Total Bilan Financier Votre allié performance Passif Dettes MLT Dettes CT Trésoreri e Passif Application Actif Brut Actif immobilisé Immo en n valeurs F Préliminaires Ch à rép sur plusieurs exercices Immo Corp Terrains Constructions Ins tech mat & outillage Immo Fin Prêts immo Titres de part Actif circulant HT Marchandises Clients et cptes ratachés Autres débiteurs Trésorerie Actif Banque Total Actif Votre allié performance Passif Amt/Prov 362 40 30 10 242 120 70 52 80 15 65 177 80 70 27 6 6 545 Net 40 10 10 30 20 10 25 10 15 0 65 322 30 20 10 212 120 50 42 80 15 65 152 70 55 27 6 6 480 Financement permanent Capital Réserves Légales Rt net de l'exercice Dettes de financement 350 250 20 45 35 Passif Circulant HT Frs et cpte ratachés Autres créanciers 100 70 30 Trésorerie Passif Crédit de trésorerie Total Passif 30 30 480 Application Autres informations : • • • • • • • • La valeur réelle du terrain est de 135 ; Dans les immobilisations, il y a un prêt au personnel de 8 à régler dans 7 mois ; La valeur sur le marché financier des titres de participation est 85 ; L’entreprise possède un stock de sécurité de 10 ; Dans d’autres débiteurs il y a une créance de 12 à régler dans 17 mois ; L’entreprise dispose d’un portefeuille d’effets de commerce de 14, tous escomptables ; 40% du résultat distribuable (après prélèvement de la réserve légale) sera distribué aux actionnaires dans 3 mois ; Une partie des dettes fournisseurs 14 est à régler dans 18 mois. Votre allié performance Solution : Fiche de retraitement Actif Elément Total Bilan Fonctionnel Retraitements - Actifs fictifs - Valeur réeel du terrain - Prêts immobilisés à moins d'un an - Titres de participation - Stock de sécurité - Autres débiteurs à plus d'un an - Effets escomptables - Dividendes à distribuer - Dettes frs à plus d'un an Total Bilan Financier Votre allié performance Passif Actif Valeurs Valeurs Trésorerie Capitaux Immobilisé d'exploitation réalisables Actif propres 322 -30 15 -8 20 10 12 70 82 6 315 Dettes MLT Trésoreri e Passif 35 100 30 14 49 17,1 -14 103,1 30 -30 15 8 20 -10 -12 -14 14 -17,1 341 Dettes CT 60 64 20 302,9 Bilan Financier Actif PASSIF Valeurs d'exploitation Valeurs réalisables Trésorerie Actif Total Actif 341 Capitaux propres 60 Dettes MLT 64 Dettes CT 20 Trésorerie Passif 485 Total Actif Actif Immobilisé Votre allié performance 302,9 49 103,1 30 485 Analyse de la rentabilité Votre allié performance Analyse de la rentabilité : les outils Etat des Soldes de Gestion : • Tableau de Formation des Résultats • Capacité d’autofinancement Votre allié performance Tableau de Formation des résultats Solde & Calcul 1 Ventes de marchandises 2 - Achats revendus de marchandises I II = MARGE BRUTE SUR VENTES EN L'ETAT + PRODUCTION DE L'EXERCICE(3+4+5) 3 Ventes de biens et services produits 4 Variation stocks de produits 5 Immobilisation produite par l'entp pour elle même III - Consommation de l'exercice(6+7) 6 Achats consommés de matières et fournitures 7 Autres charges externes VALEUR AJOUTEE (I+II+III) IV = 8 + Subventions d'exploitation 9 - Impôts et taxes 10 - Charges de personnel EXEDENT BRUT D'EXPLOITATION (EBE) V = 11 12 13 14 + + - VIII IX X Performance de l'activité commerciale pour les entreprises exerçant une activité commerciale. Mesure le volume d'activité d'une entreprie à suivre dans le temps Mesure le volume de la consommation intermédiaire aboutissant au produits finis. Valeur dégagée par l'entreprise après rémunération des achats intermédiaires (matières et fournitures entrant dans la productions). La somme des VA de toutes les entreprises constituent le PIB d'un pays. Mesure la performance de l'entreprise après rémunération du facteur humain, et des impôts, et sans tenir compte de l'utilisation des facteurs de production (investissement). OU INSUFFISANCE BRUTE D'EXPLOITATION Autres produits d'exploitation Autres charges d'exploitation Reprises d'exploitation,transfert de charges Dotations d'exploitation RESULTAT D'EXPLOITATION(+OU-) VI VII Explication = + RESULTAT FINANCIER = RESULTAT COURANT (+ OU -) + RESULTAT NON COURANT 15 - Impôt sur les résultats = RESULTAT NET DE L'EXERCICE (+ou-) Votre allié performance Le résultat dégagé par l'activité courante de l'entreprise (son objet social), hors toute politique financière, et sans tenir compte des éléments exceptionnels Mesure l'impact de la politique financière Le résutat dégagé après rémunération du coût de l'argent ajustée des placements de trésorerie excédentaire). Impact des produits et charges exceptionnels (hors objet social) Résultat dégagé après imputation de toutes les charges d'un exercice Cas pratique VOIR FICHIER EXCEL Votre allié performance Capacité d’Autofinancement CAF Ce solde mesure à jusqu’à quel niveau l’entreprise peut financer son cycle d’exploitation et son programme d’investissement dans le cas où l’actionnaire ne prend pas de dividende. Votre allié performance Capacité d’Autofinancement CAF Ce solde ne prend pas en compte : • Les charges non décaissables • Les produits non décaissables • Les opérations sur les immobilisations. Votre allié performance Calcul de la CAF Méthode additive +/- Résultat net de l’exercice Méthode soustractive +/- EBE ou IBE + Dotations d’exploitation (1) + Reprises & transferts des charges d’exploitation + Dotations financières (1) + Autres produits d’exploitation + Dotations non courantes (1) - Autres charges d’exploitation - Reprises d’exploitations (2) + Produits financier (3) - Reprises financières (2) - Charges financières (3) - Reprises non courantes (2)(4) + Produits non courants (5) - Produits de cessions d’immobilisations - Charges non courantes (6) + VNA des immobilisations cédées - Impôts sur les résultats Votre allié performance Calcul de la CAF 1. A l’exclusion des dotations relatives aux actifs et passifs circulants et à la trésorerie. 2. A l’exclusion des reprises relatives aux actifs et passifs circulants et la trésorerie. 3. A l’exclusion des reprises et dotations sur éléments d’actifs immobilisés et provisions règlementées. 4. Y compris les reprises sur subventions d’investissement. 5. A l’exclusion des produits de cessions d’immobilisations et des reprises sur subventions d’investissement et des reprises sur éléments d’actif immobilisé. 6. A l’exclusion des VNA des immobilisations cédées et des dotations sur éléments d’actif immobilisé. Votre allié performance L’autofinancement AF = CAF – Distribution des dividendes Votre allié performance Certains retraitements du CPC • Les charges du personnel intérimaire • Le crédit-bail • Les escomptes de règlements contus dans les produits et charges financières Autant de retraitements que possible afin de donner une meilleure lecture de l’ESG. Votre allié performance Le Fonds de roulement normatif (ou méthode des experts comptables) Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Définition Le Fonds de roulement normatif est le calcul permettant d’exprimer le Besoin en Fonds de Roulement en jours de chiffre d’affaires. Il s’agit d’un concept dynamique puisqu’il a une relation directe avec la variable temps. Il est utile dans le calcul prévisionnel du BFR. Votre allié performance Exemple 1- Stocks Matières = 300 Chiffre d’affaires = 3 000 Stock Matières représente 36 jours de chiffres d’affaires : 300/3000*360= 36 jours CA HT 2- Créances clients = 400 TTC CA TTC = 3 000 Les créances clients représentent 48 jours du chiffres d’affaires TTC 400/3000*360 = 48 jours CA TTC Votre allié performance Calcul du FR Normatif FR normatif = Comptes de l’actif circulant HT en jours de CA HT – Comptes du passif circulant HT en jours de CA HT En valeur le BFR est : BFR = FR Normatif * CA HT/360 Votre allié performance L’analyse par les ratios Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Ratios : définition Un ratio est un élément de synthèse qui consiste à établir un rapport entre deux données économiques de l’entreprise. Il s’agit d’un chiffre indiquant une relativité : c’est un rapport résultant d’un division. Les rations servent à : • Montrer une évolution à condition que la période prise en considération soit relativement longue dans le passé • Comparer la situation de l’entreprise par rapport à d’autres entreprises du même secteur d’activité. • Etablir les tableau de bord de l’entreprise. Votre allié performance Ratios : définition Il existe une infinité de ratios Le choix des ratios les plus pertinents pour l’entreprise dépend des objectifs de chaque utilisateur . Par conséquent, chaque département ou service doit choisir sa BATTERIE de ratios en fonction de ses besoins interne de gestion. Ce travail peut se faire en collaboration des services financiers de l’entreprise, et en harmonie par rapport à la stratégie globale de l’entreprise. Votre allié performance Types de ratios • Ratios de structure financière • Ratios de rentabilité • Ratios de productivité • Ratios de rendement • Ratios d’exploitation • Ratios de gestion financière Votre allié performance Ratios de structure financière Ils sont calculés à partir du Bilan : exemples • • • • • Capitaux permanents/Immo nettes Endettement total/Capitaux propres Actif circulant/dettes à court terme Capitaux propres/dettes totales Disponibilité/dettes à court termes Etc…. Votre allié performance Ratios de rentabilité Rentabilité de l’exploitation: • Résultat de l’exercice/CA HT • EBE/CA HT • VA/CA HT Etc…. Votre allié performance Ratios de rentabilité Rentabilité économique: • Résultat net/total actif • CAF/Actif total Etc…. Votre allié performance Ratios de rentabilité Rentabilité des capitaux investis : • Résultat net / Capitaux propres • CAF/Capitaux propres • Résultat net / CAF Etc…. Votre allié performance Ratios de productivité • • • • CA HT/ total actif CA HT / Actif d’exploitation Production / Actif total Production/Valeur brut des immo Etc…. Votre allié performance Ratios de rendement • • • • Production (en quantité)/effectif moyen VA/effectif moyen Matières consommées /quantités produites Consommation d’énergie (en unités)/quantités produites Etc…. Votre allié performance Ratios d’exploitation • • • • Matières consommables/CA HT Impôts et taxes / CA HT Salaires /Effectifs Charges sociales / effectif Etc…. Votre allié performance Ratios de gestion financière • Charges financières/charges courantes • Charges financières/EBE • Charges financières / dettes financières Etc…. Votre allié performance Cas Pratique VOIR FICHIER EXCEL Votre allié performance Le Tableau de Financement Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance Définition Met en évidence les mouvements d’emplois et ressources survenus au cours d’un exercice. • • • • Il permet d’expliquer la variation du patrimoine Il fournit une vue d’ensemble de l’équilibre financier Il est orienté vers une analyse patrimoniale de l’entreprise Important pour différents acteurs : actionnaires, investisseurs, banques etc… • Met en évidence l’impact des décisions stratégiques de l’entreprise sur le patrimoine. Votre allié performance Présentation Deux tableaux : • Synthèse des masses du Bilan • Tableau des emplois et ressources Votre allié performance Synthèse des masses du bilan EXERCICE MASSES 1 Financement permanent 2 Moins actif immobilisé 3 =FONDS DE ROULEMENT FONCTONNEL (1-2) (A) 4 Actif circulant 5 Moins passif circulant 6 = BESOINS DE FINANCEMENT GLOBAL (4-5) 7 TRESORERIE NETTE ( ACTIF - PASSIF ) =A - B Votre allié performance (B) EXERCICE PRECEDENT VARIATIONS A-B EMPLOIS RESSOURCES A 8 905 545,60 1 150 318,40 B 5 197 214,40 298 659,20 C 0,00 851 659,20 D 3 708 331,20 0,00 7 755 227,20 4 898 555,20 0,00 2 856 672,00 72 712 136,00 75 370 937,60 11 944 240,00 60 767 896,00 0,00 29 888 196,80 0,00 45 482 740,80 -2 658 801,60 -17 943 956,80 15 285 155,20 10 414 028,80 22 842 512,00 0,00 0,00 12 428 483,20 Tableau des emplois et ressources EXERCICE EMPLOIS RESSOURCES I. RESSOURCES STABLES DE L'EXERCICE (flux) AUTOFINANCEMENT (A) Capacité d'autofinancement - Dis tribution de bénéfices CESSION ET REDUCTION D'IMMOBILISATIONS 0,00 0,00 0,00 0,00 4 174 738,29 4 174 738,29 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 1 318 066,29 0,00 1 278 015,09 40 051,20 0,00 0,00 0,00 4 174 738,29 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 (F) 0,00 0,00 0,00 0,00 (G) 0,00 (B) Ces s ion d'immobilis ations incorporelles . Ces s ion d'immobilis ations corporelles Ces s ion d'immobilis ations financières Récupération s ur créances immobilis ées AUGMENTATION DES CAPITAUX ET ASSIMILES Augmentation de capital,apports EXERCICE PRECEDENT EMPLOIS RESSOURCES (C) Subventions d'inves tis s ement AUGMENTATION DETTES DE FINANCEMENT (D) TOTAL I. RESSOURCES STABLES (A+B+C+D) II. EMPLOIS STABLES DE L'EXERCICE (flux) ACQUISITIONS ET AUGMENTATIONS D'IMMOB Acquis itions d'immobilis ations incorporelles Acquis itions d'immobilis ations corporelles Acquis itions d'immobilis ations financières Augmentations des créances immobilis ées REMBOURSEMENT DES CAPITAUX PROPRES REMBOURSEMENT DES DETTES DE FINAN. EMPLOIS EN NON VALEURS (E) (H) TOTAL II. EMPLOIS STABLES (E+F+G+H) III.VARIATION DU BESOIN DE FINANCEMENT GLOBAL 0,00 0,00 0,00 0,00 1 318 066,29 0,00 15 285 155,20 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 12 428 483,20 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 16 603 221,49 16 603 221,49 0,00 0,00 IV.VARIATION DE LA TRESORERIE 0,00 TOTAL GENERAL Votre allié performance 0,00 Choix d’investissement Votre allié performance Définition La décision d’investissement est une décision d’échanger un capital actuel contre un revenu futur d’un montant plus élevé. II y a deux catégories d’investissement. La première peut regrouper des investissements en actifs réels tels les bâtiments ou la machinerie, alors que la deuxième concerne les actifs financiers dont les actions ordinaires ou privilégiées, les obligations ou les bons du trésor. Votre allié performance Définition Ce choix devrait se faire selon le processus suivant : Recensement des projets en conformité avec les besoins identifiés; Evaluation des différentes possibilités recensées; Sélection selon des critères de choix justifiés; Votre allié performance Le développement d’un projet Le développement d’un projet est la première phase du cycle de vie d’un projet d’investissement. Cette phase consiste à définir et à analyser le projet de façon à arriver à une décision concernant son acceptation ou son rejet. Votre allié performance Le développement d’un projet : Etapes Cette phase comporte plusieurs étapes : La conception du projet; la présélection du projet; l’évaluation préliminaire du projet (préfaisabilité); l’évaluation détaillée du projet (étude de faisabilité); la formulation des recommandations nécessaires (acceptation, révision, abandon du projet). Votre allié performance LES CARACTÉRISTIQUES D’UN PROJET D’INVESTISSEMENT Un projet est caractérisé principalement par les deux éléments suivants : Les flux monétaires (Cash-flows) Horizon d’un projet Votre allié performance LES CARACTÉRISTIQUES D’UN PROJET D’INVESTISSEMENT : flux monétaires Les flux monétaires (Cash-flows) L’évaluation de la rentabilité des projets d’investissement se fait sur la base des flux monétaires qu’ils génèrent. Ces flux, appelés aussi cash-flows, sont constitués par les entrées et les sorties de fonds inhérents aux projets. Ils sont établis sur la base de prévisions. Les cash-flows sont différents du bénéfice comptable (BC). Ils sont constitués par la somme du bénéfice comptable et de l’amortissement (CF = BC + amortissement). Votre allié performance Les flux monétaires Les cash-flows doivent avoir un lien direct avec le projet. Ils correspondent à chaque période de la durée de vie du projet. De plus, ils ne tiennent pas compte des frais de financement liés au projet. Votre allié performance Les flux monétaires Pour un projet d’investissement donné A, le calcul des flux monétaires devrait respecter le principe suivant à cause des synergies éventuelles entre le projet et l’entreprise : Flux monétaires du projet A = [flux monétaires de l’entreprise avec le projet ]– [flux monétaires de l’entreprise sans le projet] Votre allié performance Principes financiers à respecter dans le calcul des flux monétaires Pour déterminer les flux monétaires d’un projet d’investissement, nous devons respecter les principes suivants : Ne pas tenir compte des coûts passés ou irrécupérables. Imputer les coûts de renonciation : il s’agit des coûts de l’utilisation d’une ressource déjà existante dans l’entreprise et dont on prive les autres opérations de l’entreprise; Votre allié performance Principes financiers à respecter dans le calcul des flux monétaires tenir compte de l’augmentation du fonds de roulement net engendré par le nouveau projet. Cette augmentation devrait être considérée comme une sortie de fonds supplémentaire inhérente au projet; imputer les sorties de fonds en cours de projet; considérer la situation fiscale de l’entreprise : il s’agit d’utiliser le taux marginal d’imposition de l’entreprise pour ramener après impôts tous les flux monétaires découlant d’un projet d’investissement. Votre allié performance L’horizon d’un projet L’horizon d'un projet est la durée de vie économique du projet (court terme versus long terme). Il est difficile d’estimer cet horizon. Ce dernier dépend en fait de la période de temps pendant laquelle le projet est susceptible de générer des flux monétaires jugés satisfaisants. Par exemple dans le cas des projets nécessitants l’acquisition d’équipements, les analystes identifient : la durée physique, la durée technologique et la durée de vie du produit. L’horizon de ce type de projet dépend de la durée la plus courte parmi celles annoncées. Votre allié performance LES CRITÈRES D’ÉVALUATION DE LA RENTABILITÉ En se basant sur les cash-flows estimés, l’analyste financier procède à une évaluation de la rentabilité afin de pouvoir décider des projets à accepter et des projets à rejeter. Plusieurs critères d’évaluation peuvent être utilisés : • • • • • • Le délai de récupération, Le taux de rendement comptable, La valeur actuelle nette, Le taux de rendement interne, L’indice d’enrichissement Le rendement annuel équivalent. Votre allié performance Le délai de récupération Le délai de récupération (DR) représente le nombre d’années nécessaires pour la récupération de la mise de fonds initiale à partir des cash-flows (CF) générés par ce même projet. EXEMPLE 1 L’entreprise Alexa veut réaliser un projet nécessitant un investissement initial (I) de 60 000 et ayant une valeur résiduelle (VR) de 24 000 . Elle a à choisir entre deux projets dont les cash-flows (CF) attendus, durant leurs durées de vie, sont donnés dans le tableau suivant : Votre allié performance Années 1 2 3 4 5 6 VR Votre allié performance CFa 20000 20000 20000 20000 20000 20000 24000 CFb 50000 20000 11135 2000 180 20 24000 Calculons le délai de récupération de chacun des deux projets Calcul du délai de récupération pour le projet A : Les cash-flows générés par ce projet sont égaux, son délai de récupération se calcule de la manière suivante : DR(A) = 60 000/20 000 = 3 ans Votre allié performance Calculons le délai de récupération de chacun des deux projets Calcul du délai de récupération pour le projet B : Les cash-flows générés par ce projet sont différents d’une période à une autre, son délai de récupération se calcule de la manière suivante : Il suffit de faire le cumul des cash-flows jusqu’à atteindre la valeur de la mise initiale. Notons que, dans ce cas, les cash-flows à l’intérieur d’une même période sont supposés être équitablement répartis sur la période. DR (B) = 1,5 ans (1 an et 6mois) Votre allié performance Avantages de la méthode Trois avantages majeurs sont liés à l’utilisation de la méthode du délai de récupération : Facile et simple à utiliser; Permet d’évaluer l’impact du projet sur la liquidité de l’entreprise. En effet plus le projet est liquide, plus le DR est court et plus le risque de ce projet est faible; Permet d’évaluer (de façon imparfaite) le risque d’un projet. Votre allié performance Inconvénients de la méthode Plusieurs inconvénients sont liés à l’utilisation du délai de récupération : Le DR ignore la chronologie des CF et donc leurs valeurs dans le temps; le DR ignore les cash-flows qui surviennent après la période de recouvrement Votre allié performance EXEMPLE 2 Situation DRc = DRd = 3 ans. Nous constatons que le critère du DR amène une indifférence entre les 2 projets, alors que si nous calculons le DR sur la base des cash-flows actualisés, le projet “D” serait le meilleur Année CFc CFd 0 1 2 3 Votre allié performance 6000 1000 2000 3000 6000 3000 2000 1000 Situation 2 année CFe CFf 0 1 2 3 4 5 10000 5000 5000 1000 100 100 10000 3000 4000 3000 4000 5000 DR e = 2 ans DR f = 3 ans Votre allié performance Bien que le projet “ E ” possède un DR court, le projet “ F ” est meilleur en terme de cash-flows si l’on en juge par l’ampleur du dernier cash-flow. Le seuil de DR choisi de façon arbitraire est critiquable. Il est important de savoir : Qu’est-ce qu'un bon DR ? Votre allié performance Le délai de récupération actualisé (DRA) Pour pallier aux lacunes du délai de récupération, le décideur financier pourrait utiliser le délai de récupération actualisé (DRA). Ce dernier représente la durée minimale nécessaire au bout de laquelle l’entreprise ne réalise aucune perte ni aucun gain. Le calcul de ce délai nécessite préalablement une actualisation à la période 0 des cash-flows anticipés du projet. L’exemple suivant illustre bien la démarche à suivre : Votre allié performance Exemple 3 Reprenons les mêmes données que l’exemple 1 et supposons que le taux d’actualisation est de 10 %. Calculons le délai de récupération actualisé (DRA) Votre allié performance Année 1 2 3 4 5 6 Projet A Projet B CF actualisés CF cumulés CF actualisés CF cumulés 18181,82 16528,93 15026,30 13660,27 12418,43 11289,48 Votre allié performance 18181,82 34710,75 49737,95 63397,32 75815,75 87105,23 45 454,54 18 181,82 8 508,64 1 366,03 111,77 11,29 45454,54 61983,47 70349,36 71715,38 71827,15 71838,44 DRA (A) = 3,75 ans DRA (B) = 1,8 ans. On constate que le projet A permet à l’entreprise de récupérer dans 3 ans et 9 mois, compte tenu de la valeur temporelle de l’argent, sa mise de fonds initiale. Cette durée est de 1 an et 10 mois pour le projet B. Le projet B est préférable au projet A. Votre allié performance Le taux de rendement comptable (TRC) Le taux de rendement comptable est le rapport du bénéfice net annuel moyen prévu pendant la durée du projet par l’investissement comptable moyen. Le taux calculé est ensuite comparé à un seuil critique (taux de rendement comptable de l’entreprise dans son ensemble ou le taux de rendement comptable moyen de l’industrie). TRC = Bénéfice net annuel moyen / investissement x100 BÉNÉFICE NET ANNUEL = CASHFLOW – AMORTISSEMENT. Votre allié performance EXEMPLE 4 Soit deux projets A et B dont les bénéfices annuels moyens sont donnés dans le tableau suivant : Votre allié performance Année 0 1 2 3 4 5 6 Somme Votre allié performance Bénéfice annuel moyen Projet A Projet B 60000 60000 14000 44000 14000 16000 14000 5325 14000 -4000 14000 -5820 14000 -5920 84000 49585 L’investissement initial nécessaire pour chacun des deux projets “A” et “B” est de l’ordre de 60 000 et la durée de vie de chacun est de 6 ans. Chacun des deux projets a une valeur résiduelle de 24 000 et un amortissement annuel de 6 000 par année ([60 000 – 24 000]/6 = 6 000); Le calcul du TRC pour le projet A est: TRC (A)= (84 000/6)/60 000 = 0,2333 (23,33%) le calcul du TRC pour le projet B est: TRC (B) = (49 585/6)/60 000 = 0,1376 (13,76%) Votre allié performance Selon ce critère, le projet A est préférable au projet B, car son taux de rendement comptable est plus grand. Toutefois, le projet A n’est accepté que si son taux de rendement comptable est supérieur au taux de rendement de l’ensemble des opérations actuelles de l’entreprise Votre allié performance Avantage de la méthode: Le TRC est facile et simple à utiliser. Inconvénients de la méthode : Le critère du taux de rendement comptable comporte plusieurs lacunes : Il ne tient pas compte de l’érosion monétaire. En d’autre terme, il néglige la valeur temporelle de l’argent; le taux de rendement comptable dépend non pas des cash-flows du projet, mais bien du bénéfice comptable; Votre allié performance son standard de comparaison est fixé d’une manière arbitraire : Généralement, le taux de rendement comptable actuel de l’ensemble de l’entreprise sert de référence. Dans ce cas, si ce taux est élevé, l’entreprise risque de rejeter des bons projets. Dans le cas contraire, elle risque d’accepter des projets médiocres. Par conséquent on peut dire que ce critère relie les décisions d’investissement à la rentabilité actuelle de l’entreprise. il utilise des valeurs comptables et non financières. Votre allié performance Le critère de la valeur actuelle nette (VAN) La valeur actuelle nette est défini comme étant l’excédent de cash-flows annuels actualisé sur l’investissement initial, soit : VAN = CF actualisés – capital investi (augmenté de la VR éventuelle actualisée également) L’équation générale de la VAN est la suivante : VAN = CF1 (1+r)1 + CF2 VR/(1+r)N Votre allié performance (1+r)2 …+ CFN (1+r)N - I + Exemple Soit un entrepreneur qui a acheté un bâtiment ayant une valeur de 350 000. Pour financer cette acquisition, il contracte un emprunt au taux de 7%. Une année plus tard, il vend ce bâtiment pour une somme de 400 000 . On s’intéresse à calculer le gain réalisé par cet entrepreneur suite aux transactions effectuées. Le gain de l’entrepreneur pourrait être déterminé en calculant la VAN d’un tel projet. VAN = CF actualisés – Investissement = [400 000 / 1,07] – 350 000 = 23 832 Votre allié performance Reprenons le cas de l’entreprise (exemple 1) et supposons que le taux d’actualisation correspondant au coût du capital est de 7% : Calculons la VAN pour le projet A : • VAN = 20000 + 20000 …+20000 60000 = 35330,79 (1,007)1 (1,007)2 (1,007)6 Une VAN supérieure à zéro indique que le rendement du projet est suffisant pour rembourser et rémunérer le capital investi. Une VAN positive (négative) correspond a un enrichissement net (appauvrissement net) de l’entreprise. Votre allié performance Le taux de rendement interne (TRI) Le taux de rendement interne (TRI) est le taux d’actualisation qui correspond à une valeur actuelle nette nulle (VAN= 0). Le taux de rendement interne est le taux d’actualisation qui permet de vérifier les égalités suivantes : ∑ CF - I =0 (1+r) Votre allié performance Reprenons les données de l’exemple 1 et calculons le TRI du projet A. Pour trouver le TRI, nous sommes amenés à résoudre l’égalité suivante : 20000 1 – (1+tri)-6 + 24000(1+tri)-6 = 60000 TRI Notre objectif est de trouver le taux qui annule la VAN, il faut calculer l’équation correspondante pour déterminer ce taux. Dans un premier cas, nous allons supposer que le TRI est égal à 20 % : nous allons vérifier si avec ce taux nous obtenons une VAN nulle. 20000 1 – (1+0,20)-6 + 24000(1+0,20)-6 – 60000 = 14548 0,20 Votre allié performance Nous remarquons qu’avec un taux de 20 % l’égalité exigée n’est pas vérifiée. En effet, nous avons obtenu une valeur de 14 548 > 0. Ce résultat nous permet de conclure que le niveau du TRI est supérieur à 20 %. Rappelons que la VAN est une fonction négative du taux d'actualisation, c. à. d. si le TRI augmente, alors la VAN diminue et inversement. En utilisant 20% comme taux d’actualisation, nous avons obtenu une valeur positive de la VAN; pour obtenir une valeur nulle de la VAN, nous devons choisir un taux plus élevé. Votre allié performance Le critère d’indice d’enrichissement (IE) L’indice d’enrichissement (IE) est une mesure de la valeur actualisée des recettes par dirham investi. IE = VAN + I / I VAN + I : la somme des cash-flows actualisés VAN : la somme des cash-flows actualisés moins l’investissement initial I : l’investissement On retient le projet qui a l’indice d’enrichissement (IE) le plus élevé à condition que ce dernier soit supérieur à la valeur 1. Votre allié performance Exemple Soit un projet dont la VAN est de 25 000 et dont l’investissement se chiffre à 50 000. L’IE de ce projet est déterminé comme suit : IE = 75 000/50 000 = 1,5 IE = 1,5 veut dire que, dans ce projet, chaque dirham investi rapporte 0,5 de plus. Votre allié performance LES TYPES DE PROJET Le type de relation pouvant exister entre les différents projets d’investissement a une incidence sur les flux monétaires de l’entreprise ainsi que sur sa croissance et sa rentabilité. On identifie trois types de relations possibles pouvant exister entre les projets d’investissement : Votre allié performance LES TYPES DE PROJET Des projets indépendants : deux projets sont dits indépendants si la réalisation de l'un n’affecte en rien le sort de l’autre. En d’autres termes, il faut que les deux projets soient techniquement indépendants et les flux monétaires générés par l’un des deux projets ne soient pas affectés par l’acceptation ou le rejet de l’autre. Votre allié performance LES TYPES DE PROJET Des projets mutuellement exclusifs : deux projets sont mutuellement exclusifs si la réalisation de l’un implique le rejet de l’autre (exemple : la construction d’un bâtiment et l’acquisition d’un bâtiment). Des projets contingents ou complémentaires: Deux projets sont contingents si la réalisation de l’un ne peut se faire sans l’autre (exemple : la construction d’un bâtiment et l’acquisition d’un terrain) Votre allié performance LES TYPES DE PROJET DR : Règle de décision Dans le cas de projets indépendants, on retient celui ou ceux dont les DR sont inférieurs à un certain nombre d’années représentant une période arbitrairement choisie. Dans le cas des projets mutuellement exclusifs, on retient celui dont le DR est le plus court. TRC : Règle de décision Dans le cas des projets indépendants, on choisit le projet qui possède un TRC supérieur à un seuil choisi de façon arbitraire. Dans le cas des projets mutuellement exclusifs, le choix privilégie plutôt le projet dont le TRC est le plus élevé. Votre allié performance LES TYPES DE PROJET VAN : Règle de décision Dans le cas de projets indépendants, on accepte les projets dont les valeurs actuelles nettes (VAN) sont positives. En cas de rationnement de capital, on choisit les projets dont la VAN est positive et ce à concurrence du budget disponible pour l’investissement. Dans le cas des projets mutuellement exclusifs, on choisit le projet ayant la VAN la plus élevée. Votre allié performance TRI: Règle de décision Dans le cas des projets indépendants, on retient les projets dont le TRI est supérieur au coût du capital. Dans le cas des projets mutuellement exclusifs, on retient ceux dont les TRI sont les plus élevés (on peut les classer par ordre décroissant) jusqu'à épuisement du budget. En tout état de cause, il faut que le TRI soit supérieur au coût du capital ayant servi pour financer le projet en question. Votre allié performance Les principales sources de financement Votre allié performance Le Financement des Investissements Votre allié performance Les principales sources de financement On distingue 3 principales sources de financement: - Le financement par fonds propres; Le financement par quasi fonds propres Le financement par endettement Le financement Islamique (dit participatif) Votre allié performance Le financement par fonds propres Votre allié performance Le financement par fonds propres - La CAF ( Capacité d’autofinancement) - Cession d’éléments d’actifs - Augmentation du capital Votre allié performance Financement par la CAF : Avantages - Assure l’indépendance financière de l’entreprise - Accroit la capacité d’endettement de l’entreprise Votre allié performance Cessions d’éléments d’actifs Ils peuvent résulter : - Du renouvellement normal des immobilisations qui s’accompagne par la vente de biens renouvelés - Du besoin de céder certains actifs (terrains, immeubles, etc..) pour obtenir des capitaux - De la mise en ouvre d’une stratégie de recentrage. L’entreprise cède des usines, des filiales ou des participations lorsqu’elle cherche à recentrer ses domaines d’activité. Votre allié performance L’augmentation du capital Il existe plusieurs modalités d’augmentation du capital : - Conversion de dettes - Incorporation de réserves - Apport en nature - Apport en numéraire - Etc… Votre allié performance L’augmentation du capital : Modalités Juridiques - Formalités juridiques : AGE statuant sur l’augmentation - Autorisation de l’AGE au Conseil d’administration pour accomplir les formalité pratiques - Dépôt au greffe du tribunal dont dépend la société (Inscription modificative) - Publicité : JAL et BO - En cas d’appel public à l’épargne : Note d’information visée par l’AMMC (Autorité Marocaine des Marchés de Capitaux) ex CDVM - Dépôt du dossier au près de la Bourse de Casablanca. Votre allié performance L’augmentation du capital : Modalités pratiques L’augmentation du Capital est réalisée par la création d’actions nouvelles ayant le même nominal que les aniciennes actions L’entreprise - Détermine la somme qu’elle souhaite obtenir - Fixer le prix d ’émission des actions nouvelles - Définir les modalités de libération. Votre allié performance L’augmentation du capital : Modalités pratiques L’augmentation du Capital est réalisée par la création d’actions nouvelles ayant le même nominal que les aniciennes actions L’entreprise - Détermine la somme qu’elle souhaite obtenir - Fixer le prix d ’émission des actions nouvelles - Définir les modalités de libération. Votre allié performance Limites de l’augmentation du Capital - Elle ne se fait pas d’une manière très courante - Pour les PME, ce moyen est limité, il faut ouvrir le capital à de nouveaux associés, ce qui n’est pas sans risque - Les fonds d’investissements dit de Capital risque sont un très bon moyen pour les PME pour disposer des capitaux à des conditions de sortie ultérieures. Votre allié performance Le financement par quasi fonds propres Votre allié performance Le financement par quasi fonds propres Ce sont des sources dites HYBRIDES, qui se situent entre les fonds propres et les dettes : - Les titres participatifs - Les prêts participatifs - Primes et Subventions Votre allié performance Les titres participatifs Ce sont des titre de créances dont l’émission est réservés au entreprises publiques et aux coopératives coopératives. Votre allié performance Les prêts participatifs Ces prêts sont accordés par les établissements de crédit au profit des entreprise (PME essentiellement). Ce sont des créances de dernier rang et assimilés à des capitaux propres. Ces prêts peuvent être assorti d’une clause de participation au résultats. Votre allié performance Les primes et subventions Aides étatiques destinées à encourager les entreprise : Exemple le produit Imtiaz géré par Maroc PME. Votre allié performance Le financement par Endettement Votre allié performance Les emprunts auprès des établissement de crédit Ce sont des emprunts accordés par les établissement de crédit : Exemple CMT remboursable sur 5 à 7 ans en général Votre allié performance L’emprunt obligataire Il s’agit d’un emprunt divisé en fractions dites OBLIGATIONS. Peuvent souscrire à cet emprunt les établissement de crédits, les investisseurs institutionnels, et le grand public. S’agissant d’un appel public à l’épargne, ce type d’opération est également géré par l’AMMC. Votre allié performance Crédit bail Le crédit-bail constitue une opération de location assortie d’une promesse de vente du bien au locataire à l’expiration de la période de location. Votre allié performance Crédit bail : avantages • Possibilité de financer la totalité de l’investissement sans apport en capitaux propres ; • Le matériel « loué » dans le cadre du crédit-bail n’est pas inclut dans le bilan, ce qui implique la possibilité, pour le « locataire » d’utiliser du matériel coûteux sans altérer son niveau d'endettement. Votre allié performance Crédit bail : inconvénients • Le coût financier est plus important que si l’immobilisation est acquise par un crédit classique (CMT par exemple) ; • Le choix des biens à acquérir est limité (les organismes peuvent ne pas financer du matériel d’occasion, l’acquisition d’un terrain n’est possible que s’il est construit) ; • Le bien pris en crédit-bail n’est inscrit en comptabilité que lorsque l’option d’achat est levée. Et la valeur d’enregistrement comptable est nettement inférieure à la valeur vénale du bien du moment où cette valeur correspond à seulement à la valeur résiduelle, et donc un actif sousestimé. Votre allié performance Le Financement participatif ISLAMIQUE Votre allié performance Définition Il s’agit d’instruments financiers qui ne sont pas basés sur le commerce de dette mais sur les actifs et qui reposent sur le principe du partage partage des risques. Votre allié performance Le financement participatif Mudaraba : partenariat d’investissement. Technique de financement utilisée par les banques islamiques dans laquelle le capital est intégralement fourni par la banque tandis que l’autre partie assure la gestion du projet. Les bénéfices sont partagés selon une clé de répartition fixée au préalable et les pertes éventuelles sont supportées par l’investisseur. Votre allié performance Le financement participatif Musharaka : partenariat d’investissement dans lequel les conditions de partage des profits sont prédéfinies et les pertes sont proportionnelles au montant investi C’est une forme de capital-investissement. Votre allié performance Le financement participatif WAKALA C'est un contrat d'agence incluant, généralement, des frais d'expertise. Les banques l'utilisent souvent pour les grands comptes de dépôt : Le client possède les capitaux investis, il nomme une banque islamique comme agent et paye une commission d'expertise pour rémunérer le travail de gestion des fonds par la banque. Votre allié performance Le Financement du Cycle d’exploitation Votre allié performance Le Financement du Cycle d’exploitation Les Lignes de crédit : - Les Lignes revolving : Facilités de caisse, Financement des importations (FINEX) - Les Lignes Limitées : Crédit spot - Les engagements par signatures : Cautionnement, Crédit documentaires, Votre allié performance Le Business Plan Votre allié performance Votre allié performance Votre allié performance DEFINITION Le Business Plan ( anglo - saxon ) ou encore le Plan d ’affaires (Français ) c’est avant tout le fil conducteur du projet. Il n’est pas seulement destiné aux banquiers ou bailleurs de fonds. Il est le manuel de pilotage, le document de référence pour suivre l’évolution d’un projet. On doit y trouver les objectifs du projet et les moyens pour les atteindre. L’essentiel n’est pas le passé mais la vision à venir pour les cinq prochaines années et dans les détails les trois prochaines. Votre allié performance Un BP Pourquoi ? S ’obliger à bien préciser les contours de l ’idée et du projet, Se forcer à bien analyser le contexte concurrentiel, Et valider qualitativement et quantitativement les éléments du projet : tout particulièrement, s ’assurer de la capacité : A générer une marge bénéficiaire suffisante A générer des cash - flow libres suffisants De l ’entreprise de tenir ses engagements A créer de la valeur ajoutée pour ses actionnaires Convaincre les banques, et investisseurs de s ’engager dans le montage de l ’opération. Votre allié performance Le plan d’affaires est rédigé aussi : Tant en usage interne pour contribuer aux tâches de management ou de prévision En cas de création d’entreprise, ou de la mise en place de nouvelles activités Votre allié performance Le document doit en outre être clair et lisible pour en faciliter l'accès à tous type de lecteurs, et doit apporter si nécessaire des sections particulières adaptées aux différents types de partenaires. Selon que le lecteur désire ou non des détails il peut approfondir ou non sa lecture. Le Business Plan doit impérativement être honnête et inspirer confiance, en montrant que l'entrepreneur maitrise son sujet. Enfin un plan d’affaires doit être sobre et éviter les effets de style qui ne servent pas le contenu. Votre allié performance Il est l'outil qui permet d'approfondir un projet tout au long de sa conception, de juger de sa faisabilité et de suivre la trajectoire réaliste de son évolution. C'est également l'outil privilégié sur lequel s'appuyer pour réussir la recherche et la collecte de financement. Le processus de formalisation, qui conduit l’entrepreneur à expliciter et à formaliser ses intentions, est d'une certaine manière le garant de la qualité et de la pertinence du business plan en tant que résultat de la réflexion. Une meilleure compréhension des activités, un éclairage exhaustif des stratégies possibles, une plus grande transparence sur les décisions et leur motivation contribuent très directement à la crédibilité du plan présenté. Votre allié performance Les Difficultés Prévoir l’avenir par nature « imprévisible » Le contexte émotionnel d ’un beau projet ne conduit pas forcément au réalisme, La collecte de données notamment concurrentielles, n ’est pas facile, Si le projet est basé sur une rupture/évolution technologique, les projections des résultats quantifiés peuvent être délicates, La vitesse de réalisation et de pénétration des marchés est une variable capricieuse…. Le Juste à temps est une valeur clé, Les acheteurs, les utilisateurs, les consommateurs...ont des critères/comportements d ’achat d ’une grande complexité, Votre allié performance Les Retombés Positives Eviter les impasses concurrentiels et les projets souhaitables mais non réalisables Bien prévoir les ressources humaines et les ressources financières nécessaires avec une marge de sécurité Avoir des bases pour des plans d ’actions précis Avoir des bases pour un tableau stratégique et opérationnel Avoir prévu l’imprévisible ….Donc ayant imaginé toutes les difficultés….Etre prêt a gérer l’imprévu. Votre allié performance Le suivi du déroulement du plan demande un tableau de bord de gestion permettant de contrôler notamment : Les retards éventuels de mise en place des moyens et actions prévus, Les dépassements de coûts (Ecarts Réel/Prévu en termes de charges), Les ventes inférieures aux prévisions (Ecarts Réel/Prévu en termes de chiffre d’affaires prévu), La situation des financements et de la trésorerie (risques de manque de liquidité) Votre allié performance Le Contenu d ’Un Business Plan Le Business Plan N’est pas seulement UNE BATTERIE de chiffres et de ratios sommaires : Il comprend : 2 grandes parties : Une partie qualitative Une partie quantitative Votre allié performance La partie qualitative Définir le projet Préciser en quoi il est basé (les avantages significatifs, défendables et durables), Analyser la concurrence, les produits concurrents, Analyser les partenaires de la chaîne de la valeur « en amont » et « en aval » Votre allié performance La partie qualitative Préciser la politique marketing du/des produits ou services, Préciser les atouts par rapport aux produits existants ( en cas d’un produit ou service de substitution), Décrire qualitativement les ressources, notamment humaines, à prévoir. Préciser celles dont on dispose. Ajouter toutes les documentations utiles à la démonstration ( photos, notices, sans alourdir le dossier ) L’ensemble entre 20 et 60 pages suivant l’importance du projet. Votre allié performance La partie quantitative Qui comprend : Compte d’exploitation prévisionnels Bilans prévisionnels Tableaux de financements Différents ratios financiers Sur base annuelle et de plus en plus sur base mensuelle surtout si La nature de l’activité le demande. Votre allié performance La partie quantitative Et souvent sur une hypothèse : haute ( optimiste ) Basse ( pessimiste ) Médiane ( dite réaliste ) On y ajoute parfois un calcul du « risque maximum » pour répondre à la question « quelle serait la situation financière en cas d’événements négatifs majeurs A – B ou C ? » ( exemple : interdiction d’une molécule pharmaceutique après tests cliniques) Votre allié performance Le tableau de financement Et examiner les autres financements disponibles ou à négocier : - capitaux propres - Prêts bancaires Et toutes les formules de « quasi fonds propres » et de dettes LMT de toutes formulations. Et garder des sécurités pour faire face aux imprévus !!! Votre allié performance Le compte d ’exploitation ou Compte de Produits et Charges Prévoir des volumes « possibles » - exemple de lancement similaire - évaluation des atouts du nouveau produit - Études / tests auprès d’acheteurs, attention à l’accès mental physique et financier Prix de vente net : Soyez précis sur le prix net …. Net des concurrents …. Et prudent sur votre prévision Votre allié performance Le compte d ’exploitation ou Compte de Produits et Charges Prix de revient : prévoir les coûts de démarrage …. Et la courbe d’expérience … avec ses espérances Frais généraux : prudence … démarrer modeste... Mais passer la masse critique pour atteindre les « économies d’échelle » Frais financiers : le casse tête de l’aller-retour Votre allié performance Le Bilan prévisionnel Les documents précédents vont permettre : - d’établir le bilan initial - les bilans prévisionnels après 1 ans / 2 ans / 3 ans d’exercice donc de visualiser clairement des ratios importants dettes / capitaux propres, cash flow / endettement Votre allié performance Etapes de mise en place d’un BP Collecte des informations : Analyse des marchés Analyse de la concurrence Données financières : Le passé Projections financières : Le futur (entre 3 à 5 années) Rédaction Préparation des Etats de synthèse Conclusion : Vérification de la cohérence des chiffres Votre allié performance