DES
ANIMAUX
ET DES
PHARAONS
EXPOSITION / 5 DÉCEMBRE 2014 - 9 MARS 2015
Le règne animal dans l’Égypte ancienne
Dossier de presse
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Communiqué de presse 5
7
Avant-propos d’Hélène Guichard, commissaire de l’exposition 8
Chronologie de l’Égypte ancienne 9
Généralités sur la faune de l’Égypte ancienne 10
13
Parcours de l’exposition 14
Focus sur quelques œuvres 20
Catalogue de l’exposition 30
33
Spectacles et conférences à la Scène 34
Animations et conférences au Centre de ressources 35
Nocturnes événementielles 35
37
Les 10 principales divinités animales 38
Le saviez-vous ? 39
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Fondation d’entreprise Total, mécène de l’exposition 42
Palais des Beaux-Arts de Lille : exposition « Sésostris III,
pharaon de légende » et colloque scientifique 43
Partenaires médias 43
45
Informations pratiques 46
Contacts presse 47
Visuels libres de droits 47
SOMMAIRE
Introduction
Lexposition
Autour de l’exposition
Bonus
Partenaires
Informations générales
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Exposition du 5 décembre 2014 au 9 mars 2015
DES ANIMAUX ET DES PHARAONS
Le règne animal dans l’Égypte ancienne
Dans l’Égypte ancienne, les Hommes vivent en harmonie avec la nature, qu’ils observent avec une extraor-
dinaire attention. Ils entretiennent notamment un rapport tout à fait singulier avec les animaux. Le Louvre-
Lens révèle pour la première fois toutes les facettes de ce lien si particulier qui unit les Égyptiens au monde
animal. À travers 430 œuvres, l’exposition ressuscite une faune aujourd’hui en partie disparue d’Égypte, et
rappelle à quel point son rôle est essentiel dans la civilisation pharaonique.
Les animaux sont omniprésents dans la vie quotidienne des anciens Égyptiens. Ils sont chassés, élevés ou domestiqués,
mais également sacrifiés ou vénérés. Ils sont tour à tour denrée alimentaire, moyen de transport, remède médical, compa-
gnon et objet de culte. Très rapidement, les Égyptiens s’emparent aussi des animaux pour exploiter de diverses manières
les images symboliques que chacun d’entre eux véhicule. C’est ainsi que la figure animale est utilisée pour traduire des
idées, dans un langage qui peut être rédigé ou représenté. Elle constitue à ce titre un pilier de la pensée égyptienne, qu’elle
soit religieuse, funéraire ou politique.
L’exposition propose au visiteur une double approche, à la fois pédagogique et esthétique.
Elle permet tout d’abord l’acquisition de connaissances au fil d’un parcours structuré en neuf sections thématiques. Ce-
lui-ci ore une progression logique, de la simple perception matérielle de créatures réelles évoluant dans leur milieu natu-
rel, à leur transposition dans le langage codifié de la pensée égyptienne. Au fil des diérentes séquences, le sujet central
de la figure animale permet d’aborder de nombreux aspects de la civilisation égyptienne, tels que l’élevage,
l’écriture, les divinités ou encore les rites funéraires. Il permet aussi d’en couvrir toute la chronologie, de la
fin de la préhistoire jusqu’à l’époque romaine.
Parallèlement, l’exposition dévoile la richesse et la variété de la production artistique suscitée par le règne
animal, source infinie d’inspiration. D’une amulette en forme de grenouille à la sculpture monumentale des babouins de
l’obélisque de Louxor, en passant par le cercueil d’un serpent ou la momie d’un ibis, plus de 430 objets sont réunis. En
dehors des spécimens zoologiques issus de muséums d’histoire naturelle, tous proviennent de la collection égyptologique
du Louvre, l’une des principales au monde. Une partie des œuvres sort exceptionnellement des réserves. Certaines
nont jamais été exposées, ou très rarement. Près des deux tiers ont été restaurées pour l’occasion, notamment dans
l’atelier visible et visitable du Louvre-Lens.
Le parcours de l’exposition est enrichi de dispositifs multimédia. En particulier, une table tactile permet aux vi-
siteurs de manipuler des momies animales en 3D et d’en découvrir l’intérieur, grâce à des images réalisées au scanner
médical.
À la Scène du Louvre-Lens, spectacles, conférences et événements festifs prolongent le propos de l’exposition : concert-
hommage à Farid El Atrache, contes traditionnels, banquet littéraire, bal costumé animalier, carte blanche au chorégraphe
« égyptophile » Olivier Dubois, performance de Je Mills sur des images tournées au Louvre, etc.
Commissaire de l’exposition : Hélène Guichard, conservateur en chef au département des Antiquités égyptiennes
du musée du Louvre. Assistée de Catherine Bridonneau et Fanny Hamonic.
Scénographie : MAW – Mare Architectural Workshop.
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