(Dossier de presse phot compressé)

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La compagnie Traque n’Arts est née de la
rencontre d’amoureux des arts.
Des passionnés qui ont marié leurs talents et
leurs passions afin d’offrir au public des
spectacles vivants pleins d’énergie, de rire et de
poésie.
La compagnie Traque n’Arts crée des pièges,
oups !! des pièces, de théâtre dont la particularité
est de pouvoir se jouer dans n’importe quel
lieu : rue, théâtre, bar, hall de gare, d’aéroport. . .
un théâtre qui se veut populaire, un théâtre sans
barrières, où tous peuvent découvrir une
histoire, s’enrichir et s’émerveiller.
La compagnie Traque n’Arts, ce sont des
professionnels du spectacle vivant qui vous
offrent des prestations de qualité : de vrais
textes, des mises en scènes abouties, un jeu sûr.
Autant d’éléments qui témoignent de la longue
expérience de chacun.
Un théâtre éducatif…
Les enfants doivent savoir se laisser aller à la magie et à la poésie ,
Ils ne doivent pas seulement comprendre mais également
ressentire. Ce regard que nous aimerions faire acquérir aux
enfants leur permettra de voir, de percevoir au-delà du décors. Le théâtre est l’art d’un langage multiple, porteur de
plusieurs modes d’expression simultanés. La découverte de ces
langages, paroles, gestes, musiques, costumes et scénographie
favorise l’enrichissement culturel de l’enfant.
En deux spectacles, la compagnie Traque n’Arts propose de redécouvrir
Tchekhov et deux de ses rares comédies, et aborde, dans une création originale
et poétique, les thèmes de la différence et de l’immigration.
Mise en scène
« L’ours » et « La demande en mariage »
On connaît Tchekhov pour ses drames, mais moins ses comédies. J’ai
eu envie de mettre en valeur cet humour toujours contemporain en abordant ces textes comme des farces. En effet L’ours et La demande en mariage sont deux pièces pleines d’énergie, les dialogues toujours fins sont
soutenus par un rythme effréné. Mon parti pris de mise en scène traduit
par la gestuelle des comédiens l’émotion excessive des personnages.
J’ai eu envie de faire redécouvrir un « classique », d’une manière
nouvelle, l’arracher à son classicisme pour montrer que le théâtre peut être
amusant et surprenant même quand on croit le connaître. Ici la mise en
scène se veut originale voire expressionniste, les personnages sont poussés
jusqu’au bout de leurs caractéristiques, car je veux que le
spectateur soit pris dans un univers tourbillonnant et soit entraîné,
enchaîné par les personnages.
1, 2, 3 mais ou vont les oies
1, 2, 3, mais où vont les oies est une pièce intimiste. Le jeu des
Comédiens, se veut sobre. La mise en scène axe le geste sur l’onirisme des
situations. Les sens et l’imagination des spectateurs doit rester en éveil,
suspendus …
Le moment même du voyage reste allégorique : il est évoqué par de la
musique et du mime, comme un carnet de voyage qu’on regarde
longtemps après.
J’ai gardé, tant dans la mise en scène que dans les décors, l’aspect imaginaire, voire mystérieux du théâtre.
Je suis convaincu que l’enfant est capable d’intégrer la convention
théâtrale, et qu’il est parfois plus riche de les laisser libre dans leur compréhension au moment de l’acte théâtral.
Mise en scène Roland Bideau
Assisté de Solenne Pons
Avec Anne-Elisabeth Cherpion, Philippe Blondelle, Roland Bideau
Costumes : Marie-Violaine Monier
Musique : Antoine Faucher
Spectacle de 50 minutes pour les enfants et les adultes à partir de 5 ans
Dans un univers poétique et musical, le récit d’un voyage
Quelque part dans un pays, à l’est, il y a 150 ans...
C’est l’histoire d’un départ
C’est l’histoire de trois futurs émigrants qui rêvent d’une vie meilleure...
Avant leur départ, pendant leur voyage, et leur retour au pays
C’est aussi l’histoire d’un couple et d’un frère un peu simplet...
C’est l’histoire de tous ceux qui ont rêvé un jour de partir ailleurs
C’est le récit de ceux qui reviennent chez eux...
C’est comprendre et accepter la différence
C’est une histoire simple, pleine de rêve et d’espoir
Youssef rêve de suivre les oies, de partir dans un pays où il fait chaud, où la
vie sera plus facile. Il voudrait emmener avec lui sa femme Natacha qui elle,
aimerait rester sur la terre de ses ancêtres. Mais Youssef est très persuasif et
Nadia finit par lui dire « oui ». Volodia, le frère de Nadia fait partie du
voyage lui aussi. Nadia ne veut pas le laisser derrière eux, car Volodia, qu’elle
adore, est un garçon simple d’esprit et qui n’a qu’une passion : les
grenouilles.
Des rêves de Youssef à la préparation du voyage, ils finiront par partir, mais
ils reviendront enrichis et grandis de leurs expériences, changés en tout cas.
Mise en scène de Roland Bideau
Assisté de Solenne Pons
Avec Anne-Elisabeth Cherpion, Simon Aelion, Roland Bideau
Costumes: Marie-Violaine Monier
Spectacle de 60 minutes à partir
partir de 11 ans
Une demande en mariage
Comédie en un acte de 30 minutes
Lomov, un jeune propriétaire visiblement en bonne santé
mais hypocondriaque à l'excès, se présente chez son voisin,
Tchouboukov, pour lui demander sa fille, Natalia Stepanovna, en mariage. Entre Natalia Stepanovna et Lomov, le
courant ne passe pas et la demande en mariage dégénère en
pugilat , au grand désespoir du père de la jeune fille : Natalia s'emporte et Lomov est pris de malaises successifs. Entre les colères de l'une et les évanouissements de l'autre, la
promesse de mariage finit tout de même par aboutir.
L’ours
Pièce en un acte de 30 minutes
La campagne russe, un salon de la propriété d'Elena
Ivanovna, jeune veuve. Depuis la mort de son mari, un an
plus tôt, elle refuse de sortir et se considère aussi morte
que feu son bien-aimé mari. Or surgit un dénommé
Smirnov, ancien officier d'artillerie, propriétaire foncier
lui aussi, qui s'introduit chez elle malgré son refus de
recevoir qui que ce soit. C'est que l'époux d’Elena devait
douze cents roubles à Smirnov et que ce dernier en a
besoin tout de suite pour payer des intérêts. Entre la
délicate veuve et le très énergique Smirnov, c'est
l'incompréhension totale, jusqu'à ce que la virilité
débordante de l'ancien officier réveille chez la veuve des
désirs qu'elle croyait enfouis à jamais.
Roland Bideau : Metteur en scène ,Comédien
Directeur artistique de la compagnie Traque n’arts, comédien, metteur en scène,
Après sa formation aux beaux arts, il intègre une école de la scène : « Convergence U-Gomina », dans laquelle il apprend le
jeu particulier de la rue, le chant, le cabaret. Il monte ensuite sa propre compagnie : la compagnie
Dissy Dens au sein de laquelle il monte « Opérette » de W. Gombricz, « Léda » d’A.Jarry, « Les naufragés de l’autocar »
de Steinbeck, « Souffle » qu’il écrit lui-même. Au sein de la compagnie du « Gai Savoir », il associe formation et mise en
scène et se passionne pour un type de spectacle dit « hors les murs ». Il investit avec ses pièces les rues de Vienne pendant
le réputé Festival de Jazz. Il crée en 2001 la compagnie Traque n’Arts et sillonne les fêtes médiévales avec « les Vilains » de Ruzzante et
« Mariage chez les gueux » une comédie musicale écrite collectivement.
MarieMarie-Violaine Monier : Costumière
Co-directrice artistique, chef-costumière de la Compagnie, elle crée et réalise depuis huit ans des costumes pour le théâtre,
le cinéma, la danse. Spécialisée dans l’utilisation de la matière et des couleurs, elle teinte et patine ses tissus, et réalise également chapeaux et coiffes toutes époques. Avec Roland Bideau elle écrit « En partance », pièce relatant la traversée d’émigrants français aux Etats Unis, et leur arrivée sur Ellis Island.
Solenne Pons : Assistante metteur en scène, comédienne
Depuis l’âge de douze ans Solenne monte sur les planches et se frotte à la mise en scène. Elle décide tout naturellement
d’entrer au cours Florent , puis peaufine son jeu d’actrice au travers de stages et de cours de théâtre . D’abord dans l'Atelier
international de Théâtre Blanche SALANT et P. WEAVER, puis au Studio Pygmalion où elle travaille régulièrement le
Coaching d'acteur. Aujourd’hui elle assiste la mise en scène des spectacles de la Cie Traque n’Arts
Anne Elisabeth Cherpion : Comédienne
Passionnée depuis l'âge de 7 ans par le théâtre, elle monte sur les planches bien décidée à devenir professionnelle.
Après de nombreux spectacles dans différents cours, elle décide de suivre les formation d’acteur de l’école Périmony. Après
ses études elle joue dans plusieurs compagnies alternant toutes sortes de rôles, de Molière à Goldoni en passant par
Tchekhov. On la découvre au cinéma au côté d’Audrey Tautou dans “ La fille du nord ” et dans la série « Julie Lescaut. »
Simon Aelion : Comédien
Français, c’est pourtant en Russie, à Moscou, que Simon Aelion débute sur scène. Il y intègre en 2000 la troupe Novaya
Komedia, sous la direction d’Igor Soloviev avec qui il jouera, en russe, dans deux pièces du répertoire classique russe.
De retour en France, Simon Aelion s’inscrit à Paris au cours Planchat où il travaillera le jeu de scène sous la direction de
Michel Pilorgé et le jeu face caméra avec Daniel Milgram. Parallèlement, il entame une carrière au cinéma en incarnant le
Juge de « Ambre a disparu », un téléfilm avec Miou-Miou réalisé pour France 2 par Denys Granier Deferre. Côté théâtre, on
a pu le voir dans « L'ours » d’Anton Tchekhov, « Un jeune homme pressé » d’Eugène Labiche ou encore dans les
« Exercices de Style » de R. Queneau
Philippe Blondelle
Après un travail avec la compagnie "Esperluette & co", trois ans de formation de l'acteur au Cours Florent et deux stages
de travail devant la caméra avec la réalisatrice Stéphanie Girerd et le réalisateur Christophe Loizion, il se retrouve sur scène
dans de nombreux spectacles. On peut le voir dans "L'ours" de Tchekhov, "La chambre des lumières" de Sophie Kutten,
ainsi que dans une adaptation de "Arlequin serviteur de deux maîtres" de Goldoni.Il aime autant le théâtre que le cinéma
et c'est tout naturellement qu'il joue dans divers cours-métrages dont « 10 minutes chrono » de David Frecinaux et
« Je t’aime moi non plus » de Jérôme Tomray
Antoine Herzog
Antoine Herzog a commencé le piano à l’age de 6 ans.
Il a intégré le cycle musique étude au collège en piano classique au conservation national de région. Membre de la SACEM depuis 1999,
il a composé de nombreuses chansons et a été co-édité par EMi publishing. Il est actuellement à l’affiche en tant que compositeur auteur
interpréte de son propre spectacle.
1, 2, 3 mais où vont les oies
Trois comédiens un technicien
1000 Euros TTC
TTC (dont TVA 5.5%)
Deux comédies de Tchékhov
Quatre comédiens
1000 euros TTC (dont TVA 5.5 %)
Frais de déplacement gratuits pour
pour Paris et région Parisienne
La Compagnie Traque n’Arts:
Du théâtre à « géographie variable ».
La Compagnie Traque n’arts, troupe
théâtrale composée d’acteurs
professionnels, innove. Elle descend dans la
rue et va à la rencontre du public pour la
présentation d’une pièce de théâtre
« géographiquement varible ». Radioscopie
d’une troupe pas comme les autres.
Née en 2000, à paris, d’une rencontre
entre techniciens et comédiens qui cherchaient
comment intéresser le public au théâtre, la Compagnie traque n’arts roule sa bosse, dans les rues puis dans les théâtre de
Paris et de province Composée d’artiste de tous bords, .
Une pièce géographiquement exportable
La troupe de professionnels présente la pièce « En Partance » écrite, conçue et dirigée par Roland Bideau, pièce
qui sera « géographiquement variable », c’est à dire exportable aussi bien dans un endroit clos et intimiste que
dans un endroit public tels gare, aéroport, jardin public et même ...théâtre. Quinze comédiens ont relevé le défi
de ne plus jouer pour une élite théâtrale, mais de se retrouver face à un public qu’il croisera au détour d’une rue,
d’une boutique ou d’un parc. Le sujet porte sur le voyage, le départ d’immigrants tenaillés par la faim, le froid. Le
texte, très dépouillé, permet en quelques mots aux différents personnages de se dévoiler, d’exprimer leurs
origines, les raisons de leur départ, leurs projets ».
Cette pièce se veut avant tout « divertissante, même si le sujet est grave » précise Roland Bideau qui
espère contenter un public de salles fermées aussi bien qu’un public d’extérieur.
Maryse Danière ( Le progrès, Lyon 13.11.2001 )
Quand la Guill’ était terre d’accueil
Un surprenant spectacle de rue proposé par la Cie Traque n’Arts
La création « En Partance » présentée samedi soir au foyer de Montchat, raconte l’histoire de ces migrants
venus de toute l’Europe pour atteindre l’Amérique.
C’est une part d’histoire que la Cie traque n’Arts a voulu honorer. L’objet était de raconter comment quinze
personnages ont appréhendé ce départ définitif, se sont rencontrés, regroupés, soutenus durant les étapes du
voyage qui les a conduits jusqu’à Ellis Island, sas d’entrée vers l’Amérique .
Conçue comme un spectacle de rue, la pièce fut étonnante et d’une grande intensité dramatique, la troupe
emmenée par Roland Bideau a conquis et ému le nombreux public de la Guillotière.
D.C. Le progrès le 12/03/02
Un contact immédiat entre comédiens et passants
Trop souvent galvaudé, le théâtre de rue est un art difficile; Aussi
constitue-t-il un excellent terrain de
formation pour les jeunes comédiens.
Durant tout le festival de Jazz, on a
remarqué dans les rues de Vienne, le
spectacle proposé par Roland Bideau :
« En Partance », une création de M.V.
Monier et Roland Bideau, narrant les
espoirs, parfois déçus, des émigrants
vers l’Amérique.
Un travail très intéressant
visiblement apprécié par le public, malgré les conditions difficiles (bruits de
la rue, proximité d’orchestres,…)
Dauphiné, 13 juillet 2001
Du théâtre dans les rues
Dans le cadre de la programmation « off » du festival de jazz, la compagnie Traque
n’arts, a tenu, elle aussi à participer à la fête en présentant « Opérette » de Witold
Gombrovicz, dans les rues de Vienne. Et à en juger par la foule qu’elle attire à chacune de
ses apparitions, cette production de la compagnie, mise en scène par Roland Bideau, est
vraiment une réussite.
Vingt quatre comédiens vous racontent
l’histoire d’un prince, d’une princesse, d’un
comte et d’un baron, une baronne, une
marquise, une comtesse, un maître de la mode,
une bonne sœur, etc…. Et surtout plusieurs
musiciens… pour une comédie délirante et
pétillante, ces sympathiques artistes seront
aujourd’hui et demain place du Temple, lundi
soir; place de l’hôtel de ville, rue Marchande
et de nouveau place de l’hôtel de ville jeudi.
Le progrès, le 8 juillet 2000
La Montagne
Fête médiévale de souvigny
9/07/2002
La renaissance
9/07/03
Bayeux rattrapée
rattrapée par son passé
Pour agrémenter la promenade entre les stands, plusieurs troupes ont animé ces deux jours de fête. Jongleurs, comédiens,
échassiers, musiciens et autre troubadour ont diverti les promeneurs. Parmi ces troupes , on notera la présence de la
compagnie Traque n’Arts qui a présenté à plusieurs reprises son mariage chez les gueux . Une pièce dans la plus pure tradition
médiévale . Une des représentations les plus marquantes a sans doute été celle qui se déroulait devant les portes de la cathédrale, samedi après midi, alors même qu’un véritable mariage était célébré au même moment dans l’édifice religieux. D’ailleurs
les portes de la cathédrale se sont ouvertes avant la fin de la représentation de la compagnie Traque n’Arts, interloquant les
amis et les familles des jeunes mariés. Il faut dire que le style du mariage était bien différent à l’extérieur, provoquant rires et
amusements dans le public. Un spectacle qui a conquis petits et grands par sa drôlerie et son dynamisme.