l’enceinte avec ces galas, qu’« à Mantes-la-Jolie, à La Courneuve, dans le 91, dans
le 94, partout il y a des frères qui ne supportent plus ces provocations. »
Égorge-moi un mouton !
Ce sont donc des conflits qui
dépassent largement le cadre de
nos frontières et même
notre prétendu engagement en
Syrie et en Irak qui émergent
derrière ces attaques terroristes.
Ce sont véritablement deux
mondes qui s’affrontent : celui des
islamistes et celui des infidèles.
Parmi ces derniers, les Juifs, les Chrétiens
et les défenseurs d’une société de liberté
sont les ennemis désignés de cet Islam
radical.
Cette machine de guerre, bien plus qu’une
religion, est une véritable idéologie
politique qui englobe tous les aspects de
la vie courante. Et, l’Islam conquérant
ayant comme cheval de bataille la guerre
physique et le prosélytisme, et comme
cheval de Troie le halal, le Coran et
la loi islamique fournissent toutes
les indications nécessaires pour
procéder à la soumission ou
l’éradication des infidèles selon les
préceptes mahométans.
Parmi les différentes techniques
utilisées pour terroriser leurs
adversaires, l’égorgement est la
pratique la plus répandue.
Inaugurée par le fondateur de
l’Islam, Mahomet, le « beau modèle
» lui même, la tradition de
l’égorgement est présente dans cette religion depuis ses origines. Dans le Coran, il y
a de nombreux versets appelant à « frapper au cou » et la transcription de la parole
de Dieu par Mahomet, contient ce hadith (principe fondamental) :
«Je suis venu à vous par l’égorgement, a dit Allah » (Abu Ya’La, hadith n° 7285).