REMERCIEMENTS
Au seuil de ce travail, fruit d’une réflexion ancienne qui a connu plusieurs inter-
ruptions, je voudrais exprimer mon infinie gratitude à mon Professeur Monsieur Henri
Béhar, sans qui ce travail n’aurait jamais pu aboutir.
J’adresse mes sincères remerciements à messieurs les membres de jury qui ont
bien voulu lire et examiner ce travail.
Ma vive reconnaissance va à deux équipes de recherche qui ont bien voulu, à
chaque étape, porter toute l’aide nécessaire à ce travail : Je tiens à remercier principale-
ment les membres de l’équipe Hubert de Phalèse et principalement Messieurs Michel
Bernard et Jean-Pierre Goldeinstein qui ont été à l’écoute de mes inquiétudes métho-
diques, Pascal Mougin et Francis Kierszenbaum qui m’ont initié aux méthodes informa-
tiques, ainsi qu’à l’équipe du séminaire Goncourt qui a encouragé cette réflexion en
m’ouvrant grandes les portes de son séminaire et qui m’a permis ainsi de me familiari-
ser avec le monde goncourtien.
Je ne peux m’arrêter sans remercier tous mes professeurs et collègues à
l’Université de Tunis et à l’Université de Jendouba qui par leur aide et soutien m’ont
permis de tenir l’équilibre instable de l’enseignant chercheur.
Ma profonde reconnaissance va à ma sœur Sonia et à mes amies Amel, Ramla
Sihem et Yosr qui, par leurs encouragements, leur disponibilité, leur patience et leur
aide, ont fait chacune de son côté et à sa manière pour que cette recherche arrive à sa
fin.
Je remercie mon mari Tijani pour son soutien tant moral que financier.
Je dédie enfin ce travail à mes parents : ceux qui m’ont appris à aller très loin et
à ne jamais m’arrêter en cours de route, ceux qui ont cru en moi jusqu’au bout, ainsi
qu’à mes filles Sana et Nour.
Je ne saurais terminer sans rendre hommage à la mémoire de Feu Ahmed Tebaï
qui m’a offert mon premier livre et qui, en me voyant encore enfant m’avait prédis une
belle carrière d’enseignante.
Puisse chacun reconnaître dans ce travail, ses stimulantes et précieuses sugges-
tions.