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→Daśakramapudarutanamal
Recueil de contes du bouddhisme Mahāyāna, évoquant Caṣṭaṇa, roi d'Ujjain, Inde. - Traduit du sanskrit en
tokharien (A et B), en ouïgour, en sogdien et en en turc
→Développement de la cassette des qualités
Collection de 15 récits en vers décrivant les qualités et miracles du bodhisattva Avalokiteśvara
→Développement de la corbeille
Texte du canon sanskrit du bouddhisme Mahāyāna, en 20 chapitres, décrivant les mérites et miracles du
bodhisattva Avalokiteśvara. Connu par trois versions : la "vulgate", transmise par les ms népalais, la version
en prose des ms de Gilgit et une version en vers
Taduction en chinois, en 270 par Dhamaraksa, entre 435 et 443 par Gunabhadra, puis à partir de la version
tibétaine, vers l'an 1000. - Traduction en tibétain par Jinamitra et Dānasīla au VIIIe s.
→Développement du jeu
Texte sanskrit du bouddhisme mahāyāna, en prose et en vers, traitant de la vie du Bouddha (le Jeu) telle
qu'il l'aurait racontée à ses disciples mais qui est en fait une compilation tardive d'histoires et de légendes
(entre le IIe s. avant et le IIe s. après J-C.)
→Développement sur l'Heureuse terre
Version courte d'un sutra canonique du bouddhisme Mahayana, décrivant la terre "Sukhāvatī" (heureuse)
d'Amitābha, le bouddha "de la lumière et de la vie infinies". - Un des trois textes de référence de l'école de la
"Terre pure". - Conservé en sanskrit
→Grand Sukhāvati-̄vyūha-sūtra
Version longue d'un sutra canonique du bouddhisme Mahayana, décrivant la terre "Sukhāvatī" (heureuse)
d'Amitābha, le bouddha "de la lumière et de la vie infinies"
→La centaine d'exploits
Collection didactique de 100 contes bouddhiques (avadāna) divisée en 10 chapitres (varga) de 10 histoires
chacun (IIe s.)
→La conversation de Vilmalakīrti sur l'émancipation
Sūtra du bouddhisme mahāyāna
→La guirlande des Bouddha
Corpus de textes du canon du bouddhisme Mahāyāna, traitant des pouvoirs du Bouddha, de l'identité de
l'esprit et de l'univers. - Recueil de 45 chapitres compilé au IIIe-IVe s.
→L'aide-mémoire de la Vraie Loi
Sūtra du Bouddhisme mahāyāna en 7 chapitres (rédigé entre 150 et 400). - Traduit en chinois (542-543) et
en tibétain (fin du 11e ou début du 12e s.)
→L'éminent soûtra de la pousse de riz
Texte canonique sanskrit du bouddhisme Mahāyāna, datant sans doute du IIe av. J.-C.. - Version longue en
tibétain de la fin du VIIIe s.. - Version plus brève en chinois de Dānapāla (Shihu) datant de l'an 1000
→L'explication des mystères
Sūtra de l'école Yogācāra du bouddhisme Mahāyāna. Texte comprenant 10 chapitres (probablement entre
les 2e et 5e siècle ap. J.-C.) dont le manuscrit sanscrit a disparu. - Les traductions chinoises sont celles de
Guṇabhadra (en 443-445), Bodhiruci (en 514), Paramārtha (en 557), et Hsüan-tsang (en 647). Traduit en
tibétain par Tchokro Lüi Gyaltsen (fin du VIIIe s.). - Commenté en sanscrit par Asaṅga sous le titre
"Ārya-saṃdhinirmocana-bhāṣya" (3e ou 4e siècle)
→Livre de la contemplation de la vie infinie
Soutra canonique du bouddhisme Mahayana exposant les fondements de la doctrine de l'école de la "Terre
pure". - Il traite de la méditation sur le Bouddha Amitāyus (Longévité infinie) ou Amitābha (Lumière infinie)
dont il décritt le paradis intitulé "Sukhāvatī̄" (le Bienheureux). - Version sanscrite perdue mais la traduction
chinoise de Kālayaśas (en 424) est conservée
→Lotus de la bonne Loi
Sūtrapiṭaka bouddhique, appartenant au Tripiṭaka, composé de 27 chapitres (en prose et en vers)
(probablement rédigé au 3e s.). - Traduit en chinois par Dharmarākṣa (en 286), par Kumārajīva (en 406), par
Jnānagupta et Dharmagupta (entre 589 et 601). - Premier sūtra à avoir été traduit en Europe, par Eugène
Burnouf, sous le titre du "Lotus de la bonne loi" (en 1852)