La création d'un droit à la santé va attirer sur notre territoire
de nouveaux patients non cotisants :
à court terme : augmentation de notre activité.
à moyen terme dégradation de la valeur des actes
(ONDAM).
à long terme 1ebombe économique car les dépenses pour
les non-cotisants étrangers dépassent aujourd'hui 5 milliards
(AME, et CMU-étrangers non cotisants), il faudra trouver de
nouveaux financements ou augmenter les cotisations
sociales.
Pour rappel : jusqu'à présent, pour avoir droit aux soins il
fallait cotiser à l'une des caisses : CNAMTS, MSA, RSI ou
bénéficier d'un statut social particulier : AME ou CMU,
financés de façon indépendante par des taxes sur les
contrats mutuelles.