APPAREIL RESPIRATOIRE – Imagerie des sinus et du thorax, critère de qualité, principales anomalie, indications
Remarque : le rapport cardio-thoracique est la taille du cœur par rapport à l’ensemble de la cage thoracique,
Il dépend donc du degré d’inspiration et des conditions de réalisation de l’image (postéro-antérieur et antéro-
postérieur)
3. L’exposition aux rayons X : on doit voir les espaces intervertébraux et des vaisseaux derrière le cœur.
Y a-t-il suffisamment de rayons xX qui ont traversés ? N’y en a-t-il pas trop ? On doit voir les vaisseaux jusqu’à
1 cm de la périphérie. C’est le contraste entre l’air alvéolaire et les vaisseaux qui fait la visibilité des structures.
4. L'Absence de flou cinétique
5. Identification
Rappels sur la formation d'image radiologique :
Il y a 4 tonalités de bases en imagerie projectionnelle (standard) : le blanc (calcium), gris clair (tous ce qui est
hydrique : vaisseaux, cœur, fois, rate, muscles,…), gris foncé (graisse à condition qu’elle soit isolée : fascia
graisseux, graisse sous cutané...), noir (l’air : les voies aériennes, les sinus, la cavité oro-pharyngée, quelque
fois l’œsophage, toujours dans la trachée, les bronches, les alvéoles et très souvent dans le tube digestif).
La variation brutale d’absorption donne la netteté :
Si on a des bords nets avec des projections verticales ( un carré ), on passe d’un coup du blanc au noir.
Si on a une forme en pente douce ( triangle ), ça sera blanc d’un côté et progressivement gris de l’autre.
En physiopathologie, les vaisseaux auront des bords flous dans un syndrome interstitiel ( l'interstitium se charge
en cellules et en eau ) et lorsque les alvéoles normalement plein d’air seront remplacés par quelque chose qui
absorbe.
Le signe de la silhouette :
Soit deux structures de même tonalité dont la projection se touche : si leurs bords s’effacent, elles sont dans le
même plan. Si leurs bords sont visibles, elles sont dans des plans différents.
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